mercredi 10 décembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Victoire historique de la polémique face à la raison

  Le corps électoral suisse n'a vu, à l’heure actuelle, aucun motif valable pour l’achat de nouveaux avions de combat. Mais le peuple suisse, savamment désinformé par la gauche ne s'est pas préparé sereinement le futur. L’alliance « NON aux milliards pour des avions de combat » se réjouit stupidement de sa victoire à la Pyrrhus. En effet une majorité des votant-e-s a estimé que 20 milliards dans 10 ans valent mieux que 3 petits milliards aujourd'hui.

 Bien que l’alliance " NON aux milliards pour des avions de combat " ait voulu nous faire croire que le référendum contre le remplacement graduel de nos forces aériennes ne s'opposait pas fondamentalement à l’armée, elle dévoile aujourd'hui son véritable objectif et veut maintenant réaffecter les 300 millions annuels prévus dans le budget de l’armée pour d'autres dépenses moins stratégiques. Alors que la situation économique de la Suisse est au mieux, c'était cependant le moment idéal pour remplacer nos F-5 obsolètes grâce au contrat étatique en béton que M. Maurer avait conclu avec la Suède.

 L'argumentation claire et limpide, qui avait été fournie à la population n'a malheureusement pas été partagée par la majorité des votants, qui ont été influencée par les étrangers du GSSA et des Verts. Ces anti-suisses veulent maintenant que le Conseil fédéral et le parlement abaissent à nouveau le plafond budgétaire de l’armée et l'affaiblisse encore plus. Alors que notre époque ressemble à s'y méprendre aux années trente et que l'instabilité règne au delà de nos frontières, il n'est pas judicieux de diminuer notre défense, comme de vendre notre or. Entourés par l'Union Européenne, comme jadis par les forces de l'Axe, restons vigilants et investissons, les milliards de l’armée à bon escient.

 Alors que l'utopie de l'Union Européenne a provoqué la crise et le chômage, elle n'a pas encore provoqué la guerre. Mais, par leur position dogmatique, les socialistes sont en train de détruire la Suisse et il faut s'opposer à leurs menées infâmes. Au vu de la décision du peuple, tout achat de nouvel appareil de combat est aujourd'hui compromis, y compris dans les transports. Afin de respecter la volonté populaire ces trois milliards devraient être investi dans la défense des frontières à l'aide d'un matériel approprié.


EXIGEONS DE REVOTER SUR L'ACHAT DES GRIPEN
EXIGEONS DE REVOTER SUR L'OR DE LA BNS
EXIGEONS DE REVOTER SUR ECOPOP
VOTONS OUI A NO BILLAG 
VOTONS NON AU JUGES ETRANGERS

Source : Internet (page actualisée le 10/12/2014)

mardi 2 décembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Rafale recalé

 Conçu dans les années 80, le Rafale de Dassault Aviation, est un appareil de combat polyvalent qui a déjà été testé avec prudence sur différents théâtres d'opération. Bien qu'il n'aie jamais été vendu à l'exportation, cet appareil spécifiquement conçu pour les besoins français pourrait être produit sous licence en Inde.
milliers de frontaliers français

 Lancé en 1988 face au programme Mirage 2000, le programme du Rafale a abouti au vol du premier prototype en 1991, soit deux ans après la fin de la guerre froide. Conséquemment, le premier appareil de série destiné à l'Armée de l'air est sorti des usines en 1998, mais ne répondait plus à la situation post-soviétique. Moins adapté à la nouvelle donne que le Mirage 2000, le Rafale biréacteur est entré en service en 2002 dans la marine à la place du F/A-18 Hornet. Depuis 2006, la France introduit au compte-goutte dans l'Armée de l'air cet appareil coûtant 150 millions d'euros pièce.

 Appuyé par des Mirages 2000-5, la première mission de combat de cet appareil remonte à 2007 en Afghanistan. En 2011, son système de visée manquait encore 50% de ces cibles en Libye contre les forces obsolètes du colonel Kadhafi. En 2013 au Mali, il a remporté certains succès contre des forces du Tiers-Monde sous-équipées. En 2014, 9 Rafales appuient les 6 Mirage 2000-5 en Irak pour lutter aux côtés de ses alliés contre l'organisation Etat islamique (EI).

 Incapable de supercruise ou de décoller à sans post-combustion, le Rafale s'est déjà écrasé de manière inexplicable à 5 reprises lors d'opérations d'entraînement. Doté d'une charge alaire importante et d'une puissance unitaire faible, l'appareil conçu par les français Dassault, Thales et Safran, implique quelque 500 entreprises françaises dans sa fabrication. C'est pour cette raison sans doute que la France a tout de même passé commande ferme de 180 appareils.

 Prévu pour remplacer à terme l'ensemble des appareils en service dans l'armée de l'air et la marine françaises, ce chasseur-bombardier est un biréacteur polyvalent prévu pour armer la France pendant au moins 30 ans. Conçu pour l'interception, l'attaque air-sol et air-mer, la reconnaissance ou la frappe nucléaire, cet appareil d'un poids à vide de 10 tonnes, peut décoller sur 400 mètres grâce à la post-combustion et possède un rayon d'action maximal à haute altitude estimé à 1.850 km.

 Bien que le radar et le système d'arme fasse tout dans la guerre aérienne moderne, le Rafale français poursuit sa route solitaire dans la course à la puissance. Ce bombardier des années huitante est opérable depuis une base terrestre ou catapultable depuis un porte-avion selon ses versions. Cet appareil anachronique dispose d'une capacité d'emport de 1,5 fois son poids en armements et carburants, ce qui lui conférerait la capacité de mener différentes missions au cours du même vol.

 Le biréacteur français, construit en matériaux composites, ne laisse se détecter qu'une faible signature radar, mais laisse par contre une importante signature thermique et sonore. Sa haute dérive arrière, a par contre de la peine a passer inaperçue, malgré son système SPECTRA des années 90. Le second inconvénient de cette dérive gigantesque est qu'elle rend difficile le stockage des appareils au sol et dans les PA.

 Déjà grévé d'une dette de 2'000 milliards d'Euro, le coût budgétaire de chaque avion accable l'Etat français d'une centaine de millions d'euros. Curieusement, malgré ses prétendues qualités, le Rafale ne s'est toujours pas vendu à l'étranger. Il a subi un échec cuisant au Maroc, pays pourtant inféodé à la France et lui a préféré le F-16 américain en 2007. Puis le Rafale a perdu face au plus abordable JAS-39 Gripen E, en Suisse en 2011 et au Brésil en 2013. Les services secrets français ont par la suite mis le paquet pour faire échouer la vente helvétique en votation populaire.

 Les discussions avec les Emirats Arabes Unis tournant à la gaudriole et la fabrication de Rafale en Inde tardant à ce concrétiser, Dassault appuyé par les services secrets français et les services diplomatiques français, est entré en négociations avec le Qatar pour 36 Rafale.  .

 D'autres parts, ces mêmes services secrets français se réjouissent que l'Egypte ultra-islamique montre de l'intérêt pour 24 Rafales et espère que la Malaisie en fera de même pour 16 Rafales. Devant les retards du F-35, Dassault et ses sbires se positionnent face au JAS-39 Gripen E pour remplacer les F-16 belges en ouvrant un bureau de propagande illégal à Bruxelles, comme ils l'avait fait à Bern.

