vendredi 27 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Français présomptueux

Il est loin, le temps où un Nicolas Sarkozy revenait tout auréolé de l'étranger avec des promesses de négociations exclusives pour le Rafale. Le temps où Charles Edelstenne, alors patron de Dassault Aviation, affirmait au Monde que « le Rafale était supérieur Typhoon II ». Le temps où tous les chroniqueurs français bornés écrivaient des âneries au sujet du Rafale, comme du Gripen. Le signe indien semble aujourd'hui vaincu pour le Gripen, car les esprits quelque peu éclairés se sont rendu compte que payer le double pour un appareil comparable, sans avoir la compatibilité OTAN, n'était plus une option défendable.

Trente années après la conception du Rafale, le constat est clair. L'appareil français a perdu tous les appels d'offre, que ce soit face au F-16, au F-18, au Typhoon ou au Gripen. Le renouvellement des escadrilles montrent un retour inexorable du constructeur SAAB sur le devant de la scène. Il est révolu le temps où les services secrets, les missiles du plateau d'Albion et les pots de vins suffisaient pour imposer un Mirage III face au J-35 Drakken.

Le Rafale biréacteur est inadapté aux critères de défense, car c'est un avion magnifique fait pour la conquête de nouveaux territoires. Cet appareil d'assaut, conçu pour mater des rébellions à l'autre bout du monde, excelle dans le bombardement nucléaire à grande distance. Mais Berne voulait un avion bon marché capable de faire de la reconnaissance, du combat nocturne et de l'appui au sol. Le monoréacteur Gripen, moitié prix du Rafale, correspondait exactement à ce profil-type. Bien moins cher à l’achat, bien moins cher à l’heure de vol et opérable par une armée de milice, tout en affichant des équipements de dernière génération, c'était l'appareil de combat qu'il fallait à la Suisse. Le Gripen, qui possède en outre un bien meilleur radar à antenne active AESA que le Rafale, a déjà tiré le missile de croisière air-air Meteor.  De plus le Gripen a une meilleur vitesse de pointe, une meilleure maniabilité et est comptible avec tout l'équipement suisse.

Low-cost, sans être cheap, rustique et fiable le Gripen apparaît désormais comme l'appareil du moment. La Suisse a intelligemment porté son choix sur l'avion que les Français prétendaient alors moribond. Berne a subtilement privilégié un appareil moins cher pour ne pas froisser l'opinion publique, pas vraiment enchantée que le pays mettre 5 milliards de francs dans des avions de chasse inadaptés quand tant de choses sont à faire dans les transports publics, les infrastructures, la formation. Acheter la solution la plus économique, c’est envoyer un signe de sérieux budgétaire, là où prendre un avion plus cher aurait été vu comme un gaspillage de deniers publics : OK, on prend des avions de chasse, mais les moins chers du marché.

Pour l'appareil de Dasssault, ce fut une affaire de conjectures : le refus du transfert total de technologies, le refus de la fabrication en Suisse, la problématique des lociels espions dont est rempli l'appareil, le refus de restituer les données volées par la France, le refus de renvoyer les criminels étrangers devant la justice suisse, le refus de taxer plus lourdemnent les expat français qui détruisent le marché du travail suisse, etc. Tout ces facteurs ont évidement joué un rôle dans la transaction.

La firme SAAB proposait par contre un contrat entre gouvernements de pays neutres et amis ? A-t'il en plus promis des débouchés pour l’avionneur Suisse Pilatus ou le fabricant Stalder Rail ? Quoi qu'il en soit, le camp français comme toujours a fait preuve de suffisance et n'a pas été à l'écoute du client.
Le Gripen autorisera la Suisse à poursuivre son projet avorté P16. Mais la Suisse se rappellera toujours le fiasco du Mirage IIIS français qui ne correspondait pas du tout à ses besoins et qui lui avait coûté trois fois plus cher que prévu.

Au vu des échecs successifs du Rafale, il y a peu de chance que la piste indienne aboutisse, si les Français ne se mettent pas à travailler.

Source : Internet (page actualisée le 27/12/13)

jeudi 26 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): La France est encore en guerre !

Une intervention au Mali était l'unique solution pour maintenir l'ordre néo-colonial et assurer l'approvisionnement en Uranium de la France.
En avril 2013, la photo d'un soldat de la légion étrangère française montrait d'ailleurs le réel visage de l'intervention au Mali. Cette guerre d'invasion n'est pas destinée à lutter contre la pauvreté ou le terrorisme arabo-musulman, comme en Libye et en Syrie prétendument. Elle n'est pas en faveur des droits de la femme, des droits humains ou de la laïcité. Sous le couvert de la sauvegarde des bibliothèques antiques, cette intervention supporte en fait la dictature militaire dans ce pays et elle apporte la mort, essentiellement parmi les civil maliens, car cette guerre est essentiellement une guerre néo-coloniale.

En Libye aussi, un gouvernement fantoche était l'unique solution pour maintenir l'ordre néo colonial.
En septembre 2011, des informations rétablissent la vérité et contredisent la presse française. Alors que le colonialisme pur et dur des puissances occidentales s'est estompé après la seconde guerre mondiale, il s'est vu graduellement remplacé par des structures néo-colonialiste plus souples. Cet ordre néo-colonial imposé au Tiers-Monde a permis de poursuivre le même type de relation économique avec les anciennes colonies, mais en se libérant des contraintes d'un mandat ou d'un protectorat. Les gouvernements néo-coloniaux ont ainsi poursuivi depuis la domination occidentale, qui compte bien perdurer dans le futur.

Les Français selon leur habitude opèrent en Afrique avec des soldats de la légion étrangère pour ne pas émouvoir la population parisienne avec des pertes françaises. Les Français engagent également dans ce type de conflit d'anciens Mirage 2000 pour éviter la perte d'un appareil à 100 millions pièce. Car la France n'a plus les moyens de ses ambitions hégémoniques depuis de Sarkosy a doublé la dette publique à 2'000 milliards d'Euros.

Source : Internet (page actualisée le 26/12/13)

mercredi 25 décembre 2013

Nouvel appareil de combat (NAC): Les Français opèrent sous couvert

Au Brésil comme en Suisse, l'appel d’offres on été soumis à des influences françaises.
En 2009, les Français forçaient la main du président Luiz Inácio Lula da Silva pour que le Rafale soit choisi par le Brésil. Mais les autres fournisseurs révélaient l'affaire dans la presse et des rumeurs de pots de vin se mirent à circuler. Le Français Jean-Marc Merialdo, essaie alors de remettre les pendules à l’heure et de dissimuler les défauts rédibitoires de l'appareil de Dassault, comme son prix ou son obsolescence technologique. Mais c'est parole contre parole et la France n'a pu convaincre.
Après cet épisode, le président Lula n'a plus été soutenu par la hiérarchie militaire et il octroya alors un délai supplémentaire à SAAB, car la candidature du Gripen semblait également convaincante. D'ailleurs, les militaires, en première ligne pour juger l'appareil pensent déjà en effet qu'il était le plus adapté aux besoins des forces aériennes du pays.
En 2010, un compte-rendu d’évaluation mettait le Gripen en première place, Mais, deux ans plus tard, un autre rapport d’analyse invitait Brasilia à choisir le FA-18 de Boeing, car le coût unitaire du Rafale à 175 millions d’euros détonnait avec un prix de 142,3 millions d’euros pour les forces françaises, Le coût de l’avion de Dassault avait été ignominieusement majoré à l’export,

Les Français se rendent compte que le coût d’acquisition et de maintenance est déterminant
Au sein du Mercosur, le Brésil fait figure de bon élève. Mais les indicateurs économiques n’incitent cependant guère à l’optimisme : les taux d’intérêts sont élevés, le prix des matières premières indigènes stagnent, l’inflation guette, le déficit courant se creuse, la dette publique représente 58,8% du PIB et les finances publiques sont sous tension. Sur le plan monétaire, le Real est malmené sur les marchés depuis l’annonce de l’ex-président de la FED d’un probable durcissement de sa politique.
Dans ces conditions, le choix d’un avion de combat peu onéreux, tant à l’achat qu’en exploitation, se comprend. De plus, la logique financière prend en compte le ratio coût-efficacité plus favorable du Gripen. Car le Gripen, beaucoup plus rustique, privilégie l'efficacité avec des équipement à la pointe du progrès. Sur papier. l'heure de vol du Gripen monoréacteur n'est que de 4'500 Unités de Compte Européenne contre 39'000 pour le Rafale franco-français. Il va sans dire que tant l’État français que la firme Dassault promettent depuis des lustres une hypothétique mise à niveau des moteurs et de l'avionnique. Mais, il faut bien dire que le situation de la France n'est guère plus enviable que celle du Brésil.

Les Français mettent en doute les nouvelles ambitions aéronavales du Brésil
Le Brésil dispose déjà de capacités aéronavales, avec le Sao Paulo, un ancien porte-avion français acheté d'occasion. Mais les excellents A-4 Skyhawk, dont il est doté ne dureront pas éternellement. Le choix du F/A-18 Hornet ou éventuellement du Rafale, deux avions embarqués, aurait pu sembler logique pour les ambitions brésiliennes. Mais Saab avait également développé une version navale de son Gripen E/F, qu'il avait déjà proposé à l'Inde.

Les Français dénigrent le Gripen E/F en développement
Pour dénigrer la base saine du Gripen, Français ont mis le paquet. Lors de son évaluation par les forces militaires suisses, Dassault a mandaté plusieurs agences en 2008 pour faire du tort à l'appareil suédois et promouvoir l'invendable Rafale. Ces agences ne se sont jamais appesanties sur les 5 mystérieux crashes de Rafale en temps de paix, mais ont mis en exergue les capacités insuffisantes du réservoir de l'ancien Gripen C/D. A ce sujet, d'anciens rapports d'évaluation préalables ultra secrets ont été rendus public et ont débouchés sur une enquête pénale. De plus, des cadres supérieurs du département de la Défense ont été grassement retribués pour exprimer leurs réserves sur l'appareil suédois.Ces cadres durent être remplacés. Après ces incidents, la France n'est plus du tout convaincante avec son jeu à la Tanguy & Laverdure. L’Eurofighter était visé par la Suisse, mais il était beaucoup trop cher et il ne disposait pas de Radar AESA, Comme le Brésil, la Suisse préfère attendre 2018 pour toucher les appareils ultramodernes, au développement desquels elle aura participé.

Les Français rechignent à transférer leur technologie.
Au Brésil, les transferts de technologie consentis par les 3 concurrents en lice devaient être déterminants. Mais l'américain Boeing avait de plus offert son réseau commercial à Embraer, pour l’aider à démarcher des clients. Alors que le français Dassault ne pouvait offrir que sa technologie dépassée. Par contre, les suédois de Saab avaient directement signé des accords avec l'industrie locale, avant même la conclusion de l’appel d’offres, ce qui a fait toute la différence.

Les Français essaient d'empêcher la signature du contrat de vente.
Le JAS-39 Gripen E/F a remporté la première manche au Brésil, comme le Rafale a remporté la première manche en Inde face au surpuissant Typhoon. Les Français espèrent maintenant pouvoir empêcher la concrétisation du contrat de vente au Brésil et a finaliser celui en Inde. Et là encore, ce n’est pas une mince affaire pour la diplomatie et les services secrets français, qui espèrent toujours pouvoir provoquer un nouveau coup de théâtre, avant le versement du premier acompte. La finalisation du contrat brésilien devrait en effet prendre 10 à 12 mois, pour une livraison vers 2018, alors que l'EuroFighter Typhoon en embuscade attend son heure en Inde.

