mardi 7 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): JAS-39 Gripen E pour 2020

 Tout s'enchaînait logiquement et pour notre sécurité, il aurait fallu voter OUI au Gripen en 2014, car il n'y a :
  1.  pas de liberté sans sécurité,
  2.  pas de sécurité sans armée,
  3.  pas d’armée sans Forces aériennes et
  4.  pas de Forces aériennes sans avions.
 Le vote négatif de 2014 fut sans appel, car les contestataires avaient préalablement semé le doute dans les esprits et le peuple suisse a mal voté. Or, pour notre pays, la sécurité, dont la protection de l’espace aérien demeure primordiale. Par conséquent, un appareil de combat polyvalent, performant, moderne est indispensable en nombre suffisant.

 De toute façon une solution de remplacement devra être trouvée lors de la mise hors-service des 52 F-5 E/F Tiger II. De plus, la flotte des 32 F/A-18 C/D Hornet doit impérativement être complétée pour assurer pleinement la protection de l’espace aérien. Or le JAS-39 Gripen E remplit non seulement toutes les exigences militaires, mais il est techniquement au plus haut niveau et est totalement compatible avec notre doctrine et notre équipement.

 Le Gripen E présente non seulement un coût d’acquisition et d’exploitation plus bas que ses concurrents, mais il possédait des capacité radar, une avionique et un défense passive supérieure. En fait, la charge financière annuelle de 300 millions de francs était largement supportable pour les finances de la Confédération. Cet achat aurait permis à la Suisse d’obtenir des commandes industrielles à hauteur de 2,5 milliards de francs et ce dernier argument aurait du à lui seul faire la différence. Car la coopération industrielle est capitale pour l’économie suisse. Toutes sortes d'industrie non seulement actives dans l’aviation auraient pu être impliquées directement ou indirectement dans le programme Gripen. Un accroissement des capacités et de la compétitivité de l’industrie suisse aurait pu être opéré grâce à des transferts de savoir-faire et de technologie.

 Les événements en Ukraine, en Crimée, au Togo, au Mali et en Syrie démontre que la paix internationale est un mythe. En conclusion, il aurait été de la responsabilité de chacun de se prononcer en faveur du Gripen E, car en 2020 la question du Gripen E va se reposer avec une toute autre acuité.

Economiquement et sécuritairement, il aurait fallu voter OUI au Gripen pour notre avenir, mais aussi pour nos finances.


Source : Internet (page actualisée le 07/10/2014)

21 commentaires:

  1. Les opposants ont tourné les avantages du JAS-39 Gripen E en inconvénients :
    - Aucune version biplace du JAS-39 Gripen E n'est nécessaire, car le simulateur pallie à ce type d'appareil. La formation peut être faite sur PC-12. S'abstenir d'un tel appareil réduit les coûts.

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  2. Les opposants ont tourné les avantages du JAS-39 Gripen E en inconvénients :
    - La portée du JAS-39 Gripen C/D est considérée comme faible sans réservoirs supplémentaires, mais comme l'appareil est polyvalent, il peut emporter des réservoirs à la place de bombes en configuration interception.