Source : Internet (page actualisée le 02/12/2014)

vendredi 28 novembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Votation catastrophique

La votation catastrophique du 18 mai a provoqué une profonde scission au sein du peuple suisse. Le rejet du remplacement des 54 F-5 E/F Tiger II par seulement 22 JAS-39 Gripen E a divisé la population entre bons Suisses et mauvais Suisses. L'attribution trop facile du passeport à croix blanche autorise des étrangers à voter en Suisse, mais contre la Suisse.
  •  Pour les vrais Suisses, le remplacement des 52 F-5 E/F Tiger II complétement dépassés par seulement 22 JAS-39 Gripen E de dernière génération était indispensable pour assurer notre sécurité, alors que pour les faux suisses, nos 32 F/A-18 suffisaient amplement.
  •  Pour les Suisses éclairés, le JAS-39 Gripen E possédait le meilleur rapport qualité-prix, alors que pour les Suisses obtus, il n’existait que sur catalogue et il était mal noté par les experts.
  •  Pour les bons Suisses, les affaires compensatoires allaient être utile et générer des places de travail, alors que pour les mauvais Suisses, il était préférable de gaspiller cet argent dans l'administration et le Tiers-Monde.
  •  Pour les citoyens Suisses, le JAS-39 Gripen E était une réelle opportunité de moderniser notre aviation à faible coût, alors que pour les habitants de la Suisse, cette acquisition allait coûter non pas trois milliards, mais 10 milliards.
  •  Pour les Suisses sérieux et adultes, le contrat étatique établi avec la Suède empêchait toute dérive financière, alors que les Suisses peu sérieux craignaient des frais d’entretien, une affaire à la française et des déficits.
 Bien que le chef de l’armée et le Conseil fédéral (CF) certifient qu'ils seront opérationnels jusqu’en 2035, nos 32 F/A-18 C/D Hornet sont déjà incapable de lancer le Meteor, incapable de furtivité et restent des bombardiers biréacteurs lourds, puissants, peu agiles et peu rapides. Non seulement non inadapté au combat tournoyant en vallée alpine, nos 32 F/A-18 C/D Hornet auront 45 années de service en 2035 et il aurait été judicieux de songer à son remplacement dès maintenant par un appareil plus moderne, plus rapide, doté d'un meilleur radar et plus maniable comme le JAS-39 Gripen E.

 Bien que le chef de l’armée et le Conseil fédéral (CF) admettent que le JAS-29 Gripen E est plus bruyant que le F-5 E/F Tiger II, il n'a besoin que d'un seul réacteur et il génère moins de nuisance sonore que le F/A-18 C/D Hornet. De plus, le JAS-29 Gripen E doté d'un réacteur plus moderne et puissant est capable de SuperCruise, c'est à dire qu'il est capable de décoller et de passer le mur du son sans enclencher la post-combustion. Globalement, le remplaçant de l'antique Tiger aurait été moins bruyant que le Hornet, moins consommateur de carburant que le Hornet et aurait coûté moins cher à l'achat comme à l'utilisation.

 Le Contrôle fédéral des finances (CDF) a reconnu que les promesses d'affaires compensatoires étaient rarement tenues et ils ne concernent qu’une dizaine de grosses entreprises. Or, dans le cas de l'acquisition du JAS-39 Gripen E, étaient tout de même concernées ArmaSuisse, Pilatus et RUAG, qui est propriétaire de SAAB Aérospace.
 Devant la pertinence de l'achat du Gripen, commandé à 116 exemplaires par le Brésil et par l'Argentine, il y a donc de quoi se poser des questions quant au refus du remplacement graduel de nos forces aériennes. N'aurait-il pas été plus raisonnable de préparer sereinement le remplacement des F/A-18 à l'horizon 2035 par l'achat d'un première tranche d'appareils suédois de qualité plutôt que de racheter pour 10 ou 15 milliards toute notre flotte à échéance.

Source : Internet (page actualisée le 28/11/2014)

jeudi 16 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Pourquoi l'échec ?

 Pour une armée crédible et moderne, un nouvel appareil doté d'un radar et de défenses électroniques actuelles était déjà indispensable en 2014, mais le peuple suisse ne l'avait pas compris à l'époque et avait refusé d'entrer en matière sur un tel appareil. Or, les coups de boutoir assénés par la gauche à nos forces armée avaient fini par décrédibiliser notre armée et donc de rendre rendre décisif le facteur prix dans le choix du nouvel appareil de combat.

 Qui qu'en dise Gerald Levrat, pour surveiller et contrôler un territoire de 500 km sur 300 km, un appareil biréacteur était dans ce contexte financier absolument superflu. Comme tous les appareils en lice avaient des performances équivalentes, le prix était devenu le facteur principal du choix et le Conseil Fédéral, en coopération avec les forces aériennes avait pris toutes les mesures pour choisir l'appareil le plus adapté. Le JAS-39 Gripen E choisi était certes le meilleur marché, mais il correspondait tout à fait aux missions qui lui étaient demandées, à savoir la défense de l'espace aérien et la police du ciel.

 Pour remplacer 54 anciens chasseurs, le Conseil fédéral avait lancé un appel d’offres pour 22 avions. Les trois appareils de combat à voilure canards évalués possédaient des performances similaires et satisfaisantes, cependant, l'efficacité du Gripen avait été jugée inférieure par Armasuisse, car acheter le meilleur marché n'était pas vraiment un gage de crédibilité. Cependant, outre le prix, deux ou trois éléments très spécifiques comme le radar, la compatibilité, la maniabilité, la vitesse et la rusticité rendait cet appareil plus performant que les autres.

 Comme l’Autriche, ne dispose que de 15 avions de combat pour un territoire comparable, certains envisageaient de n'acquérir que 12 appareils seulement, sans songer que l'Autriche appartenait à l'UE et à l'OTAN. Comme la Belgique, qui appartient aussi à l'UE et à l'OTAN, dispose de 60 avions de combat pour un territoire comparable, d'autres dans la commission envisageaient acquérir plutôt 33 appareils. La flotte aurait été réduite de manière drastique, car 22 avions auraient remplacer nos 54 vieux Tiger. Sans ces appareils, la Suisse, ne pourra plus à l’avenir organiser deux grandes conférences internationales en même temps et les exigences sécuritaires empêcheront à l'avenir la ville de Genève de monter une conférence pendant le WEF.

 Mais la firme Dassault et les services secrets et diplomatiques français avaient pesé de tout leur poids dans la balance pour influencer la décision en leur faveur. Les groupes de presse français appartenant ou non à Dassault avaient véritablement matraqué leur rival européen Typhoon II, au sujet de son prix, de son efficacité et de ses performances. Car la firme Dassault et la France, qui s'étaient engagés dans une voie solitaire avec leur Rafale multirôle avaient impérativement besoin de vendre leur coûteux bombardier nucléaire hors de France pour simplement continuer d'exister. Les Français avaient grassement rémunéré Gerald Levrat pour qu'il laisse fuiter dans la presse des analyses préalables truquées qui avantageaient demanière éhontée le chasseur-bombardier français datant des années 80.

 Le Conseil Fédéral avait réussi à négocier un contrat avec des pénalités, garanti par l'Etat suédois, pour l'acquisition de ces appareils résolument modernes. Ce contrat en béton avait promis 12 millions de francs par avion livrés en retard, avec une possibilité de tout renvoyer si l’appareil n'avait pas correspondu au cahier des charges et un retour de 100% de l’argent investi. Ce contrat incluait la formation et les équipements et n'aurait occasionné aucun frais supplémentaire. Comme l'appareil aurait eu la même taille que le Tiger qu'il devait remplacer, utilisait les mêmes systèmes d'armes que le Hornet et volait dans 6 pays différent depuis 10 ans, l'acompte d'un milliard ne représentait pas un gros risque financier. Le projet soumis au peuple était clair et limpide, 300 millions par année pendant dix ans pris sur le budget de l'armée, soit 3,126 milliards de francs et rien d'autre. Comme le fonds Gripen devait être alimenté par le budget ordinaire de l’armée, il n’aurait demandé aucune coupe budgétaire et voté par le Parlement, il ne pourra pas être utilisé à d’autres fins.

 Selon les termes de l’accord conclu avec Saab, la Suisse aurait bénéficié de 2,5 milliards de francs de contrats compensatoires. Ces affaires auraient correspondu à 1000 emplois pendant 10 ans et la Suisse romande, dont Genève aurait disposé de 30% de ce montant, soit 750 millions de francs. En plus d'assurer la sécurité la prospérité et l'avenir de notre pays, cet achat aurait été une opération rentable sur le plan économique et industriel, car elle aurait pu consolidater des entreprises typiquement suisse comme RUAG, ArmaSuisse, Pilatus ou Stalder Rail.

 Comme lors de l’achat des Mirages français, le budget avait été dépassé et comme lors de l’achat des F/A-18, les promesses n’avaient pas été tenues, la gauche n'aurait de toute façon jamais voulu d’un avion de combat. Cependant, le problème avait cette fois-ci été pris en amont et des clauses compensatoires avaient fait partie du contrat signé avec le constructeur Saab, qui ne pouvait se déjuger, sous peine de devoir payer. En outre, la Confédération avait mis en place un bureau des affaires compensatoires qui avait été très attentif sur la question des affaires compensatoires. De plus, grâce à la garantie étatique et le paiement échelonné que le Conseil Fédéral avait pu négocier, la Suisse aurait eu un puissant moyen de pression financier au fur et à mesure des livraisons.

