jeudi 27 février 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Comparaison des appareils en présence

En dressant un tableau des performances des appareils en présence, le F-5 Tiger à remplacer, son remplaçant le JAS-39 Gripen et l'appareil à seconder FA-18 Hornet, on s'aperçoit que l'appareil suédois dans sa version E est loin d'être ridicule.

Bien qu'il aie une taille semblable au F-5 E/F Tiger II, le JAS-39 Gripen atteint près du double de sa vitesse, soit la même vitesse de pointe que le Typhoon II. Dans ce domaine de la vitesse, il surclasse également nos FA-18 C/D Hornet et le camion à bombes français, Rafale. Or vu la petite taille de la Suisse, la vitesse lors d'une interception est primordiale.

La masse à vide et la masse maximale au décollage situe le futur JAS-39 Gripen exactement entre notre surpuissant FA-18 Hornet et notre vieillissant F-5 Tiger. Mais cette masse moindre constitue un avantage indéniable en combat tournoyant et dans les vallées alpines. Surtout que considérant les facteurs de charge, distance de décollage et d'atterrissage, il est comparable à ses rivaux Typhoon et Rafale.

Bien qu'il n'atteigne pas les fantastiques rapports poids/puissance et taux de montée de nos FA-18 C/D Hornet,  le JAS-39 Gripen dépasse aisement dans ces domaines le F-5 E/F Tiger II. Dans le rapport poids/puissance et taux de montée, il est comparable au  Typhoon II.

Tableau de comparaison

Constructeur: Northrop SAAB Boeing Eurofighter Dassault
Modèle : F-5 E/F Tiger II JAS-39 E Gripen F/A-18 C/D Hornet Typhoon II Rafale 3.04
Entrée en fonction : 1978 2018 1996

Motorisation : 2 GE-J85 1 GE-414 G 2 GE-404 2 EJ-200 2 M-88
Puissance[kN] avec/sans PC: 16/22 64/98 98/160 120/180 100/150
Rapport poids/puissance : 0.0 1.06 0.96 1.07 0.99
Masse à vide[t]: 4.3 7.8 10.4 11.3 10.2
Masse maximale au décollage[t]: 11.9 16.5 23.6 23.0 24.5
Points d'attache 7 10 9 12 14
Facteur de charge [g]: -3/+7 -3/+9 -/+7.5 -3/+9 -3/+9






Vitesse[Mach] : 1.6 2.0 1.8 2.0 1.8
Supercruise[Mach] : - 1.2 1.0 1.3 1.4
Distance opérationnelle[km]: 0'300 1'300(r.s.) 1'000 1'400 1'000
distance franchissable[km]: 2'400 1'300 3'000 3'800 3'700
Plafond de fonctionnement[m]: 12'000 15'000 15'200 16'700 16'600
Taux de montée[m/s] 174 200 254 200 250
Distance de décollage [m] 880 800/500 425 700/500 800/600
Vitesse de décollage[km/h] 270 240 240 240 240
Distance d'atterrissage [m]: - 500 850 700 500






Détection passive :
FLIR
IRST
- Skyward G - Pirate -
Détection active :
Radar
APG-69 ES-05 Raven APG-73 Captor-E
TWS
IFF
-
Liaison 16 - - - - -
Viseur de casque
Cobra JHMCS
-
Bus de données
MIL-STD-1553B
STANAG-3910 STANAG-3910
Fusion de donnée


AIS
MIDS
EMCOM

Détecteur Missile
Détecteur LASER
- - - DASS -
- - - - - -
Or, le Dassault Rafale, tant vanté dans les journaux français, n'est supérieur que dans la masse d'armement qu'il peut embarquer, soit le double de sa masse à vide. Ce critère n'est dans le remplacement du Tiger absolument pas pertinent, car tout les appareils en lice emportent plus que leur poids en armement. Beacoup plus handicapantes sont les capacités offensives, tant navales que nucléaires du Rafale. La Suisse ne doit plus commettre l'erreur qu'elle avait fait avec l'inadapté Mirage français, qui ne correspondait pas à ses besoins et qui avait coûté le double de ce qui était prévu.
Le Gripen veille sur nous
Le remplacement indispensable des Gripen ne coûtera à l'armée 330 millions de francs pendant 10 années. C'est à dire le dixième du budget annuel de la coopération de 3.3 milliards.

Pour notre sécurité, votons OUI au financement raisonnable du Gripen, qui n'impactera que le Département de la Défense.


Source : Internet (page actualisée le 27/02/2014

jeudi 20 février 2014

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Gripen Bashing

 Le journal Le Temps qui appartient en partie aux Français continue son Gripen Bashing, alors que le Conseil Fédéral a souverainement décidé de remplacer nos 52 F-5 Tiger par 22 JAS-39 Gripen E.