Les Français dénigrent le Gripen superperformant bourré de technologies américaines de pointe.
La candidature du F/A-18 E/F Super Hornet a été écartée au Brésil à cause des relations diplomatiques tendues entre Brasilia et Washington, suite aux révélations faites par l’ex-consultant de la NSA, Edward Snowden, au sujet de l’étendue de l’espionnage américain au Brésil. Les Français argumentent que les Etats-Unis pourront tirer quand même quelques bénéfices du choix  Gripen, car certains composants américains entre dans sa composition, dont son moteur fabriqué sous licence par Volvo. Heureusement qu’il ne faudra pas d'autorisation de Washington pour que le Gripen puisse être exporté au Brésil, car le moteur ne fait pas partie de la réglementation américaine en la matière (International trafic in Arms Regulations, ITAR).

L'option du Rafale a complétement chamboulé la Loi de programmation militaire française
La Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, repose sur le pari fou de vendre des Rafale à l’exportation, afin de permettre à Dassault de maintenir une ligne d’assemblage, Mais, l'Etat français est obligé d'assister la famille Dassault, alors que la dette de la France dépasse allégrement les 2'000 milliards d'Unités de Compte Européennes. La décision de développer le Rafale onmirôle et d'abandonner le développement du Mirage 2000-9 fait peser un risque majeur non seulement sur l'industrie française de défense, mais aussi sur la défense militaire française elle-même. Dans les 5 ans à venir, il est prévu pour les forces françaises seulement 26 appareils, qui seront payés avec un argent dont la France ne dispose pas, Les familles Peugeot, Sarkosy, Bouygues, Dassault, Lagardère et consort ont vu ces derniers temps leur patromoine décupler, alors que l'Etat français a cumulé les déficits, si bien que le projet Rafale risque bien de ne plus évoluer à l'avenir.

Source : Internet (page actualisée le 25/12/13)

mardi 24 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Français autistiques

Les Français s'enfoncent dans leur autisme et ne veulent pas voir leurs problèmes.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion deux fois plus cher qu'il ne le vaut, il prétendent généralement qu'il est quatre fois trop bon pour le client. Car les Français ont une curieuse approche économique de la vente. Les Français ont cette idée préconçue que tout ce qu'il réussissent à produire, doit être immédiatement acheté. Car les élites maintiennent les divers peuples de France dans un monolinguisme handicapant, qui autorise ces élites à faire croire n'importe quoi aux consommateurs français. Par exemple, les Français ne collaborent pas dans les projets de l'Union Européenne, dont il font néanmoins partie. Il ont ainsi par leur égoïsme empêché l'Eurofighter Typhoon II de connaître succès qu'il mérite, comme ils l'avait déjà fait avec le Panavia Tornado et avec le char Leopard II.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion dont l'heure d'utilisation coûte deux fois trop cher, c'est selon la presse française parce que les client ne veulent pas mettre le prix pour exploiter l'appareil. En effet, les Français trouvent normal que leurs produits coûtent deux plus cher qu'ils ne valent réellement. Il en va de même pour les automobiles, les journaux et la nourriture. La France ne réalise pas vraiment qu'elle devient lentement un pays du Tiers-Monde, que l'Italien qu'elle parle s'est déformé pour devenir du Français, que les automobiles produites en France n'attirent plus personne et que la nourriture française est devenu un sujet de raillerie internationale.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion dépassé technologiquement, c'est parce que les gens n'ont rien compris au génie français. Il est tellement plus facile de fabriquer un avion médiocre et de clamer dans la presse que c'est le meilleur appareil du monde. Comme les journaux français appartiennent aux grands groupes militaires, ils arrivent par ce biais à convaincre le peuple français de cette absurdité. Mais le SAAB JAS-39 Gripen possède un radar plus performant que le Rafale, est plus rapide que le Rafale et possède un système de défense électronique plus performants que le Rafale. Tout cela pour un coût d'achat et d'exploitation de 50% inférieur à celui du Rafale.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion totalement incompatible avec le matériel européen, le matériel américain ou le matériel russe, mais c'est parce que les Américains en empêchent la vente. Là encore les Français n'essaient pas de s'adapter au client et au marché en offrant un appareil compatible avec les standards de l'OTAN et de l'Europe, mais prennent le problème à l'envers. Les Français commencent par créer un appareil qui procurera le plus de gloire et de travail aux entreprises françaises. Tout comme avec le TGV, avec le Concorde, avec le Minitel ou avec le clavier AZERTY, les Français établissent un cahier des charges, qui correspond à leur situation propre et n'essaient pas de produire un produit commercialisable. Dans leurs esprits conditionnés, les Français pensent que c'est au client de s'adapter, pas au produit à correspondre au besoin.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un appareil inadapté au contexte géopolitique du XXIe siècle, ils envoient leurs présidents et autres ministres pour convaincre qu'un avion biréacteur porteur de missiles nucléaires peut apporter la paix.
Europe Antisociale Antidémocratique

Source : Internet (page actualisée le 24/12/13)

dimanche 22 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): SAAB remplace BOEING au Brésil

Après un appel d'offre vieux de 10 ans, l'avion pressenti F/A-18 Super Hornet a été évincé suite aux révélations d'espionnage de la part des Américains sur les Brésiliens. Sur le marché aéronautique, le titre du groupe Dassault Aviation a encore plongé à la Bourse après que le Brésil a choisi le SAAB Gripen pour équiper son armée de l'air. L'avion polyvalent suédois, qui coûte moitié prix de l'avion omnirôle français, remporte ce marché de 4,5 milliards de dollars pour 36 appareils.

Tous ces appareils sont ultra-performants, mais l'appareil français remporte comme toujours des difficultés à l'exportation. Beaucoup plus cher à l'achat, beaucoup plus cher à l'emploi, l'appareil biréacteur développé par Dassault n'a pu être imposé qu'en France, grâce aux relations privilégiées qu'entretient cet avionneur avec le gouvernement français. Capable de tout faire sans rien faire de vraiment bien, le Rafale rencontre cependant des problèmes rédhibitoires tant au niveau de la puissance des moteurs, de la rapidité de l'avionnique, de la taille de la dérive, des capacités du radar, de l'absence de casque de visée, sans parler des problèmes des logiciels espions installés dans l'appareil.

Très diplomatiquement, le gouvernement brésilien a mis en avant des critères techniques et financiers pour justifier son arbitrage, en évitant de mentionner l'incompatibilité du Rafale avec à peu près tout ce qui vole actuellement. Le ministre de la Défense brésilien a précisé que le choix de l'avion de quatrième génération était fondé sur l'équilibre entre trois points : le transfert de technologie, le prix de l'avion et le coût de son entretien. Mais, comme souvent dans ces marchés gigantesques qui engagent l'indépendance militaire des Etats, la dimension géopolitique entre en jeu. Le Rafale français a été développé par la France en utilisant des sous-traitants français et en utilisant une technologie française. Evidement que les moteurs, l'électronique, les munitions, les armes, le carburant et les modes d'emploi sont également exclusivement français. Dans un tel cas de figure, quel est le pays qui prendrait le risque de se livrer pieds et poings liés à un seul pays ?

Après l'éviction du surpuissant F/A-18 E/F Hornet, le gouvernement brésilien s'est donc logiquement tourné vers le SAAB JAS-39 E/F Gripen, qui possède tout de même le moteur du F/A-18, le cockpit du F-35, la défense passive du Typhoon II, le casque du F/A-18 et du Typhoon II. Doté d'une triple redondance des commandes électriques et d'une électronique ultrarapide, l'appareil suédois a d'ailleurs été le premier à lancer le Meteor européen, à disposer d'un radar AESA et d'un système de communication avec les autres appareils, les satellites et le sol. Emportant des réservoirs supplémentaires et capable de ravitaillement en vol, la dernière version du Gripen est maintenant capable de protéger une étendue aussi vaste que le Brésil.

A la différence du Boeing F/A-18 E/F, du Dassault Rafale III ou de l'Eurofighter Typhoon II, le SAAB JAS-39 E/F n'est pas un avion d'assault, mais un solide défenseur du territoire grâce à sa vitesse élevée, ses capacité de reconnaissance, d'appui au sol et de tir à distance. Il est envisageable qu'avec ce pays sud-américain, SAAB continue de développer la version embarquée de l'appareil nommée Sea Gripen et la version télécommandée utilisable comme un drone. Suite à cette commande, SAAB peut même envisager de placer son appareil au Canada ou en Inde.

Source : Internet (page actualisée le 22/12/13)

samedi 21 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Le Brésil opte pour le Gripen

Après plus de dix ans de négociations, de discussions et de reports suite à des coupes budgétaires, le Brésil a finalement choisit l'avion de chasse SAAB JAS-39 R/F Gripen plutôt que le Boeing F/A-18 E/F Super Hornet.

Plus moderne, mieux conçu et surtout plus réaliste en terme de coût, l'appareil polyvalent suédois a été choisi pour équiper les forces aériennes de la nation brésilienne. Développé par le groupe Saab dès les années 1980, mis en service dans les années nonantes dans l'armée de l'air suédoise et exporté dans les années 2000 dans cinq nations différentes pour 280 appareils, cet appareil est également utilisé par la RAF pour former ses pilotes de chasse, Actuellement, la dernière évolution de l'appareil de SAAB possède le système de défense passif le plus évolué, le radar le plus performant et l’avionique du F-35. C'est pour cette raison, que le gouvernement de l'immense pays sud-américain a annoncé mercredi avoir conclu un contrat portant sur l'achat de 36 appareils pour un montant estimé à plus de cinq milliards de dollars.

Rappelons qu'en septembre dernier, la Suisse s'était déjà tournée vers l'avion de combat omnirôles suédois pour une commande de 22 appareils et un contrat de 3 milliards de dollars. Malgré les attaques médiatiques opérées par Dassault et les pressions politiques exercées par la France, la Confédération Helvétique avait opté pour l'appareil qui avait le meilleur rapport qualité prix. Elle a ainsi rejoint la Suède, la Hongrie, la République Tchèque, l'Afrique du Sud, la Thaïlande et maintenant le Brésil. Malgré deux anciens rapports confidentiels destructeurs, fabriqués de toutes pièces pour favoriser d'autres appareils, l'armée de l'air fédérale avait estimé que l'avion de chasse suédois était le seul appareil à pouvoir répondre aux exigences élevées de police du ciel, de reconnaissance, d'attaque au sol, tout en respectant la compatibilité avec le matériel existant et l'enveloppe budgétaire prévue.

Au Brésil, sans les fuites sur le programme de surveillance mis en place par les américains, le FA-18 E/F de Boeing aurait très certainement raflé la mise, tant sa supériorité semblait éclatante. Mais, comme les relations se sont rafraichies entre les deux pays, la présidente du Brésil a finalement opté pour l'option la moins chère et promettant le plus de transferts de technologies, afin de pouvoir à terme fabriquer ces avions au Brésil et y développer l'industrie de la défense avec Embraer.

En Suisse, c'est Pilatus, RUAG, ArmaSuisse, StalderRail et bien d'autres qui vont bénéfier des avancées technologiques générées par le programme GRIPEN !

Source : Internet (page actualisée le 21/12/13)

mardi 17 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Catholiques contre Gripen

Les Catholiques du PDC trouvent le chasseur Gripen trop cher et inutile, car pour ces Catholiques, seuls sont dangereux les Protestants et les Non-Croyants. Les Catholiques du PDC s'opposent au remplacement du Tiger, comme ils s'opposent au progrès, à l'égalité des sexes, à l'avortement et aux homosexuels, mais par contre, ils verraient d'un bon œil les Arabes s'implanter en Suisse. Pour toutes ces raisons, les Catholiques déjà écrasés au SonderBund, considèrent que l'achat du Gripen est inutile à la sécurité de la Suisse et représente un mauvais investissement.

