lundi 10 décembre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Saga Gripen

Le remplacement d'un appareil de combat de l'armée suisse donne à chaque fois lieu à des luttes homériques entre militaristes et anti-militaristes, entre lémaniques et alémaniques.

Achat du char Leopard II

Achat du Mirage III S

Achat du FA-18

Achat du Gripen

09/2007 : remplacement des 54 Northrop F-5 E/F Tiger II envisagée par commission de sécurité
05/2008 : formation officielle de la sous-commission
06/2008 : lancement de l'initiative contre les avions par le GSSA
08/2008 : début des essais en vol
12/2009 : fin de la procédure d’évaluation
08/2010 : report de l'acquisition en 2015 par le CF
11/2010 : retrait de l'initiative par le GSSA
02/2011 : attribution du projet d'acquisition au CF
02/2011 : introduction de nouveaux critères coût/utilité/politique/stratégique par le CF
11/2011 : publication officielle du choix du JAS-39 Gripen par le CF
11/2011 : fuite dans la presse de rapports d'évaluation secrets
02/2012 : fuite dans la presse de rapports d'évaluation secrets
04/2012 : union des antimilitaristes suisses et suédois
05/2012 : fuite dans la presse de rapports d'évaluation secrets
05/2012 : plainte pénale déposée contre inconnus pour violation de secrets de fonction
08/2012 : publication officielle de la correction de la procédure d'évaluation
08/2012 : signature de l'accord cadre entre la Suède et la Suisse
03/2013 : acceptation de la Commission des Finances du Conseil des États
04/2013 : acceptation d'entrée en matière avec des conditions du Conseil National
08/2013 : acceptation de la Commission de Sécurité du Conseil National
09/2013 : acceptation du Parlement Fédéral

2014 : signature définitive

2018 : Livraison des premiers appareils

Source : Internet (page actualisée le 10/12/2012)

dimanche 2 décembre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Gripen indispensable

Le Conseil Fédéral (CF) rappelle que l'achat de nouveaux avions de combat est pertinent en termes de politique de paix pour préserver notre neutralité et faire face à nos responsabilités.
Le Conseil Fédéral (CF) rappelle que l'achat de nouveaux avions de combat est justifié en termes de politique de sécurité, pour assurer notre liberté, notre autodétermination et notre indépendance.
Le Conseil Fédéral (CF) rappelle que l'achat de nouveaux avions de combat est logique en termes de politique économique, pour maintenir les emplois, le savoir-faire et notre neutralité.

Le CF a proposé à l'Assemblée Fédérale (AF) d’acquérir 22 avions de combat Saab JAS-39 Gripen E dans le cadre du programme d’armement 2012. Une telle acquisition exige un crédit d’engagement de 3,126 milliards de francs. La loi sur le fonds Gripen, sujette au référendum facultatif, doit en assurer le financement.

Le 25 avril 2012, le CF a chargé le DDPS d'établir un message d'armement sur l'acquisition d'avions destinés à remplacer partiellement la flotte des Tiger (TTE). De surcroît, le CF a décidé la création d'un fonds pour financer cette acquisition. Le DDPS a, dès lors, également été chargé d'établir avec le DFF un projet de loi à soumettre au CF en même temps que le message d'armement.

Le CF s'était prononcé, le 30 novembre 2011, en faveur du Saab JAS-39 Gripen E. Ce dernier répond aux exigences de l'armée et est, sans conteste, meilleur marché que ses concurrents. Il présente le meilleur rapport coût-valeur intrinsèque et cause les frais d'exploitation les plus bas. Le choix du CF était motivé par la nécessité d'acquérir un avion de combat capable de mener à bien les missions qui lui sont confiées sans pour autant être l'avion le plus performant qui soit afin que les autres composantes de l'armées puissent aussi être suffisamment alimentées financièrement.

Les 22 avions de combat Saab JAS-39 Gripen E doivent remplacer les 54 obsolètes Northrop F-5 E/F Tiger II des Forces aériennes. Avec les 33 McDonnell Douglas F/A-18 C/D Hornet, qui seront engagés jusque vers 2040, ils devront assurer des tâches de surveillance de l'espace aérien, de police aérienne et, le cas échéant, de défense de l'espace aérien. Ces 22 avions de combat Saab JAS-39 Gripen E doivent permettre également de rétablir les capacités en matière de reconnaissance aérienne et d'appui tactique au sol, deux domaines auxquelles il a fallu renoncer provisoirement lors de la la mise hors service de la flotte des awker Hunter Mk 58 en 1995 et de celle des Dassault Mirage IIIRS en 2004.

La loi sur le fonds Gripen doit assurer le financement de l'acquisition de cet avion. Pour ce faire, le fonds Gripen doit être alimenté par des attributions spécifiques de sommes soumises au plafond budgétaire de l'armée. Ces attributions se répartiront sur dix ans et engendreront des charges équilibrées pour l'armée et les finances fédérales ; les concentrations de paiements pourront être atténuées. Il en résulte ainsi une plus grande sécurité dans la planification des autres projets d'armement et les soldes de crédits peuvent être évités dans une large mesure.

L'acquisition du Saab JAS-39 Gripen E dépend de l'entrée en vigueur de la loi fédérale sur le fonds d'acquisition de l'avion de combat Gripen (loi sur le fonds Gripen). Celle-ci repose sur un fonds spécial au sens de l'art. 52 de la loi du 7 octobre 2005 sur les finances de la Confédération (RS 611.0) et est sujette au référendum facultatif. Le fonds Gripen sera alimenté par des moyens relevant du plafond des dépenses de l'armée. Il n'en résultera, par ailleurs, aucune charge supplémentaire pour la Confédération.