 Ce journal peu recommandable et son journaliste Petignat utilisent de termes choisis pour influencer l'opinion publique romande. Ils commencent par appeler le président de la Confédération Ueli Maurer par son prénom et ils continuent en qualifiant le remplacement obligatoire du Tiger par l'achat du Gripen ou l'affaire du Gripen. Mais cette mauvaise propagande se trompe de cible, car l'UDC est seulement en charge du Département Militaire, Monsieur Maurer est seulement en charge de ce département et le Gripen est seulement le candidat le plus approprié pour remplacer nos vénérables Tiger.

 Ce journal peu recommandable et son journaliste Petignat s'acharnent contre le JAS-39 Gripen E, mais pour quelles raison ? Il faut chercher ailleurs cette pathétique tentative d'inflencer le court de l'histoire :

  1.  Le département de la Défense est en main de l'UDC et comme les Genevois n'aiment pas l'UDC, il attaquent le Gripen et l'armée pour attteindre l'UDC. 
  2.  Le ministre Ueli Maurer est le président suisse-allemand de 'UDC et comme les Genevois n'aiment pas la Suisse tout court, il attaquent Monsieur Maurer pour atteindre l'UDC et la Suisse traditionnelle. 
  3.  L'armée a besoin de remplacer ses vétustes Tiger et comme les Genevois n'aiment pas l'armée, il attaquent au Gripen comme au président Maurer pour atteindre l'UDC et l'armée.



Chronologie retrograde

 Le 15 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps annonce sur son site WEB que le PDC renonce à diriger la campagne pour les Gripen en raison des ingérences de la Suède dans la campagne. Mais le journal ne parle pas des visites de Sarkosy à Couchepin ni de Edelstein à Maurer.

 Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps critique sur son site WEB les performances du Gripen E. Les Français anti-suisses aux commandes de ce journal mettent en doute sa vitesse de pointe, comme son radar, alors que cet appareil vole déjà dans 5 armées du monde, depuis 15 ans. Bien sûr les Français ne se vantent pas des 5 crashes de leur Rafale, survenus en tant de paix, ni des problèmes de mise au point que rencontre son système de visée et son radar AESA, tous deux fabriqué en France.

 Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps rajoute sur son site WEB que les pilotes militaires suisses se comportent comme des enfant gâtés et ne veulent pas d'un appareil monoréacteur. Le quotidien saisit cette occasion pour titrer Le Gripen à un prix de superdiscounter. Mais ces journalistes complétement incompétants du fait de leurs études littéraires passent sous silence le fait que le Gripen a une meilleure avionnique, un meilleur radar et une meilleure vitesse de pointe que le FA-18 et le Rafale. Or, la Confédération a un urgent besoin d'un avion petit, rapide, agile, doté d'un radar surpuissant pour défendre le territoire helvétique et non pas du camion à bombe poussif et bruyant, rêvé par les pilotes militaires. Le journal Le Temps reproche de plus à RUAG d'en retirer des bénéfices, car SAAB Aerospace appartient à RUAG.

 Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps en rajoute une couche et dévoile sa véritable nature de cheval de Troie au sein de la Confédération. Ce journal s'attaque frontalement à Ueli Maurer et lui reproche de n'avoir pas choisi un avion plus cher qui n'aurait rien rapporté à la Suisse en terme d'emploi. Le journal continue sa diatribe anti-Gripen en revenant sur les 98 améliorations que la firme SAAB a déjà apporté à son Gripen. Le journal s'attaque aussi à la communication de l'ancien président de la Confédération.

 Le 29 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps se réjouit sur son site WEB que le référendum contre les Gripen a formellement abouti et que la campagne pour l’achat des avions de combat Gripen, entamée depuis des mois, peut désormais officiellement commencer. Au contraire de ce qu'avaient claironné les référendaires, seules 65384 signatures n'ont pu être récoltées. On est loin des 500'000 signatures récoltées contre le FA-18 et le peuple validera cette acquisition le 18 mai.

 Le 26 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que Saab en campagne pour son Gripen et ses liens avec le Département fédéral de la défense (DDPS), font couler de l'encre dans la presse dominicale.

 Le 25 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps révèle sur son site web que des activistes suédois ont trouvé des documents entre la firme SAAB et le gouvernement fédéral. Le quotidien genevois en faillite essaie de mettre en défaut des relations de travail normales entre un acquéreur et un fournisseur, alors que le gouvernement Suisse a passé commande pour 22 chasseurs de la dernière génération auprès de la firme suédoise. Cependant, ces activistes feraient mieux d'investiguer auprès du gouvernement français, de la firme Dassault et de l'Agence Fahrner. Ce journal ne s'est pas inquiété du soutien suspect pour le Rafale de l'ancien conseiller fédéral Couchepin, du soutien suspect pour le Rafale de lancien Pilote essayeur Levrat et du soutien suspect pour le Rafale de l'officier Hurter. (Prix identique de 22 appareils suisse et de 66 appareils indiens !).