Mais ces opposants n'ont pas compris que le Gripen va remplacer le Tiger, pour que la Suisse continue d'avoir une armée crédible. Les soldats en cours d'opération pourront compter sur une protection aérienne efficace, car cet appareil polyvalent possède d'excellentes capacités d'appui au sol. De plus les retombées économiques pour l'industrie de l'armement ne sont pas à négliger, ainsi que l'a reconnu le conseiller national Jacques Neirynck (PDC/VD). En effet, cet appareil à la pointe du progrès permettra à l'industrie helvétique de rester dans la course. Car le Gripen n'est pas le chasseur le plus offensif sur le marché, mais il est le plus à la pointe de la technique et va par conséquent nous ouvrir des portes des technologies modernes. Le Gripen est l'avion de combat dont la Confédération Suisse a besoin, car le prix modéré de ce jet performant et concurrentiel, nous permet de ne pas négliger d'autres domaines sensibles.

De son côté, le comité bourgeois "Non au Gripen" a rapidement manqué d'arguments contre l'avion suédois et a fini par jetter l'éponge, car ils se rendent compte que sur bien des points, le Gripen est supérieur au Rafale et au Typhoon. Le comité libéral "Non au Gripen" a vainement tenté d'apporter ses arguments au référendum lancé contre l'achat des avions de combat suédois. Mais il a peiné à récolter 10'000 signatures sur les 50'000 paraphes nécessaires. Alors qu'à Genève, les antimilitariste n'en n'ont récoltés que 60'000,  c'est à dire le huitième de ce qu'ils avaient récolté contre le FA-18. Ces récoltes de signatures révèlent que le noyau dur de l'opposition se trouve dans le canton de Genève, où le taux de chômage, le taux de Français et le taux de frontaliers est le plus élevé de la Confédération. Le vote contestataire se manifeste dans cette région, car contre le dumping salarial et l'inflation dans le domaine locatif, les chasseurs à réaction ne peuvent rien

Cependant, la droite entraînée par les Vert'libéraux craint de passer pour anti-suisse et anti-armée, c'est pourquoi elle arrête la récolte de signature a souligné Roland Fischer, conseiller national (PVL/LU). Les responsables prétendent être "Ni contre l'armée, Ni contre l'industrie". car ils craignent d'être assimilés au Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA). Soi-disant opposés au gaspillage, ils font preuve d'incohérence et estiment que payer 10 milliards pour un avion dépassé comme le Rafale serait préférable, aux 3 milliards du Gripen. En effet le Rafale français n'a aucune compatibilité ni avec l'Europe, ni avec l'OTAN, ni avec notre armée. Il faudrait tout racheter et tout reconstruire dans l'armée, ce qui porterait la facture à 10 milliards. Choisir le Rafale entraînerait non seulement une catastrophe semblable à celle des Mirage, mais amènerait la fin des exercices conjoints avec l'Europe et avec l'OTAN.

Évidemment que les Suisses fraîchement naturalisés veulent affaiblir la Suisse et que les Suisses sur seuls papiers ne veulent pas payer ce qu'ils doivent au pays qui les abrite. Débourser seulement trois milliards au lieu de dix pour avoir une protection aérienne efficace n'est pas cher en regard des 200 milliards déjà investis pour protéger le Franc suisse, aux 6 milliards investis dans l'UBS, aux 4 milliards dans Swissair/Swiss ou au 3.3 milliards dépensés chaque année pour le Tiers-Monde. Or Nick Beglinger, président de swisscleantech continue de prétendre stupidement que ce serait un mauvais investissement, car il ne voit pas les avancées technologiques et les retombées pour la recherche qui sont des domaines porteurs pour la Suisse.

Grâce au frein à l'endettement, l'achat d'un avion de combat inutile comme le Rafale sera évité. Car la sécurité aérienne sera idéalement exécutée par le Gripen pour moitié prix et sans racheter tout le matériel et tout l'armement. Au contraire de ce que dit le Belge Jacques Neirynck, il ne faudra pas réaliser des économies dans d'autres domaines, car le paiement de l'avion se fera sur les comptes ordinaires de l'armée, sauf à moins que l'initiative genevoise contre la Suisse soit acceptée.

Il faut acheter de nouveaux avions de combat car ceux que nous avons ne volent que les jours ouvrables et pendant les heures de bureaux, reconnait le politicien catholique belge. Bien sûr les rapports de l'armée montrent que les actuels F/A-18 suffisent pour la police de l'air, mais seulement durant les heures de bureau ET en tant de paix, d'après Heiner Studer, ancien conseiller national du Parti évangéliste.
le JAS-39 Gripen E = la solution idéale
Rappelons-nous que pendant l'entre deux guerres, certains utopistes avaient le même état d'esprit défaitiste. Désarmons et remettons nous au Seigneur. Mais la situation économique actuelle ne laisse augurer des lendemains qui chantent. Des guerres éclatent dans toutes les parties du globe et nous devons être prêts à toute éventualité.


Source : Internet (page actualisée le 17/12/13)

mercredi 27 novembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Etre contre le Gripen, c'est être contre la Suisse

 Les gauchistes ne veulent toujours pas comprendre que les Suisses veulent une armée digne de ce nom, capable de remplir ses missions et qui nous permette de maintenir notre souveraineté dans un monde qui est toujours plus incertain.

 Du point de vue militaire, l'acquisition des Gripen est cependant nécessaire, car nos 32 F/A-18 C/D ne peuvent assurer la police du ciel qu'aux heures de bureau et de surcroît en temps de paix. Mais à l'avenir, la situation internationale peut se détériorer et les 32 Hornet qui nous restent seront dangereusement insuffisants pour protéger notre espace aérien à l'aide d'appareils en permanence en vol. Les 22 chasseurs supplémentaires, polyvalents et de la dernière génération apporteraient à notre pays la garantie de pouvoir réagir en cas de crise. Sur ce point, l'histoire nous montre qu'une détérioration de la situation internationale arrive très vite. Ce qui nous laissera pas le temps nécessaire pour acquérir et rendre opérationnel de nouveaux avions, car tous les États voudront alors s'équiper en même temps. Que ce serait-il passé lors de la dernière guerre, si nous n'avions pas disposé de l'excellent Messerschmitt Bf-109 ?

 Plus que de simple avatars du GSsA (Groupe pour une Suisse sans Armée), les référendaires semble posséder une origine étrangère ou la nationalité suisse depuis peu. Incapables de tenir un discours responsable basé sur une vision stratégique de la sécurité à moyen et long terme, ces antimilitaristes bornés quitteraient vraisemblablement la Mère-Patrie en cas de conflit au lieu de la défendre. Pire, ces utopistes ne réalisent pas que notre monde confortable et douillet est en train de se déliter autour de nous. Après la votation sur l'obligation de servir, ces mauvais Suisses s'attaquent à une armée crédible.

 Le JAS-39 Gripen E de la firme SAAB est le bon choix, car cette machine correspond à nos besoins. Sur certains points (radar, armement, avionique) il est même supérieur à la concurrence et surtout, il est le meilleur marché en termes de coûts d'achat, comme d'exploitation.

 Le Gripen n'est pas un avion de papier ou un "avion Ikea" comme certains l'ont avancé. En effet, aucun appareil du marché n'existe vraiment, car ces modèles évoluent constamment. L'éprouvée base du Gripen C/D est en opération en Afrique du Sud, en Hongrie, en République tchèque, en Suède, en Thaïlande et dans l'école des pilotes de la RAF. Le Gripen E/F est en cours d'acquisition en Suède et en Suisse; il est en cours d'évaluation au Danemark, au Brésil, en Roumanie, en Bulgarie, aux Pays-Bas et en Croatie. Le chasseur Gripen est une réussite industrielle et militaire.

 Les antimilitaristes genevois, qui ne se sentent pas suisses rappellent sans cesse les tragiques incidents du 9 novembre 1932, qui faisaient suite à une situation particulièrement tendue. Dans le contexte actuel, le citoyen Suisse devrait plutôt se remémorer le scandale du Mirage de 1964 et ne pas conclure d'affaire ni avec la France, ni avec la firme Dassault. Le Conseil Fédéral a tiré les leçons de ce fâcheux épisode et a imposé des clauses contraignantes à l’État suédois qui mettent la Confédération à l'abri de toute mauvaise surprise.

 Le remplacement du Tiger par le Gripen se fera dans le cadre du budget de l'armée et n'aura aucun impact sur les crèches, l'agriculture ou l'éducation. Certains polémistes du GSSA veulent déformer la vérité et désinformer, car à l'exploitation le Gripen va remplacer le Tiger pour un coût moindre. Non seulement l'acquisition du Gripen ne sera pas trop onéreuse, en regard du soutien à l'Euro, mais elle va aussi permettre d'injecter 2.5 Milliards dans notre économie durant les 10 prochaines années. Elle permettra en outre de garder notre niveau de compétence technique et va sauver la RUAG.

 Lorsque tous les postes disponibles en Suisse auront été remplis avec des étrangers, où partiront les Suisses de souche ?

Source : Internet (page actualisée le 27/10/2013)

jeudi 21 novembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Remplacement des Tiger

La mondialisation et l'absence de superpuissance ont rendu le contexte du XXIe siècle plus complexe. La multi-polarité et la versatilité des forces en présence ont fait surgir dans nos mondes sclérosés les guerres, qui restaient confinées à l'extérieur des blocs durant la guerre froide. Profitant de l'effacement des frontières et du réseau internet, des menaces de tout ordre se confrontent militairement et civilement, se jouant des législations intérieures et des juridictions internationales.

Déjà confrontées au surendettement et au vieillissement de leur population les démocraties occidentales découvrent leur inadaptation à cette nouvelle donne. Suite aux guerres perdues en Irak et en Afghanistan, les États-Unis opèrent un repli stratégique. Les Américains, étranglés par les coupes budgétaires, hésitent à tout nouvel engagement et optent pour la cybersurveillance et les frappes effectuées par les drones. Les Français en retard d'une guerre réalisent qu'il ne peuvent plus financer une force militaire à la hauteur de leurs ambitions et doivent mettre un terme à leur politique néo-colonialiste, en effet, les interventions militaires françaises en Afghanistan, en Libye et au Mali n'ont pu se faire que grâce aux États-Unis. Les Anglais et les Allemands ont par contre complétement intégré l'Union Européenne : ils disposent du Panavia Tornado et de l'Eurofighter Typhoon, dont les perfomances complémentaires sont merveilleusement adaptées à la situation actuelle.

Le remplacement des Tiger est un défi majeur, car le renseignement, le cyberespace, les drones et le spatial sont les clefs des armées du futur. C'est pour ces raisons que le choix du SAAB JAS-39 Gripen E s'impose à la Suisse. En effet, cet appareil monoréacteur, petit, rapide et agile dispose de capacités électroniques d'interopérabilité avec les troupes au sol, les autres appareils en vol et les satellites. Doté d'un radar surpuissant, il est capable de lancer le missile européen METEOR. Alors que les radars APG-69 de nos FA-18 C/D ont du être remplacés par des APG-76, des équivalents aux APG-80 du SuperHornet sont montés d'origine sur notre JAS-39 Gripen.

Assurant une pleine compatibilité avec l'Europe ou avec l'OTAN, le Gripen E peut effectuer sans modification toutes les tâches du Tiger et du Hornet, mais avec bien plus d'efficacité. Capable de frappes au sol, de frappes à distance, de surveillance de jour comme de nuit, pour un coût moindre, l'appareil de SAAB doit emporter tous les suffrages dans la défense de notre pays.

Source : Internet (page actualisée le 20/11/2013)

dimanche 13 octobre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Non au Rafale biréacteur

Les Français ne reculent devant aucun moyen pour vendre leur Rafale dépassé. Par contre, le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne ne font par contre rien pour exporter leur intercepteur Typhoon, car ils ont suffisamment de commande pour leur marché intérieur. Mais depuis la fin de la guerre froide, nombre de pays se tournent vers le Gripen du suédois Saab, qui offre de meilleures performances pour un prix nettement inférieur.

