mercredi 18 février 2015

Nouvel appareil de combat (NAC): la presse française fanfaronne

 La presse française estime que Dassault est devenu un acteur dominant de l'aéronautique militaire en Europe depuis l'annonce d'un hypothétique contrat avec l'Egypte.

 En France, la presse pavoise, car depuis le temps que Dassault et la France essayaient de placer leur appareil omni-rôle, celui-ci s'est fait rattraper puis dépasser par ses concurrents. Le Typhoon II est plus rapide et plus puissant, le JAS Gripen est plus rapide et mieux équipé électroniquement, alors que le JST F-35 est plus furtif et peut décoller verticalement.

 Pour inverser la tendance, les Français ont eu l'idée géniale de livrer quasiment gratuitement 24 Rafale au dictateur qu'ils soutiennent en Egypte. Certes, les Français accroissent leur dette, mais cette transaction à la limite de la légalité empêche de fermer la ligne de production du Rafale chez Dassault.
 Mais le contrat égyptien est une opération win-win, car il permettra à Dassault de faire sa première vente à l'étranger depuis le Mirage et il autorisera la France a raffermir sa position coloniale sur l'Afrique du Nord.
 Les Français espèrent que cette pseudo-vente subventionnée infléchira la décision en Inde, au Qatar ou aux Émirats Arabes Unis. Mais ces pays, qui ont comme la Suisse fait la désastreuse expérience du Mirage, hésitent à s'engager dans une nouvelle aventure française.
 La firme Dassault a de quoi se réjouir, car la France est contrainte de lui acheter ses appareils de combat, indépendamment de leur qualité. En effet, après avoir racheté Breguet et Sud-Aviation, Dassault s'est retrouvé en position de monopole en France. Dassault a alors décidé unilatéralement de cesser toute collaboration avec l'Europe, puis de cesser la fabrication du Mirage. Plaçant ses hommes au gouvernement, Dassault pousse pour que le France engage de plus en plus de guerres à l'extérieur. Dassault peut ainsi réaliser de juteux bénéfices sur le dos de son client unique, mais captif.

 Bien qu'il n'ait jamais été exporté, le Rafale traîne de fâcheux soupçons de corruption dans divers pays du globe. Mais les Français lisent dans les journaux du groupe Dassault que ce pseudo-contrat égyptien fait de la France une puissance dominante en matière d'aéronautique de combat.

 Les journaux du groupe Dassault critiquent le chasseur européen Typhoon II, bien qu'il n'équipe pas moins de 7 pays. Par contre, les journaux du groupe Dassault ne critiquent pas l' avion européen Airbus, lui aussi fabriqué dans plusieurs pays. La raison de cette animosité est que les chaînes d'assemblage du Rafale risquent de fermer dès 2017, à moins que le subterfuge du faux contrat égyptien ne génère de nouvelles ventes.
 Le principal problème du Rafale est qu'il est omnirôle, donc cher et moins performant dans chaque discipline prise séparément. Il est aussi totalement fabriqué en France, donc en retard d'un point de vue technologique et incompatible avec les armements existants, européens ou américains. Les Français ont finalement réussi à doter leur appareil d'un radar AESA de leur conception, mais qui n'est pas au niveau de ses concurrents.

 Le JAS-39 Gripen E/F est par exemple plus petit, plus maniable, plus rapide et offre une meilleure souplesse d’utilisation, comme une meilleure compatibilité internationale. Doté d'une meilleure avionique, d'une meilleurs électronique et d'un meilleur radar, il a servi au développement du missile européen METEOR.
OUI a NOBILLAG le 4 mars 2018

  Comme avec le Panavia Tornado européen, comme avec le Leopard européen, comme avec l'Eurofighter Typhoon, Dassault oblige la France a avoir une position marginale. Avec leur faux contrat égyptien, les Français espèrent renforcer leur position vis à vis des Allemands, des Anglais et des Italiens lorsqu'il s'agira de produire l'appareil de combat du futur. Mais les Américains avec leur JSF F-35 ont déjà un appareil furtif, qui est capable de décoller à la verticale.


Source : Internet (page actualisée le 18/02/2015)

mardi 17 février 2015

Nouvel appareil de combat (NAC): Agent de l'étranger

  Alors que la Confédération Helvétique était assiégée de toutes parts par l'Union Européenne, le belge catholique Neirynck essayait de nous persuader que l'achat des Gripen n'avait aucune justification avouable.

  Alors que les F-5 E/F Tiger II quarantenaires arrivaient en fin de vie et que la Confédération était démunie face à l'Europe, le proeuropéen Neirynck essayait de nous persuader que n'avions pas besoin de les remplacer. Le vieillard Neirynck essayait de nous faire douter du cahier des charges de la police du ciel suisse et prétendait qu’un radar suffisait à remettre dans le droit chemin tout avion de tourisme égaré. Le belge Neirynck trouvait normal que le Boeing éthiopien détourné soit pris en charge par l'armée de l'air italienne sur les trois kilomètres de territoire suisse, car il n'habite pas Genève.