 Le 14 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que les Suisses voteront sur l'acquisition de 22 Gripen et se réjouit de cette possibilité d'affaiblir le Pays. Pour obtenir ces signatures, les référendaires ont grossi les chiffres : 60'000 signatures validées au lieu des 100'000 revendiquées et 6 milliards budgété sur 40 ans au lieu des 10 milliards revendiqués, soit 200 millions par ans. Les signatures émanent des gauchistes, des socialistes, des écologistes, des féministes et des anti-militaristes.

 Le 06 novembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que des opposants de droite s’attaquent au Gripen, arguant que l'aspect économique prime sur l'aspect stratégique.

 Le 09 octobre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Gripen devra affronter la guerre des finances, car les référendaires genevois brandissent le gaspillage supposé des finances fédérales comme arme contre le Gripen.

 Le 08 octobre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que la bataille aérienne est engagée autour du Gripen, car la récolte des signatures des référendaires genevois contre le remplacement du Tiger démarre, appuyée par les gauchistes et verts libéraux.

 Le 23 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que l’échec du GSsA renforce Ueli Maurer, c'est à dire que le net rejet de l’initiative contre le service obligatoire rend optimiste le ministre de la Défense pour le Gripen. Mais des chantiers devront être engagés: améliorer l’égalité devant l’obligation de servir et la compatibilité entre les obligations professionnelles et militaires

 Le 19 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que Ueli Maurer transformera le vote sur le Gripen en vote pour ou contre l’armée, car le ministre du département de la défense explique simplement au peuple suisse que les Forces Aériennes sont un élément fondamental de notre armée et que d'affaiblir l’aviation, c’est affaiblir l’armée, donc affaiblir la Suisse. Lors de l'attaque des gauchistes contre le FA-18 en 1993, les anti-suisse avaient récoltés 500'000 signatures contre cet avion, mais l'avaient finalement acheté.

 Le 18 sept. 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Gripen n'a plus qu'un obstacle devant lui : le peuple, car après le Conseil National, le Conseil des Etat vient également de lever le frein aux dépenses.

 Le 17 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que Le Président de la Suisse est un As de l'aviation, car le chef du DDPS utilise la la fascination pour l'aviation et le poids de l’industrie aéronautique pour gagner la votation contre le remplacement du Tiger et manque de vision stratégique.

 Le 12 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le tacticien Ueli Maurer impose son Gripen, car le Ministre de la Défense a desserré le frein aux dépenses, démonté les accusations venues de l'étranger et a ouvert a été desserré et la voie est ouverte à un référendum. Ces accusations infondées parlaient d'avion de papier, d'avion prototype ou d'avion IKEA et mettaient en avant les 98 modifications apportées au Gripen C/D pour passer au stade E/F. Là aussi, le choix des termes employés laisse penser que ces gauchistes franco-genevois à la solde de l'étranger utilisent ce journal comme agent de propagande.

 Le 11 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Conseil National crée le fonds spécial pour le Gripen, car la Chambre du peuple a logiquement accepté la création du fonds spécial pour le remplacement du Tiger et a levé le frein à l’endettement.

 Le 11 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le peuple aura le dernier mot sur le Gripen, car le Conseil National traite le dossier du remplacement du Tiger. Le département de la Défense dirigé par le Président Maurer doit impérativement obtenir la majorité absolue, faute de quoi, le dernier mot pourrait revenir au peuple en 2014.

 Le 8 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que les Suisses ne veulent pas du Gripen, car 63% des Genevois sondés se déclarent contre l'achat de l'avion suédois. Considérant que leur canton serait indéfendable en cas d'attaque de la part de la France.

 Le 28 août 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que le parlement veut en finir avec le Gripen en septembre, car la Commission de la politique de sécurité du Conseil national traitera ce problème.

 Le 27 août 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que le Le Gripen gagne une manche, car un exemplaire du Gripen fait sa démonstration sur l'aérodrome militaire de Emmen.