Conçu dans les années 1980, le Rafale peine à se situer par rapport à ses concurrents américains, russes ou européens. Appareil de quatrième génération d'avions de combat, comparable au FA-18 E/F de Boeing ou au MiG-35 de Mikkoyan, le Rafale évite les comparaisons et invente le terme d'« omnirôle ».  Incapable de rivaliser avec le F35 de Lockheed Martin, le Rafale se contente d'être bon en tout, à défaut d'être excellent en quelque domaine que ce soit. Or des appareils comme le JAS-39 Gripen de SAAB sont capabables des mêmes performances en coûtant deux fois moins, en consommant deux fois moins et en provoquant deux fois moins de nuisances sonores. Le radar de ce dernier appareil est même supérieur, comme sa vitesse de pointe, son avionique et ses senseurs. Mais ses détracteurs objectent que le Gripen doit se poser pour passer de la reconnaissance, combat aérien, attaque au sol, ce qui ne semble pas être un problème pour un petit pays comme la Confédération Helvétique.

Avec le programme Rafale, la France a voulu faire cavalier seul, ne pas collaborer avec l'Union Européenne et ne pas s'équiper de matériel américain pour garantir son indépendance nationale. En préférant du matériel français plutôt que du matériel performant, la France s'est isolée et s'est fait dépasser par ses concurrents. En voulant préserver des emplois, la France a obtenu l'effet inverse et se retrouve à payer seule un appareil exceptionnel, mais si cher et si incompatible qu'aucune armée en veut. En effet, même l'armée française préférait la lignée du Mirage, qui était plus performante. Las, le gouvernement Français s'est inspiré de l'Union soviétique pour définir ses propres standards et se retrouve aujourd'hui avec un appareil extrêmement cher, totalement incompatible, quasiment invendable, mais dont il doit impérativement continuer la production. Or faute de moyen, cet appareil n'évolue plus et cinq exemplaires ont déjà été perdu en cinq ans.

L'appareil de combat de Dassault tente l'exportation en Inde. Or ce pays veut se doter de son propre chasseur et veut faire l'impasse sur les études, les analyses, les essais, qui sont onéreux et durent longtemps. L'Inde veut acheter le concept français dans sa globalité et produire l'avion chez elle. L'Inde veut aujourd'hui s'affranchir de la tutelle de son ancien colonisateur anglais, de son ancien fournisseur russe, sans pour autant basculer dans le camp des américains. La solution française semble de ce point de vue correspondre parfaitement : Pour un grand pays, un appareil polyvalent, biréacteur, et résolument offensif semble une base idéale. Les informaticiens indiens seraient alors capables d'améliorer le radar, l'avionique et le système de visée pour hisser l'appareil au niveau des meilleurs. L'incompatibilité de l'appareil avec les portes-avions indiens ne constituent pas, à ce niveau un obstacle rédhibitoire. L’incompatibilité du Rafale avec tout ce qui vole actuellement n'est dans ce cas de figure pas un problème pour l'Inde, car l'Inde se sent capable de pallier à Dassault, Safran et Thales, par ses propres fabricants.

L'armée de l'air française a dû attendre 2006 avant de constituer son premier escadron opérationnel. La Marine, qui a été obligée par le gouvernement de se rabattre sur le Rafale, a éprouvé en Afghanistan, les premières difficultés avec le système de désignation des cible et a été obligée de faire accompagner le Rafale par de bons vieux Mirages 2000-5, à l'efficacité incontestable. En Libye, le même scénario se reproduit et 50% des cibles sont ratées. Au Tchad, les Mirage 2000 font le gros du travail, mais la encore la France envoie à grand frais des Rafale pour faire de la figuration. Car les gens de chez Dassault aimeraient beaucoup faire passer le message « Testé en situation de combat », mais n'arrivent pas au niveau du Typhoon II d'Eurofighter. A ce jour, la France a commandé une centaine de Rafale et va sûrement s'arrêter là. La mise au point de l'avion ayant duré beaucoup plus longtemps que prévu, tous ne présentent pas une configuration optimale, ce qui nécessite une coûteuse mise à jour pour porter les modèles au standard F3.04 T , seul jugé suffisant. Mais sans l'appui de nations partenaires, cet objectif semble compromis d'avance.

Le Rafale est non seulement un bide, mais également un gouffre financier. Le programme Rafale devrait coûter 40,7 milliards d'euros aux contribuables français, soit 142 millions par appareil. Ce programme est insupportable financièrement pour un pays seul, d'autant plus que les appareils conçus dans les années huitante ne seront jamais à la pointe technologiquement. Ces biréacteurs d’assaut ne font plus le poids face aux appareil plus petits dotés d'un meilleur radar, d'une meilleure avionique et d'une meilleure autodéfense. La Suisse ne doit plus jeter l'argent par les fenêtre en achetant des biréacteurs, mais doit acquérir le fantastique Gripen E qui soulagera nos Frelons surexploités.

Source : Internet (page actualisée le 15/10/2013)

mardi 17 septembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Choix pragmatique

Notre président Maurer est excellent, il a fait le seul choix qui s'imposait et ce choix est des plus judicieux :

Le projet parlait de remplacer les Tiger et de collaborer au mieux avec les Hornet.

  • Le Rafale coûtait deux fois trop cher à l'achat, il est donc recalé.
  • Le Rafale coûtait deux fois trop cher à l'emploi, il est donc recalé..
  • Le Rafale n'entrait pas dans les hangars du Tiger, il est donc recalé..
  • Le Rafale n'entrait pas dans les cavernes du Tiger, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'entrait pas dans les alvéoles du Tiger, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'emportait pas les armes du Tiger, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'entrait pas dans les hangars du Hornet, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'entrait pas dans les cavernes du Hornet, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'entrait pas dans les alvéoles du Hornet, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'emportait pas les armes du Hornet, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'avait pas de Radar AESA, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'utilisait pas de carburant du commerce, il est donc recalé.
  • Le Rafale était trop bruyant, il est donc recalé.
  • Le Rafale consommait trop, il est donc recalé.
  • Le Rafale ne possédait pas de viseur de casque, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'était pas opérable par une armée de milice, il est donc recalé.
  • Le Rafale ne décollait pas depuis une route normale, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'était pas produit en Suisse, il est donc recalé.
  • Le Rafale était biréacteur, il est donc recalé.
  • Le Rafale emportait des bombes atomiques, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'avait pas de casque de visée, il est donc recalé.
  • Le Rafale n'avait pas d'intégration de données, il est donc recalé.
  • Le Typhoon coûtait deux fois trop cher, il est donc recalé.
  • Le Typhoon n'avait pas de Radar AESA, il est donc recalé.
  • Le Typhoon n'utilisait pas de carburant du commerce, il est donc recalé.
  • Le Typhoon était biréacteur, il est donc recalé.
Sur le papier pour moitié prix, le JAS-39 Gripen E effectue toutes les tâches qu'on lui demande. Il décolle sur 500 mètres, abat les hostiles à plus de 150 kilomètres, dialogue avec les satellites, dialogue avec les autres armes, dialogue avec les autres appareils et peut tenir l'air plus de 2 heures. C'est ce qu'on peut appeler un avion du XXIe siècle et pas un avion de la guerre froide. Il peut cependant se ravitailler en vol, emporter des réservoirs supplémentaires, arroser de napalm ou le bombe à fragmentation les troupes qui oseraient nous attaquer. Il semblerait même que deux appareils travaillant de concert avec un satellite soient capables de détecter la trace des avions furtifs.

De toute façon, d'ici 2040 toute l'Europe utilisera le même type d'appareil et la France devra arrêter son opposition systématique (pas de collaboration au programme Typhoon,
 pas de collaboration au programme Tornado,
 pas de collaboration au programme Leopard). 

Source : Internet (page actualisée le 16/09/13)

dimanche 15 septembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): GSSA contre la Suisse

Comment le GSSA veut faire disparaître la Suisse...

Le GSSA est un groupement à la solde des patrons qui n'aspire qu'a une seule chose, la disparition pur et simple de la Suisse en supprimant ses capacités de défense. Le GSSA veut laisser les étrangers venir voler les places de travail en Suisse. Par là, ce groupement adhère aux théories économiques les plus libérales en empêchant l’État de jouer son rôle protecteur.

Le GSSA, composé essenciellement de non Suisses suit une stratégie de déconstruction de la Confédération étape par étape.

Sous le couvert de suppression de l'armée, le GSSA s'était déjà opposé à l'achat des chars Leopard II, qui constituent cependant une menace crédible contre les Leclerc français.

Sous le couvert de suppression de l'armée, le GSSA s'était déjà opposé à l'achat des chasseurs FA-18, qui constituent cependant une menace crédible contre les Rafale français.

Le GSSA s'oppose aujourd'hui au Service Militaire et veut par là détruire le ciment confédéral. Les Confédérés n'auront plus rien à partager, ni la langue, ni la religion. Déjà que des symboles tels la Migros, les PTT ou les CFF sont mis à mal, il ne reste plus que l'armée pour s'identifier à notre pays. Par exemple, la Migros se retrouve également hors de nos frontières et des produits étrangers y sont vendu. Les PTT n'assurent plus un service, mais sont devenus une banque avide de profit et oppriment les citoyens de taxes téléphoniques exhorbitantes. Les CFF se délitent ne respectent plus l'horaire et n'assurent plus leur service de base, qui était de déplacer les gens. Tous ces services qui avaient fait la renommée de notre pays sont en voie de disparition et les gauchistes du GSSA visent maintenant l'armée confédérale.

Sous le couvert de suppression du Service Militaire, le GSSA vise l'Armée même. Or comme la Suisse est une armée de milice permanente, le GSSA vise en fait la suppression de la Confédération. De plus en plus de beaux terrains sont vendus à de riches étrangers, qui refusent d'apprendre nos langues nationales, ni nos us et coutumes. Le refus du Gripen n'est qu'une étape de plus dans la destruction de la Suisse.

Par contre le GSSA ne s'oppose ni au CEVA, ni à la traversée de la Rade ou ni à la Transchablaisienne, alors que ces aménagements constituent un véritable danger pour les travailleurs suisses. En effet des hordes de frontaliers monolingues vont pouvoir déferler en toute impunité sur le marché du travail genevois. Ces étrangers se contentent d'un salaire moindre que les Suisses, car ils ne paient pas d'assurance maladie, ils ne paient pas d'impôts d'armée, ils ne paient pas de loyer exhorbitant, ils ne paient pas leur nourriture au prix du marché. De plus ces travailleurs au rabais ne parlent pas allemand, ni italien, alors qu'on le requiert pour les Suisses.


Source : Internet (page actualisée le 15/09/13)

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Acceptation logique

Le Conseil Fédéral (CF)  a réalisé l'importance de notre sécurité et a accepté mercredi de libérer 3,1 milliards de francs pour l’achat de 22 Gripen.

Alors que l'Assemblée Fédérale (AF) - in corpore a plébiscité le crédit, les Socialistes, les Anti-militaristes et les Verts s'y sont opposés. Les Socialistes, qui veulent l'adhésion à l'Europe antidémocratique se disent prêts à lancer un référendum contre l'avion suédois. Les Anti-militaristes qui veulent avant tout la disparition de l'armée, promettent de les appuyer. Ces deux groupes menacent notre monnaie, notre prospérité et l'existence même de notre Pays. Alors que l'Armée a dépensé près de huit milliards pour un système informatique contestable et que l'aide sociale dépense 4 milliards par années, ces illuminés hésitent à investir trois milliards pour notre sécurité et moderniser nos forces aériennes,

Depuis la fin de la guerre froide, le danger est plus diffus et qu'il peut venir de partout. Les attaques incessantes dont fait l'objet la Confédération dans les médias démontre qu'une Europe pacifiée, n'est pas synonyme de stabilité. Entourée par des pays dont l'unité de compte présente un avenir incertain et dont les économies sont fragiles, la Suisse fait de nombreux envieux. Si le risque d’une attaque aérienne contre la Suisse est peu problable, il ne faut pas laisser un ventre creux au milieu de l'Europe. Quant à la nécessaire mission de police aérienne, qui peut déjà difficilement être menée avec les moyens actuels, que deviendra-t-elle lorsque nos vaillants Tiger II prendront une retraite bien méritée.

