mardi 6 décembre 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Choix pragmatique

La décision du Conseil Fédéral d'acheter des Gripen fait sortir du bois le lobby pro-Français infiltrés dans la Confédération. Ces déçus, parlent de mauvaise décision, d'avion au rabais, d'avion de papier ou d'avion en projet.

Cependant, la firme SAAB, qui s'est séparée de son département automobile, a produit précédement les Saab-35 Draken et Saab-37 Viggen utilisés dans 4 armées de l'air différentes. Or, ces derniers appareils étaient au moins aussi performants que les avions Français correspondants. Les Français avaient d'ailleurs intrigué dans les années septante pour imposer leur Mirage face au Drakken suédois et au Starfighter américain. Il s'en était suivi la scandaleuse affaire dite "des Mirages" avec un dépassement de budget de plus de 60%.

Il faut démystifier à ce propos la légende qui entourait le Dassault Mirage.

L'appareil français reprenait le concept à aile delta des Delta Dagger et Delta Dart américains des années 50. Comme la formule de l'aile delta nécessitait des vitesses de décollage et d'atterrissage trop élevées, les Américains avaient abandonnés ce type de voilure. Cependant, bien que ce type d'aile assurait une mauvaise visibilité vers l'avant, une tenue de cap aléatoire à basse vitesse et une maniabilité insuffisante, les Français avaient persisté dans cette voie. Pour la motorisation, les Français avaient développé le moteur ATAR basé sur les réacteurs BMW 003 volés lors de l'occupation d'Oberkammergau.
Malgré ces nombreux défauts, cet appareil français avait néanmoins été choisi par Israël, mais avec un moteur américain et avec des canons à bord. Ces améliorations avaient rendu l'intercepteur français plus polyvalent, mais les victoires remportée par les Juifs sur les Arabes avaient surtout été le fait des pilotes et de l'effet de surprise, car la majorité des appareil ennemis avant été détruits au sol. Par la suite, les Israéliens développèrent le Kfir (version améliorée du Mirage), suite au veto du Général de Gaule de fournir d'autres appareils. (Ce même Général avait également empêché la prestigieuse FIAT de sauver Citroën de la faillite).

A ce moment la Confédération Helvétique pris la décision d'acquérir ce même type d'appareil, mais également modifié : nouveau radar, nouveau ailerons, un nouveau train d’atterrissage, fusées d'appoint et nouveaux canons. Devant le triplement du prix, la Confédération se limita à 36 exemplaires et jura qu'on ne la reprendrait plus à acheter du matériel Français. C'est la raison pour laquelle elle compléta sa flotte par 100 Northrop F-5 E/F Tiger II, quelques années plus tard.

Le SAAB JAS 39 gripen est un appareil polyvalent, relativement bon marché, doté de performances équivalentes à celle du Rafale.
La force de notre conseiller fédéral Maurer et d'avoir fait tester la version C/D du Gripen pour voir quel étaient les améliorations à apporter. Dans le même temps les concurrents du Gripen rivalisaient entre eux pour offrir des performance superflues à un tarif inacceptable. (Rappelons que les Gauchistes genevois ont réduit le budget militaire à 5 milliards par an).A la suite de cette évaluation, un nouvel appareil conçu pour répondre aux cahier des charges helvétiques a vu le jour.
  • masse maximale au décollage 14 000 tonnes
    masse maximale au décollage 16 000 tonnes
  • moteur Volvo RM 12 de 54 kN à 80.5 kN avec PC
    moteur GE F414G de 60 kN à 98 kN avec PC
  • vitesse mach 2
  • taux de montée 15000 m/mn
  • super-croisière à Mach 1.1
    super-croisière à Mach 1.2
  • capacité de kérosène de 1 000 litres
  • rayon d'action d'action de 800 kilomètres avec réservoir larguables
    rayon d'action d'action de 1300 kilomètres avec réservoir larguables
  • perche de ravitaillement en vol
  • 8 points d’emport
    10 points d'emport
  • réservoirs supplémentaires
  • missiles air-air AIM-2000 Iris-t à guidage infrarouge courte portée
  • missiles air-air Meteor BVRAAM à guidage radar longue portée
  • radar à balayage électronique actif Selenium Galileo (AESA).
  • détecteur d'approche missile infrarouge
  • système de communication par satellite
  • liaison de donnée en bande large UHF
  • système de guerre électronique EWS39
  • tableau de bord avec écrans couleurs compatibles vision nocturne
  • viseur de casque HMD cobra
  • taille similaire à l'appareil à remplacer, donc entre dans les hangars,
  • compatible avec nos 33 FA-18 au niveau des moteurs,
  • compatible avec nos 33 FA-18 au niveau de l’armement,
  • radar efficaces,
  • casque de visée,
  • capacité de décoller de pistes sommaires,
  • adaptation à un pays froid et montagneux comme le notre,
  • mise en œuvre par une armée de milice comme la notre,
  • collaboration avec entreprises suisses (Armasuisse, RUAG, Pilatus, Stalder),
  • entraînement possible dans le grand nord suédois pour le vol nocturne,
  • entraînement possible dans le grand nord suédois pour le vol supersonique,
  • entraînement possible dans le grand nord suédois pour le vol à basse altitude.