 Alors qu'une décision prise par le Parlement dans un souci d’économies contraint les chasseurs suisses à ne voler que pendant les heures de bureau, certains à droite avaient tout de même considéré que les 32 chasseur-bombardiers américains F/A-18 E/F Hornet suffisaient, alors que d’autres avaient voulu un autre appareil que le Gripen. C’est cette minorité au sein du centre-droit qui avait semé le doute sur la qualité de l’appareil choisi, après 2 longues années d'évaluation par le Conseil Fédéral. Le remplacement des Tiger, incapables de voler de nuit et par mauvais temps, par de nouveaux avions aurait été indispensable, car avoir des pilotes disponibles 24 heures sur 24 ne coûte que 30 millions de francs par an et le Parlement va faire ce choix politique.
 Finalement, le principal défaut du JAS-39 Gripen E, tel exposé dans tous les journaux, est devenu qu'il était l'appareil choisit par l'UDC et qu'il était fortement identifié au conseiller fédéral Maurer. Les gauchistes, écologistes et altermondialistes de tous bords avaient voulu prendre leur revanche sur la votation du 9 février et auraient refusé n'importe quel appareil. La mauvaise communication du DDPS, les nombreuses maladresses de Monsieur Maurer, plus que les implications de Saab et de la Suède dans la campagne avaient permis en définitive à une minorité de mécontents d'imposer leur choix à tout un peuple.

Source : Internet (page actualisée le 16/10/2014)

mercredi 15 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Les Français continuent

 Devant les difficulté à l'exportation, le gouvernement français envisage une modernisation en profondeur de sa flotte de Rafale datant des années 80. Ce lucratif marché de retrofit a été conclu en 2009 entre Dassault Aviation, Thales, MBDA, Sagem, le Service Industriel de l'Aéronautique et la Marine nationale. Cette opération consiste à démonter les Rafale entièrement, les mettre à nu et les réviser en profondeur pour leur donner les mêmes capacités que les avions F3 actuellement produits. L'armée française estime que le gain opérationnel apporté par le standard F3 se traduira par un panel de nouvelles missions réalisables. Outre la défense aérienne, les capacités d'attaque au sol, de ravitaillement en vol, les Rafale Marine standard 3 disposeront de capacités de lutte antinavire, de reconnaissance, de désignation laser et d'illumination autonome, et de frappe nucléaire. Cette opération à haut risque suppose de nouveaux calculateurs électroniques modulaires, de nouveaux écrans cockpit, un changement des câblages électriques de l'avion, une mise à niveau du système de contre-mesure Spectra, une évolution du radar RBE2 PESA avec une nouvelle antenne AESA et une évolution des pylônes d'emport d'armement.

 Le gouvernement français prétend que 133 Rafale ont été livrés sur 180 commandés. Or le standard F3 confère seul au Rafale (Marine et Air) une polyvalence totale qui lui permet d'accomplir ses missions. La firme Dassault prétend que son appareil est capable d'interception et de combat air-air avec un canon français de 30 mm et des missiles Mica IR/EM. La firme Dassault n'explique pas les 5 crashes mystérieux survenus au cours d'exercices mais assure que le Rafale au standard F3 sera capable de lancer le missile européen METEOR à partir de 2018. L'armée française est impatiente de faire de l'appui au sol avec ce canon de 30 mm et a déjà largué des bombes guidées laser GBU-12/24 sur la population syrienne. Le catalogue du Rafale F3 promet également des bombes guidées Hammer, des frappes dans la profondeur avec le missile de croisière Scalp, l'attaque en mer avec le missile Exocet AM39 Block 2 etc. Ce standard F3 autorisera d'autres armements air-surface, la reconnaissance tactique et stratégique en temps réel avec la nacelle Areos, le ravitaillement en vol d'un Rafale par un autre et la dissuasion nucléaire avec le missile ASMP-A.

 Le gouvernement français prétend que la flotte Rafale totalise actuellement 120.000 heures de vol, dont 16.000 en opérations. La firme Dassault prétend même que depuis mi-2013, les Rafale de série sont dotés du radar à antenne active RBE2 AESA de Thales, alors qu'un tel radar alourdirait le nez de l'appareil et l'empêcherait de décoller. Comment un Français moyen serait assez naifs pour immaginer en toute bonne foi que la France aurait eu les moyens d'engager des Rafale à 150 millions d'Euros pièce sur les héatres d'opération d'Afghanistan, de Libye, du Mali, de Centrafrique et d'Irak.
 Alors que la dette nationale frise les 2 mille milliard d'Euros, que le gouvernement n'arrive pas aux 3% de déficit et que les Français dorment dans la rue, Dassault continue d'avoir toutes les attentions du gouvernement.
Frontaliers français se pressant à la frontière suisse


Source : Internet (page actualisée le 15/10/2014)

lundi 13 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): PLR contre Gripen

 En septembre 2012, le conseiller fédéral Maurer avait averti les détracteurs du Gripen de ne pas s'obstiner à présenter des revendications unilatérales pour éviter que le partenaire ne se venge pas. En effet le ministre de la défense avait mis en garde les détracteurs du Gripen contre un possible retour de bâton de la part de la Suède.

 Alors que la France atteignait les 2'000 milliards de dette et que le Dassault Rafale ne se vendait toujours pas, de sombres individus à la solde de la France auraient prétendu que la Suède prétendait un risque financier et que la petite Suisse aurait du exiger des garanties de la part de la grande Suède. Alors qu'au contraire, la Suisse aurait normalement du cracher au bassinet pour la rupture unilatérale des négociations d'achat.

 Alors que la Suède avait garanti contractuellement à la Suisse un prix fixe de 3,126 milliards de francs pour l'acquisition de 22 avions de combat Gripen du constructeur Saab. Ce prix comprenait aussi l’armement, les simulateurs, le matériel logistique, etc. Les expériences faites en Suisse montrent que dans le cadre de l’acquisition d’avions, les accessoires constituait environ la moitié du prix, l’autre moitié couvrant l’achat de l’appareil lui-même.

 Monsieur Maurer avait promit une transparence totale dès que l'accord-cadre avec la Suède avait été présenté au Conseil fédéral. A ce stade de la procédure, le ministre de la défense avait déjà estimé curieux qu'une sous-commission parlementaire accompagne aussi étroitement un dossier du gouvernement. Le Parlement était certes libre de le faire, mais déjà des questions gênantes se posaient quand à l'impartialité des examinateurs et entre autres de Messieurs Gerald Levrat, Thomas Hurter et Philipp Mueller.

 Le conseiller fédéral Maurer était convaincu qu'il était impossible de trouver une faille dans ce dossier du JAS-39 Gripen E conclu avec SAAB et l'Etat suédois, à moins d'être fondamentalement contre l'armée. Comme ce n'était pas le cas du camp bourgeois, Monsieur Maurer n'arrivait pas à s'expliquer l'opposition du PLR, que par un financement occulte.

 Depuis que le président du PLR Philipp Mueller avait critiqué le JAS-39 Gripen E, le président de l'UDC Ueli Maurer avait trouvé saumâtre qu'un parti bourgeois veuille précisément se profiler sur le dos de l'armée. Monsieur Blocher avait alors pris à partie Monsieur Mueller en le soupçonnant d'avoir été commandité par l'agence de communication Fahrner, qui avait un mandat pour le Rafale français. Monsieur Mueller est resté pantois devant cette attaque, mais n'a pas démenti ses accointances avec le groupe français Dassault.

Plus graves furent les fuites savamment orchestrées par le pilote de F/A-18 Gerald Levrat qui fut par la suite renvoyé de l'armée.

Source : Internet (page actualisée le 14/10/2014)

Nouvel appareil de combat (NAC): Femmes contre Gripen

 D'après les analyses Vox du scrutin du 18 mai, le vote sur le Gripen, refusé par 53% des Suisses, n'était pas un vote pour ou contre l’armée.

 Les votants helvétiques, peu inspirés, ont refusé en toute bonne foi un type d’armement qu’ils avaient jugé inutile et non adapté aux types de menaces actuels. Cet argument peut se comprendre, car des appareils de combat, même dotés de capacité de détection nocturne semblaient impuissants face au terrorisme, au banditisme et au vandalisme, généré par l'immigration de masse. Les antimilitaristes avaient seulement profité de cette occasion pour prendre leur revanche sur le vote du F/A-18 et c'est une bonne nouvelle pour la démocratie suisse.