Gouverner c'est prévoir et notre pays, entouré de toutes parts par l'Union Européenne, est à la merci de celle-ci.  Qui veut la paix prépare la guerre et la situation actuelle ne préjuge en rien de l’évolution future. Cet achat pour les 30 à 40 prochaines années nous fornit des garanties par rapport à ce qui pourrait se produire. Les attentats du 11 septembre 2001 aux Etats-Unis ont démontré que l'imprévisible peut toujours se produire.
La collaboration avec les pays voisins n’empêche pas l’acquisition de nouveaux avions, elle l'encourage plutôt, car cet achat représente une contribution essentielle de la Suisse à la sécurité de l’Europe. On ne peut pas laisser les pays voisins payer leur défense aérienne et nous contenter d’en profiter. Quel voisin européen viendrait aider un pays resquilleur en cas de conflit ?

Le Gripen est vraiment l’avion qui convient à la Suisse. Il est petit, rapide, économique, mais possède un radar surpuissant et une avionique de pointe. Sur le fond, nous n’avons plus besoin d’un avion de combat depuis la fin de la Guerre froide, mais la nature ayant horreur du vide, il est indispensable pour notre sécurité  de disposer de cet appareil polyvalent. A moindre coût, il est capable d'assister efficacement nos FA-18, jour et nuit. Sur la forme, le Conseil fédéral s’est prononcé pour un avion qui semble moins performant pour des raisons de plafonnement financier. Mais cet appareil est capable de rivaliser sur bien des points avec ses contradicteurs.

Le choix du matériel ne fait pas l’unanimité, car les pro-allemands voulaient le biréacteur Typhoon et les pro-français voulaient le biréacteur Rafale. Mais aucun de ces deux appareil ne possède le surpuissant radar du Gripen, capable de détecter même les avions réputés invisibles de US Air Force. Dans la guerre moderne, la puissance des réacteurs, la capacité d'emport et la distance de franchissement comptent moins que l'efficacité du radar, des communications électroniques et les protections infrarouges. De ce point de vue, l’évaluation des experts est irréprochable, car dans ce domaine, le Gripen surpasse ses concurrents biréacteurs. Pour la police du ciel, le Gripen peut emporter des réservoirs supplémentaires à la place des bombes, ce qui lui permet de combattre pendant deux heures.

Le Gripen E est encore en cours de développement, ce qui permettra de poursuivre 40 ans après, le rêve du P16. Or 3 milliards, ce n'est vraiment pas cher pour un avion qui correspondra vraiment aux besoin de défense du peuple suisse. Les dispositions du contrat passé avec la Suède sont décisives, car elles permettent de réduire ces risques. La Suisse, qui a reçu une assurance de la part de l’Etat suédois et pourra bloquer le marché en cas de non-respect des clauses. Ce contrat est particulièrement avantageux. Le prix est resté identique, alors que l’avion a été amélioré, notamment au niveau électronique. Et nous avons une garantie de l’Etat suédois et nous ne sommes pas livrés simplement à un avionneur.

Source : Internet (page actualisée le 14/09/13)

lundi 9 septembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Drakken

Le premier vol de l'intercepteur SAAB J 35 Drakken a eu lieu le 25 octobre 1955. Ce jet à voilure en double delta ne connaissait pas les problèmes structurels du Mirage de Dassault. Il n'avait pas les mêmes problèmes de stabilité à basse vitesse, ni les insolubles problèmes de visibilités au décollage et à l'atterrissage. Capable de prendre son envol depuis des portions d'autoroutes grâce à sa rusticité, son moteur exceptionnel et à ses ailes révolutionnaires, il avait cependant une vitesse d'approche raisonnable.

Le Forces aériennes suisses l'avait pourtant retoqué face au Mirage français à la fin des années cinquante. L'évaluation n'avait pas été correcte, des malversations avaient sans doute été opérées par les services secrets français et des pots-de-vins avaient été vraisemblablement versés au sein de la Confédération Helvétique. Or l'appareil français une fois acheté s'était révélé inadapté : Ses canons durent être remplacés par du matériel suisse, des fusées pour aider au décollage durent être adjointes, le train d'atterrissage du être renforcé, un radar américain du être installé et finalement des ailerons durent être greffés sur l'appareil. Suite à ces transformations, l'appareil français devint performant, mais au prix d'un dépassement de buget de 66%. La France avait développé un nouvel appareil sur le dos du peuple suisse. Conséquemment, trois hauts dignitaires de l'armée et du Conseil Fédéral furent remerciés.

Alors que le SAAB J-35 Drakken aurait à l'époque rempli les conditions sans modification, l'armée de l'air helvétique fut obligée par la suite de passer à du matériel américain pour les raisons budgétaires précitées. Par contre un pays comparable, comme l'Autriche a pu garder ses chasseurs Drakken en activité jusqu'en 2005 et plus de 600 exemplaires de cet appareil de supériorité aériennes ont défendus la Suède, le Danemark, la Finlande et l'Autriche. Certains Drakken ont même été achetés par l'armée américaine pour en étudier ses caractéristiques de vol.

La firme SAAB avait continué à développer des appareils de combats performants au cours de la guerre froide. Après le Tunan, le J-35 Drakken et le JA-37 Viggen, la firme SAAB présente le JAS-39 Gripen. Malgré 2 accidents au cours de son développement, la firme SAAB a courageusement poursuivi le développement à la différence de la Suisse qui avait abandonné son programme P-16 sous la pression des Anglais. Le P-16 est cependant devenu le Lear Jet au Etats-Unis.

Source : Internet (page actualisée le 09/09/13)

dimanche 8 septembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Seuls les indiens veulent du Rafale

Les avions biréacteurs datant de la guerre froide, ne se vendent plus car il ne disposent pas d'assez de capacité en matière d'électronique, de radar, de communication et laissent une signature radar et thermique importante. Ces appareils d'assaut étaient conçus pour intercepter les chasseurs  en territoire ennemi et de menacer les adversaires avec des bombes atomiques.

Or, de nos jours les capacités de communication, de visualisation et de coopération sont primordiales, car les guerres sont devenues déséquilibrées : d'un coté des peuples en migration à la recherche de richesses et de l'autre des nations technologiques, mais âgées et peu nombreuses.

Dans ce contexte, la firme SAAB s’impose peu à peu son appareil sur le marché mondial. Vendu en Suède, en Afrique du Sud et en Thailande, utilisé en Hongrie, en Tchéquie et utilisé par la RAF, le JAS-39 Gripen intéresse la Suisse, le Canada, le Brésil, la Croatie, le Danemark, les Pays-Bas. Cet appareil multirôle, petit, agile, mais doté des capacités offensives parmi les meilleures, correspond aux besoins actuels du marché, c'est à dire défendre efficacement et à peu de frais un territoire national.

L'Europe possède bien le chasseur Eurofighter Typhoon produit et utilisé par nombre de nations européennes. Mais cet appareil motorisé par Rolls-Royce est spécialisé dans la supériorité aérienne, ne possède pas encore de radar AESA et n'est pas encore multirôle. Pour les missions d'attaque au sol, il peut néanmoins collaborer avec le fantastique Panavia Tornado, également produit par l'Europe.

La France n'a pas voulu collaborer avec l'Europe et a développé seule son propre appareil incompatible avec l'OTAN. Actuellement en état de faillite virtuelle, l'Etat français doit rembourser plus de 100 milliards d'Euros de dette chaque année payer près de 50 milliards d'Euros d'intérêts annuellement, soit plus que son éducation nationale. La Nation française qui soutient seule l’aberrant programme Rafale, doit donc emprunter 170 milliards d'euros par an et n'arrive pas à financer le développement du futur Rafale F3.04T, doté d'un radar AESA. C'est pour cette raison qu'on a vu au cours de ces cinq dernière années pas moins de cinq appareils rafales s'abattre en exercice et la France diminuer ses commandes.

Les Français, qui ont stupidement arrêté la fabrication et la commercialisation de l'excellente et profitable famille du Mirage traitent aujourd’hui les pays, qui se détournent du Rafale de pays du Tiers Monde, affublent le Gripen du sobiquet de 2CV et dénigrent l’hyper-puissant Typhoon. Mais les Français devraient prendre conscience que personne ne veut du Rafale à part les Indiens, car cet appareil trop cher, n'est compatible ni avec l'Europe, ni avec l'OTAN, ni avec le matériel américain. D'ailleurs, quel pays prendrait le risque de dépendre d'un seul fournisseur en matière de cellule, d'armement, de moteur et d'électronique ?

Source : Internet (mise à jour du 08.09.13)

mercredi 4 septembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): 98 avantages du Gripen

Pour répondre aux allégations mensongères propagées par les opposants aux Gripen, le Conseil Fédéral (CF) tient à informer sur les 98 avantages du Gripen.

MODERNITE

Le JAS-39 E Gripen n'est en aucune manière un appareil d'occasion, mais un appareil entièrement neuf conçu sur la base éprouvée du JAS-39 C/D.
Le JAS-39 E Gripen dispose d’une capacité interne d’emport de carburant accrue par rapport au JAS-39 C/D.
Le JAS-39 E Gripen dispose de points d’emport d’armes supplémentaires par rapport au JAS-39 C/D.
Le JAS-39 E Gripen surpasse largement les performances du F-5 E/F Tiger et du F/A-18 C/D Hornet en terme d'attaque air-sol.
Le JAS-39 E Gripen surpasse largement les performances du F-5 E/F Tiger et du F/A-18 C/D Hornet en terme de veille de nuit .
Le JAS-39 E Gripen surpasse largement les performances du F-5 E/F Tiger et du F/A-18 C/D Hornet en terme de couverture Radar .
Le JAS-39 E Gripen surpasse largement les performances du F-5 E/F Tiger et du F/A-18 C/D Hornet en terme d'agilité dans les Alpes . 
Le JAS-39 E Gripen possède trois réservoirs externes pour assurer des missions de police aérienne de deux heures.
Le JAS-39 E Gripen est capable de lancer tous les armements de l'OTAN, du FA-18 et du F-5.
Le JAS-39 E Gripen a un plus grand choix d'armement que la concurrence.
Le JAS-39 E Gripen peut emporter les missiles en réserve du FA-18 ou du F-5.
Le JAS-39 E Gripen est multi-rôle, comme le Dassault Rafale français.
Le JAS-39 E Gripen n'est pas un bombardier nucléaire.
Le JAS-39 E Gripen est petit, mais rapide et agile.


DIMENSIONS

Le JAS-39 E Gripen est de taille réduite, donc aura une signature radar diminuée d'autant.
Le JAS-39 E Gripen est de taille réduite, donc ne nécessitera pas de nouvelles constructions pour son exploitation.
Le JAS-39 E Gripen est de taille réduite, donc convient idéalement à un pays de taille réduite.
Le JAS-39 E Gripen est de taille réduite,  il bénéficie donc d'un excellent rapport poids puissance.
Le JAS-39 E Gripen est de taille réduite,  il consommera donc moins de kérozène.


HISTORIQUE

Le JAS-39 A Gripen a fait son premier vol en 1988 déjà.
Le JAS-39 A Gripen dispose de commandes HOTAS depuis 1988 déjà.
Le JAS-39 A Gripen dispose de commandes commandes de vol électriques depuis 1988 déjà.
Le JAS-39 A Gripen de série a été utilisée en 1992 déjà.

Le JAS-39 C Gripen dispose de commandes de vol électriques à triple redondance.

Le JAS-39 B Gripen a fait son premier vol en 1996 déjà.

Le JAS-39 C Gripen a lancé le missile longue portée METEOR en 2005 déjà.
Le JAS-39 C Gripen dispose de la liaison OTAN link16 depuis 2008 déjà.
Le JAS-39 E Gripen a fait son premier vol en 2008 déjà.
Le JAS-39 E Gripen dispose de viseur de casque HMD Cobra depuis 2011 déjà.
Le JAS-39 E Gripen a volé depuis 2008 déjà.
Le JAS-39 E Gripen a disposé du radar AESA début 2012 déjà.
Le JAS-39 E Gripen dispose du radar AESA Selex Gallileo depuis 2012 déjà.