Les dépenses en lien avec l'acquisition seront équilibrées par des affaires compensatoires et constitueront donc un avantage pour l'économie suisse. Les fournisseurs étrangers s'engagent, par le contrat d'acquisition, à compenser à 100 % la valeur contractuelle auprès de l'industrie suisse. Ne sont pas prises en compte les parts des fournisseurs suisses, des organes gouvernementaux et les petites acquisitions effectuées auprès des tiers. Le volume global des affaires compensatoires est actuellement estimé à près de 2,5 milliards de francs. Il en résultera un accroissement du savoir-faire et une valeur ajoutée pour les entreprises industrielles de haut niveau technologique. Le volume attendu des affaires compensatoires correspond habituellement à l'activité économique de quelque 10 000 années-hommes. Les activités d'exploitation et de maintenance sur le Saab JAS-39 Gripen E permettront de maintenir sur le long terme des places de travail, voire d'en créer.

L'acquisition du Saab JAS-39 Gripen E aura un effet positif sur les régions dans lesquelles les aérodromes militaires et les places d'instruction de l'armée sont implantés puisque cela permettra de maintenir des places de travail, voire d'en créer, dans ces régions dans les domaines de l'industrie, des technologies et des services, ainsi que dans celui de l'armée.
La solution idéale pour la Suisse : Le Gripen

Résumé des avantages du Gripen :

  •  Frais d'acquisition réduits,
  •  Frais d'exploitation réduits,
  •  Nuisances sonores réduites,
  •  Missiles supérieurs,
  •  Maniabilité supérieure,
  •  Radar supérieur,
  •  Avionnique supérieure,
  •  Compatibilité avec FA-18 Hornet acquise,
  •  Compatibilité avec F-5 Tiger acquise,
  •  Compatibilité avec armée de milice acquise,
  •  Compatibilité avec armée XXI acquise,
  •  Compatibilité avec neutralité acquise,
  •  Compatibilité avec FLORAKO acquise.

Source : Internet (page actualisée le 02/12/2012)

vendredi 23 novembre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Tiger

L’histoire du Tiger commence aux Etats-Unis en 1954, en pleine guerre froide.


Les Etats-Unis en lutte contre l’URSS, s’engagent dans une course technologique au gigantisme. Alors, le constructeur aéronautique américain Northrop s'engagea en 1954 dans un prototype d'avion léger, le N-156, sans avoir l'appui du gouvernement.

Pour ce faire, le constructeur aéronautique américain Northrop s'engagea sans soutien gouvernemental dans un prototype d'avion léger. Ne correspondant à aucun besoin des armées américaines, le premier vol s'effectué en 1959 permit de dépasser le mur du son sans postcombustion.

L’appareil de combat léger et peu coûteux devait non seulement contrer les appareils soviétiques, mais aussi diminuer l’escalade à la puissance et équiper les pays de l’OTAN à moindre coût. Après renforcement de la structure des ailes, adjonction de réacteurs équipés de postcombustion et équipés de canons, la première série fut livrées dès 1964. Devant le succès à l’exportation, une nouvelle version Northrop F-5E Tiger II, équipée de réacteurs plus puissants, d'un fuselage plus grand, d’une capacité en carburant augmentée, d'un radar air-air, de volets et becs de bord d'attaque vole en 1972.

Le Northrop F-5 E/F Tiger II est un bi réacteur petit, léger, maniable utilisé par l'Arabie saoudite, Bahreïn, le Botswana, le Brésil, le Canada, le Chili, la Corée du Sud, l'Espagne, l'Éthiopie, la Grèce, le Honduras, l'Indonésie, l'Iran, la Jordanie, le Kenya, la Malaisie, le Maroc, le Mexique, la Norvège, le Pakistan, les Pays-Bas, les Philippines, Singapour, le Soudan, la Suisse, Taïwan, la Thaïlande, la Tunisie, la Turquie, le Venezuela, le Viêt Nam et le Yémen, qui ont tous adopté ce chasseur fiable, performant et bon marché.

Concernant ses résultats opérationnels, le Tiger, a rencontré un grand succès à l'export puisqu'il a été adopté par une trentaine de pays et construit à plus de 2 700 exemplaires. II a fait ses preuves au Vietnam par les Etat-Unis, en Irak par l’Iran, au Sahara par le Maroc et au Yemen.

La Confédération Helvétique a fait le choix du Northrop F-5 E/F Tiger II pour suppléer à ses Mirages III S inadaptés. En effet, la modification du radar, du train d’atterrissage, du canon et l’adjonction d’un moteur fusée avait rendu cet appareil français insupportable financièrement. La Confédération Helvétique au terme d’une campagne d’évaluation n’a pas retenu le Mirage III E équipé de plans canards et du réacteur du Mirage F1, censé l’adapter au relief montagneux. La Confédération a préféré s’équiper en 1978 de 110 appareils moins onéreux, mais en beaucoup plus grand nombre.

Après 35 années de bons et loyaux services au sein de la Schweizerische Luftwaffe, les 52 appareils qui demeurent en service ne peuvent évidement plus répondre aux menaces actuelles. Cet appareil d'un autre âge ne peut plus assurer la protection aérienne de la Confédération pendant la nuit ou par mauvais temps, car son radar obsolète l'a rendu aveugle. C'est pour cette raison que ce type d'appareil est actuellement utilisé pour la Patrouille Suisse. Ces appareils consomment néanmoins 2600 litres de kérosène et coûtent 17000 francs pour chaque heure de vol.

Source : Internet (page actualisée le 23/11/2012)

lundi 29 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Genève contre Gripen

En cette période de crise, où l'avenir de la presse papier est fortement remise en question, le quotidien genevois Le Temps, a publié une série d'articles concernant le nouvel appareil de combat Gripen. Ces articles, écrits par des journalistes ignorants, étaient souvent diffamatoires, infamants ou tout simplement incorrects.