 Cependant, la tactique politicarde des écologistes et le dogmatisme des gauchistes, qui ont tenté un pas supplémentaire pour supprimer notre neutralité armée ne s'est pas réalisée. Les femmes ont fait pencher la balance en faveur du non, car elles ne comprenaient absolument pas sur quoi elles votaient. Mais quelque 53% des votants masculins se sont prononcés en faveur du nouvel appareil de combat, car ils se sont rendu compte que pour moitié prix, l'armée suisse pouvait s'équiper des dernières technologies.
 Il est inquiétant de constater que la proportion des femmes ayant glissé un bulletin négatif dans l’urne se monte à 58%. Un clivage de genre était très marqué dans les années 1980 et au début des années 1990. Les femmes avaient fait passer le scrutin antinucléaire de 1990. L’électorat féminin sensible aux questions de société, tel l'énergie, l'armée ou les drogues, est par contre complétement imperméables aux considérations économiques ou politiques.
 Force est de constater qu'une partie minoritaire de la population a réussi à manipuler l'opinion publique pour faire refuser un achat indispensable à la sécurité du pays. Au sujet du remplacement des vénérables F-5 E/F Tiger II par des JAS-39 Gripen, la démagogie et la manipulation ont fait échouer le bon sens et la sécurité.
 Le seul canton de Genève, aux abois, grâce aux suffrages féminins extrémistes a réussi de faire basculer la majorité raisonnable du pays. Alors que les enjeux étaient bien posés et les priorités correctement définies, les gauchistes poussent à la roue pour que l’État Confédéral investisse toujours plus dans le social et que celui-ci profite toujours plus aux étrangers. Avons-nous les moyens d'héberger tous les chômeurs d'Europe, alors que notre défense de base est menacée de l'intérieur même de la patrie.

Source : Internet (page actualisée le 13/10/2014)

jeudi 9 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Interventionnisme français

 Les politiciens français sont inquiets de l'influence décroissante de leur nation. Car les élites françaises aiment prendre position sur la scène internationale pour prendre de l'importance, mais l'économie, le Dollar et le pétrole font toujours la loi. En 2004, les Français avaient refusé de participer à l'intervention armée en Irak, car elle était montée de toutes pièces par les États-Unis pour s'assurer un approvisionnement régulier en pétrole.

 En 2014, le président de la France joue l'interventionnisme militaire, pour justifier les milliards investis dans Dassault, Thales et le bombardier nucléaire Rafale. Le bellicisme des présidents français successifs en Afrique tente de préserver les colonies françaises de l'appétit grandissant des Chinois pour cette région, sans réaliser que ces colonies avaient initialement appartenu aux Allemands, aux Anglais, aux Hollandais ou aux Belges. Conséquemment à ce changement de politique extérieure, les lobbies militaires et les néoconservateurs américains sont devenus plus francophiles.

 La Grande-Bretagne, affaiblie et humiliée en Irak et en Afghanistan, montre une certaine réticence à diriger l'offensive mondiale contre les islamistes. L'Allemagne, depuis l'humiliation de 1945, ne refuse de se lancer dans des aventures militaires hasardeuses. Par contre les présidents successifs de la France se prennent pour des monarques et lancent leur pays dans des luttes néo-coloniales. Pour préserver l'influence néocoloniale française sur le continent africain, le président français envoie des soldats français se battre sur plusieurs fronts en Françafrique, rappelant les massacres  en Algérie et le génocide au Rwanda.

 La France est intervenue militairement à près de quarante reprises sur le sol africain dans les cinquante dernières années et une vingtaine de fois entre 1981 et 1995. Certaines de ces opérations n’ont duré que quelques jours, d’autres ont donné lieu à des déploiements beaucoup plus longs . Souvent justifiées par les Français au nom de la protection des populations civiles et de l’application d’accords bilatéraux de défense ou de coopération militaire, ces interventions armées sont contestées par les oppositions politiques en Afrique ou en Europe. 

 En Centrafrique en 2014, le président français a envoyé quelque 1'000 soldats supplémentaires pour pacifier cette région, c'est à dire préserver les intérêts de la France face aux intérêts des Africains.
 En Syrie, le président français voulait faire intervenir en 2013 la France seule avec les Etat-Unis, uniquement pour minimiser la relation entre Washington et Londres.
 Au Mali en 2013, le président français a lancé la France dans une campagne militaire compliquée à l'aide de Mirage 2000, puis de Rafale, pour pacifier cette région, c'est à dire préserver les intérêts de la France face aux révolutionnaires.

 En Côte d'Ivoire en 2011, le président français a lancé la France dans une intervention courte mais notable.

 En Libye, le président français a lancé un ultimatum à Muammar Kadhafi en 2011. Soit il achetait des avions Rafale, soit la France intervenait militairement de manière unilatérale, ce qu'elle a fait. Le président français avait dit en 2007 :
  • L’Europe est aujourd’hui la seule force capable de porter un projet de civilisation (…) L’Amérique et la Chine ont déjà commencé la conquête de l’Afrique. Jusqu’à quand l’Europe attendra-t-elle pour construire l’Afrique de demain  ?
 Au Tchad, le président français a fait intervenir la France en 1986, uniquement pour sauver le régime corrompu.

 Or le palmarès des anciennes puissances impériales qui ont cherché à imposer leur valeurs « civilisées » à des régimes indigènes n’est guère encourageant. Depuis Suez en 1956, aucune intervention militaire extra-européenne n’a obtenu les résultats espérés. Dans tous les pays où elles ont établi une présence, elles laissent derrière elles plus de problèmes que de solutions.
Frontaliers français se pressant quotidiennement à la douane

Source : Internet (page actualisée le 09/10/2014)

mercredi 8 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Contrat suédois

 Les Français de chez Dassault dénigrent la Suède et son JAS-39 Gripen. Ce pays nordique et neutre comme nous ne se contente pas de construire des avions de combat, elle produit aussi des sous-marins, des aciers réputés et des armes. Notre armée possède d'ailleurs le CV-90, un blindé suédois remarquable et la Confédération possède RUAG, qui détient SAAB Aérospace. Tout nous poussait à nous orienter vers un appareil suédois.

 L’achat d’un nouvel avion de combat fait toujours couler beaucoup d’encre et l'histoire ne se répète pas. Le JAS-39 Gripen E n'a pas rencontré dans les urnes, le même succès que le F/A-18 Hornet et a été de justesse refusé en votation populaire. Ce referendum était d’ailleurs bien légitime pour un tel investissement, qui engage notre pays pour les trente prochaines années au niveau de sa politique de sécurité. Il faut reconnaître que la la décision négative du Souverain a fortement nuis à la crédibilité de notre système de défense et son effet dissuasif a diminué. D'ici 2025, le même type d'appareil aurait aussi remplacé le F/A-18 C/D Hornet. mais il a suscité un vif débat public, où une somme de mensonges a induit le peuple en erreur.

 Aux yeux de ses détracteurs, le choix du plus mauvais avion, découlait simplement de l'unique critère du prix inférieur à ses concurrents. Or le meilleur marché était dans le même temps trop cher, car il n’affichait pas les mêmes performances d'emport à longue distance. Mais la compatibilité avec la taille du F-5, la compatibilité avec les armes du F/A-18, le radar supérieur, la vitesse supérieure et l'avionique supérieure ont été balayés d'un revers de main par les opposants à l'armée. Voilà un argumentaire qui laisse songeur, car le savoir-faire de l’industrie aéronautique suédoise est reconnu et ne date pas d’hier. Depuis la Seconde Guerre mondiale, les Suédois ont construit des avions de combat aussi remarquables que le J-35 Draken ou le JA-37 Viggen. Les caractéristiques des avions de combat suédois sont qu'ils sont faciles d’entretien et conçus pour pouvoir décoller et atterrir sur des pistes courtes. Le JAS-39 Gripen possède d'ailleurs ces mêmes avantages en plus de sa polyvalence. L'époque des bombardiers nucléaires biréacteurs est révolue et le temps est venu de redimentionner notre armée selon des critères plus réalistes.