AMELIORATIONS

Le JAS-39 E Gripen dispose d’une capacité interne d’emport de carburant accrue de 40%.
Le JAS-39 E Gripen dispose d’une poussée des réacteurs accrue de 20%.
Le JAS-39 E Gripen dispose de points d'ancrage d'armes accrus de 20%.
Le JAS-39 E Gripen dispose de capacité d'emport accrue de 23%.
Le JAS-39 E Gripen dispose d'une portée radar accrue de 40%.


PERFORMANCES

Le JAS-39 E Gripen dispose du casque HMD COBRA de l'Eurofighter.
Le JAS-39 E Gripen dispose du casque HMD COBRA du Typhoon.
Le JAS-39 E Gripen dispose du casque HMD COBRA du FA-18.

Le JAS-39 E Gripen dispose de casque à affichage tête haute HMD COBRA de SAAB, BAE et K. Zeiss Optronics
Le JAS-39 E Gripen dispose d'une nouvelle avionique trois fois plus rapide

Le JAS-39 E Gripen dispose de plans canards actifs faisant office d'aérofreins.
Le JAS-39 E Gripen dispose de plans canards actifs augmentant la maniabilité.
Le JAS-39 E Gripen dispose de plans canards actifs diminuant la distance d'atterrissage.
Le JAS-39 E Gripen dispose de plans canards actifs diminuant la distance de décollage.

Le JAS-39 E Gripen peut faire l'impasse de la version biplace grâce au simulateur,
Le JAS-39 E Gripen possède le radar AESA Selenium Galileo supérieur à la concurrence et le radar fait tout dans la guerre aérienne moderne,
Le JAS-39 E Gripen possède le système IRIS-T de l'Eurofighter,
Doté d'un radar surpuissant, il est capable de lancer le missile européen METEOR. Alors que les radars APG-69 de nos FA-18 C/D ont du être remplacés par des APG-76, des équivalents aux APG-80 du SuperHornet sont montés d'origine sur notre JAS-39 Gripen.
Le JAS-39 E Gripen peut déjà lancer le missile à longue portée METEOR,
Le JAS-39 E Gripen est polyvalent : Chasse, Attaque, Reconnaissance,
Le JAS-39 E Gripen est plus petit que ces concurrents, pénétre plus facilement dans les hangars, les cavernes militaires et les porte-avions,
Le JAS-39 E Gripen est capable de décoller à partir d'une portion de route droite de 500 mètres de long,
Le JAS-39 E Gripen est moins bruyant que ces concurrents,
Le JAS-39 E Gripen est opérable par une armée de milice, à la différence de la concurrence.
Le JAS-39 E Gripen est plus moderne que la concurrence
Le JAS-39 E Gripen est plus maniable que la concurrence


ARMEMENT

Le JAS-39 E Gripen peut emporter 5 200 kg de charge sur 8 pylônes et 2 rails de missiles en bout d'aile
Le JAS-39 E Gripen dispose du canon MAUSER BK de 27 mm du Typhoon, du Tornado et du F-35.
Le JAS-39 E Gripen dispose de l'exceptionnel système IRIS-T du Typhoon, du Hornet ou du Tornado.
Le JAS-39 E Gripen dispose du radar AESA ES-05 'RAVEN' produit par SELEX Galileo, indispensable dans toute guerre aérienne moderne.
Le JAS-39 E Gripen dispose du l'équipement de guerre electronique IRIS
Le JAS-39 E Gripen possède le système d'autodéfense IRIS-T
Le JAS-39 E Gripen dispose d'une solide défense air-to-air IRIS-T.
Le JAS-39 E Gripen a déjà lancé le missile à longue portée Meteor en 2010 et en 2013.
Le JAS-39 E Gripen est capable de lancer la bombe Paveway.


COÛT

Le JAS-39 E Gripen neuf coûte moitié prix de la concurrence.
Le JAS-39 E Gripen neuf coûte le même prix que la concurrence, pour des appareils d'occasion.
Le JAS-39 E Gripen utilise le même armement que le FA-18, donc ne nécessitera pas le rachat de tout l'armement.
Le JAS-39 E Gripen a la même taille que le F-5, donc ne nécessitera pas la construction de nouvelle infrastructures.
Le JAS-39 E Gripen est plus efficace en terme de radar et d'avionnique, donc nécessite moins d'appareils pour une efficacité comparable.


MOTORISATION

Le JAS-39 E Gripen dispose du réacteur 414G plus puissant (98kN)
Le JAS-39 E Gripen est capable de Mach 2+.
Le JAS-39 E Gripen est capable de décollage sans PostCombustion
Le JAS-39 E Gripen est capable de SuperCruise à Mach 1.2 .
Le JAS-39 E Gripen est capable d'emporter plus que son poids en armement. Le JAS-39 E Gripen est moins bruyant qu'un biréacteur.
Le JAS-39 E Gripen consomme moins qu'un biréacteur.
Le JAS-39 E Gripen a une signature thermique moindre qu'un biréacteur.


COMPATIBILITE

Le JAS-39 E Gripen est hautement compatible avec notre pays, notre armée et notre matériel, car il est capable de s'adapter à l'infrastructure existante, sans modification, ni frais supplémentaires.

Le JAS-39 E Gripen est opérable par une armée de milice.
Le JAS-39 E Gripen est adapté aux conditions climatiques alpines extrêmes.
Le JAS-39 E Gripen est capable de décoller d'autoroutes.
Le JAS-39 E Gripen est capable d'utiliser du biocarburant.

Le JAS-39 E Gripen est capable de lancer les missiles du FA-18 C/D Hornet.
Le JAS-39 E Gripen est capable d'utiliser les cavernes du FA-18 C/D Hornet.
Le JAS-39 E Gripen est capable d'utiliser les alvéoles du FA-18 C/D Hornet.
Le JAS-39 E Gripen est capable d'utiliser le carburant du FA-18 C/D Hornet.

Le JAS-39 E Gripen a la même taille que le F-5 E/F Tiger.
Le JAS-39 E Gripen est capable de lancer les missiles du F-5 E/F Tiger.
Le JAS-39 E Gripen est capable d'utiliser les cavernes du F-5 E/F Tiger.
Le JAS-39 E Gripen est capable d'utiliser les alvéoles du F-5 E/F Tiger.
Le JAS-39 E Gripen est capable d'utiliser le carburant du F-5 E/F Tiger.


FOURNISSEUR

Le JAS-39 E Gripen est fabriqué par la Suède un pays neutre comme la Confédération.
Le JAS-39 E Gripen est fabriqué par la Suède un pays froid comme la Confédération.
Le JAS-39 E Gripen est fabriqué par la Suède qui offre des zones d'entraînement idéales.
Le JAS-39 E Gripen est fabriqué par la Suède qui offre un prix d'achat inférieur à celui proposé à sa propre armée.
Le JAS-39 E Gripen est fabriqué par la Suède qui offre un prix d'achat en Couronnes Suédoises.
Le JAS-39 E Gripen est fabriqué par la Suède qui offre une collaboration technique totale.


UTILISATEUR

Le JAS-39 C/D Gripen est utilisé par la Suède.
Le JAS-39 C/D Gripen est utilisé par la Hongrie.
Le JAS-39 C/D Gripen est utilisé par la Tchéquie.
Le JAS-39 C/D Gripen est utilisé par l'Afrique du Sud.
Le JAS-39 C/D Gripen est utilisé par la Thailande.
Le JAS-39 C/D Gripen est utilisé par la RAF.

Le JAS-39 E/F Gripen est commandé par la Suède.
Le JAS-39 E Gripen est commandé par la Suisse.
Le JAS-39 E/F Gripen est commandé par le Brésil.

Source : Internet (page actualisée le 05/09/13)

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Rafale contre Mirage


En 1972, le programme ACF débute sans collaboration européenne.


En 1973, le Jaguar à ailes conventionnelles entre en service avec des réacteurs anglais.


En 1974, le Mirage F1 à ailes conventionnelles vole avec des M-53 pour remplacer les Mirage III et IV à aile delta. En effet les ailes delta imposent une vitesse d'atterrissage et de décollage trop élevée, génèrent de l'instabilité et un manque de vision vers l'avant à basse vitesse.


En 1975, le programme ACF est arrêté et le programme Mirage 2000 à ailes delta débute.


En 1977, le programme Rafale débute dans la collaboration européenne deux ans après le programme Mirage 2000.


En 1980, le programme Rafale prévoit 336 appareils pour remplacer 7 types d'aéronefs disparates (Mirage IV, Jaguar, Mirage F1, Mirage 2000, Crusader, Etendard IVP, Super-Etendard).

En 1982, le Mirage 2000 entre en service.

En 1983, le programme Rafale devient Franco-Français et perd sa compatiblilité européenne, ainsi que OTAN.


En 1986, le Rafale A vole avec des moteurs américains GE-404, plutôt que des moteurs européens.


En 1987, la Marine française veut des FA-18 pour remplacer ses Crusader et ses Etendard.


En 1988, le Rafale C est tout de même commandé.


En 1991, le Rafale C reçoit des moteurs M-88, incompatibles avec l'Europe et incompatibles avec l'OTAN.
En 1991, le Rafale M reçoit des moteurs M-88, incompatibles avec l'Europe et incompatibles avec l'OTAN.
En 1991, le Mirage 2000-5 vole avec des moteurs M-53.
En 1991, le Rafale C reçoit le radar Cyrano


En 1992, le programme Rafale prévoit 294 appareils au lieu de 336 appareils


En 1993, le Rafale B vole avec des moteurs M-88, incompatibles avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.


En 1996, le Rafale B reçoit le missile MICA radar, incompatible avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.
En 1996, le Rafale B reçoit le missile MICA infrarouge, incompatible avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.


En 1997, le Mirage 2000-5 reçoit des moteurs M-53.
En 1997, le Mirage 2000-5 reçoit des commandes HOTAS.
En 1997, le Mirage 2000-5 reçoit des commandes de vol électriques.
En 1997, le Mirage 2000-5 reçoit une centrale de navigation inertielle
En 1997, le Mirage 2000-5 reçoit un radar RDY
En 1997, le Mirage 2000-5 reçoit un pilote automatique.
En 1997, le Mirage 2000-5 reçoit des contre-mesures électroniques intégrées.


En 2001, le Rafale M F1 entre en service, doit 25 ans après le début du programme
En 2001, le Rafale F1 reçoit le radar RBE2 PESA incompatible avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.
En 2001, le Rafale F1 reçoit l'ensemble de guerre électronique Spectra incompatible avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.
En 2001, le Rafale F1 emporte le missile Air-Air Mica EM incompatible avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.
En 2001, le Rafale F1 emporte le missile Air-Air Magic II incompatible avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.
En 2001, le Rafale F1 emporte le canon GIAT 30mm incompatible avec l'Europe et incompatible avec l'OTAN.


En 2005, 394 Rafale prévus pour plus de 33 milliards d'unités de compte européenne, soit plus de 218 milliards de francs français nouveaux, alors que la dette de la France est de plus de 663 milliards d'unités de compte européenne.
En 2005, le programme Rafale constitue près de 5 % de la dette de la France.


En 2007, le Rafale F2 reçoit la Link16, doit 30 ans après le début du programme.
En 2007, un Rafale biplace s'écrase tuant son pilote.


En 2008, le Rafale M F2 entre en service, doit 30 ans après le début du programme.
En 2008, 294 Rafale prévus pour plus de 39 milliards d'unités de compte européenne, soit près de 260 milliards de francs français nouveaux, alors que la dette de la France est de plus de 1318 milliards d'unités de compte européenne.
En 2008, le programme Rafale constitue près de 3 % de la dette de la France.


En 2009, deux Rafales s'écrasent tuant un des pilotes.


En 2010, un Rafale s'écrase.