En 2011 les premiers articles se contentent de mettre en exergue le prix inférieur du Gripen pour le discréditer.

 Le 25 nov. 2011, le Temps titre "Le Gripen à un prix de superdiscounter".
 Le 30 nov. 2011, le Temps titre "Le Conseil fédéral choisit le Gripen, chasseur à prix cassé".
 Le 01 déc. 2011, le Temps titre "L'argument financier a tranché pour le Gripen".
 Le 04 déc. 2011, le Temps titre "Rafale de critiques sur le Gripen".

Dès 2012, après la révélation de rapports préalables secrets concernant le Gripen C/D, les articles critiquent la décision.

 Le 24 janv. 2012, le Temps titre "Accusations anonymes sur le choix du Gripen".
 Le 25 janv. 2012, le Temps titre "Examen approfondi du choix du Gripen".
 Le 03 févr. 2012, le Temps titre "Un nouvel obstacle pour l'achat des Gripen".
 Le 18 févr. 2012, le Temps titre "Les dépités du Gripen". 
 Le 23 févr. 2012, le Temps titre "Ce Gripen qui fâche".
 Le 11 Avr. 2012, le Temps titre "Horizon incertain pour les 22 Gripen".
 Le 26 avr. 2012, le Temps titre "Un référendum attend déjà le Gripen".

Dès la mi-mai, la firme suédoise entreprend de ce défendre et les attaques se concentre alors sur l'UDC et sur Ueli Maurer.

 Le 18 mai 2012, le Temps titre "Saab passe à la contre-offensive pour défendre son Gripen".
 Le 03 juin 2012, le Temps titre "Gripen : Maurer continue sur sa lancée".
 Le 04 juin 2012, le Temps titre "Du vélo au Gripen, le saut vertigineux d'Ueli Maurer".
 Le 30 juin 2012, le Temps titre "Opération de charme des Suédois pour vendre le Gripen ".
 Le 16 août 2012, le Temps titre "En Suède, les coûts du Gripen allument la controverse".
 Le 21 août 2012, le Temps titre "Doutes en Suède sur le développement du Super JAS".
 Le 22 août 2012, le Temps titre "Le Gripen, cet avion qui multiplie les risques".
 Le 22 août 2012, le Temps titre "Comment Berne a avantagé le Gripen".
 Le 25 août 2012, le Temps titre "Gripen, un accord-cadre a été signé".
 Le 23 août 2012, le Temps titre "Comment Berne a pipé les dés en faveur du Gripen".
 Le 26 août 2012, le Temps titre "Le Gripen et Rubik, ces grands malades qu'il faut sauver".
 Le 29 août 2012, le Temps titre "Doute sur la parole d'Etat".
 Le 01 sept. 2012, le Temps titre "Le Gripen provoque une rafale d'amabilités à droite".
 Le 02 sept. 2012, le Temps titre "Ueli Maurer et les Gripen: Attention à la Suède".
 Le 04 sept. 2012, le Temps titre "Gripen: les sénateurs jouent la montre".
 Le 21 sept. 2012, le Temps titre "Décision suédoise en décembre pour le Gripen".
 Le 01 oct. 2012, le Temps titre "Les concurrents du Gripen font de nouvelles offres".
 Le 10 oct. 2012, le Temps titre "Le Gripen fait des étincelles".
 Le 10 oct. 2012, le Temps titre "Avion de combat: ce Gripen qui fâche".
 Le 11 oct. 2012, le Temps titre "Premier vol du Gripen au-dessus de la Suisse".
 Le 12 oct. 2012, le Temps titre "La visite du Gripen s'est achevée sur un plaidoyer".
 Le 13 oct. 2012, le Temps titre "Opération de communication pour le Gripen".
 Le 01 nov. 2012, le Temps titre "Bataille juridique autour du Gripen".
 Le 15 nov. 2012, le Temps titre "Le Gripen masque l’absence de débat sur le rôle de l’armée".
 Le 15 nov. 2012, le Temps titre "Ueli Maurer obtient le soutien du Conseil fédéral pour l’achat du Gripen".


Après analyse, ces articles dirigés contre l'avion suédois étaient vraisemblablement destinés à favoriser le Rafale français ou à conspuer l'UDC. Or, cette campagne de dénigrement contre Ueli Maurer et contre le Gripen a porté atteinte non seulement à la crédibilité du CF et de l'armée, mais encore à la Suisse et dans une certaine mesure à la Suède. Ces articles démontrent également que le canton de Genève, qui possède le plus fort taux de chômage,  le plus fort taux de Français et le plus fort taux de frontaliers hésite encore entre la France centralisatrice et la Confédération helvétique. Finalement, la crédibilité et l'impartialité du journal Le Temps, piloté depuis l'étranger est détruite, car ce quotidien n'est pas représentatif du peuple suisse.
La solution logique, le JAS-39 Gripen E

Source : Internet (page actualisée le 10/12/2012)

samedi 27 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Gripen optimal

Le Gripen E est la solution optimale pour l’Armée suisse, car le Gripen E répond aux exigences formulées et aux besoins de la troupe. Il représente une solution supportable à long terme sur le plan financier. Une évaluation détaillée conduite sur plusieurs années a démontré que l’avion de combat suédois est le meilleur choix pour l’Armée suisse.