Source : Internet (page actualisée le 25/09/12)

mercredi 30 novembre 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Sage décision mûrement réfléchie

Alors que les dirigeants de notre armée sont souvent décriés, ils ont pris une excellente décision aujourd'hui. Nos stratèges militaires ont pris la seule décision intelligente possible et ont porté leur choix sur le SAAB JAS-39 Gripen.

Premièrement, au contraire de nos voisins Autrichiens, nous n'avons pas les moyens en cette période de vaches maigres, d'acheter le meilleur appareil du marché, c'est à dire le Eurofighter Typhoon II produits par nos amis Allemands, Italiens, Anglais. Ce fait est regrettable, mais il faut bien raison garder.

Deuxièmement, les Américains ne voulaient pas nous vendre des FA-18 E/F, car ils estimaient à juste titre, qu'il était surdimentionné pour la Confédération. Il est vrai qu'un appareil biréacteur est vraiment superflu pour notre pays.

Troisièmement, notre gouvernement plutôt conservateur n'est pas prêt à considérer un appareil meilleur marché et plus performant issu de l'ancienne URSS, tel le MiG-35.

Finalement, le développement chaotique de plus de 25 années du chasseur polyvalent de Dassault l'a rendu obsolète dès son premier vol. Le Rafale est par ailleurs marqué de tares fondamentales et rédhibitoires, qui l'empêche d'entrer en lice :
  • Incompatibilité avec les standards de l'OTAN et UE, nécessitant le rachat de tout le matériel.
  • Incompatibilité de taille avec les alvéoles du Tiger.
  • Défaut de viseur de casque tête haute.
  • Manque de puissance des moteurs, nécessitant un décollage avec post-combustion.
  • Incompatibilité des moteurs avec ceux du Boeing FA-18 Hornet.
  • Avionique dépassée datant de la guerre froide.
  • Radar insuffisant, comparé à celui du Gripen, du Typhoon, du MiG-35 ou du Hornet.
  • Prix inadapté à l'enveloppe budgétaire allouée à l'armée.
  • Capacités navales non nécessaires à la Confédération Helvétique.
  • Capacités nucléaires non nécessaires à la Confédération Helvétique.
  • Appareil encore en développement.
  • Antécédent douloureux déjà vécu avec les Mirages IIIS.
  • Collusion entre les milieux politiques et patronaux français.
  • Désinformation et collusion opérées par MM. Sarkozy, Lagardère et Dassault.
  • Attaques récurrentes de MM. Woerth, Hollande et Sarkosy contre la démocratie Helvétique.
  • Insécurité déclenchée par les ressortissants français profitant des accords Shengen.
  • Dumping salarial causé par les ressortissants français profitant des accords Shengen.
  • Chômage provoqué par les ressortissants français profitant des accords Shengen.
  • Inflation générée par les ressortissants français profitant des accords Shengen.

Comme la France est en état de faillite virtuelle depuis de nombreuses années, elle essaye par tous les moyens de faire payer à un partenaire le développement de son super avion, que par orgueil, elle n'avait pas voulu développer avec d'autres.

Par contre, outre le fait d'être compatible avec nos budget, il apparaît clairement que du point de vue de l’utilité, le Griffon est l’appareil qu’il nous faut, car :
  • de taille compatible avec nos 54 F-5 à remplacer, il entre dans les hangars,
  • de motorisation compatible avec nos 34 FA-18, opérable par nos techniciens
  • d’armement compatible avec nos 34 FA-18, peut reprendre ses armes,
  • doté d’un radar efficace, voit les autres avant d'être vu,
  • doté d’un casque de visée, voit les autres avant d'être vu,
  • adapté à un pays froid et montagneux comme le notre, correspond à notre armée,
  • adapté une armée de milice comme la notre, correspond à notre doctrine,
  • fabriqué par un pays neutre et démocratique comme le notre, correspond à la Suisse
  • payé en couronnes suédoise stables, évitera l'écueil de l'Euro,
  • fabriqué partiellement en Suisse, fournira du travail aux entreprises helvétiques,
  • garanti par la Suède, il laissera le pays libre et indépendant de toute main-mise étrangère.
De plus comme le SAAB Gripen JAS-39 NG est en constant développement, les entreprises helvétiques d'armement vont pouvoir opérer des transfert de technologie significatifs avec leur homologues suédoises. Cet appareil disposant d'une cellule saine, le Conseil fédéral participera à son évolution pour qu'il réponde à nos besoins spécifiques. L'armée pourra alors réaliser son rêve d'avoir un appareil correspondant exactement à sa mission et reprendre le projet chasseur helvétique interrompu avec le P16. La nation saura relever le défi technologique de l'appareil sur mesure, autorisant une défense indépendante. La Suède pourra acheter en contrepartie les Pilatus P-21 d'entraînement dernier cri produit par les usines de Stans.