En 2012, le Rafale F3-04T reçoit le radar RBE2 AESA, doit 30 ans après le début du programme.
En 2012, un Rafale s'écrase.


En 2013, 225 Rafale sont toujours prévus alors que 115 Rafale sont déjà en service.


En 2014, 10 Rafale F1 sont transformés en Rafale F3R pour 1 milliard.

Source : Internet (page actualisée le 05/09/13)

mercredi 28 août 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Accidents du Rafale

Accidents du Rafale

2007/12/07 = perte 1 appareil + perte 1 pilote
2009/09/24 = perte 2 appareils + perte 1 pilote
2010/11/28 = perte 1 appareil
2012/07/02 = perte 1 appareil

5 ANS = PERTE 5 APPAREILS + PERTE 2 PILOTES

Cette analyse sommaire montre qu'en temps de paix, le ratio de perte pour le rafale se monte à 1 appareil par année. Elle montre également l'efficacité des sièges éjectable du Rafale, soit 60% de sauvetage. Ce taux de chute de 1 appareil par année coûte évidemment cher au contribuable français, mais d'un autre côté permet le remplacement par de nouveaux appareils, donc fournit du travail au peuple français.

Ce taux de chute élevé démontre que le Rafale après 30 ans de déboires, n'a pas encore atteint le stade de la maturité et doit encore être amélioré. Car les collusions entre le pouvoir et la famille Dassault ont fait que la France est maintenant captive de ses millionnaires et qu'elle doit continuer à les engraisser avec chaque appareil perdu.

Mitterand a lancé le programme Rafale en 1988, en concurrence avec le programme M2000, qui n'était pas encore arrivé à maturité. L'erreur de la France a été d'abandonner le programme Mirage 2000, qui pouvait à moindre frais passer de la solide version 2000-5 à la version 2000-9, en intégrant toute l'électronique de pointe du Rafale. Pour la Marine, l'acquisition du FA-18, aurait permit une efficacité accrue et un taux de perte sensiblement moindre.

Nombre de pays ont acheté des Mirages et auraient continué à les acheter si la France les avaient produits. Mais les pays concernés auraient voulu un mono-réacteur, une compatibilité européenne, une avionique de pointe, un radar performant.

Source : Internet (page actualisée le 28/08/13)

samedi 10 août 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Rafale en question

L’acquisition du Rafale aurait permis d'assurer efficacement les missions d’aujourd’hui, mais aurait-il le potentiel pour assurer celles de demain. De nombreux experts en doutent, car le Rafale avait été conçu comme appareil de supériorité aérienne dans le contexte de la guerre froide.

Prévu dès l’origine pour remplacer les sept types d’avions de chasse en service en France, le Rafale n'est pas adapté pour répondre au cahier des charges helvétique. Il est incapable d'emporter les armes du F-5 E/F Tiger ni celle du FA-18 Hornet. Il est incapable d'utiliser les alvéoles et les cavernes du F-5 E/F Tiger ni celle du FA-18 Hornet. Non seulement, il est incompatible avec le système Florako, mais il est en outre, trop compliqué pour être opéré par les troupes de notre milice, de décoller de nos autoroutes, d'utiliser notre carburant d'aviation standard.

Ses capteurs avaient été prévu au départ pour offrir  au Rafale une bonne flexibilité opérationnelle et d'être capable de remplir au cours d’un même vol, police de l’air, défense aérienne, reconnaissance et attaque au sol. Mais aujourd'hui, la concurrence fait mieux pour moins cher, au niveau du radar notamment. Doté au départ, d'une panoplie d‘armement qui se voulait à l'avant garde, le Rafale n'a aujourd'hui plus d'avance technologique, mais conserve le handicap de l'incompatibilité.

La longévité d’un avion de combat est également directement liée à la pérennité de sa chaine de production (approvisionnement en pièce, acquisition d’avions supplémentaires…). Sans aucune vente à l'exportation, sans autre apport de capitaux que les commandes des forces françaises, le programme Rafale est condamné, car sans capacité d’évolution et sans continuité dans la chaine de production, un avion vieillit vite. Le choix du Rafale était beaucoup trop risqué, car le modèle présenté au Conseil Fédéral n'existait à l'époque que sur le papier. Il semble aujourd'hui peu probable que Dassault soit capable de le développer en série, car la France a réduit ses commandes. Dassault cherche d'ailleurs à en vendre le concept du Rafale en Inde et Dassault cherche de nouveaux débouchés dans le spacial ou les drônes.

Disposant déjà de l'exceptionel FA-18 Hornet, nous n'avons pas besoin d'un avion du style Rafale pour remplacer nos F-5 Tiger. Par ailleurs, la parfaite incompatibilité du Rafale avec le FA-18 le pose en rival plutôt qu'en collaborateur de ce dernier au sein des forces aériennes fédérales.
Il ne faut plus se leurrer, le Rafale n'aura sans doute jamais de moteurs performants, ni de viseur de casque. La disparition inexpliquée de pas moins de cinq appareils en cinq ans illustrent bien les problèmes de mise au point rencontré par le constructeur français.

Nos stratèges ont parfaitement raison de privilégier la base saine de Gripen, monomoteur comme le Mirage, mais doté d'une électronique supérieure au Rafale. La collaboration avec un pays nordique et neutre, disposant du même style de défense, permettra non seulement de sauver RUAG, ARMASUISSE, mais aussi de donner un successeur au P16, dans la lignée du Mirage. Les contreparties financières permettront à notre pays de conserver son savoir-faire technologique, de trouver des débouchés pour PILATUS et STALDER RAIL et de fournir des emplois à nos chômeurs.

Source : Internet (page actualisée le 10/08/2013)

vendredi 2 août 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Réponses aux détracteurs

Pour répondre aux critiques lancées de l'étranger contre notre futur appareil de combat, le Conseil Fédéral certifie que le Gripen E sera tout aussi bon voire meilleur que le F/A-18 pour assurer les tâches de police aérienne. En effet, le Gripen E dispose des mêmes capacités que le F/A-18 C/D, mais avec deux avantages importants. Tout d'abord le capteur infrarouge passif  IRST pour identifier des aéronefs de nuit sans être repéré, ensuite son Radar ASEA Selex Galileo capable de détecter les ennemi à des centaines de kilomètres. Cet appareil possède également un important potentiel d'améliorations pour des développements ultérieurs en matière de service de police aérienne, de défense aérienne, de reconnaissance aériennes et l'attaque au sol.

Pour rassurer les sceptiques, qui pensaient que les Suédois allaient nous vendre des appareils d'occasion, le Conseil Fédéral (CF) a signé une convention-cadre avec la Suède, qui oblige SAAB à suivre scrupuleusement l'offre soumise. Ces spécifications mentionnent le réacteur 414G, le réservoir de carburant interne de grande capacité, deux points d’emport d’armes supplémentaires sur le fuselage, le radar AESA, l'équipement de guerre IRST, le casque COBRA et la nouvelle avionique trois fois plus rapide que la concurrence. En tant qu’étape intermédiaire au Gripen E, le Gripen F Demonstrator dispose déjà du réacteur plus puissant, d’une plus grande capacité interne d’emport de carburant et des points d’emport d’armes supplémentaires et ces éléments ont été testés de manière fort satisfaisante par les Forces Aériennes (FA).

Pour contrecarrer l'idée répandue que le Gripen E souffre du temps de décollage en alerte trop long du Gripen C/D, le Conseil Fédéral (CF) réplique que le Quick Reaction Alert (QRA) du Gripen E placé en état d’alerte, est dans ce domaine, tout aussi rapide que ses concurrents et que le F/A-18. En effet, avec ses F/A-18 et ses F-5, les Forces Aériennes (FA) travaillent aujourd’hui avec différents états d’alerte :
    Niveau A1, avec décollage en 60 minutes.
    Niveau A2, avec décollage en 35 minutes.
    Niveau A3, avec décollage en 15 minutes.
    Niveau A4, avec décollage en 3 minutes.
    Niveau A5, avec décollage en 1 minute, soit les moteurs déjà en marche.
    Niveau A6, avec avion déjà en vol.
Or au niveau A4, soit avec un décollage en 3 minutes, le F/A-18 nécessite une alimentation électrique externe, mais sans air de refroidissement, alors que le F-5 doit avoir un de ses deux moteurs déjà en marche. Avec le Gripen, les Forces aériennes suédoises assurent le niveau A4 avec l’Auxiliary Power Unit (APU), c'est-à-dire un groupe électrogène auxiliaire équipant l’avion. Mais en raison des nuisances sonores générées, la Suisse n’entend pas utiliser ce système. Une alimentation électrique externe sera employée dans ce cas, comme celle déjà utilisée pour le FA-18 E/F. Cependant, le démarreur d'appoint du F/A-18 E/F ne nécessite aucun refroidissement externe, car il est peu sollicité. Durant l’évaluation, le DDPS n'a pas étudié la question de savoir si une solution identique à celle adoptée pour le F/A-18 pouvait s'appliquer au Gripen. Il est prévu de procéder à ces clarifications dans le cadre des préparatifs d’acquisition 2013. Si un apport externe d'air de refroidissement devait s’avérer nécessaire, les emplacements d'alerte seront adapté au niveau architectural. Cette solution technique existe déjà sur le Gripen pour procéder aux travaux de maintenance de l'avionique.

Pour démentir les insinuations fallatieuses concernant l'autonomie insuffisante du modèle Gripen C/D, le Conseil Fédéral (CF), grâce aux essais en vol réalisés en Suède en mai 2012, est à même d'attester que le JAS-39 E peut emporter jusqu’à trois réservoirs externes de carburant et ainsi assurer des missions de police aérienne d'une durée de 120 minutes. La surveillance du WEF de Davos, telle pratiquée aujourd’hui avec le F/A-18 C/D dure par exemple 90 mn, à savoir 15 mn pour le vol aller, 15 mn. pour le vol retour et 60 mn de patrouille dans le secteur aérien défini. Les essais effectués par les Forces Aériennes (FA) ont permis d'actualiser l'appréciation d'une telle mission de police aérienne.

Pour couper court aux critiques sur les capacités offensives du Gripen, le Conseil Fédéral (CF) estime qu'il n’est pas nécessaire de procéder à un changement de doctrine d'engagement, car cet appareil satisfait les exigences fixées par les Forces Aériennes (FA). Le JAS-39 E surpasse largement les performances du F-5 E/F et peut également reprendre à moindre frais les missions assurées par le F/A-18 C/D grâce à ses capacités en terme d'attaque air-sol et de veille de nuit . Ses caractéristiques de vol plus faibles sont largement compensées par son avionique plus rapide, son système d'auto-protection infrarouge IRIS-T, son casque COBRA, son radar AESA et par la haute performance de son missile METEOR guidé par radar.

Pour répondre aux accusations de matériel d'occasion, le Conseil Fédéral (CF) a signé un contrat d’acquisition avec la Suède, qui mentionne explicitement que toutes les pièces du JAS-39 E devaient être neuves. Lors de l’évaluation et de la préparation d’acquisition, la question de l’utilisation de pièces d’occasion n’a d'ailleurs pas fait l’objet de discussions, avec aucun constructeur que ce soit. La qualité des pièces utilisée sera vérifié tout au long de la production, sur place, par le personnel d’ArmaSuisse, ainsi que lors de la réception des appareils. Le CF estime exagéré de vouloir frapper d’une pénalité le non-respect de cette disposition contractuelle, dès lors qu’elle va de soi. Entre-temps, le gouvernement suédois et Saab ont confirmé qu’aucune pièce d’occasion ne serait montée sur un Gripen E destiné à la Suisse, alors que les Gripen E destinés aux Forces aériennes suédoises pourront, eux, utiliser certains composants fabriqués pour d’anciens modèles, comme par exemple les sièges éjectables.