Le 30 novembre 2011, le Conseil Fédéral (CF) a décidé d'acquérir 22 avions de combat de type JAS-39 E Gripen pour remplacer les F-5 E/F Tiger II devenus obsolètes. Un document de travail ainsi qu'un récapitulatif des notes et coûts des candidats a servi de base pour la décision prise par l'ensemble du CF. Ces documents de base sont le résultat d'une évaluation détaillée de trois types d'avions (le Rafale de l'entreprise française Dassault, l'Eurofighter du consortium européen EADS/Cassidian et le Gripen de l'entreprise suédoise SAAB) qui a été effectuée durant plusieurs années. Cette évaluation a révélé que les trois modèles répondent aux exigences formulées et qu'ils étaient par conséquent tous éligibles pour devenir le nouvel appareil de combat des forces aériennes helvétiques.

L'évaluation visait une analyse approfondie portant sur la valeur d'utilisation et le coût des trois candidats EF Typhoon II, JAS-39 E Gripen et Dassault Rafale 3. Une équipe de projet intégrée placée sous la direction d'Armasuisse a planifié, organisé et analysé l'évaluation. L'efficacité opérationnelle des avions a entre autres été évaluée en 2008 et 2009. Elle s'est déroulée sur la base des résultats de l'évaluation en vol et au sol ainsi que de l'analyse des différences entre les modèles testés et ceux présents dans l'offre qui correspondent au degré de développement au moment de la livraison. Le même barème et la même notation ont été utilisés durant tout le processus d'évaluation et de prise de décision. Les offres mises à jour pour le programme d'armement 2012 ont été faites au mois d'octobre 2011. Elles intégraient des prix fixes définitifs qui ont servi de base pour la détermination des frais d'acquisition.

L'acquisition ne prévoit pas uniquement 22 avions et leur équipement pour les missions, mais un paquet global comprenant notamment l'armement, le paquet logistique, les systèmes d'instruction pour les pilotes, l'intégration du TTE dans les systèmes de commandement et d'autres éléments. L'estimation des frais d'exploitation durant 30 ans est également présentée à côté des frais d'acquisition. Comme les trois candidats répondent aux exigences posées et aux besoins de la troupe et entrent en principe en ligne de compte pour le remplacement partiel du F-5 E/F Tiger II, ce sont les aspects financiers du paquet global qui sont déterminants. En effet, le DDPS doit tout mettre en œuvre pour que l'acquisition d'un nouvel avion de combat soit financièrement supportable pour l'armée, à moyen et à long terme, afin de pouvoir utiliser un maximum de ressources pour d'autres besoins urgents de l'armée.

C'est pour cette raison que le Conseil fédéral s'est prononcé, sur proposition du DDPS, en faveur du Gripen E/F de l'entreprise suédoise SAAB. Cet avion qui répond aux exigences formulées constitue également un choix en adéquation avec les finances. Le Gripen est par conséquent la solution optimale pour l'armée dans son ensemble.

Précisions complémentaires et commentaires de la décision :


- Aucun des appareils présentés n'est en service et demeurent des prototypes.
- Aucun des appareils présentés ne sera fabriqué en Suisse.

- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse étaient largement supérieures au budget alloué à l'armée.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse concernaient des appareil biréacteurs entrant en infraction avec notre législation sur le bruit.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse étaient établies en une unité de compte à l'avenir incertain.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse n'offraient pas des compensations compétitives.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse dépassaient la limite financière imposée par le peuple.

- L'offre de Dassault n'offre pas des dimensions compatibles avec le matériel déjà utilisé par notre armée.

- L'offre de Dassault n'offre pas une motorisation unitaire suffisante, qui n'autorise pas la supercruise.
- L'offre de Dassault n'offre pas une motorisation unitaire suffisante, qui n'autorise pas le décollage sans PC.
- L'offre de Dassault n'offre pas un viseur de casque efficace, démontré en Afghanistan et en Lybie.
- L'offre de Dassault n'offre pas d'une avionique suffisamment moderne.

Par contre, pour remplacer le F-5 Tiger II E/F et collaborer avec le FA-18 Hornet C/D le Gripen répond idéalement, car :
- Il coûte moitié prix de l'appareil français,
- Il a a la même taille que le F-5 E/F Tiger II qu'il doit remplacer,
- Il a le même type de réacteur que le FA-18 C/D qu'il doit seconder,
- Il est aussi rapide que l'appareil français, tout en étant moins bruyant,
- Il a la même puissance relative que l'appareil français,
- Il est capable de s'adapter à l'infrastructure existante, sans modification, à la différence du Rafale français,
- Il possède un viseur de casque, à la différence du Rafale français,
- Il pourra utiliser les mêmes missiles que le FA-18, à la différence du Rafale français,
- Il sera capable de décoller de nos autoroutes, à la différence du Rafale français,
- Il possède un radar plus performant que l'appareil français.

Source : Internet (page actualisée le 27/10/2012)

jeudi 25 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Articles de presse

En Suisse, l'avion de combat français Rafale provoque des tirs croisés au parlement.
La corruption, les malversations, les financements occultes et les dessous de tables opérés par des agents infiltrés français, dont la publication d'anciens rapports secrets du CF provoquent des tirs croisés sur l'avion de combat Rafale au sein de l'Assemblée Fédérale. En effet, tout en s'efforçant de vendre ses anciens appareils à la Suisse, la France signe dans le même temps des contrats de délocalisation en Inde à qui elle veut vendre sa technologie. Ensuite, tout en assurant la Suisse que le Rafale est le meilleur choix, la France développe des avions sans pilotes avec l'Angleterre pour remplacer ce même appareil polyvalent. Finalement, à court de missions pour l'appareil qu'elle veut imposer en Suisse, la France cherche des débouchés dans le spatial pour le Rafale.