 L'investissement considérable en faveur d'un nouvel appareil de combat n'aurait pas du se résumer à une seule comparaison technique des performances des modèles en lice. Pour un pays comme la Suisse, qui entendait conserver sa neutralité armée, d'autres aspects politiques et industriels revêtaient une importance primordiale. Par exemple la sauvegarde de la branche aéronautique de RUAG aurait maintenu notre base industrielle de défense. Le partenariat avec la Suède était le plus réaliste et correspondait le plus aux options politiques prises par le Conseil Fédéral de nouer une coopération militaire avec un pays qui nous est proche politiquement, culturellement et économiquement.

 Pays froid et neutre comme la Suisse, la Suède a été confrontée à l’évolution de son environnement géostratégique depuis les années 1990. Affichant une politique de neutralité et de non-alliance, le royaume de Suède a toujours disposé d'une base industrielle de défense importante, car il faisait reposer toute son indépendance sur un degré d’autonomie industrielle et technologique très élevé, considéré à la taille du pays. La fin de la Guerre froide a remis en cause cette doctrine et a changé profondément la donne pour l’industrie d’armement suédoise. Tout en conservant une posture de pays non aligné, non-adhérant à l’OTAN, la Suède fait le choix d’un modèle d’armée au format moindre et dédié aux opérations internationales. Bien que réduites en volume, les forces armées suédoises se doivent d'être technologiquement beaucoup plus sophistiquées. Pour le ministère de la défense, il a fallu donc faire mieux avec moins. La chute des budgets militaires a obligé les forces armées à ne lancer de futur programme d’armement qu'en coopération, car un niveau technologique suffisant ne pouvait plus être assuré dans chaque domaine. La sécurité par la coopération s'est traduite pour les Suédois, par la reconnaissance de la clause de défense mutuelle inscrite dans le traité de Lisbonne et par une participation active à certains programmes majeurs :
  •  drone de combat Neuron lancé par RUAG avec la France,
  •  missiles air-air à courte portée infra-rouge AIM-2000 Iris T avec l'Allemagne,
  •  missile longue portée à stato-réacteur Meteor avec l'Europe,
  •  munition d’artillerie Excalibur avec les Etats-Unis,
  •  arme antichar Next-generation Light Anti-tank Weapon (NLAW) avec le Royaume-Uni.
  •  missile de croisière Taurus avec l’Allemagne.

 Tous ces projets auraient pu présenter un intérêt certain pour la Suisse concernant notamment notre artillerie, à la nécessité de disposer d’une arme antichar polyvalente ou encore aux missiles qui auraient équipé le JAS-39 Gripen E suisse. Au-delà du choix de l’avion, c’est donc bien d’un choix en matière de politique de sécurité dont il a été question en mai, mais le peuple ne l'a pas compris.


Source : Internet (page actualisée le 08/10/2014)

mardi 7 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): JAS-39 Gripen E pour 2020

 Tout s'enchaînait logiquement et pour notre sécurité, il aurait fallu voter OUI au Gripen en 2014, car il n'y a :
  1.  pas de liberté sans sécurité,
  2.  pas de sécurité sans armée,
  3.  pas d’armée sans Forces aériennes et
  4.  pas de Forces aériennes sans avions.
 Le vote négatif de 2014 fut sans appel, car les contestataires avaient préalablement semé le doute dans les esprits et le peuple suisse a mal voté. Or, pour notre pays, la sécurité, dont la protection de l’espace aérien demeure primordiale. Par conséquent, un appareil de combat polyvalent, performant, moderne est indispensable en nombre suffisant.

 De toute façon une solution de remplacement devra être trouvée lors de la mise hors-service des 52 F-5 E/F Tiger II. De plus, la flotte des 32 F/A-18 C/D Hornet doit impérativement être complétée pour assurer pleinement la protection de l’espace aérien. Or le JAS-39 Gripen E remplit non seulement toutes les exigences militaires, mais il est techniquement au plus haut niveau et est totalement compatible avec notre doctrine et notre équipement.

 Le Gripen E présente non seulement un coût d’acquisition et d’exploitation plus bas que ses concurrents, mais il possédait des capacité radar, une avionique et un défense passive supérieure. En fait, la charge financière annuelle de 300 millions de francs était largement supportable pour les finances de la Confédération. Cet achat aurait permis à la Suisse d’obtenir des commandes industrielles à hauteur de 2,5 milliards de francs et ce dernier argument aurait du à lui seul faire la différence. Car la coopération industrielle est capitale pour l’économie suisse. Toutes sortes d'industrie non seulement actives dans l’aviation auraient pu être impliquées directement ou indirectement dans le programme Gripen. Un accroissement des capacités et de la compétitivité de l’industrie suisse aurait pu être opéré grâce à des transferts de savoir-faire et de technologie.

 Les événements en Ukraine, en Crimée, au Togo, au Mali et en Syrie démontre que la paix internationale est un mythe. En conclusion, il aurait été de la responsabilité de chacun de se prononcer en faveur du Gripen E, car en 2020 la question du Gripen E va se reposer avec une toute autre acuité.

Economiquement et sécuritairement, il aurait fallu voter OUI au Gripen pour notre avenir, mais aussi pour nos finances.


Source : Internet (page actualisée le 07/10/2014)

lundi 6 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Révélations tandancieuses

Dans les journaux du groupe Dassault, les Français jubilent, car des vérifications de routine sur l'avion de combat européen ont révélé en Autriche un problème sur une pièce du fuselage qui réduit des deux tiers la durée de vie de ce composant. Incapable de lutter en qualité, en compatibilité, en prix ou en performance avec leur appareil omnirôle, les journaux du groupe Dassault tentent de dévier le débat sur le plan politique.

Les journaux du groupe Dassault se réjouissent qu'après l'Allemagne, la mauvaise passe se poursuive en Autriche pour le chasseur européen. Une vérification de routine opérés par les forces armées autrichiennes a révélé un problème minime sur une pièce du fuselage de l'Eurofighter susceptible de réduire la durée de vie du composant des deux tiers. Le fuselage de l'avion de combat est fabriqué par Premium Aerotec, une filiale allemande d'Airbus Group. Le problème a été signalé en août et doit être résolu par des modifications en cours, ajoutent-elles sans identifier le fabricant du composant.

Bien que cinq Rafale se sont abattus dernièrement, la sécurité en vol de l'Eurofighter n'en n'est pas affectée selon l'armée autrichienne, qui compte une quinzaine d'appareil de combat de ce type. Le problème est situé à l'arrière du fuselage et ramène la durée de vie d'un composant mineur de 6.000 à 2.000 heures de vol. A Berlin, le ministère de la Défense a confirmé le problème en le qualifiant s'insignifiant et en soulignant qu'il n'affectait pas les capacités immédiates des forces aériennes allemandes. Le porte-parole du ministère, Ingo Gerhartz, a précisé que BAE Systems avait identifié des trous de perçage "qui ne correspondent pas aux critères de conception" et effectuait des tests pour en mesurer l'impact.

Les Français de chez Dassault avaient tout fait pour soulever des soupçons de pots-de-vin su sujet du contrat Eurofighter. Dans les journaux du groupe Dassault, les Français jubilent, car depuis 2012, la justice allemande et autrichienne soupçonne le constructeur aéronautique européen Airbus Group (alors EADS) d'avoir versé au moins 70 millions d'euros de pots-de-vin dans la vente d'avions de combat Eurofighter à l'Autriche. Les soupçons de corruption, lancés par les Français autour de ce contrat d'armement, conclu en 2003, avaient rythmé la vie politique autrichienne au cours des dernières années.

Dans les journaux du groupe Dassault, les Français jubilent, car ils ont réussis à faire passer la commande de 2 milliards d'euros pour 18 Eurofighter Typhoon à 15 appareils sous l'effet du scandale provoqué. Finalement la commande pour ce splendide appareil fabriqué en Europe par le consortium Eurofighter, (Airbus Group, BAE Systems et FinMeccanica), avait été réduite en 2007, plusieurs partis pro-français demandant l'annulation pure et simple du contrat.


Rappelons que depuis 2003, plus de 400 Eurofighter sont entrés en service dans pas moins de six pays, dont l'Allemagne, l'Angleterre, l'Italie, l'Espagne, l'Autriche et l'Arabie Saoudite. Par contre, malgré tous les efforts diplomatiques, militaires et politiques des Français, leur appareil omnirôle, sans casque de visée et sans liaison satellite ne s'est jamais exporté.