 L'utopie d'une Europe démocratique et confédérale s'est évanouie suite aux attaques incessantes dont la Confédération fait les frais. Persévérer donc dans l'idée d'une adhésion relève aujourd'hui de la démence sénile. Or, la campagne contre le Gripen, contre l'UDC et contre Monsieur Maurer, organisée par les socialistes, le antimilitaristes et les écologistes aurait du à terme augmenter les ventes de ce quotidien franco-genevois, qui a perdu sa base de lecteurs. Cependant, devant la somme d'attaques fondées et non fondées, il faut espérer que ce journal anti-suisse disparaîtra bientôt, car il atteint des sommets de mauvaise foi.
Suisse assiégée
Pour éviter une catastrophe, votons OUI au gripen le 18 mai 2014

Source : Internet ( page actualisée le 20/02/2014)

dimanche 16 février 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Campagne référendaire en phase finale

La campagne pour le remplacement de nos 54 Tiger obsolètes, par uniquement 22 Gripen, débute officiellement et pour le coût de seulement 3 milliards de francs. Toutefois, les Gauchistes, les Ecologistes et les Anti-militaristes, qui s'en prennent à la Suisse depuis toujours, nous demandent par référendum de voter le 18 mai sur le financement de la sécurité de la Suisse. Bien que cela concerne le Département Fédéral de la Défense, de la Population et des Sports (DFDPS) uniquement, le dernier référendum du GSSA oblige notre le ministre Maurer à expliquer l'utilité du renouvellement des Tiger pour notre pays. C'est un peu comme si le peuple devait voter chaque attribution de crédit à l'aide au développement de la DDC, qui dépense aussi 3.3 milliards de francs annuellement pour l'étranger.

Non content de s'être ingéré dans les affaires internes du gouvernement, les Gauchistes, Écologistes et Antimilitaristes genevois lancent ces jours une nouvelle polémique au sujet du stand d'information de SAAB installé du Lauberhorn. Il semblerait que les référendaires veulent faire voter le peuple sur un domaine qu'ils ignorent en empêchant la firme SAAB de renseigner la population sur les avantages de l'appareil choisi. Or, ces nouvelles règles n'empêchent pas les Français qui détiennent de nombreux journaux en Romandie de s'épancher sur les avantages de leur camion à bombes Rafale. Comme Saab est exclu de la campagne, les pro-Gripen devront se concentrer désormais sur les réponses aux vraies questions, en se basant sur les avantage factuels et techniques, comme sur la coopération industrielle favorable à notre pays. En effet, certaines pièces usinées en suisse seront montées sur les Gripen E suédois, brésiliens et suisses.

Cependant, l'achat de nouveaux avions, prévus pour être utilisés jusqu'en 2050, est incontournable pour deux raisons. La première est que les Tiger coûtent de plus en plus cher et ne servent à plus grand chose, à part la Patrouille Suisse. La seconde est que la Confédération applique une neutralité active et ne fait part d'aucune alliance militaire. Elle ne doit donc compter que sur ses propres moyens pour assurer sa sécurité et sa prospérité face à l'étranger. En protégeant son espace aérien, la Confédération participe en outre solidairement à la sécurité du continent, car elle empêche la création d'un ventre mou au sein de l'Europe. La suisse ne pourrait déléguer cette mission sans perdre un savoir faire indéniable, sans brader sa souveraineté et sans faire exploser la facture finale.

Avec l'achat de 22 chasseur la Suisse disposera d'une flotte d'une cinquantaine d'avions, loin des des 400 aéronefs de la Guerre froide. Le Gripen E choisi constitue le meilleur choix et d'autres pays comme la Suède ou le Brésil on également choisi cet appareil. Cet appareil petit, rapide, agile, dispose des mêmes capacité que ces concurrents plus cher et il s'avère qu'il est le plus apte à assurer la défense d'un pays comme le notre. En effet, ses concurrents biréacteurs sont prévus pour intervenir hors des frontières à partir de porte-avions, éventuellement équipés des bombes atomiques.

Par contre, la Suède est un partenaire solide et fiable, car ce pays pratique la même neutralité armée, avec la même dispersion des forces en cas d'attaque. A ce sujet, l'avion choisi ne représente pas seulemnt la solution la plus avantageuse en termes d'acquisition, en terme d'entretien, mais répond également idéalement aux exigences militaires. Cet appareil représente une solution meilleur marché pour le remplacement du FA-18 à terme, car ses coûts se limiteront à six milliards, répartis sur 35 ans. Plutôt que de continuer de payer 300'000 francs annuellement pour des Tiger obsolètes, la Suisse romande recevra 30% des 2,5 milliards de francs d'affaires compensatoires, soit 750'000 francs ! Mais les référendaires genevois n'en veulent pas, car cela profiterait également à RUAG et Pilatus, qui sont situées en Suisse orientale.

Comme l'achat des appareils a déjà été validé par le Conseil Fédéral, la Chambre du peuple et la Chambre des Cantons, seul le mode de financement sera voté le 18 juin. Le peuple devra accepter que l'armée prélève 300 millions annuellement dans son budget pour financer le nouvel appareil. Cette ponction annuelle de 300 millions ne représentent que 0,5% des dépenses annuelles de la Confédération et en cas de refus, il y aura une lacune dans la protection aérienne.