Les détracteurs du Gripen ne réalisent pas encore que le futur sera à la guerre électronique, aux drones, aux missiles embarqués, à la furtivité, à la collaboration interarme et non pas au dog-fight de grand-papa. L'Helvétie doit remplacer un chasseur léger monoréacteur vieillissant par un même type d'appareil, mais qui cette fois qui puisse seconder efficacement nos FA-18.

Source : Internet (page du 26/05/2012, mise à jour le 29/04/2014)

dimanche 27 mars 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Rafale inadapté

Cette page recense de la manière la plus exhaustive possible les problèmes principaux de l'appareil de combat Dassault Rafale.

Son problème principal est son prix, le biréacteur français coûte le double d'un SAAB JAS 39 Gripen pour une efficacité comparable

Or le conseil fédéral doit faire face à d'autres priorités que l'achat d'appareil dont l'utilité est aujourd'hui remise en question. Avec la signature des Accords de Schengen, la Confédération doit faire face à un flux toujours croissant de travailleurs en provenance de l'union européenne qui engendre un chômage accru et une inflation considérable, dans le domaine des loyers particulièrement. Or tous nos blindés et tous nos avions de chasse ne servent à rien si les frontières ne sont pas mieux contrôlées, dans la région de Genève notamment.

Son second problème est l'insuffisance notoire de ses moteurs

La France, sous la pression des milieux judéo-capitalistes proches du gouvernement, a voulu développer son appareil de combat seule, sans collaboration internationale. Elle a du par conséquent se tourner vers ses motoristes nationaux et plutôt que d'acheter des moteurs performants, elle a du se contenter de M-88 produits localement. Les conséquences sont que le rafale ne peut décoller sur de courtes distances et ne peut pratiquer la super-cruise sans utiliser la post-combustion. Ceci provient que les Français utilisent des catapultes à vapeur sur leur porte-aéronefs et ont négligé le problème des moteurs, à la différence du Boeing FA-18, de l'Eurofighter Typhoon ou du MiG-35.

Son troisième problème est l'insuffisance de son radar

La France en voulant faire cavalier seul, a établi un cahier des charges correspondant aux menaces de l'époque, c'est à dire la guerre froide. Cet avion a été conçu pour se mesurer à des appareils tels le MiG-25 ou le F-15. Or les conditions d'engagement aérien ont changé, avec l'apparition de nouveaux concepts tel la furtivité et la guerre électronique. Le Rafale aujourd'hui nécessite l'appui d'un AWACS pour s'orienter et d'un Mirage-5 pour illuminer électroniquement ses cibles, car la puissance de son radar fait cruellement défaut. Il est avéré que 50% des cibles sont manquées par le viseur du Rafale. Le Boeing FA-18, de l'Eurofighter Typhoon, le MiG-35 et même le SAAB JAS-35 Grippen s'acquittent parfaitement de cette tâche.

Son quatrième problème est l'obsolescence de son avionique

Dans les ordinateurs, la loi de Moore prédit que la puissance de calcul double toutes les années et demie. Donc un avion bourré d'électronique de pointe se retrouve 20 ans après sa mise en service complètement obsolète. Or une vingtaine d'année, c'est ce qu'il a fallu pour développer le Rafale. Son électronique de bord est au moins 15'000 fois inférieure à ce qui se produit actuellement. La présentation de ses informations donne une impression de guerre froide.

Son cinquième problème est politique

La France, qui produit le Rafale, n'est pas ce qu'on pourrait appeler un pays ami. Elle ne possède pas de Constitution fédérale et n'est pas démocratique, car toutes les décisions se prennent à Paris. Ceci soulève un problème hautement stratégique pour notre pays et ne relève plus du simple problème commercial. En cas de guerre, nous avons besoin d'un partenaire fiable. Or, la France fait problème avec les frontaliers, avec le vignoble du village de Champagne, avec le fromage de la région de Gruyère, avec notre secret bancaire. Historiquement parlant cette nation, qui a déclaré trois guerres à l'Allemagne, huit guerres à l'Italie, qui s'est battue pendant cent ans avec l'Angleterre n'est pas rassurante. Ce pays qui s'est opposé à la Confédération en Alsace, en Franche-Comté, en Savoie et en Lombardie ne fait pas partie de nos alliés. Ce peuple belliqueux qui a mis l'Europe à feu et à sang sous Louis XI, sous Louis XIV,  sous Napoléon I et sous Napoléon III, qui a annexé la Corse, Nice et la Savoie, qui a annexé l'Alsace, la Lorraine et la Franche-Comté, qui a attaqué le Mexique, l'Indochine et l'Algérie, ne doit pas inspirer notre respect. L'histoire se continue car la France veut maintenant le pétrole de la Libye, l'uranium du Mali et les richesses de la Syrie.

Son sixième problème est économique

Cet avion de combat, n'est produit que par des industries Françaises telles Dassault, Safran ou Thalès. Ceci soulève un problème hautement stratégique pour notre pays et ne relève plus du simple problème commercial. Car la France en nous vendant ses appareils obsolètes aimerait que l'on finance les améliorations et les mises à niveau qui s'imposent, comme on avait du le faire pour le Mirage. Cependant, notre nation soutient déjà la France en accueillant plus de 200'000 réfugiés économiques français en plus des binationaux et de ceux qui ont réussi à se faire naturaliser. Ces travailleurs monolingues provoquent du chômage, du dumping salarial et de l'inflation dans notre pays. Ces étrangers ne s'adaptent pas à notre pays, veulent imposer leurs goûts culinaires, leur manière de parler et leur manière de penser.