Source : Internet (page actualisée le 02/08/2013)

mardi 23 avril 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Revue de presse genevoise

Confronté à la diminution de ses recettes publicitaires, à la baisse des abonnements et aux maigres ventes au numéro, le quotidien franco genevois Le Temps,  a consacré énormément d'énergie à discréditer le JAS-39 Gripen E. Cependant, suite à la votation limitant le budget de l'armée, le choix du Gripen demeure la seule possibilité financière acceptable pour le peuple suisse. Les pro militaristes, le lobby militaire et les officiers, qui ont rendu le besoin d'un nouvel appareil indispensable auprès de l’opinion publique, se sont fait contrer par le président de la Confédération Ueli Maurer, qui, en fin stratège leur a proposé la pragmatique solution du Gripen.

Pour remplacer le F-5 Tiger II E/F et collaborer avec le FA-18 Hornet C/D le Gripen répond idéalement, En effet, il coûte moitié prix de la concurrence pour des performances équivalentes voire supérieures. Il a la même taille que le F-5 qu'il doit remplacer et utilise le même type de réacteur que le FA-18 qu'il doit seconder. A la différence de la concurrence, le SAAB JAS-39 E Gripen est capable de lancer tous les armements de l'OTAN, du FA-18 et du F-5. Monoréacteur, l’appareil suédois est aussi rapide que la concurrence, tout en étant moins bruyant et en consommant moins. Doté de la même puissance relative que ses rivauxe, il a l'avantage de s'adapter à l'infrastructure existante, sans modification, ni frais supplémentaires. Rustique, il sera capable de décoller de nos autoroutes, sera opérable par une armée de milice et s'adaptera aux conditions climatiques alpines extrêmes de notre pays. Polyvalent, le SAAB JAS-39 E Gripen possède le système d'autodéfense IRIS-T, le casque à affichage tête haute COBRA et le radar AESA Selenium Galileo de portée supérieure indispensable dans toute guerre aérienne moderne.

Malgré ses indéniables qualités, le JAS-39 Gripen E a été en butte aux attaques des militaristes pro Rafale et pro Typhoon, qui voulaient un appareil capable d'atteindre n'importe quelle capitale européenne. De l'autre côté de l'échiquier, les anti-militaristes, les Verts, les Socialistes et les Genevois essaient de torpiller le projet en adoptant une position dogmatique et irresponsable.
Ces luttes intestines et fratricides apparaissent clairement dans la revue de presse du quotidien franco genevois Le Temps, qui lui-même n'est pas un fervent supporter du Président de la Confédération Helvétique.
Le 07.03.2013, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Ueli Maurer n’a plus qu’une seule chance de sauver le Gripen", car l’acquisition de l’avion dépend maintenant de la crédibilité du Président de la Confédération Helvétique et les partis de droite sont prier de serrer les rangs derrière lui.

Le 06.03.2013, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Gripen rate son décollage à cause du frein", car faute de majorité absolue aux Etats, l’achat du chasseur suédois se heurte au frein aux dépenses voulue par le peuple.

Le 02.03.2013, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le succès aérien du tacticien Ueli Maurer", car le Conseil des Etats approuve l’acquisition logique du Gripen, que les Genevois nomment victoire tactique, car ils ont sous-estimé le bon sens du Président de la Confédération.

Le 22.02.2013, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Gripen prêt à franchir le mur du Conseil des Etats", car seule la loi sur le fonds d’acquisition sera soumise au référendum facultatif.

Le 01.02.2013, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Sur le Gripen, on peut se calmer et regarder les faits", car l’homme d’affaire suédois Jacob Wallenberg, qui contrôle le fabricant SAAB assure que les contrats de sous-traitance en Suisse seront ouverts.

Le 18.01.2013, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Gripen est prêt à affronter les parlementaires", car le Département Fédéral de la Défense a tout fait pour rassurer les parlementaires et permettre au Conseil des Etats d’examiner en mars le message sur l’acquisition des 22 avions de combat de Saab pour 3,1 milliards.

Le 15.11.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Conseil Fédéral suit Ueli Maurer sur l'acquisition des 22 Gripen", car le Président de la Confédération renforce sa position face au scepticisme du Parlement en faisant comprendre du premier coup au Conseil fédéral la nécessité du Gripen, malgré les promesses de référendum de la gauche.

Le 14.11.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Parlement se prononcera sur le sort du Gripen", car le Conseil fédéral transmet aux Chambres sa proposition d’acheter 22 avions de combat suédois pour 3,1 milliards de francs passant par un fonds, sujet à référendum.

Le 06.11.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Augmenter le budget de la Défense éviterait un référendum au Gripen", car une commission du Conseil National exige que le Conseil Fédéral remonte le budget militaire à 5 milliards de francs pour échapper au référendum sur le Gripen.

Le 03.11.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Ueli Maurer épargnera le soldat avant le Gripen" et espère que s’il était contraint à des économies, le ministre pourrait renoncer à l’avion.

Le 31.10.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Bataille juridique autour du Gripen" et reprend l'hypothèse d'invalidité du contrat passé avec la Suède émis par la Basler Zeitung.

Le 10.10.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Gripen fait des étincelles" et révèle que les députés n’ont guère apprécié les remarques du gouvernement sur le rapport de la Commission de politique de sécurité analysant les risques liés à l’acquisition du Gripen.

Le 05.10.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Pas de référendum pour les avions de combat", car avec un budget de 5 milliards pour financer une armée de 100000 hommes et l’achat de nouveaux avions, le Département de la défense devra économiser partout, renoncer à la haute technologie et acheter le JAS-39 E Gripen de Saab.

Le 01.10.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Les concurrents du Gripen font de nouvelles offres" et prétend que l'informations morcelée, l'incertitude sur les conditions de livraison met toujours plus de plomb dans l’aile du Gripen, pendant que ses concurrents, le Typhoon et le Rafale, font l’objet de nouvelles offres pour des prix équivalents, mais pour des appareils usagés d'anciennes générations.

Le 29.09.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Pas une seule vis d’occasion sur le Gripen, d'après Ueli Maurer, qui défend son projet face aux doutes des dirigeants politiques sur les conditions d’achat et le modèle d’avion choisi pour les Forces aériennes, le ministre de la Défense.

Le 27.09.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Les concurrents du Gripen font de nouvelles offres" et prétend que l'information morcelée, l'incertitude sur les conditions de livraison met du plomb dans l’aile du Gripen, pendant que ses concurrents, le Typhoon et le Rafale, font l’objet de nouvelles offres avec des appareils usagés d'anciennes générations pour des prix équivalents.

Le 21.09.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Gripen figure dans le budget de la Suède" et annonce une décision suédoise en décembre.

Le 02.09.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Ueli Maurer dit de faire attention à la Suède avec les Gripen".

Le 01.09.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Gripen provoque une rafale d’amabilités à droite" et révèle que le président du PLR, Philipp Müller, serait un agent déguisé de l’agence Farner pour le Gripen.

Le 30.08.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "La polémique gonfle en Suède après l’accord sur le Gripen", car le royaume investirait plus de 9 milliards dans le nouvel avion, soit le double pour la Suède que pour la Suisse.

Le 29.08.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "La Suède donne de l’air à Ueli Maurer", car le ministre de la Défense compte sur la garantie signée par la Suède pour répondre aux critiques des adversaires du Gripen et des parlementaires.

Le 23.08.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Comment Berne a pipé les dés en faveur du Gripen", car les journalistes prétendent selon un vieux rapport, que l’avion suédois a été favorisé et insistent que l'achat de l’avion suédois ne peut être lié à un accord fiscal.

Le 22.08.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "le Gripen, cet avion qui multiplie les risques" et informe que malgré une évaluation correcte, la sous-commission, dirigée par l'UDC Schaffousois Thomas Hurter émet des craintes au sujet des risques techniques, financiers et temporels, qui demeurent.

Le 30.06.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Opération de charme des Suédois pour vendre le Gripen", car la Suède offre à louer une dizaine d’avions d’occasion, disponibles avant l’achat d’une version plus évoluée.

Le 03.06.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Gripen: Maurer continue sur sa lancée", car la Suisse et la Suède veulent officiellement collaborer davantage dans le domaine de l’armée et parler du Gripen.

Le 18.05.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Avion de combat: la contre-offensive de Saab", car le constructeur suédois rétablit la vérité et réfute les informations mensongères sur les insuffisances du Gripen.<

Le 15.05.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Ueli Maurer doit craindre pour sa crédibilité", car le conseiller fédéral UDC n’est toujours pas parvenu à colmater les fuites au sein de son propre département.

Le 02.05.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Duel aérien entre les Etats et le Conseil fédéral", car la coupe opérée par le Conseil fédéral dans le budget de la Défense mécontente une commission des Etats.

Le 26.04.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Le Gripen passera sous le feu du référendum", car la livraison sera retardée de deux ans et un fonds spécial, soumis au référendum, devra être créé pour financer l’achat des 22 appareils suédois.

Le 11.04.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Horizon incertain pour les 22 Gripen" et informe que la date de livraison des premiers chasseurs suédois Gripen, qui dépendent de la commande suédoise pourrait être reportée de 2016 à 2020.

Le 28.03.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Ueli Maurer assure que le Gripen ne coûtera pas plus cher", car la Suisse ne devra pas assumer les frais de développement de l’avion suédois.

Le 27.03.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Ueli Maurer négocie des rabais de flotte pour le Gripen", car le conseiller fédéral prévoit une facture de moins de 3 milliards de francs,

Le 16.03.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Ueli Maurer critiqué pour sa communication", car la gestion jugéev hasardeuse de l’acquisition du Gripen était à l’ordre du jour du Conseil national.

Le 10.03.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Thomas Hurter, le député qui se sent pousser des ailes", car de son enquête sur l’achat des avions Gripen dépend le sort politique de son collègue de parti Ueli Maurer.

Le 18.02.2012, le quotidien franco genevois Le Temps titre "Les dépités du Gripen", car les lobbies aéronautique et militaire ont agi en coulisses pour imposer, via le parlement, l’achat du Rafale, mais en vain.

Le 15.02.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "Les chefs de l’armée font bloc avec Ueli Maurer", mais informent que les pilotes frustrés, les députés soupçonneux critiquent Ueli Maurer sur le choix logique du Gripen.

Le 14.02.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "Ueli Maurer en position très critique", car le chef du Département de la Défense ne devait ignorer le rapport l’évaluation négatif du Gripen.

Le 13.02.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "Le Gripen confronté à de nouvelles attaques", car de vieux rapports jugent l’avion inapte à la surveillance du ciel, alors que le chef de la Défense Ueli Maurer les ignore.

Le 09.02.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "La firme Suédoise Saab prête à revoir le prix de ses Gripen à la baisse", alors que le gouvernement suédois propose de se porter garant jusqu’en 2040.

Le 03.02.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "Un nouvel obstacle pour l’achat des Gripen", car le plan financier présenté par le Conseil fédéral mécontente déjà tous les opposants à l’avion, GSsA et Verts en tête, qui préparent un référendum.

Le 02.02.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "800 millions à économiser pour les avions", car le Conseil fédéral lance un programme d’économies qui touche tous les départements, provoquant la préparation d’un référendum.

Le 25.01.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "Examen approfondi du choix du Gripen", car une sous-commission du Conseil national va vérifier les accusations qui circulent et qui sont consignées dans un document anonyme.

Le 24.01.2012, le quotidien genevois Le Temps titre "Accusations anonymes sur le choix du Gripen", car une commission parlementaire va enquêter sur les accusations anonymes et les rumeurs entachants le choix du Gripen comme avion de combat.

Le 01.12.2011, le quotidien genevois Le Temps titre "L’argument financier a tranché en faveur du Gripen", car le gouvernement helvétique choisit le modèle suédois, moins cher.

Le 03.11.2011, le quotidien genevois Le Temps titre "Les pressions montent autour du choix de l’avion de combat", car des enjeux politiques, comme la question de l’aéroport de Zurich, joueront un rôle important dans le choix du nouvel avion de combat.

Source : Internet (page actualisée le 21/01/2013)