Hunter Tiger Hornet Gripen
- Votons OUI le 18 mai 2014 -
pour l'appareil qu'a choisi le Conseil Fédéral et les Chambres.

Source : Internet (page actualisée le 16/02/2014)

mardi 11 février 2014

Nouvel appareil de Combat (NAC): Tous contre Gripen

Devant la situation extrêmement tendue que traverse notre pays, assailli de toute part par une communauté économique européenne technocratique, antidémocratique et totalitaire, le Conseil Fédéral (CF) a choisi le Gripen E comme nouvel appareil de combat de l’armée suisse. Or cette décision à 3 milliards de francs est conspuée de toute parts et il est aujourd'hui  judicieux de recenser les adversaires de ce choix.

Les Socialistes genevois et vaudois sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, alors que le CF a choisi l'appareil le meilleur marché à l'achat, comme à l'utilisation et que cet achat offre le plus de contrats compensatoires. Or s'enferrant dans leurs positions dogmatiques, les socialistes se contredisent sans cesse, disant préférer les drones aux chasseurs un jour, puis disant refuser ces mêmes drones le lendemain. Ces adeptes du tout à l'Etat encensent aujourd'hui le FA-18, auquel ils s'étaient violemment opposés à l'époque.

Les Ecologistes genevois sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, alors que le CF a choisi l'appareil le plus écologique. En effet, le Gripen E ne possède qu'un seul réacteur et il est capable de fonctionner au biocarburant. Mais les Verts, qui ne sont pas véritablement de gauche, préfèrent ne pas remettre en cause le néo-libéralisme de Bruxelles et s'enferrent dans leurs contradictions.

Les Antimilitaristes genevois sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, alors que le CF a choisi l'appareil le moins offensif. Le Gripen est un appareil petit, maniable, rapide, capable de détecter les menaces avant qu'elles arrivent en Suisse et d'y faire face. De plus, il faut savoir que les Tiger ne sont plus bons qu'à faire la Patrouille Suisse. Il faut également savoir que les Tiger nous coûtent bon an mal an environ 3 millions par année.

Les Genevois sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, en effet, les Genevois, qui ne sont pas véritablement suisse, préféreraient adhérer à la France ou à l'Union Européenne ultra capitaliste et anti démocratique. Or tout le monde sait que vouloir intégrer l'Union Européenne relève de la démence sénile.

Les Français sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, car les Français nous auraient volontiers vendu leur Rafale le double du prix qu'il vaut réellement et les Français auraient pu contrôler nos faits et gestes grâce à des logiciels espions dissimulés dans leurs appareils.

Les Catholiques sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, car les Catholiques, qui avaient bénis les canons de Hitler, voient d'un mauvais œil qu'on se dresse contre les fascistes de Bruxelles. Or il faut bien voir que la situation de la Suisse en 2014 s'apparente à la situation de la Suisse en 1940. Elle est entourée par des pays plus ou moins hostiles qui veulent porter atteinte à sa souveraineté.

Les Pro-européens sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, car les pro-européens veulent détruire les défense de la Suisse pour favoriser l'invasion de la pauvreté mondiale. Les pro-européens ne raisonnent plus comme de bons Suisses, mais comme des étrangers jaloux. Le bien-être, la sécurité et le confort peut être accessible dans chaque pays, il suffit seulement de doter le dit pays de conditions cadre favorisant une telle croissance. Pour ce faire, la population doit voter des lois intelligentes et élire des personnes capables, pas des repris de justice.

La Radio et la Télévision sont contre le remplacement des Tiger par des Gripen, car cette société de la Confédération contient un nombre invraisemblable de Non-suisse. Alors qu'elle vit de nos impôts et qu'elle devrait employer le maximum de demandeur d'emploi, cette société opposée à l'union confédérale engage des Français et des Catholiques à tour de bras.

Finalement, les femmes sont contre le Gripen, car les femmes ne se sentent pas concernées par les problèmes de sécurité et elles seraient volontiers enclines a accueillir toute la misère du monde en Suisse, alors que des vieux et des invalides souffrent chez nous également.

Les économistes ont également des difficultés à s'opposer au remplacement des Tiger par des Gripen, car le CF a choisi l'appareil qui offre le plus de possibilité de développement et de contrats compensatoires. Rappelons aussi que SAAB aerospace appartient au groupe RUAG et qu'il est de l'intérêt pour notre pays de maintenir son savoir faire pour le XXIe siècle avec le Gripen E.