Source : Internet (page actualisée le 06/10/2014)

mercredi 1 octobre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Point de vue légal

 Petite analyse critique de l’achat des Gripen à la lumière du droit et de la politique de neutralité.
  • Le débat politique a fait rage, alors que le Département fédéral de la défense (DDPS) avait annoncé en 2011 son intention de remplacer les 52 F-5 E/F Tiger II par 22 JAS-39 E Gripen.
  • En 2012, le Conseil fédéral avait rendu public son message sur le remplacement des antiques avions de combat Tiger par des ultra modernes Gripen.
  • En 2013, le Conseil des États puis le Conseil national s'étaient rendu compte de la nécessité de ce remplacement et avaient appuyé le Conseil Fédéral.
 Dans son message, le Conseil fédéral a mis en exergue l'argument de la neutralité et de la souveraineté. Car sans alliance militaire, la Confédération helvétique doit pouvoir organiser une surveillance aérienne indépendante.  Or, tenant compte de frein à l'endettement imposé par la gauche, le JAS-39 Gripen E apparaît le candidat le plus approprié pour remplacer la flotte actuelle, devenue vétuste.

 Dans le Droit coutumier, la surveillance aérienne est prévue dans le cas d’une activation du droit de neutralité et ce droit de neutralité s’active en cas de conflit international armé et vise à régler les relations entre l’État neutre et les États en conflit.  Le droit coutumier de neutralité permet en cas de violation de l’espace aérien le recours aux moyens à disposition, en d’autres termes, seuls les moyens déjà disponibles au moment de l’activation du droit de neutralité peuvent être utilisés.  Mais la réaction à une violation de l’espace aérien peut débuter aussi par la diplomatie, comme des protestations formelles contre le non-respect de la neutralité,  mais par la suite, l’achat de 22 JAS-39 Gripen E aurait également permis d'assurer la continuation du droit coutumier de neutralité.

 De plus, la taille particulière de la Suisse, les difficultés techniques et les coûts liés à la surveillance de l’espace aérien incitent à penser qu'un nombre suffisant d'appareils de combat opérationnels sont un argument décisif pour pouvoir exercer le droit coutumier de neutralité face aux Etats en conflit.  L’achat de 22 JAS-39 Gripen E aurait été une part importante du renforcement de la neutralité confédérale séculaire.  En plus du droit coutumier de neutralité, le droit permanent de neutralité exige des Etats neutres une surveillance aérienne, qui règle les droits et devoirs en temps de paix. Sous cet angle, le remplacement des F-5 E/F Tiger II est impératif, car le droit permanent de neutralité exige expressement des Etats neutres qu’ils se comportent en temps de paix de manière à ne pas rendre impossible le respect du droit coutumier de neutralité en cas de conflits. L’entrée dans l’OTAN aurait fait partie des actes, qui iraient à l’encontre de cette condition, alors qu'à l'inverse, l’achat d’avions de combat pour assurer la surveillance aérienne est vivement recommandé. En effet, ne pas acheter ces avions a rendu difficile le respect du droit coutumier de neutralité en cas de conflit.

 Ne pas reconnaître une telle obligation juridique provoque la situation dangereuse dans laquelle les Etats neutres s'appuient égoïstement sur les autres pour assurer leurs obligations. Le remplacement des Tiger par des Gripen était la seule mesure capable de renforcer la crédibilité de la politique de neutralité exercée par la Confédération helvétique. Face aux pressions de l'UE et de l'OTAN, la Suisse doit rendre légitime et crédible ses points de vue sur la scène internationale. Depuis la fin de la Guerre froide, les acteurs internationaux exigent toujours de la Suisse qu’elle entretienne une capacité complète de surveiller son espace aérien en vue d’assurer son statut d’Etat neutre. En raison des coûts élevés de l’achat d’armes modernes, la crédibilité de la neutralité suisse pourrait même en souffrir.  En effet, les moyens à disposition de la Suisse sont tendanciellement à la baisse, ce qui a pour conséquence de renforcer la dépendance à moyen et long terme envers des organisations de sécurité collective comme l’OTAN.  En d’autres terme, la Suisse risquerait de ne plus être crédible et doit se procurer l’armement nécessaire si elle entend agir seule.

 En cas d'hypothétique scénario de tensions accrues, la capacité de la Suisse d’assurer sur une longue période sa défense sera fortement diminuée par la réduction de l’armée de l’air induite par le non-remplacement des 52 F-5 E/F Tiger II.  La dépendance vis-à-vis de l’OTAN et de l'UE ira alors croissante, car la surveillance indépendante exigée par les acteurs internationaux ne peut déjà plus être assurée.  Pour éviter  l’outsourcing de notre défense, le remplacement des 52 F-5 E/F Tiger II par 22 JAS-39 Gripen E a été vainement exigé par le Conseil Fédéral, les Conseillers aux Etats et les Conseillers nationaux.

 Sur la base d’arguments liés à la neutralité, la Suisse n'aurait pas du renoncer à l’achat des Gripen, car ils servent la cause de la neutralité.


Source : Internet (page actualisée le 01/10/2014)

mardi 23 septembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Illusions françaises

 Les Français sont les seuls à penser que le Rafale est le meilleur avion du monde et cela relève du nationalisme primaire. Car les Français estiment qu'au Brésil, ce n'est pas Dassault, mais la France, qui a raté un contrat de quelque 5 milliards d’euros. Car pour avoir des performances équivalentes, voire supérieures, le gouvernement brésilien s'est finalement rendu compte que le JAS-39 Gripen E de la marque suédoise SAAB coûtait la moitié ou le tiers du prix d'un Rafale et était compatible avec du matériel américain.

 Cependant, les Français handicapés par leur monolinguisme et endoctrinés par leurs journaux aux mains du consortium militaro-industriel restent persuadés que le Rafale est le meilleur avion du monde. Le Rafale est un bon avion, mais il manque de compatibilité et il commence à être dépassé à l'international. La France s’est trompée en ne recourrant qu'à des manufacturiers français, ce qui a rendu le Rafale jusqu'à quatre fois trop cher. Le coût budgétaire d’un appareil représente environ une centaine de millions d’euros, sans compter les frais d’entretien et les frais de fonctionnement.

 Peu compatible avec les standards internationaux, le Rafale français est un excellent avion pour la France, mais moderne, donc fragile. Comme le JAS-39 Gripen C/D ou l'Eurofighter Typhoon II, le Rafale est capable d'accomplir toutes les missions pour lesquelles il a été conçu. Comme le JAS-39 Gripen C/D le Rafale français fait de la chasse, de la reconnaissance et de l’attaque au sol. Moins rapide et plus fragile que le JAS-39 Gripen C/D ou l'Eurofighter Typhoon II, le Rafale est capable de bombardement stratégique (nucléaire) et peut opérer depuis un porte-avion équipé de catapultes à vapeur. En service depuis dix ans, le Rafale a déjà subit 5 crashes en cours d'exercice, sans doute du à sa charge alaire trop élevée, sa puissance insuffisante ou son électronique fragile.

 Pour générer plus de profit les entreprises Dassault avaient lancé le programme Rafale multi-rôle dans les années 1980, concurremment au programme européen d'avion de combat et contre l'excellent Mirage 2000. Pour justifier cet aberrant changement de doctrine, l’État-major a invoquer une illusoire uniformisation des forces armées françaises. Cet investissement colossal visait à remplacer, à l’horizon 2025-2030, pas moins de sept types d'avions en service dans l’armée de l’air française et la marine française.


 Pour dissimuler l'échec partiel du programme Rafale, les journaux français qualifient le JAS-39 Gripen suédois d'appareil léger, rustique, économique à l’achat comme à l’usage. Mais les journaux français ne reconnaissent pas sa technologie radar supérieure, sa vitesse de pointe supérieure et son avionique plus moderne. Les journaux français prétendent que le chasseur polyvalent suédois connaît le succès dans plus de six pays uniquement à cause de son prix.


 D'ici 2020, le JAS-39 Gripen E/F sera entré en service dans deux armées de l'air et aura fait taire les critiques. Il coûtera toujours moitié prix du Rafale français, sera toujours compatible à 100% avec notre armée. Avec 2'000 milliards de dette, la France est devenue un partenaire plus que contestable, surtout que sa dette publique s'élève à 100% du PIB. Son chasseur Rafale ne se vend pas et la pérénité des entreprises Dassault n'est pas garantie à long terme.


Source : Internet (page actualisée le 23/09/2014)

vendredi 5 septembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Economie atterrée

 Le petit NON au remplacement des 54 Tiger par seulement 22 Gripen a provoqué une grave lacune dans la sécurité de la Suisse et les Suisses de souche ont pris connaissance avec beaucoup de regret du rejet par les mauvais citoyens de la loi sur le fonds Gripen.