En Suisse, le Conseil Fédéral exige 98 améliorations à apporter à l'appareil de combat français Rafale.
Parmi ces améliorations, la Suisse aimerait disposer d'un avion de taille compatible avec les alvéoles du Tiger, d'un prix compatible avec l'enveloppe budgétaire allouée à l'armée par le peuple, de la Supercruise, du décollage sans PC, du décollage de pistes peu aménagées, du décollage STOL, d'une compatibilité avec les armements OTAN, d'une compatibilité avec les armements du FA-18, de la compatibilité avec le système FLORAKO, de la capacité à lancer les missiles à courte portée IRIS-T allemands, de la capacité à lancer les missiles à courte portée ASSRAAM anglais, de la capacité à lancer les missiles à courte portée AIM-9X Sidewinder américains, de la capacité à lancer les missiles à moyenne portée AIM-120 AMRAAM américains, de la capacité à lancer les missiles  à longue portée Meteor européen, du radar AESA ES-05 'RAVEN' de SELEX Galileo, du moteur GE F-414G du FA-18, de l'écran géant du F-35, de l'écran géant Pilatus XXI,  des commandes vocales, des classiques commandes HOTAS, d’un HUD large de nouvelle génération, du viseur de casque HMD Cobra, d'une l'architecture électronique de dernière génération 5x plus rapide, du système de guerre électronique EWS39, du générateur d'oxygène embarqué OBOGS, etc.

En France, le projet Rafale est un scandale et une controverse s'élève sur les coûts du Rafale.
En France des collusions entre le gouvernement, Lagardère et Dassault oblige le peuple français a soutenir à coup de millions la firme aéronautique Dassault. Plutôt que d'améliorer le Mirage 2000-9 pour le rendre plus polyvalent ou d'intégrer le projet EF2000, l'Etat français a préféré subventionner le projet Rafale. Or cet appareil n'apporte aucun avantage par rapport à ses successeurs et il constitue un gouffre financier. Cet appareil conçu pour la guerre froide ne répond plus aux dangers d'aujourd'hui et son évolution est fortement compromise, car il n'a pu être exporté dans aucun pays. Même l'Aéronavale française n'en voulait pas.

En Suisse et en France, les opposants ne s'unissent pas.
En Suisse comme en France, les partis écologique et socialiste font preuve d'angélisme et s'opposent aux avions de combat, quels qu'ils soient. Ces illuminés ne veulent pas d'armée du tout, veulent l'adhésion à une grande Europe ultracapitaliste et antidémocratique. L'achat ou le choix du nouvel appareil de combat est l'occasion pour les gauchistes d'attaquer le Conseiller Fédéral UDC Maurer et de l'empêcher d'accéder à la présidence.

En Suisse, l'avion de combat français Rafale est un appareil où tout reste à faire.
Conçu dans les années septante pour faire face aux appareils soviétiques, les systèmes du Rafale ne répondent plus aux dangers actuels. Non seulement, ses moteurs, son avionique et son armement sont dépassés, mais ils n'évoluent plus, car ils sont produits par un pays en faillite virtuelle. De plus, la version F3-04T présentée n'existe qu'à un seul exemplaire, si bien que le Rafale n'est en l'état qu'un avion de papier. Pour répondre au cahier des charges helvétique, de telles modifications devraient être apportée que ce serait un nouvel appareil. Car pour répondre à l'islamisation et à la catholisation de la société, les vecteurs nucléaires sont inutiles. Pour faire face à l'immigration, à l'inflation, à la surpopulation et au bétonnage du pays, le supersonique Rafale n'est pas une arme efficace.

En Suisse, le Rafale français devrait recevoir le coup de grâce.

La révélation d'anciens document secret par des agents infiltrés français a obligé le CF a diligenter une commission d'enquête parlementaire. Cette commission devrait révéler les tentatives de corruption et enlever toute crédibilité à la candidature française. Rappelons que cet appareil contreversé a déjà été refusé en Corée, aux Pays-Bas, à Singapour, au Maroc, en Inde, en Suisse, aux Emirats, au Brésil.

En Suisse, Berne a cependant avantagé le Rafale français.
Les services secrets français ont grassement rémunéré certains parlementaires et certains gradés de l'armée dans l'espoir d'infléchir la décision helvétique en faveur du Rafale. Mais pour éviter un scénario identique à celui du Mirage III S face au Saab-35 Draken, les parlementaires ont intelligemment attendu le départ à la retraite de l'homme de paille de Dassault. Comme nous ne sommes pas en guerre et pour éviter de dépasser le budget déjà voté, ils ont différé cet achat jusqu'en 2020. Très pragmatiquement, le CF a alors jugé les trois appareil en lice et a favorisé le Gripen E pour ses performances supérieures en terme de coût, de compatibilité, de modernité, de simplicité, de robustesse et d'utilité. Il faut dire que le GSSA a bien aidé le CF en plafonnant les frais annuels de l'armée à 3 milliards.

En Suisse se trouvait la dernière chance de survie du Rafale français.
Devant les coûts exorbitants du Rafale et son insuccès à l'exportation, la France, songe sérieusement arrêter le programme Rafale. La France se rend compte que la Suisse était la dernière chance de mettre à jour une ultime version de son Rafale. Pour cette raison la France s'est tournée vers l'Inde à qui elle vendra tout son savoir-faire et toute ses chaînes de production. L'Inde pourra ainsi se libérer de la tutelle technologique de la Russie et de la tutelle politique du Royaume-Uni.