Bien que le Gripen E fasse tout ce que font le Hornet, le Rafale 3 ou le Typhoon II, tout en coutant la moitié moins à l'achat comme à l'entretien, les pilotes de l'armée suisse n'en veulent pas, car ils sont vexés de devoir se contenter de l'appareil le moins cher. Sans doute financé par Dassault, le Conseiller national UDC schaffhousois Thomas Hurter pourrit la procédure d'acquisition du Gripen E, alors que cet appareil surclasse largement tant le Rafale que le FA-18. Vraisemblablement aussi financé par Dassault, le pilote ingénieur chef de l'évaluation lance des critiques sur les capacités de l'ancien Gripen C/D, alors que le Gripen E surclasse largement tant le Rafale que le FA-18.

Incapables de définir une mission concrète pour le nouvel appareil de combat, tous les moyens semblent bons aux pilotes pour infléchir le choix du Gripen E, alors que cet appareil choisi par le CF est celui qui qui convient le mieux à notre pays. Plutôt que satisfaire le prestige et l'amour-propre des pilotes, privilégions l'efficacité et votons pour le Gripen E !
Gripen helvétique


Source : Internet (page du 2014/02/11 actualisée le 2014/07/29)

jeudi 6 février 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Peuple induit en erreur

La demande de référendum contre l’avion de chasse Gripen a rapidement abouti et plus de 65'000 personnes l’ont signé. Indépendamment du fait que la population suisse puisse donner son approbation au maintien d'une force aérienne, il faut remarquer que ce référendum n'a recueilli que le huitième des voix récoltées contre le FA-18 E/F Hornet.

Cependant, le GSSA a trompé la population suisse en lui faisant croire que d'autres départements allaient être impactés par cet achat, comme la recherche, l'éducation ou les crèches. En réalité, l'armée prélèvera 300'000 francs sur son propre budget pendant 10 ans pour payer le JAS-39 E Gripen, ce qui n'influencera pas les autres départements. La stabilité et la prospérité de la Suisse dépend en partie de sa défense aérienne et 300'000 pour avoir un toit au dessus de la Suisse, n'est pas trop cher payer.

Cependant le GSSA a trompé la population suisse en lui faisant croire que le Gripen E n'existait que sur le papier et qu'il était à développer. En réalité, l'armée remplacera 55 anciens appareils trentenaires et inefficaces par 22 nouveaux appareils à la pointe du progrès. La garantie d'Etat de la Suède enpêche la répétition de l'affaire des Mirage que la Suisse avait eu avec la France et avec Dassault. Pour contredire des informations erronées, il suffit de voir que l'éprouvé Gripen C/D est utilisé par la Suède, la Hongrie, la Tchéquie, la Sud-Afrique, la Thailande et l'école de la RAF. De plus le Gripen E commandé par la Suisse l'est également par la Suède et par le Brésil, mais en nombre beacoup plus important.

Cependant, le GSSA a trompé la population suisse en lui faisant croire que le coût total allait se chiffrer à 10 milliards. pour obtenir ce chiffre fantaisiste, les antimilitaristes se sont basés sur les coûts du Dassault Rafale français, avec qui la Suisse ne veut plus traiter à cause de l'Affaire des Mirages sus-mentionnée. Les antimilitaristes se sont en outre basés sur toute la période d'exploitation d'une trentaine d'année. Les antimilitaristes n'ont en outre pas tenu compte des frais du F-5 E/F Tiger qui coûte de plus en plus, malgré son inutilité.

La nécessité de nouveaux avions de chasse s'est fait sentir lors de manifestations simultanées : WEF à Davos, Conférence à Montreux et Conférence à Genève. Le détournement d'un appareil éthiopien en pleine nuit à également, où l'obsolescence des F-5 E/F Tiger II est apparu clairement. Cependant, si le remplacement de ces vieux appareils devient de plus en plus pressant, cet achat n'est pas urgent dans le sens que la Confédération n'est pas en guerre. Ce qui permet à la Confédération de présenter le concept clair de sécurité de l’espace aérien sur plusieurs années grâce au Gripen suédois. La guerre froide est terminée, les appareils biréacteurs ne sont plus nécessaires et l'armée de l'air doit réduire sa voilure. Cependant, avec le JAS-39 Gripen E, elle le fait intelligemment, car le nouvel appareil dispose d'un radar exceptionnel, qui supplée au manque d'AWACS. De plus, ses capacités de communication avec les satellites, avec les autres avions en vol et avec les troupes au sol en font un remarquable combattant. Cet appareil, qui dispose d'une excellent défense passive, d'une agilité sans égal et d'une vitesse de pointe élevée ne craint pas de se mesurer aux meilleurs. Il est de plus capable de pitoter des drones, de lancer le Meteor et même d'être lui même télécomandé ! C'est l'appareil qu'il nous faut pour remplacer à terme le F/A-18 E/F Hornet. De plus ses coûts d'achat et d'exploitation peu élevés ne contraindra pas l'armée à faire l'impasse sur d'autres équipements sécuritaire.