 La capacité de l’armée suisse de remplir de façon crédible son mandat constitutionnel et de garantir la sécurité du pays est ainsi remise en question à moyen terme. Un environnement stable et sûr est cependant une exigence essentielle pour le développement de économie suisse. De plus, les coopérations industrielles envisagées avec ArmaSuisse, Pilatus, RUAG ou StalderRail ne sont plus que de l'histoire ancienne.

 Ce refus du fonds Gripen, non seulement rend impossible l’acquisition des 22 appareils de combat modernes JAS-39 E, mais va encore empêcher d'assurer la relève de nos pilotes et provoquer une perte de savoir-faire. A moyen terme, l’armée suisse ne sera plus en mesure que de façon très limitée de remplir ses tâches de police des airs, de défendre son propre espace aérien et ainsi de garantir la sécurité de notre pays.

 Ce vote regrettable a fait tomber des commandes pour plus de 2 milliards de francs, qui échappent ainsi à l’économie suisse. Ces affaires de compensation auraient assuré des emplois dans les entreprises suisses et renforcé la force innovatrice de l’industrie suisse. Cette décision populaire est d'autant plus regrettable qu’il n’y a actuellement pas d’alternative pour le remplacement de la flotte des F-5 E/F Tiger II complétement dépassés.Cette décision irraisonnée provoquée par les milieux de gauche remet en cause 8 années d'analyse coûteuses et met en péril la possibilité d'acheter l'appareil possédant le meilleur rapport qualité prix du marché.

 D'ici 2020, les Forces aériennes suisse devront remplacer non plus les Tiger, mais encore les Hornet et la facture pour 60 appareils risque cette fois de dépasser les 10 milliards. Les milieux de gauche qui ont fait échouer l'excellent contrat négocié avec la Suède, devront cette fois prendre leurs responsabilités.
Grounding du Gripen



Source : Internet (page actualisée le 15/09/2014)

jeudi 4 septembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Regrets amers

 La Suisse entière est consciente que les F/A-18 suffisent pour remplir les tâches de police aérienne en temps de paix et pendant les heures de bureau. Car en 2010, le ministre de la défense lui-même a justifié en ces termes l'ajournement de la procédure d’acquisition des nouveaux appareils de combat pour des raisons financières.

 Au contraire de ce que prétendent les forces occultes opposées à l'indépendance suisse, la firme SAAB n'a pas besoin de la Suisse pour survivre, car pas moins de sept pays collaborent au programme Gripen. Par contre, les firmes fédérales Armasuisse et RUAG ont un urgent besoin du JAS-39 Gripen E pour continuer de croître, tout comme la firme française Dassault aurait eu un impératif besoin de vendre son Rafale du passé pour uniquement survivre. La firme Dassault, avec seulement 11 appareils annuels est sous perfusion de l’État français, qui lui-même est grévé d'une dette de 2'000 milliards d'Euros.

 Au contraire de ce que prétendent les forces catholiques rétrograde de ce pays, la Suisse a besoin du JAS-39 Gripen E, mais la Suède n'a pas besoin de la Suisse pour le produire. En effet ce pays est capable de produire pour et par elle-même les appareils du futur dont elle a besoin. Le Brésil est d'ailleurs intéressé à produire ce appareil avec elle. La Suède a passé commande de 60 Gripen E et le Brésil de 34 Gripen E notre pays n’est donc pas le seul client et notre commande se serait ajoutée à celle des suédois. Non seulement, la Suisse disposait d'une garantie étatique, mais les équipes d’ArmaSuisse auraient pu collaborer à ce projet grandiose. Le seul inconvénient est que dans ce cas de figure, ni la Suisse, ni Armasuisse, ni RUAG, ni Pilatus ne pourront participer à son élaboration.

 Comme la Suisse est au milieu de l’Europe, nous sommes entourés de pays peu amicaux, desquels nous devons sans cesse nous méfier. Aucun accord n'existe, mais des collaboration ponctuelles sont cependant possible, comme lors du détournement d’avion sur Genf. Une aviation qui est opérationnelle durant les heures de bureau devra se contenter d’une flotte de 32 F/A-18 jusqu'en 2020.

 Dans les années soixante, le peuple avait refusé l'achat du Mirage français contre l'avis du Conseil Fédéral, car le dépassement de buget était de 60%. Le précédent du Mirage des années 60 a entraîné le rejet actuel du Gripen, alors que plus personne ne veut acheter français. De plus, la firme SAAB s’était engagée à conclure pour 2.5 milliards d’affaires compensatoires et la Suède s'était portée garante.

 Dans les années nonante, le peuple avait plébiscité l'achat du Hornet biréacteur contre l'avis du GSsA et des affaires compensatoires promises à 100% s'étaient limitées au final à seulement 40%. Le précédent du F/A-18 surdimensionné des années 90 a entraîné le rejet actuel du Gripen, alors qu'un passage à un mono-réacteur moins cher s'impose.. De plus cet achat aurait favorisé la firme fédérale RUAG, qui détient HTS à Wallisellen, Mecanex à Nyon, RUAG Space Sweden, RUAG Space Austria et RUAG Space Switzerland. Mais, la RTS, les Genevois et le GSSA ont comme mauvaise habitude de s'opposer à Nestlé, à l'EPFL ou à la RUAG, car ces entreprise réussissent. De plus, la firme SAAB s’est engagée à conclure pour 2.5 milliards d’affaires compensatoires dans la Confédération, mais les détracteurs ont provoqué des polémiques basées sur les filiales helvétiques du groupe.

 Les détracteurs genevois, qui se sentent plus étranger que suisse ont faussement prétendu que l'extraordinaire JAS-39 Gripen E n'existait que sur le papier, alors que cela aurait été une chance pour la Suisse de participer à son élaboration. Sur la base très saine du Gripen C/D, l'exceptionnelle firme SAAB a réussi en 4 ans a apporter 98 améliorations technologiques majeures, qui rendent ces performances remarquables. Alors que ces mêmes gauchistes genevois ont continuer de prétendre que les contraintes budgétaires imposées au Parlement par eux-mêmes avaient dicté le choix du JAS-39 Gripen E. Alors que les performances du Gripen E ont été estimées sur la base du prototype Gripen NG Demo et sur le plan technique, l’avion correspond au cahier des charges de notre pays. Le chasseur polyvalent s’intègre parfaitement à nos infrastructures et est même très bon avec le radar AESA ES-05 « Raven » et l'IRST.

 Les forces réactionnaires de notre pays, qui refusent toute défense active imaginent tout ce que des fonctionnaires improductifs pourrait faire avec les neuf à dix milliards de francs qu'il espèrent soustraire à l'armée. Pour ce faire, ces utopistes tiennent compte des coûts d’entretien et d’exploitation des 30 prochaines années et parlent de coûts exorbitants. Cependant les améliorations technologiques auraient été dès le départ disponibles sur l'extraordinaire JAS-39 Gripen E et n'aurait rien coûté. Par contre les modifications à apporter aux Hornet, comme celles qu'il aurait fallu apporter aux Rafale ou au Typhoon, au niveau des moteurs, du radar, de la défense passive et de l'avionique vont coûter des millions, qui pourront être pris sur le 30 milliards que va nous coûter l'aide au développement durant ce laps de temps.
Il faut relativiser 30 milliards d'aide au développement et 13 milliards pour la RTS.
L'aide au développement coûte 10 fois plus cher que notre sécurité et la RTS coûte 4 fois plus cher que notre sécurité.
 La RTS nous coûte 9 Gripen chaque année

Source : Internet ( page actualisée le 04/09/2014)

dimanche 10 août 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Comment remplacer les Tiger

 Le JAS-39 Gripen E aurait été le candidat idéal au remplacement du F-5 E/F Tiger II. L'acquisition du Gripen se serait fait sur les comptes de l'armée et non pas au détriment de la formation, de la recherche ou des crèches. Mais référendaires ont menti sciemment au peuple suisse pour faire échouer l'achat de cet appareil indispensable.