Conclusion

La France en voulant privilégier son industrie nationale pour produire un appareil omnirôle, capable de remplacer plusieurs appareils de l'armée française, a réussi à créer un bijou technologique, qui n'excelle dans aucun domaine, qui coûte extraordinairement cher aux contribuables et qui n'est pas exportable.

Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)

mercredi 23 mars 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Problèmes avec la France

La réalité des faits : la politique

Premièrement : Problème de la notoriété

Malgré les campagnes de désinformation opérée par l’entourage de Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault et consort, la firme Dassault, en 30 ans, n’a pas réussi à exporter un seul Rafale.
A ce sujet, Monsieur S. Dassault, confronté à la mévente de ses produits, accuse le système social Français d'en être responsable et ce sénateur dit à qui veut l'entendre que les acquis sociaux de la masse laborieuse, durement acquis par les générations précédentes doivent être reconsidérés à la baisse. Pour cette raison, Monsieur S. Dassault ne cache pas son soutien à Monsieur N. Sarkozy, car il le pense capable d'opérer des réformes néo-libérales, qui le favoriserait. En outre, ce sénateur néolibéral est client d'un cabinet d'avocats proche du président, qui lui a facilité l'héritage des Entreprises Dassault.
Cette connivence entre l'industrie et le politique a bien permis à la firme Dassault d'obtenir des contrats de la part de l'armée française, mais à l'exportation il y a eu :
  • l'échec en Corée du sud en 2002,
  • l'échec aux Pays-Bas en 2002,
  • l'échec à Singapour en 2005,
  • l'échec au Maroc en 2008,
  • l'échec en Inde en 2009,
  • l'échec en Suisse en 2011,
  • l'échec aux Emirats en 2011,
  • l'échec au Brésil en 2011,
  • l'échec en Algérie en 2012,
  • l'échec au Brésil en 2013,
Ces échecs répétés tendraient à prouver que cet appareil ne correspond pas aux attentes du marché (trop cher, trop sophistiqué, compatible qu'avec du matériel français uniquement et dépassé sur certains aspects).

Deuxièmement : Problème de l'Europe
La France, bien qu’elle ait rejoint l’Europe, ne s'intègre pas et parle d'exception culturelle :

  • Ce défaut est visible en linguistique, où la France privilégie son idiome artificiel national.
  • Ce défaut est visible en gastronomie, où la France privilégie sa cuisine traditionnelle.
  • Ce défaut est visible en industrie, où la France privilégie ses marques nationales.
  • Ce défaut est visible en économie, où la France privilégie ses plutocrates.
Dernièrement, la France s'oppose à la reprise d'Alsthom par Siemens, comme elle s'était opposée à la reprise de Citroen par FIAT. Ce comportement favorise l'implantation des Chinois et le chômage, suivant l'exemple de Usinor-Sacilor. La France dans l’armement suit la même logique et favorise son industrie militaire. Elle n’avait pas participé ni au programme européen Fiat G91, ni programme européen Panavia Tornado, ni au programme de char européen Leopard II. Elle n'a donc pas collaboré au programme Eurofighter Typhoon II.
En conséquence, le biréacteur rafale a été conçu spécifiquement pour des besoins Français, privilégiant un constructeur et des sous-traitants Français au détriment de la compatibilité et de l'efficacité.

Troisièmement : Problème de l'histoire
Historiquement, la France qui s’est toujours opposée au reste de l'Europe, n'a jamais voulu collaborer et à toujours voulu être indépendante.

  • Dans l'Antiquité, les barbares Gaulois et Francs s'opposaient déjà à l’Empire Romain, et ont annexé les trois provinces d'Aquitanie, les deux provinces de Provincie, les quatre provinces de Lyonnaise.
  • Au Moyen-Age, les Francs occidentaux ont continué à s'opposer tout à la fois au Saint Empire et à la Grande-Bretagne, essentiellement pour des raisons territoriales, avec l'annexion de l'Aquitaine, de la Bretagne, de la Normandie, de la Provence, de la Champagne et de la Flandre.
  • Dans des temps récents, la France a rencontré des problèmes d'annexion avec l'Alsace, la Lorraine, le Mexique, l'Indochine et l'Algérie. Il est normal qu'avec un tel passé, la France républicaine qui se veut une et indivisible soit contre l'Union Européenne.
Ceci a comme corollaire que la pression démographique exercée par la France monolingue, raciste et monoculturelle fait imploser les petits pays plurilingues et pluriculturels qui l’entourent. La Belgique est sur le point d’imploser, le canton du Jura a déjà fait sécession du canton de Berne et le canton de Genève avec son taux de Français élevé voit la criminalité et de chômage exploser. Sur le territoire dit "français", l'Alsace a été vidée de sa population indigène germanophone, la Bretagne a été vidée de sa population indigène anglophone et la Savoie, Nice, la Corse et le Dauphiné ont été interdite aux italophones. Les Alsaciens du peupler les colonies d'Amérique du Sud, les Bretons ont du peupler la nouvelle France en Amérique du Nord, l'Occitanie a été détruite et dépeuplée par le feu. Toutes ces régions européennes ont été repeuplées avec des immigrés et acculturée par une éducation francophone.
En définitive, l'histoire explique pourquoi plus aucun pays européen ne veut de matériel français.