 Enfin le catholique Neirynck mettait en doute qu'un avion militaire animé de mauvaises intentions parvienne jusqu'à nos frontières. Alors que la Belgique possède 60 bombardiers nucléaires, le belge Neirynck essayait de supprimer la couverture aérienne de notre armée. Suite aux coupes budétaires drastiques opérées par les socialistes, le proeuropen Neirynck avait révélé à l'Union Européenne que des ressources limitées en personnel et en finance ne permettaient plus aux Forces aériennes suisse d'assurer leur mission de sauvegarde de l’espace aérien que durant les seuls jours ouvrables. Le belge Neirynck argumentait en revanche que les radars de Swisscontrol pouvaient surveiller en tout temps. Cet idéaliste utopiste avait même prétendu que SwissControl, AirGlacier et le Touring Club permettaient de résoudre les problèmes en dehors des heures de bureaux. L'antimilitariste Neirynck avait violement critiqué les capacités de notre armée de n'avoir des avions en l'air que huit heures par jour ouvrable.

 L'utopiste Neyrinck avait prétendu qu'un avion de ligne détourné sur Genève ne pouvait être abattu par un appareil de chasse car il contenait des passagers. Le belge Neirynck avait même prétendu qu'il était impossible d'abattre un tel appareil sur les quelques kilomètres entre la frontière et la ville pour éviter que Genève ne soit touchée. Là où le catholique Neirynck se trompe est que justement un JAS-39 Gripen E aurait eu la possibilité d'éliminer le danger 60 kilomètres à l'extérieur de nos frontières, autrement dit dans les Alpes inhabitées.

 Comme les forces aériennes suisses n'avaient pu répondre activement à cause des coupes budgétaires imposées par la gauche, l'européen Neirynck avait mis le doigt sur l'insuffisance en dotation de pilotes. Mais des pilotes sans avions n'auraient non plus pu agir. Dans le cas d'un avion militaire hostile traversant notre territoire, le catholique Neirynck avait ajouté qu'en temps de paix, abattre un objet volant non coopératif n’était prétendument pas autorisé et il avait profité pour égratigner notre ministre de la défense.
 De plus, le belge Neirynck avait mis en doute qu'un JAS-39 Gripen E soit capable d'intercepter un avion militaire, qui traverse le ciel suisse en peu de temps. Or le belge catholique proeuropéen Neirynck ne sait pas ce que signifie la police du ciel, le Gripen est beaucoup plus rapide, que ces concurrents, il voit beaucoup plus loin et est capable de détruire un hostile avant même qu'il atteigne le territoire suisse. Cette diatribe avait démontrer que l’antisuisse Neirynck ne voulait pas octroyer des retombées pour l’industrie suisse grâce aux compensations prévues par la Suède.
Ombre menaçante d'une paire de F-15 au dessus de l'Irak
 Or le belge catholique proeuropen Neirynck, qui a réussit a siéger au gouvernement suisse aurait préféré que la Suisse investisse dans des secteurs d’avenir, comme les énergies renouvelables, les biotechnologies ou les systèmes d’information, plutôt que dans sa défense. Les récentes attaques contre la Russie en Ukraine démontre cependant le potentiel danger de l'Europe communautaire et comme en 40, la Suisse est entourée de pays hostiles. Espérons que cet agent de l'étranger ne sera pas réélu au conseil national.

Source : Internet (page actualisée le 17/02/2015)

Nouvel appareil de combat (NAC): la France arme les Islamistes

 Après 30 ans de déconvenues, le soulagement est énorme chez Dassault, Thales, Sagem et Safran après que la France ait trouvé un acquéreur pour son Rafale.

 Cette vente n'est pas à proprement parler une bonne affaire pour le peuple français, car l'Egypte islamique n'a pas les moyens de se payer ce petit bijou de technologie. Mais l’Égypte doit faire face simultanément aux islamistes de Libye, de Palestine, comme de Syrie et a besoin d'un nouvel avion militaire. Un arrangement diplomatique a donc été trouvé pour fournir le bombardier nucléaire français à perte sans faire d'appel d'offre, ni de compétition.

 Cette vente, même sans profit, est cependant impérative pour la France et pour Dassault, car les chaines de production du Rafale, qui se voulait omnirôle durant la guerre froide sont menacées. C'est pour cette raison que le Crédit Agricole, la BNP Paribas et de la Société Générale vont financer cette vente de 5 milliards d'unité de compte européenne (Euro). En définitive, le peuple français, qui a déjà une dette de 2'000 milliards d'Euro va s'endetter encore un peu plus pour sauver le fleuron de son industrie d'armement, qui représente tout de même 500 PME et 7'000 emplois. Mais c'est le prix à payer pour que l'appareil puisse se targuer d'avoir été exporté. La France et Dassault espère que cette première exportation à perte va en entraîner d'autres.
Quasi collision au cours d'un ravataillement en vol au dessus de l'Irak
 Dans cette transaction avec un pays qui n'a rien de démocratique, la Russie a bien tenté d'argumenter que son MiG-35 aurait été supérieur, mais sans succès, tant les services secrets et diplomatiques français avaient bien œuvré dans l'ombre. Ceci rappelle étrangement les agissements de ces mêmes services lors de la compétition suisse pour faire échouer l'achat du JAS-39 Gripen E. Cette manœuvre de la dernière chance a pour but d'inciter d’autres prospect comme l'Inde ou le Qatar à poursuivre leur procédure d'acquisition de Rafale. Or selon les médias indiens, New Delhi envisage de renoncer à l'acquisition de 126 Rafale pour acheter à leur place des Sukhoï Su-30MKI, en attendant la mise au point des HAL FGFA T-50 et autre HAL LCA Tejas II.
 Après trente années de tentative d'exportation, espérons que cette vente inespérée ne soit pas qu'une enième tentative de désinformation de la part du consortium militaro-industriel français.

Source : Internet (page actualisée le 17/02/2015)