En Suisse le Rafale français n'est qu'un rafistolage d'appareil existants.
Le Rafale français n'est qu'un rafistolage d'appareil existants, car le Rafale est un assemblage disparate entre le Mirage IV, le Mirage F1, le Mirage 2000, le Jaguar et l'Etendard. La France en voulant privilégier ses constructeurs nationaux Safran, Thales, Sagem, Snecma et Dassault, s'est séparée de ses alliés européens et a été contrainte de développer son appareil en solitaire. Le résultat est un appareil qui suffit à la France, mais qui est inexportable, car incompatible à tous niveaux. Mais la France, adepte de la méthode Coué, ne peut envisager que des appareils concurrents utilisés dans plusieurs armées aient des équipements plus modernes, équivalents voire supérieurs à ceux du Rafale.

En Suisse, le torchon continue de brûler entre Ueli Maurer et les parlementaires.
Effectivement les partis de gauche soutenus par la France s'opposent aux avions de combat ne veulent pas d'armée du tout. Alors que les partis de droite soutenus par l'Allemagne prônent l'Eurofighter Typhoon II, déjà utilisé par nos voisins européens allemands, autrichiens et italiens. Le choix du nouvel appareil de combat est l'occasion pour les partis de droite comme de gauche d'attaquer le Conseiller Fédéral UDC Maurer et l'empêcher d'accéder à la présidence.

En Suisse, le Conseil Fédéral considère que le Rafale français est un choix risqué et très critiqué.
La France a toujours eu une guerre de retard, à la Blitzkrieg elle opposait la ligne Maginot, aux Messerchmitt elle opposait des Morane et à Internet, elle opposait le Minitel. La France veut maintenant refiler à la Suisse un appareil conçu pour la guerre froide, alors que l'époque est aux radars performants, aux missiles intelligents et aux communications satellitaires. Cet appareil est facturé en Euro, une unité de compte qui vit ses derniers jours et cet appareil est produit par un pays qui est virtuellement en faillite depuis des années. La poursuite de la production de cet appareil ne semble pas assurée et la Suisse aimerait plutôt engager des pourparlers avec un Etat, qui garantirait sa viabilité.

OUI au Gripen le 18 mai 2014

JAS-39 Gripen E

Source : Internet (page actualisée le 25/10/2012)

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Continuité & Sécurité

Il semblerait que les Forces Aérienne de la Confédération Helvétique aient opté pour la meilleure solution en portant leur choix sur la dernière évolution du Gripen suédois. Il y avait en effet de grands risques que l'acquisition de matériel français débouche sur une nouvelle affaire des Mirages. En effet, l'appareil de combat proposé par la France, soit le Rafale F3-04T est un modèle de papier qui n'existe qu'en un seul exemplaire et qui ne sera sans doute jamais construit en série. Il est en outre à prévoir que la crise économique actuelle va forcer la France a transférer son savoir-faire et ses chaînes de production en Inde. De plus, ce modèle a rencontré des inconvénients rédhibitoires qui l'ont automatiquement éliminé de la compétition, dont voici l'énumération :

Premièrement, de par sa hauteur disproportionnée, le Rafale s'est montré incapable de rentrer dans les alvéoles, les hangars ou les cavernes du Tiger, ce qui aurait impliqué des modifications coûteuses de l'infrastructure, semblables à celles opérées en son temps sur le Mirage III S.


Deuxièmement, par son prix surfait, le Rafale français s'est montré incapable d'entrer dans l'enveloppe budgétaire allouée à l'armée par le peuple, ce qui enfreint la législation sur le frein aux dépenses militaires.


Troisièmement, de par sa sophistication, le Rafale s'est montré incapable de décoller de pistes courtes peu aménagées, ce qui le rend incompatible avec notre armée de milice.


Quatrièmement, le Rafale s'est montré incapable de décollage et de supercruise sans postcombustion, ce qui enfreint les normes fédérales sur le bruit.

Cinquièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de lancer les missiles à courte portée IRIS-T allemands qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué leur achat.

Sixièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de  lancer les missiles à courte portée ASSRAAM anglais qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué leur achat.

Septièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de  lancer les missiles à courte portée AIM-9X Sidewinder américains qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué leur achat.

Huitièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de lancer les missiles à moyenne portée AIM-120 AMRAAM américains qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué des achats.

Neuvièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale ne dispose pas du radar AESA ES-05 'RAVEN' produit par SELEX Galileo qui permet d'engager 10 cibles à 150 km.

Dixièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale ne possède pas le moteur GE F-414G, successeur du GE 404 du FA-18, offrant 98kN de poussée et capable de Supercruise sans réchauffe.

Onzièmement, de par sa  production uniquement française, le Rafale ne dispose pas de l'écran géant du F-35 semblable à celui du Pilatus XXI, personnalisable et configurable en fonction du type de mission.

Douzièmement. de par sa production uniquement française, le Rafale ne dispose pas de commandes vocales.

 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas des classiques commandes HOTAS, mais d'un système français.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas d’un HUD large de nouvelle génération.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas du viseur de casque HMD Cobra, rate ses cibles et a du se faire accompagner de Mirages 2000-5 en Afghanistan et en Lybie.
 De par saproduction uniquement française, le Rafale français ne dispose pas de l'architecture électronique de dernière génération à puissance de calcul 5x plus rapide.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas du système de guerre électronique EWS39.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas du système du générateur d'oxygène embarqué OBOGS.

Le Rafale français n'est qu'un rafistolage d'appareil existants, car le Rafale est un assemblage disparate entre le Mirage IV, le Mirage F1, le Mirage 2000, le Jaguar, le Crusader, l'Etendard IVP et le Super-Etendard. La France en voulant privilégier ses constructeurs nationaux Safran, Thales, Sagem, Snecma et Dassault, s'est coupé de ses alliés européens et a du développer son appareil seule. Le résultat est un appareil qui suffit à la France, mais qui est inexportable, car incompatible à tous niveaux.