Quatrièmement : Les guerres
Il faut rappeler que la Confédération Helvétique n’a jamais été en guerre qu’avec la France :

  • En 1940, la France a déclaré imprudemment la guerre au Reich #3, comme elle l'avait fait au Saint Empire et à l’Empire Romain. Elle veut pénétrer sur le territoire national, mais la résistance des patriotes de la Confédération helvétique s’oppose victorieusement au passage de l’occupant en pays de Vaud et capture une brigade entière.
  • En 1870, la France a déclaré imprudemment la guerre au Reich #2, comme elle l'avait fait au Saint Empire et à l’Empire Romain. Elle veut pénétrer sur le territoire national, mais la résistance des patriotes de la Confédération helvétique s’oppose victorieusement au passage de l’occupant en pays de Vaud et capture une armée entière.
  • En 1860, la France a annexé les pays libres et indépendants de Savoie en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes n’a toujours pas réussi a libérer cette région de l’occupant, la Confédération helvétique ne possède pas de canton de Savoie.
  • En 1798, la France a annexé la Romandie pour y installer un gouvernement fantoche, la résistance des patriotes l’a heureusement libérée en 1803. Cependant, le trésor volé à Bern/Berne par les envahisseurs n’a jamais été rendu.
  • En 1698, la France a annexé les pays de Franche-Comté en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes n’a toujours pas réussi a libérer cette région de l’occupant, la Confédération helvétique ne possède pas de canton de Franche-Comté.
  • En 1515, la France a annexé la Lombardie en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes a réussi a libérer cette région de l’occupant en 1860. la Confédération helvétique ne possède pas de canton de Lombardie.
  • En 1476, la France fait attaquer la ville de Grandson et la ville de Murten/Morat en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes a réussi a nettoyer cette région des envahisseurs, la Confédération helvétique possède un canton de Vaud.
  • En 1444, la France a attaqué la ville de Basel/Bâle en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes a réussi a nettoyer cette région des envahisseurs, la Confédération helvétique possède un canton de Bâle.


Source : Internet (page du 26/05/2012 actualisée le 28/04/2014)

mardi 22 mars 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC)

 Avant de se précipiter dans des dépenses onéreuses et somme toute inutiles, il convient d’analyser la situation et de définir les besoins. Rappelons simplement à ce sujet que l'acquisition des chars Léopards II était jugée indispensable par nos stratèges et que ces bijoux technologiques sont actuellement en réserve dans les cavernes alpines de l’armée.

 De par sa situation géopolitique, la Confédération helvétique est entourée par des pays de l’Union Européenne :

  • Dans un premier cas, elle considère ceux-ci comme des amis, elle n’aurait dans ce cas de figure plus besoin de forces armées et elle laisserait la défense du continent aux autres. Mais la Suisse risquerait alors de disparaître, car les minuscules États cantonaux qui la composent courraient le risque de se fondre dans les pays qui leurs sont proches culturellement et linguistiquement. A terme, la Suisse pourrait même adhérer à l’Union Européenne et se retrouver dans une situation conflictuelle comparable à celle de la Belgique.
  • Dans un deuxième cas, la Confédération considère ses voisins comme des ennemis potentiels et elle se retrouverait alors dans une situation comparable à celle des Juifs en Palestine, avec un territoire très exigu à défendre entouré de forces adverses. Dans cette situation, la Suisse se devrait d’avoir des appareils nombreux, capables d’opérer depuis n’importe quelle base et avec un fort taux de montée. Dans cette optique de Take Off, Hit and Destroy, l’appareil de combat idéal n’existe pas encore, mais le SAAB JAS-39 Gripen E s'en rapproche et nous pouvons compter sur les excellentes capacités antiaériennes de Oerlikon-Contraves.
 Mais notre nation se trouve dans une position médiane entre les deux situations envisagées plus haut. Elle doit donc collaborer avec les pays de l'Union Européenne et acheter du matériel compatible OTAN pour faire la loi dans son espace aérien. Outre son rôle de police du ciel, notre armée a besoin d’une couverture aérienne efficace pour prévenir les intrusions ennemies et éventuellement protéger les troupes combattantes.

 Cependant, concernant l’appui au sol et pour ces 15 années à venir, nulle personne sérieuse ne juge plausible l’éventualité d’un soutien aérien à l’infanterie dans un grand combat de chars. Si une telle éventualité devait néanmoins se produire, la Suisse dispose tout de même de 380 Léopards II, qui sont la quintessence de ce que l’on peut construire en matière de blindé.