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    1. C’est un véritable serpent de mer. La naissance du Rafale a posé une question pour l’avenir de l’aéronautique française : et si c’était le dernier chasseur de conception nationale ? Répondre oui à cette question, c’était écarter un possible chasseur de combat de cinquième génération conçu en France.
      Il est maintenant de notoriété publique que le lancement du Rafale omnirôle en réponse au Typhoon II européen et en concurrence du Mirage 2000 n'avait servi qu'a retarder l'inéluctable, c'est à dire la disparition de Dassault Industries.
      Dans le même créneau que le Rafale, on trouvait le F/A-18 américain, le Typhoon II européen et le très prometteur Gripen suédois. Mais depuis, le F-22 furtif a acquis ses lettres de noblesse, le F-35 furtif concurrence directement Typhoon et Rafale, et le Su-57 furtif ont placé la barre très haut. De plus le F/A-18 bénéficie d'une nouvelle version plus puissante, le vénérable F-15 bénéficie d'une nouvelle version encore plus impressionnante et le MiG-35 manque de superlatifs pour le qualifier. Les Suédois ont compris ce challenge et ont profité pour lancer une version super affutée de leur monoréacteur polyvalent. Ils l'ont doté du meilleur radar AESA du marché, de la meilleure avionique du marché, de la meilleure concentration de données du marché et de plusieurs voie de communications distinctes. Doté d'un réacteur plus puissant et de nouveaux réservoirs, il est non seulement capable de supercruise, de voler à Mach II et d'emporter toutes les armes du marché, mais il est doté de capacités STOL et d'un casque de visée. Comme quoi qu'on poeut faire mieux que les Russes pour moins cher !

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    2. Les Français, les Socialistes, les Catholiques et les pro-européens se demandent si le JAS-39 Gripen E est vraiment indispensable pour la sécurité du pays.

      Comme le chasseur multirôle suédois correspond tout à fait aux missions qui lui sont demandées, même si la Confédération avait plus d'argent, elle achèterait encore le JAS-39 Gripen E, car ses performances exceptionnelles semblent calibrées pour la Suisse. Il est monoréacteur, il atteint Mach 2, il entre dans nos cavernes alpines, il décolle de nos autoroutes, il brûle notre bio-carburant, il tire nos missile, il utilise nos munitions et dispose d'un casque de visée.

      Il n'emporte pas une fois et demie son poids en bombes atomiques et ne nécessite pas de catapultes à vapeur pour décoller depuis un porte-avion. Mais il coûte moins cher que la concurrence et cela semble poser problème.

      Les Français, les Socialistes, les Catholiques et les pro-européens devraient se demander si un lourd bombardier biréacteur capable d'utiliser un porte-avion est vraiment indispensable pour la sécurité du pays.

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  3. Les opposants ont tourné les avantages du JAS-39 Gripen E en inconvénients :
    - A la différence des autres avions évalués, le JAS-39 Gripen E est monoréacteur. Cela rend l'appareil plus rapide, plus agile, moins bruyant, moins polluant, moins gourmand en carburant. Il a de plus deux fois moins de chance de tomber en panne et coûte deux fois moins cher à entretenir. Il en est pas moins plus efficace grâce à son radar AESA monté sur plateau cyclique.

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  4. Comparaisons critiques

    L'Eurofighter Typhoon produit par l'européen EADS se montre moins polyvalent et plus axé sur la supériorité aérienne et l'interception à haute vitesse, où il excelle. Ce chasseur anglo-germanique est moins à l'aise dans les missions air-sol, car il peut faire confiance au redoutable Panavia Tornado à géométrie variable, avec lequel il forme une paire indissociable. Capable d'une vitesse élevée, le Typhoon II serait indiscutablement le meilleur pour la police du ciel helvétique, mais pêche pour son manque de polyvalence.

    Le JAS-39 Gripen II produit par le suédois SAAB correspond exactement aux besoins de l'armée de l'air helvétique. Disposant de la même taille que nos F-5 E/F Tiger II, il semble au premier abord léger et moins puissant, mais il est efficace, car plus rapide et doté du meilleur radar. Pour seconder le F/A-18 C/D Hornet, il dispose d'une polyvalence et d'une rusticité, qui le désigne comme le successeur, non seulement du Tiger, mais aussi du Hornet. Son adéquation avec l'environnement suisse, pour un prix défiant la concurrence garantirait la sécurité aérienne helvétique.