 Cependant, dans la stratégie de l'armée, cet appareil demeure primordial du point de vue de la reconnaissance et de la détection des menaces. Non seulement le Gripen reste le candidat idéal pour remplacer le Tiger, mais il est également le meilleur pour pallier aux lacunes du F/A-18 en terme de reconnaissance, de communication satellitaires et d'envoi d'engins guidés. En effet, déjà dépassés lors de leur acquisition, les F-5 sont incapables d’engager des engins guidés et ne peuvent plus aujourd'hui protéger efficacement le territoire et la population Suisse. Il faudra prendre la décision de les remettre à niveau une n-ième fois.

 L'acquisition du JAS-39 Gripen E n'aurait coûté que 3.1 milliards de francs et non pas 9 ou 10 milliards. Les référendaires ont menti sciemment au peuple suisse pour faire échouer l'achat de cet appareil indispensable. Les référendaires avaient basés leur calculs sur les coûts d'exploitation du F/A-18 E/F et sur le prix d'acquisition du Rafale français que nous avons écarté pour cause d'incompatibilité. Les référendaires avaient en outre considéré les coûts d'exploitation jusqu'en 2050, alors que l'aide aux pays du Tiers-Monde nous coûte plus de trois milliards par an !

 La récolte de signature avait péniblement réussi à convaincre 60'000 gauchistes essentiellement genevois, alors que les référendaires ont menti sciemment au peuple suisse en annonçant 100'000 paraphes, soit 33% d'augmentation. Ce mensonge a été lancé par les milieux de gauche dans des journaux étrangers, puis a été repris par les anti-militaristes de tous bords.

 Le choix de la Suède comme partenaire commercial n'aurait provoqué l'insécurité politique dénoncée par les gauchistes, car la Suède est un pays pratiquant une neutralité armée comme la Suisse. Le gouvernement suédois était également impliqué et la catastrophe vécue par l'achat des Mirage français aurait donc été impossible, car le contrat Suédois aurait fait endosser tous les risques au Royaume de Suède. Elle n'aurait non plus provoqué une prétendue insécurité d'approvisionnement, car une partie de l'équipement provient des États-Unis. De plus, le choix du Gripen comme remplaçant du Tiger aurait été pleinement justifié, car il aurait dissipé l'insécurité et la dépendance induites par cet achat face à la France et à l'Allemagne. A la différence du Rafale franco-français, le chasseur suédois est hautement compatible avec notre armée du point de vue de la taille, des armements et emporte le même module de communication américain que le F/A-18.

 Lors de la votation sur la loi sur le fonds Gripen, le peuple s'est prononcé fondamentalement sur la renonciation à la sécurité et à de l’indépendance de notre pays, car il a envisagé de supprimer nos capacités de défense. Il ne s'agissait pas simplement de remplacer un avion dépassé par un appareil moderne, mais de mettre bas toute notre défense armée, car un pays sans armée de l’air reste sans protection face aux menaces. Comme nul ne peut exclure une menace aérienne au cours des 25 à 30 prochaines années, nous avons mis en péril par ce vote inconscient simultanément notre sécurité, notre bien-être, notre économie, notre stabilité et notre attractivité. En s'attaquant à son système défensif, des forces extrémistes internes ou totalitaires de l'étranger veulent anéantir 700 ans d'histoire. Les étrangers du GSSA voudraient voir la Suisse disparaître pour de bon et prétendent que nos 32 F/A-18 mis à jour dernièrement sont suffisent à assurer la police de l'air. Ils mentent en surévaluant le Gripen à 10 milliards d'ici 2050, mais ne disent pas que l'aide au développement va coûter 100 milliards au contribuable suisse d’ici là. Notre sécurité est-elle vraiment moins importante que la survie de l'Afrique ?

 Ceci est une question philosophique...


Source : Internet (page actualisée le 10/08/2014)

lundi 28 juillet 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Attaques contre la Patrie

 Le remplacement des F-5 Tiger par un nouvel appareil de combat a provoqué des attaques en règle contre notre patrie. Les récentes actions médiatiques entreprises dans le but de nuire à la défense nationale nous montre les buts et les méthodes de certaines personnalités politiques, qui font fi du réalisme le plus élémentaire. Nous devons dénoncer sans relâche leurs déclarations mensongères, ainsi que tout propos faux, incomplet ou biaisé émis par les adversaires de la défense nationale.

  De nombreux socialistes, qui appartiennent pourtant à un parti gouvernemental, ne recherchent rien d'autre que la disparition pure et simple de l'armée en opposant des arguments à la rigueur intellectuelle contestable aux leçons de l’histoire et du présent. C'est ce qu'ont admis implicitement des représentants socialistes à la RSR au sujet des achats militaires et il n'est pas rare que des gens des partis de gauche ne réclament, à coups de déclarations démagogiques et agressives, des réductions budgétaires visant la défense confédérale. Certains se permettent même de traiter nos chefs militaires d'incapables dont on ferait bien de contrôler et d'entraver les actions criminelles.

  Alors que le Département de la Défense dispose toujours du droit d'entreprendre des travaux sans mise à l'enquête publique, le Groupement pour une Suisse sans armée(GSsA), s’est permis d'entraver légalement un chantier du DMF, alors que plus de trois milliards sont dépensés annuellement dans l'aide au développement, sans contestation. Cependant, malgré des arguments souvent fallacieux, les résultats des consultations populaires ont clairement montré la volonté des Suisses de maintenir leur neutralité armée. Alors que la Confédération est quotidiennement en butte aux attaques de la France, des Etats-Unis ou de l'Europe, le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) parle d'un grand succès pour une politique de paix inexistante. Mais, le peuple suisse est conscient qu'il serait irresponsable de se passer des Forces Armées, même s'il n'a aucune envie de s'en servir.

  Le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) se réjouit béatement du rejet de l’achat des nouveaux avions de combat et continue de prétendre que ces appareils allaient coûter 10 milliards de francs au lieu des 3 milliards budgétés. Ces individus peu scrupuleux estiment que le domaine civil avec son nombre croissant de fonctionnaires aurait un besoin urgent de 10 milliards de francs. Evidement que notre défense nationale en ferait les frais, car l’armée et la droite militariste n’ont plus le dernier mot en matière de politique de sécurité. Or, sur quarante ans, ce nouvel appareil de combat n'aurait coûté que 6 milliards, soit le 15% des 120 milliards déboursés pour l'aide au développement dans la même période.

  Les événements qui se déroulent actuellement ä l'Est de l'Europe, au Proche Orient et au Sud sont généralement perçus avec un optimisme béat. De plus des maladresses, parfois au plus haut niveau, ont largement contribué à renverser les rôles: les vainqueurs sont devenus les vaincus, donnant ainsi un nouvel élan aux opposants. II est vain d'espérer que ces milieux renoncent à leurs prétentions. Preuve en est la virulence de la campagne du GSsA contre l'acquisition du Char Leopard, du F/A-18 Hornet C/D ou du JAS-39 Gripen E.

  Les étrangers de Suisse utilisent notre démocratie libérale pour s'emparer de postes important et opèrent un travail de sape insidieux dans les médias. Le dénigrement national porte lentement ses fruits et même nos sportifs engagés aux jeux olympiques ont été victimes de cette critique malintentionnée. Ces attaques sournoises et récurrentes contre notre fédéralisme, notre plurilinguisme, notre démocratie, notre neutralité ou notre secret bancaire ont fait des dégâts difficilement mesurables au sein de la population. La majorité silencieuse est manipulée par les médias et dire la vérité ou son avis devient une attaque intolérable.

  Bien que les buts demeurent inchangés, les méthodes des opposants à un suisse indépendante et neutre ont évolué et le sondage est employé comme moyen de désinformation. Parmi ces moyens, le sondage d'opinion apparait comme l'un des plus pernicieux. Employé dans une période où la tendance est à se poser d'innombrables questions, pas toujours justifiées, il apporte des réponses faciles qui ont la vertu d'être prétendument celles du plus grand nombre et qui trouvent ainsi une légitimité. Dans ces manipulations de l'opinion, des chiffres faussés prêtent à des interprétations tendancieuses. Rien ne permet de juger de l'honnêteté scientifique de tels résultats, surtout lorsque le but du commanditaire est évident.


  Les sondages pseudo-scientifiques établis par des organismes sous influence et réalisé sur un échantillon restreint renforcent toujours la tendance majoritaire. Les médias instillent la croyance populaire d'un fosse entre Suisses alémaniques et Suisses romands, entre Suisses riches et Suisse pauvres et entre Suisses jeunes et Suisses âgés.


Source : Internet (page actualisée le 2014/07/26)