 Pour le support aérien, la Suisse dispose également de Pilatus XXI d’entraînement dotés d’une avionique de dernier cri et de points d’emport sous les ailes. Ces appareils extrêmement maniables et agiles volent tout de même à 700 km/h et sont facilement convertibles en destructeurs de chars ou en lanceurs de missiles. Ils sont également efficaces sur les positions ennemies, car ces appareils disposent de manière native de la capacité de répandre du napalm, de bombes à fragmentation ou de gaz sur les troupes des envahisseurs. Il est évident que la malheureuse expérience vécue avec les hordes napoléoniennes ne pourrait plus de nos jours se reproduire.

 Une attaque de chasseurs étrangers est également à écarter, car il faudrait pour que ce cas de figure se présente que l’UE éclate, et que l’OTAN disparaisse et que les Etats-Unis se désintéressent de l’Europe. Cependant créer un ventre mou au sein de l’Europe représente un risque, pour l’Union Européenne elle-même et la Suisse souveraine n’autoriserait jamais la couverture du territoire national par des avions étrangers, fussent-ils européens.

 Concernant cette couverture aérienne, il est toutefois à remarquer que notre voisin autrichien couvre un territoire trois fois plus étendu avec 15 Eurofighter Typhoon (batch 5) livrés par l'Allemagne. Il faut préciser à ce propos que l’Autriche fait partie de l'OTAN et de l'UE et peut compter sur ces alliances. De plus, ce petit pays alpin dispose du meilleur appareil du moment pour les tâches de police aérienne : Vitesse de Mach 2.4, commandes électriques HOTAS, viseur de casque HMD, afficheur tête haute HUD, radar CAPTOR avec AIS et IFF, système d'identification AIS couplé au système de senseurs MIDS et au système de furtivité EMCOM, système de veille infrarouge PIRATE avec FLIR et IRST, système de défense DASS incluant DAL et DDS. Mais, que dire de la Finlande, qui avec un territoire huit fois plus grand et une position moins favorable, n’a que cinquante F/A-18. En comparaison, notre Suisse fait figure d'enfant gâté avec ses 32 F/A-18 C/D, achetés en 1994-1995. Ces chasseurs font jeu largement égal sinon plus avec les Rafales actuels et seraient parfaitement capable d’effectuer des raids dévastateurs sur Dijon-Longvic ou Saint-Dizier, même s'ils n’autoriseraient pas l’envahissement de la France.

 Certaines des caractéristiques offertes par les appareils en lice dépassent largement le cadre défini pour un chasseur aérien. Car un petit pays comme la Suisse n’a nul besoin d’un appareil biréacteur capable de transporter une arme nucléaire à des milliers de kilomètres en territoire ennemi. La Suisse n’a non plus besoin d’un appareil capable d’opérer depuis un porte-aéronef, quoique le territoire suisse de par son exiguïté ressemble assez à un porte-avion géant. La Suisse n’a nul besoin de la supercruise, car la mission de l’armée est de défendre et non pas d’agresser.

 Cependant, au sein des forces aériennes, les cadres de l’armée ont pris l’habitude de disposer du meilleur matériel du moment et les hauts gradés ont été sensibles à la campagne de désinformation opérée par l’entourage de Messieurs Sarkozy, Lagardère, Bouygues, Dassault et consort. Malheureusement, le chômage et l’inflation importée de l’union européenne n’autorise plus notre nation a se payer une triple ou quadruple marge de sécurité. Dans le contexte actuel, la Confédération a mieux à faire que de dépenser des milliards de francs pour des appareils obsolètes, surtout qu’elle ne dispose de toute façon pas de ces crédits.

 Comme la technologie évolue constamment et de manière de plus en plus rapide, il est préférable d’attendre le plus tard possible avant de remplacer nos excellents appareils actuels. Ceux-ci ne seront obsolètes que vers 2030 et d’ici là, tout peut changer. Les drones auront sûrement remplacés les chasseurs traditionnels, car on voit d’ailleurs la France elle-même s’allier avec l’Angleterre pour produire des avions sans pilote.

 Cependant la Suisse, tout comme Israël se doit de disposer d’un appareil puissant capable de décoller rapidement et pour défendre le ciel helvétique efficacement. La meilleure solution pour remplacer les F-5 E/F Tiger II, qui coûtent de plus en plus, est le JAS-39 Gripen E de Saab, car c’est le seul chasseur qui sort du lot. Non seulement, il coûte deux fois moins cher que ses concurrents, mais il est en plus parfaitement adapté à notre topogra­phie, à notre espace aérien. Sa faible envergure et sa rapi­dité d’envol permettent de l'abriter facilement dans nos petits hangars et de le faire décoller d’autoroutes ou de courtes pistes.

 Outre le fait d'être compatible avec nos budget, il apparaît clairement que du point de vue de l’utilité, le Griffon est l’appareil qu’il nous faut, car :
  • il est compatible au niveau de la taille avec nos 54 F-5, qu’il doit remplacer et entre dans les hangars,
  • il est compatible avec nos 32 FA-18 au niveau du type de moteurs,
  • il est compatible avec nos 32 FA-18 au niveau de l’armement,
  • il dispose d’un radar efficace,
  • il dispose d’un casque de visée,
  • il est capable de décoller de pistes sommaires,
  • il est adapté à un pays froid et montagneux comme le notre,
  • il peut être mis en œuvre par une armée de milice comme la notre.