Les référendaires prétendent que l'achat de nouveaux appareils est inutile du point de vue de la politique de sécurité. Or, à cause du nombre insuffisant d'appareils, notre espace aérien est défendu uniquement pendant les heures de bureau et en semaine. Il faut savoir que la fin de la Guerre froide a remplacé les appareils biréacteurs par des appareils polyvalents, aux capacités radar extraordinaires, aux capacités de défenses passives exceptionnelles et aux capacités de communications maximales. Sur ces points le JAS-39 Gripen est capable de remplacer, d'assister, voir de surpasser non seulement le F-5 E/F Tiger mais aussi le FA-18 C/D Hornet.

Les référendaires argumentent qu'aux frais d'acquisition de trois milliards de francs du JAS-39 E Gripen vont s'ajouter les frais d'exploitation. Or ces deux types de frais sont les plus bas du marché, environ 50% du Dassault Rafale français. Les contrats signés par notre gouvernement offrent non seulement le prix le plus bas du marché pour conserver une armée de l'air opérationnelle, mais offre également la garantie d'avoir le matériel commandé. Ce prix planché permettra d'investir également dans d'autres domaines, dont la cybersécurité. Jusqu’ici, des contrats d’affaires à hauteur de 300 millions de francs ont déjà été conclus. Ces contrats conserveront leur validité même si le contrat de vente des 22 Gripen E venait au final à ne pas être signé. Ces contrat d'affaire concernent la totalité des Gripen à construire pour la Suède, le Brésil et la Suisse. La Firme SAAB a des successorales en Suisse, comme le groupe RUAG à des succursales en Suède. Ces contrats renforcent les liens entre nos deux pays et vont permettre à notre industrie de rester au top-niveau.

Ainsi, le peuple devra se prononcer en mai prochain pour que l'armée verse 300'000 francs annuels pris sur son budget pour maintenir une défense crédible.

 ...et non pas 10 milliards...
 ...et non pas au détriment d'autres nécessités...

Dire OUI à une armée moderne signifie dire OUI au Gripen.

Source : Internet (page actualisée le 06/02/2014)

mardi 4 février 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Français contre Gripen

 Dans les médias, sur le web et les réseaux sociaux depuis quelques semaines, on peut sentir que le climat ambiant est franchement hostile au Gripen. les journaux et la radio sortent de leur réserve et tirent à boulet rouge contre l'avion suédois. Faut-il y voir la main de la France ou de l'avionneur Dassault ? Alors que le gouvernement suisse a intelligemment choisi l'appareil qui répondait le mieux au cahier des charges helvétique, les Français en embuscade gardent des agences pour conspuer la décision fédérale. l'agence Fahrner s'ingénie a détruire la réputation du Gripen, alors que Rafale International se livre à une publicité éhontée dans les médias. Ces agences inondent le peuple suisse d'articles, de commentaires, d'avis et d'argumentations, infondées, fausses, aberrantes, quand ce n'est pas malhonnêtes.

 L’État français, qui a déjà une dette de deux mille milliards d'unités de compte européenne aide financièrement Dassault en lui commandant sans cesse des appareils militaires. Comme lors de la guerre froide contre l'URSS, Dassault et la France tentent ainsi de se maintenir à niveau dans la course à l'armement initiée par les Américains. Plutôt que de favoriser la formation, l'apprentissage des langues ou d'aider les chômeurs à se réinsérer, la France vient d'investir un milliard dans la modernisation du Rafale au standard F-3R. Cependant la France ne sera jamais performante, car elle a choisi de privilégier ses millionnaires, pardon, ses entreprises, plutôt que de choisir les plus performants. Par ce choix courageux, la France a choisi l'AlleinGang et s'est aliéné les autre pays Européens, qui préférent acheter européens plutôt que Français. En effet, quelle nation censée se risquerait à choisir un seul pays fournisseur pour la cellule, le moteur, les armes, l'avionique et le radar ? Surtout si ce pays de seconde zone est en proie à des problèmes économiques structurels endémiques.

 La France, sur injonction de Dassault a trahi l'Europe et l'OTAN en se désengageant du programme Eurofighter, comme du programme Panavia Tornado, comme du programme Leopard II. Or Anglais, Italiens, Espagnols et Allemands sont fiers de partager les frais de ces deux avions fantastiques et complémentaires, même si la synergie économique fait parfois défaut. Ces quatre pays se sont créés un marché suffisamment important pour que l'industrialisation de leur appareil soit rentable.
Les grands groupes de presse français qui appartiennent aux milliardaires français, pardon, aux militaires français, subventionnés par l’État français vantent les capacités supérieures du Rafale, mais ne convainquent que les Français. Tous les pays européens savent que le couple Panavia Tornado et Eurofighter Typhoon est supérieur dans l'absolu au Dassault Rafale.