    Conçu pendant la Guerre froide pour aller contrer les chasseurs et les bombardiers soviétiques, le Rafale français est capable de faire de la chasse, de la reconnaissance, de l’attaque au sol et du bombardement stratégique, depuis la terre, comme depuis que la mer. Mais le Rafale omnirôle a le gros inconvénient d'être biréacteur et fragile, donc de nécessiter beaucoup d’heures de maintenance comme avec tous les avions de cette génération et pour défendre un espace aérien de 300 sur 500 km sans accès à la mer, il ne répond pas aux cahier des charges.

    Les Français qui ont toujours une technologie de retard, tiennent aux chasseurs biréacteurs par sécurité, mais avec les progrès réalisés en matière de moteur, cette redondance n'est plus nécessaire, car le F-16 et le F-35 sont d'ailleurs des monoréacteurs. Le problème est que les Français n'arrivent à produire que des réacteurs de faible puissance. Les Français qui ont toujours une guerre de retard, tiennent aux bombardiers atomiques biréacteurs capable d'appontage, mais pour défendre la neutralité helvétique au coeur de l'Europe, disposer de telles capacité est vraiment superflu. Les Français qui privilégient leur industrie, veulent imposer au reste du monde leur exhorbitant Rafale omnirôle, dont la cellule est fabriquée en France, dont les moteurs sont fabriqués en France, dont le radar et l'avionique sont fabriqués en France et qui ne utiliser que des armes françaises. Un comble à l'époque où tout le monde parle d'intégration européenne.

    S'engager pour un appareil dont tout les composants sont exclusivement produits par un seul pays peut s'avérer suicidaire, surtout si les affaires de l'eau du lac, de l'eau du Rhône, de l'informaticien Falciani, du généticien Ségalat, du secret bancaire, du Gruyère, de Champagne ou de l'assassin de Hariri empoisonne les relations avec le dit pays.

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    1. le Typhoon a une meilleure vitesse de pointe, un meilleur taux de montée et une meilleure accélération. Ajouté à un meilleur radar, c'est tout ce qu'il faut pour la Suisse (petite, montagneuse et neutre)

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    2. Pour notre firme SAAB, un nombre conséquent de prospects demeure en Europe et dans le monde pour son nouvel appareil JAS-39 E Super Gripen, car la Belgique, le Canada, la Colombie, la Finlande, l'Indonésie, la Malaisie et la Confédération helvétique doivent remplacer leur flottes vieillissantes.

      Pendant ce temps, notre firme SAAB est en train de mettre au niveau MS20 la flotte de JAS-39 C/D Gripen utilisée par la République Tchèque, comme elle l'a fait pour le Royaume de Suède l'année passée. La Hongrie a demandé la même modification sur sa propre flotte et la firme SAAB est en tractation préliminaire avec la République d'Afrique du Sud, ainsi que le Royaume de Thaïlande.

      Le standard MS20 permet au JAS-39 C/D Gripen de lancer le missile européen METEOR à statoréacteur. Ce missile a une portée de plus de 100 km. Ce dernier standard permet aussi au Gripen d'emporter une vingtaine de GBU-39 SDB.

      Le standard MS20 autorise le JAS-39 C/D Gripen de doubler la portée et l'efficacité de son radar PS-05, grâce à l'electronique, sans passer au radar AESA.

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    3. Le standard MS19 autorisait déjà la compatibilité OTAN, le FADEC, la LINK16 et le ravitaillement en vol.

      (remarquons que la Suisse ne possède pas de ravitailleur, pas de porte-avion, pas d'ogive nucléaire, pas de satellites, alors pourquoi discourir sur des points inutiles)

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    4. Le Rafal est bien pour la France à cause de ses territoires d'Outre-mer. La France possède des satelites, des ogiv nucléaires et des PA.

      viv la France

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    5. Le METEOR européen est opérationnel sur le Gripen dès maintenant.

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    6. Le JAS-39 Gripen E peut utiliser du bio-carburant dès maintenant.
      Le JAS-39 Gripen E peut utiliser nos autoroutes comme pistes de dégagement.
      Le JAS-39 Gripen E peut être opérable par une armée de milice dès maintenant.
      Le JAS-39 Gripen E peut utiliser toutes les armes du F-5 Tiger et du F/A-18 Hornet dès maintenant et sans frais.
      Le JAS-39 Gripen E peut utiliser du carburant du commerce dès maintenant.