Ne nous laissons plus instrumentaliser par la gauche et votons OUI au Gripen le 18 mai 2014

Source : Internet (page éditée le 26/05/2012, actualisée le 27/04/2014)

vendredi 11 février 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): LeTemps contre Gripen

Le journal Le Temps qui appartient en partie aux Français continue son Gripen Bashing, alors que le Conseil Fédéral a souverainement décidé de remplacer nos 52 F-5 Tiger par 22 JAS-39 Gripen E.

Ce journal peu recommandable et son journaliste Petignat utilisent de termes choisis pour influencer l'opinion publique romande. Ils commencent par appeler le président de la Confédération Ueli Maurer par son prénom et ils continuent en qualifiant le remplacement obligatoire du Tiger par l'achat du Gripen ou l'affaire du Gripen. Mais cette mauvaise propagande se trompe de cible, car l'UDC est seulement en charge du Département Militaire, Monsieur Maurer est seulement en charge de ce département et le Gripen est seulement le candidat le plus approprié pour remplacer nos vénérables Tiger.

Ce journal peu recommandable et son journaliste Petignat s'acharnent contre le JAS-39 Gripen E, mais pour quelles raison ? Il faut chercher ailleurs cette pathétique tentative d'inflencer le court de l'histoire :

1 - Le département de la Défense est en main de l'UDC et comme les Genevois n'aiment pas l'UDC, il attaquent le Gripen et l'armée pour attteindre l'UDC.
2 - Le ministre Ueli Maurer est le président suisse-allemand de 'UDC et comme les Genevois n'aiment pas la Suisse tout court, il attaquent Monsieur Maurer pour atteindre l'UDC et la Suisse traditionnelle.
3 - L'armée a besoin de remplacer ses vétustes Tiger et comme les Genevois n'aiment pas l'armée, il attaquent au Gripen comme au président Maurer pour atteindre l'UDC et l'armée.



Chronologie retrograde

Le 15 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps annonce sur son site WEB que le PDC renonce à diriger la campagne pour les Gripen en raison des ingérences de la Suède dans la campagne. Mais le journal ne parle pas des visites de Sarkosy à Couchepin ni de Edelstein à Maurer.

Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps critique sur son site WEB les performances du Gripen E. Les Français anti-suisses aux commandes de ce journal mettent en doute sa vitesse de pointe, comme son radar, alors que cet appareil vole déjà dans 5 armées du monde, depuis 15 ans. Bien sûr les Français ne se vantent pas des 5 crashes de leur Rafale, survenus en tant de paix, ni des problèmes de mise au point que rencontre son système de visée et son radar AESA, tous deux fabriqué en France.

Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps rajoute sur son site WEB que les pilotes militaires suisses se comportent comme des enfant gâtés et ne veulent pas d'un appareil monoréacteur. Le quotidien saisit cette occasion pour titrer Le Gripen à un prix de superdiscounter. Mais ces journalistes complétement incompétants du fait de leurs études littéraires passent sous silence le fait que le Gripen a une meilleure avionnique, un meilleur radar et une meilleure vitesse de pointe que le FA-18 et le Rafale. Or, la Confédération a un urgent besoin d'un avion petit, rapide, agile, doté d'un radar surpuissant pour défendre le territoire helvétique et non pas du camion à bombe poussif et bruyant, rêvé par les pilotes militaires. Le journal Le Temps reproche de plus à RUAG d'en retirer des bénéfices, car SAAB Aerospace appartient à RUAG.

Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps en rajoute une couche et dévoile sa véritable nature de cheval de Troie au sein de la Confédération. Ce journal s'attaque frontalement à Ueli Maurer et lui reproche de n'avoir pas choisi un avion plus cher qui n'aurait rien rapporté à la Suisse en terme d'emploi. Le journal continue sa diatribe anti-Gripen en revenant sur les 98 améliorations que la firme SAAB a déjà apporté à son Gripen. Le journal s'attaque aussi à la communication de l'ancien président de la Confédération.

Le 29 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps se réjouit sur son site WEB que le référendum contre les Gripen a formellement abouti et que la campagne pour l’achat des avions de combat Gripen, entamée depuis des mois, peut désormais officiellement commencer. Au contraire de ce qu'avaient claironné les référendaires, seules 65384 signatures n'ont pu être récoltées. On est loin des 500'000 signatures récoltées contre le FA-18 et le peuple validera cette acquisition le 18 mai.

Le 26 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que Saab en campagne pour son Gripen et ses liens avec le Département fédéral de la défense (DDPS), font couler de l'encre dans la presse dominicale.