Le Gripen est par contre l’un des avions de combat les plus agiles qui soient. Son aérodynamique hautement développée, associée à un système de commande numérique à triple chaîne et aux systèmes d’armement les plus modernes et les plus avancés du monde, lui confère des avantages énormes en combat aérien. Le Gripen se pose en rival du très connu F-16 américain et en successeur du défunt Mirage III S. Par son choix intelligent, la Suisse privilégie la continuité et la sécurité plutôt que la rupture.

Source : Internet (page actualisée le 25/10/2012)

lundi 22 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Gripen idéal

 Le constructeur aéronautique suédois SAAB s'est fixé comme objectif de vendre son nouveau Gripen E/F dans une dizaine de pays au cours des dix prochaines années, car l'excellence de cet appareil, combiné avec aux très graves déboires technologiques et financiers du F-35 américain a donné de nouvelles ambitions au constructeur aéronautique suédois.

 L'appareil JAS-39 E est tellement bon que la campagne déloyale de dénigrement systématique opérée dans la presse helvétique par les constructeurs français Dassault et allemand Eurofighter n'ont pas empêché son acquisition par l'armée fédérale suisse. La firme aéronautique suédoise peut maintenant compter sur un sixième client pour son appareil polyvalent, après la Suède, la Hongrie, la Tchéquie, l'Afrique du Sud et la Thailande, à la différence de la firme Dassault, qui n'a toujours pas réussi à placer son franco-français Rafale après trente années de carrière.

 Pour atteindre l'objectif de vendre 300 Gripen ces prochaines années, une version marine du Gripen et une version à tuyère vectorielle seraient déjà à l'étude par SAAB aviation. Car après l'échec de l'avion de combat suédois en Norvège (2008), aux Pays-Bas (2008) et en Inde (2011), la firme suédoise veut chatouiller l'ogre américain Lockheed Martin en Europe.

  • Face aux retards inquiétants du F-35, la firme SAAB concourt pour 36 JAS-39 Gripen E/F aux Pays-Bas et pour 48 JAS-39 Gripen E/F au Danemark.
  • Pour remplacer 14 Gripen C/D, la firme SAAB concourt pour 10 JAS-39 Gripen E/F en Hongrie et pour 10 JAS-39 Gripen E/F en Tchèquie, pour remplacer 14 Gripen C/D également.
  • En Roumanie, Saab concourt pour 48 appareils Gripen C/D, face au Lockheed Martin F-16 A/B et au EF Typhoon II A d'Eurofighter.
  • En Bulgarie, Saab concourt pour 16 appareils Gripen C/D d'occasion, face au Lockheed Martin F-16 C/D et au EF Typhoon II A d'Eurofighter.
  • En Croatie, Saab concourt pour 12 appareils Gripen C/D d'occasion, face au Lockheed Martin F-16 C/D et au EF Typhoon II A d'Eurofighter.
  • Au Brésil, Saab a gagné pour 36 appareils Gripen E/F, face au FA-18 E/F SuperHornet de Boeing.
  • En Malaisie, Saab concourt pour 24 appareils Gripen E/F, face au FA-18 E/F SuperHornet de Boeing, au EF Typhoon II d'Eurofighter et au Sukhoï Su-30 MKM.


SAAB a de bonnes chance d'emporter certains de ces marchés car :

- le SAAB JAS-39 E SuperGripen peut faire l'impasse de la version biplace grâce au simulateur,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen possède le radar AESA Selenium Galileo supérieur à la concurrence et le radar fait tout dans la guerre aérienne moderne,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen possède le système IRIS-T de l'Eurofighter,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen possède le casque à affichage tête haute COBRA supérieur à la concurrence,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen peut déjà lancer le missile à longue portée METEOR,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est polyvalent : Chasse, Attaque, Reconnaissance,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est meilleur marché que ces concurrents,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est plus petit que ces concurrents, pénétre plus facilement dans les hangars, les cavernes militaires et les porte-avions,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est capable de décoller à partir d'une portion de route droite de 800 mètres de long,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est moins bruyant qu ces concurrents,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est opérable par une armée de milice,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est capable de lancer tout les armements de l'OTAN, du F-5 et du FA-18.

Source : Internet ( page du 22/10/2012 actualisée le 09/09/2014)

vendredi 19 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Farner contre Gripen

La France en décidant de développer seule dans les années septante son appareil de combat a commis une erreur monumentale. En effet, dans le but de rationaliser la production et l'exploitation, la France voulait remplacer cinq types d'aéronefs différents par un unique appareil polyvalent. Mais, cet avion multirôle à force de vouloir tout faire, ne fait rien de vraiment bien, car il n'apparaît dans l'armée de l'air française trop tardivement.  Mis en service 30 années après sa conception, il répond à son cahier des charges initial, mais ne correspond plus à la situation géostratégique actuelle. Non seulement ses moteurs, son avionique et son radar sont déjà dépassés là sa sortie, mais ses systèmes intégralement produits en France ne sont compatibles qu'avec des armements français. Dès lors, quel est le pays qui prendrait le risque de ne dépendre que d'un seul pays constructeur en matière d’armes, d’électronique, d’avionique et de motorisation ?

D'autre part, le prix de l'appareil franco-français est prohibitif et Dassault n’a toujours pas de client à l’exportation, car le Rafale est difficilement intégrable dans d'autres armées. Mais devant les sommes déjà investies, la France est elle, obligée d'en faire l'acquisition et d'en équiper son armée, à laquelle il est suffit. Cependant, la France, qui exploite et finance seule le développement et la production et de cet appareil d'exception aurait du impérativement l'exporter pour l'adapter et continuer de le produire. Mais comme il est trop cher, il ne se vend pas à l'étranger. C'est pour cette raison que la firme Dassault a mandaté l'agence Farner pour éliminer le Gripen et imposer le Rafale en Suisse. Cette agence a fait paraître moult articles critiques peu élogieux dans la Basler Zeitung, la Tribune de Genève et le Temps.