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    7. Le Typhoon a le meilleur taux de montée, la meilleure vitesse de pointe, le meilleur taux de roulis et la meilleure accélération.

      Plutôt que de verser 11 milliards annuellement pour le Tiers-Monde, ne soyons pas radins et optons pour le Typhoon européen. Cet appareil d'exception est déjà utilisé par les Anglais, les Allemands, les Italiens, les Autrichiens, les Espagnols entre autres.

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    8. Monsieur,

      Je me permets de vous faire remarquer que le Rafale français est utilisé par les Arabes égyptiens et qatariens (sans doute)

      Vos considérations sont tendancieuses.

      PS : Le Rafale atteint Mach 1.8 avec la PC et non pas 1.4 comme vous le prétendez.

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    9. Le Typhoon II, qui atteint Mach II, a le meilleur taux de montée, le meilleur taux de roulis et la meilleure accélération, c'est-à-dire tout ce qu'il faut à la Suisse, mais il coûte trop cher.

      Le Gripen E, qui atteint aussi Mach II, a le meilleur radar, la meilleur intégration de données, la meilleure compatibilité avec l'armée suisse, mais il ne coûte pas assez cher.

      Le Rafale est omnirôle, c'est-a-dire qu'il est calibré pour la France : il ne peut tirer que des armes française, il ne peut décoller que de porte-avions français équipé de catapultes à vapeur américaines, il a besoin d'une équipe conséquente de spécialistes au sol.
      Il ne décolle évidemment pas de piste de dégagement non préparée, il ne décolle évidement pas sans post-combustion, il ne passe évidement pas le mur du son sans post-combustion, il ne brûle évidemment pas de bio-carburant ou de carburant du commerce, il n'atteint évidemment pas Mach 2.
      Évidemment qu'il coûte extraordinairement cher, car il peut emporter des ogives nucléaires (françaises), il peut emporter 1 fois son poids en armement et il peut décoller d'un porte-avion.

      Quand on sait que la Suisse a besoin de vitesse, de maniabilité et de rusticité, le choix est vite fait.

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    10. La Suisse a besoin d'un appareil simple et efficace, capable d'atteindre Mach 2, comme de rentrer dans les caverne alpines et d'utiliser l'armement existant.

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    11. Le Rafale français ne décolle pas de nos autoroutes
      Le Rafale français n'entre pas dans nos abris
      Le Rafale français n'utilise pas notre armement
      Le Rafale français n'utilise pas de bio-carburant
      Le Rafale français n'utilise pas Florako
      Le Rafale français ne atteint pas Mach II

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  5. Après la retentissante affaire des Mirage français, le Département Militaire Fédéral avait décidé de ne plus se faire avoir par la France et d'acheter un appareil de combat voué exclusivement à l’appui tactique des troupes terrestres. Laissant de côté l'excellent Fiat G-91, le suédois SAAB 105 et le Douglas A-4 Skyhawk, le DMF avait opté pour le redoutable Vought A-7 Corsair II ou le Milan (version améliorée par F+W du Mirage 5)

    Le Corsair américain était un pur avion d’attaque au sol de la guerre du Vietnam, équipé d’une avionique ultra-moderne à l’époque, alors que le Milan français était une amélioration du Mirage sans avionique. Frustrés par la réduction de l’effectif des Mirage de 100 à 57, le Conseil fédéral porte son choix sur le LTV A-7 Corsair et en propose l’acquisition de 40 appareils.