Le 25 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps révèle sur son site web que des activistes suédois ont trouvé des documents entre la firme SAAB et le gouvernement fédéral. Le quotidien genevois en faillite essaie de mettre en défaut des relations de travail normales entre un acquéreur et un fournisseur, alors que le gouvernement Suisse a passé commande pour 22 chasseurs de la dernière génération auprès de la firme suédoise. Cependant, ces activistes feraient mieux d'investiguer auprès du gouvernement français, de la firme Dassault et de l'Agence Fahrner. Ce journal ne s'est pas inquiété du soutien suspect pour le Rafale de l'ancien conseiller fédéral Couchepin, du soutien suspect pour le Rafale de lancien Pilote essayeur Levrat et du soutien suspect pour le Rafale de l'officier Hurter. (Prix identique de 22 appareils suisse et de 66 appareils indiens !).

Le 14 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que les Suisses voteront sur l'acquisition de 22 Gripen et se réjouit de cette possibilité d'affaiblir le Pays. Pour obtenir ces signatures, les référendaires ont grossi les chiffres : 60'000 signatures au lieu des 100'000 revendiquées et 7 milliards au lieu des 10 milliards revendiqués pour une période de 35 ans, soit 200 millions par ans. Les signatures émanent des gauchistes, des socialistes, des écologistes et des anti-militaristes.

Le 06 novembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que des opposants de droite s’attaquent au Gripen, arguant que l'aspect économique prime sur l'aspect stratégique.

Le 09 octobre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Gripen devra affronter la guerre des finances, car les référendaires genevois brandissent le gaspillage supposé des finances fédérales comme arme contre le Gripen.

Le 08 octobre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que la bataille aérienne est engagée autour du Gripen, car la récolte des signatures des référendaires genevois contre le remplacement du Tiger démarre, appuyée par les gauchistes et verts libéraux.

Le 23 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que l’échec du GSsA renforce Ueli Maurer, c'est à dire que le net rejet de l’initiative contre le service obligatoire rend optimiste le ministre de la Défense pour le Gripen. Mais des chantiers devront être engagés: améliorer l’égalité devant l’obligation de servir et la compatibilité entre les obligations professionnelles et militaires

Le 19 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que Ueli Maurer transformera le vote sur le Gripen en vote pour ou contre l’armée, car le ministre du département de la défense explique simplement au peuple suisse que les Forces Aériennes sont un élément fondamental de notre armée et que d'affaiblir l’aviation, c’est affaiblir l’armée, donc affaiblir la Suisse. Lors de l'attaque des gauchistes contre le FA-18 en 1993, les anti-suisse avaient récoltés 500'000 signatures contre cet avion, mais l'avaient finalement acheté.

Le 18 sept. 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Gripen n'a plus qu'un obstacle devant lui : le peuple, car après le Conseil National, le Conseil des Etat vient également de lever le frein aux dépenses.

Le 17 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que Le Président de la Suisse est un As de l'aviation, car le chef du DDPS utilise la la fascination pour l'aviation et le poids de l’industrie aéronautique pour gagner la votation contre le remplacement du Tiger et manque de vision stratégique.

Le 12 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le tacticien Ueli Maurer impose son Gripen, car le Ministre de la Défense a desserré le frein aux dépenses, démonté les accusations venues de l'étranger et a ouvert a été desserré et la voie est ouverte à un référendum. Ces accusations infondées parlaient d'avion de papier, d'avion prototype ou d'avion IKEA et mettaient en avant les 98 modifications apportées au Gripen C/D pour passer au stade E/F. Là aussi, le choix des termes employés laisse penser que ces gauchistes franco-genevois à la solde de l'étranger utilisent ce journal comme agent de propagande.

Le 11 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Conseil National crée le fonds spécial pour le Gripen, car la Chambre du peuple a logiquement accepté la création du fonds spécial pour le remplacement du Tiger et a levé le frein à l’endettement.

Le 11 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le peuple aura le dernier mot sur le Gripen, car le Conseil National traite le dossier du remplacement du Tiger. Le département de la Défense dirigé par le Président Maurer doit impérativement obtenir la majorité absolue, faute de quoi, le dernier mot pourrait revenir au peuple en 2014.

Le 8 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que les Suisses ne veulent pas du Gripen, car 63% des Genevois sondés se déclarent contre l'achat de l'avion suédois. Considérant que leur canton serait indéfendable en cas d'attaque de la part de la France.

Le 28 août 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que le parlement veut en finir avec le Gripen en septembre, car la Commission de la politique de sécurité du Conseil national traitera ce problème.

Le 27 août 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que le Le Gripen gagne une manche, car un exemplaire du Gripen fait sa démonstration sur l'aérodrome militaire de Emmen.

L'utopie d'une Europe démocratique et confédérale s'est évanouie suite aux attaques incessantes dont la Confédération fait les frais. Persévérer donc dans l'idée d'une adhésion relève aujourd'hui de la démence sénile. Or, la campagne contre le Gripen, contre l'UDC et contre Monsieur Maurer, organisée par les socialistes, le antimilitaristes et les écologistes aurait du à terme augmenter les ventes de ce quotidien franco-genevois, qui a perdu sa base de lecteurs. Cependant, devant la somme d'attaques fondées et non fondées, il faut espérer que ce journal anti-suisse disparaîtra bientôt, car il atteint des sommets de mauvaise foi.
Suisse assiégée

Source : Internet (page du 11/02/2011 actualisée le 20/02/2014)