 Les Brésiliens ont finalement choisi le Gripen pour son coût inférieur, sa vitesse supérieure, mais surtout pour ses capacités Radar extraordinaires. Ce choix démontre que l'on peut défendre intelligemment un pays aussi grand que le Brésil avec plusieurs escadrilles réparties. En Suisse, autre marché remporté par le Gripen au détriment du Rafale, le choix est plus logique vu ses dimensions géographiques réduites. Pourtant, les experts suisses avaient révélés une tantative de corruption de la part de Dassault et de la France, ce qui l'avait exclu du marché. La Suisse n'avait d'ailleurs nul besoin d'un camion à bombe comme le Rafale, car elle dispose déjà du FA-18 E/F. La Suisse rêvait d'ailleurs d'avoir l'Eurofighter Typhoon comme les Anglais, les Allemands et les Italiens.

 Le Rafale, qui a la vitesse du FA-18 E/F est moins rapide le Gripen ou que le Typhoon II. Le Rafale peut emporter 9 tonnes sur 14 points d'emport comme le FA-18 E/F, alors que le Typhoon et le Gripen sont plutôt des appareils de supériorité aérienne. Le Rafale ne s’est toujours pas vendu à l’export et il coûte de plus en plus cher au contribuable. Le Groupe Dassault et le groupe Lagardère via leurs groupes de presse tentaculaires font miroiter un hypothétique contrat avec l'Inde. Alors que les milieux économiques concernés verraient plutôt une délocalisation en Inde de toute la filière du Rafale.

 En effet, pour mettre le Rafale au niveau du Gripen, la France l'a doté à grand frais d'un radar AESA. Ensuite, pour mettre le Rafale au niveau du Gripen, la France l'a rendu également compatible avec le missile Meteor. Pour mettre le Rafale au niveau du Gripen, on l'a équipé d'un nouveau pod de désignation laser, mais développé en France. Pour mettre le Rafale au niveau du Gripen, on lui a donné un système de navigation et de liaison de données. Alors que le Rafale a toujours besoin de deux réacteurs pour égaler le Gripen, il ne dispose toujours pas de casque de visée tête haute, ni d'un écran couleur multifonctions comme le Gripen, le Pilatus ou le F-35.

 Cependant, la France est prise dans un engrenage et est obligée de moderniser constamment ses Rafale franco-français. En effet la France ne peut plus changer son fusil d'épaule et acheter des F-35 Lightning II. Ce serait reconnaître son erreur que de se rallier à un produit made in US, comme les Anglais, les Hollandais, les Italiens, les Turcs ou les Canadiens l'ont fait.
Car face au monde entier, la France ne peut avoir tort et fustige les dizaines de milliards de R&D de l'appareil américain, lui invente des défauts de conception, imagine sa fragilité et doute de ses capacités opérationnelles.
 Devant l'échec de son Rafale, la France critique le prix astronomique de l'appareil de 5e génération. Mais la France ne réalise pas le coût excessif de son propre appareil, qui veut tout faire sans faire rien de bien. Or, devant l'inadéquation du Rafale aux besoins du XXIe siècle, la France voit les pays associés au projet F-35 se tourner vers le Gripen comme solution transitoire.
Gripen de Tanguy et Laverdure
 La France dans son splendide isolement n'a d'autre alternative que de mettre perpétuellement son appareil multirôle au goût du jour. Ce faisant, la France continue d'engraisser ses millionnaires et, pardon, d'accroître sa dette.
 Or l'arme aérienne est fondamentale dans le système de défense d'un pays. Les avions sont le toit qui protège les combattants. Même le Japon, qui n'avait pas d'armée a fini par s'en doter d'une. Les pays européeens sont corresponsable de la sécurité commune et aucun ne pourrait suprimer unilatéralement son armée de l'air, sans mettre en péril les autres.

 La France a entrepris des guerres néo-coloniales sur le continent africain (Lybie, Togo, Mali), mais aimerait dans le même temps garder un œil sur l'Algérie, l’Érythrée, l'Egypte et le Maroc. Pour dissimuler ces opérations de guerre, les journaux nous abreuvent des frasques de Strauss-Kahn, Hollande ou de Dieudonné. Mais là aussi la France fortement nucléarisée n'a pas le choix et est contrainte de sécuriser ses approvisionnements. Simplement la France ne peut risquer dans ses opérations de colonisation et, pardon, de pacification ses précieux avions à 100 millions pièce.

Pour ne plus dépendre de la France : OUI au Gripen le 18 mai 2014 


Source : Internet (page actualisée le 04/02/2014)