    Comme dans le choix récent du JAS-39 Gripen E, les services secrets et diplomatiques français avaient appuyé de tout leur poids en 1972, pour infléchir la décision démocratique. A l'époque, les Français avaient réussi leur coup et un Nullentscheid avait été décidé, tout comme il l'a été en 2014. Dans les années 70, 2 tranches de Hunter supplémentaires d'occasion avaient du alors été acquises par le CF.

    A l'époque, la Suisse avait du acheter 160 Hunter en 4 tranches, qui étaient déjà équipés de Sidewinder AIM-9. Puis pour compenser le manque de Mirage IIIS, la Suisse avait aussi été contrainte d'acheter 110 Tiger équipés de Sidewinder AIM-9 en 2 tranches. Aujourd'hui, nos F/A-18 sont également équipés des SideWinder AIM-9X.

    Lors de la dernière votation de 2014, le choix de l'outsider Rafale français aurait entrainé un changement de doctrine total, avec le rachat de tout le matériel, de l'armement et de toutes les infrastructures au sol.

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  6. Vos commentaires sentent le réchauffé et figurent déjà sur un site concurrent

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    1. Les canons du Rafale n'ont pas le bon calibre et ne peuvent pas utiliser nos munitions !

      Ne soyons pas stupides et renonçons à cet appareil du passé.

      La dérive du Rafale est trop haute pour nos hangards et ne peut entrer dans nos cavernes alpines !

      Ne soyons pas stupides et renonçons à cet appareil du passé.

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  7. Le déficit démocratique de l'Union européenne est une constante qui cractérise l'Union européenne depuis sa formation.

    Crée dans le contexte de la guerre froide par un Français en manque de reconnaissance, l'Union Européenne devait pouvoir affronter les États-Unis et l'URSS. Pour ce faire, elle devait disposer d'un gouvernement collégial et de règles précises, à défaut d'une gouvernance forte.

    Mais depuis la chute du Mur de Berlin, cette conception surranée de l'Europe ne convient plus à sa population. Des Europhiles béats attendent toujours le grand jour, alors que la législation contraignante de l'Union se base sur les seules règles économiques. Néanmoins, élisant son parlement tous les 5 ans au suffrage universel, l'institution européenne se croit légitimée dans sa mission salvatrice pour tous les peuples vivants en Europe. Or, cette notion d'Europe est à géométrie variable et depuis la disparition de l'URSS, pas moins de dix pays de l'Est ont adhéré à l'organisation économique européenne, pour avoir un futur meilleur.

    Accusée de déficit démocratique depuis 1979 par David Marquand, l'Union européenne poursuit sa mission destructrice des identités européennes. Limitées à l'Acier et au Charbon au départ, cette organisation s'est petit à petit octroyé des pouvoirs dans d'autres domaines. L'Acte unique de 1987 et le traité 1992 octoye des pouvoirs politiques aux technocrates de Bruxelles, alors que la participation aux élections demeure très faible.

    Les Européens, sans leur ensemble, votent sur le plan local, car ils voient un effet concret sur leur vie quotidienne. Au contraire, les élections au niveau du continent ne les intéressent guère, car les enjeux mondiaux les dépassent. L'Union européenne a d'ailleurs avalé certains anciens satellites de la Russie avec des promesses fallacieuses, comme elle a intégré en son sein la majorité des pays de l'AELE.

    En définitive, l'Union Européenne se retrouve avec un déficit démocratique criant et avec des pays aspirants à un futur diamétralement opposé. Le groupe des pays de l'Europe de l'Est veut plus de subventions et essaye d'entraîner l'Union dans une opposition systématique à la Russie. Le groupe des pays de l'AELE veut plus de subventions et moins de législation. Le groupe des pays de l'ancienne Autriche-Hongrie veulent plus d'indépendance et plus de subventions. Le groupe des pays fondateurs aimerait montrer l'exemple aux nouveaux membres, alors que seule l'Allemagne tire profit de l'Union économique. Dans ces conditions, les citoyens s'abstiennent ou votent massivement contre l'Union, qui n'a plus aucune légitimité démocratique.

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