- L'agence Farner met en avant dans 24 heures du 26/01/2012 que des tirs croisés sur l'avion de combat Gripen ont lieu au parlement.
 ( Effectivement la France essaye par tous les moyens de discréditer le Gripen dans la presse et dans les Chambres, car la France doit vendre son ancien Rafale pour que celui-ci continue d'être produit. )
- L'agence Farner prévient dans 24 heures du 13/05/2012 que Berne exige 98 améliorations à apporter sur le prototype du futur avion de combat que veut acheter la Confédération.
 ( Car la France révèle dans la presse un rapport d'évaluation secret de 2008 concernant l'ancien Gripen C/D. Rappelons à ce titre que l'aéronavale française avait également refusé le Rafale A  )
- L'agence Farner prétend dans l'Hebdo du 23/05/1012 que le projet Gripen est un scandale en Suède également.
 ( Il est établi que les partis écologique et socialiste ne veulent pas d'armée du tout, veulent l'adhésion à l'Europe et la disparition de la Suisse. )
- L'agence Farner insinue dans Le Matin du 12/05/2012 que le Gripen est un appareil où tout reste à faire.
 ( Effectivement la France n'admet pas que le Gripen NG vole déjà, alors que son Rafale n'évolue plus faute de moyens financiers suffisants. )
- L'agence Farner raconte dans Le Matin du 07/08/2012 que le Gripen devrait recevoir le coup de grâce.
 ( Car la France espère que la révélation d'anciens document secret autorisera ses agents infiltrés d'infléchir la décision du CF )
- L'agence Farner prévient dans Le Matin, dans l'Hebdo, dans 20MN, dans Le Temps du 16/08/2012 de la controverse en Suède sur les coûts du futur Gripen.
 ( Car la France espère toujours que ses agents infiltrés pourront d'infléchir la décision du CF )
- L'agence Fahrner explique dans Le Temps du 22/08/2012 comment Berne a avantagé le Gripen.
 ( Car la France réalise que son Rafale trentenaire est égalé par des appareils plus petits et plus modernes )
- L'agence Farner claironne dans Le Temps du 29/08/2012 que la Suisse est la dernière chance de survie du Gripen.
 ( Car la France, qui pense arrêter la production du Rafale, se rend compte que la Suisse était la dernière chance de placer son Rafale  ! )
- L'agence Farner insinue dans la Tribune de Genève, dans 24 heures et dans Le Matin du 26/09/2012 que le Gripen E n'est qu'un rafistolage d'appareil existants.
 ( Car la France n'admet pas que des appareils concurrents utilisés dans plusieurs armées aient des équipement supérieurs à ceux du Rafale. )
- L'agence Farner persiste dans RTS, le Matin et la Tribune de Genève du 09/10/2012 par le torchon continue de brûler entre Ueli Maurer et les parlementaires.
 ( Effectivement les partis de gauche ne veulent pas d'avion du tout et les partis de droite veulent l'Eurofighter Typhoon II. )
- L'agence Farner avertit dans swissinfo du 19/10/2012 que le Gripen est un choix risqué et très critiqué.
 ( Comme la France a toujours eu une guerre de retard, elle veut nous vendre son appareil conçu pour la guerre froide, alors que l'époque est aux radars performants, aux missiles intelligents et aux communications satellitaires. )  

Tout en coûtant la moitié d'un Rafale ou d'un Typhoon, le Gripen E est un appareil plus moderne, plus maniable, équipé du radar AESA ES-05 RAVEN produit par SELEX Galileo, disposant de la meilleure avionique. Petit et agile, il bénéficie d'un excellent rapport poids puissance et il est capable de coopération avec nos FA-18 C/D Hornet. D'autre part, il consomme moins et produit moins de nuisance sonore que ce dernier. Disposant de l'exceptionnel système IRIS-T également emporté par le Typhoon, le Hornet et le Tornado, il dispose d'une solide défense air-to-air. Il a d'autre part déjà lancé le missile à longue portée Meteor en 2010.
JAS-39 E Gripen des Forces Aériennes Suisses


Source : Internet (page actualisée le 20/10/2012)

jeudi 27 septembre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Typhoon

L’histoire de l’Eurofighter Typhoon II commence en 1983 en Europe sous la dénomination EFA (European Fighter Aircraft), au moment des derniers soubresauts de la guerre froide.

L’Angleterre, l’Allemagne et l’Italie, associées à l’Espagne et à la France, débutent les études en vue de produire un véritable chasseur aérien européen, capable de prendre la succession du fantastique Panavia Tornado. Pour ce faire, l’Angleterre, l’Allemagne, l’Italie et Espagne coopèrent dans la conception, la production et la mise au point, alors que la France se désolidarise après l'étude de faisabilité. Chaque pays partenaire assemble les appareils dont il a besoin et produit certaines parties de l'appareil commun. Cette méthode a permis des échanges d’informations fructueux et l’acquisition de nouvelles compétences.

L’appareil de combat multi rôle européen devait non seulement rivaliser avec les appareils soviétiques, mais aussi diminuer les coûts et la dépendance vis-à-vis de l’Amérique,  ou encore augmenter la collaboration et l’avance technologique en Europe. Après des retards pour raisons économiques, le premier avion est livré en 2003.

Les gouvernements Anglais, Allemands, Italiens et espagnols se sont impliqués dans la conception, la fabrication et la commercialisation de EF Typhoon II. Issu d’un exercice de collaboration exemplaire, cet excellent appareil de supériorité aérienne équipe l’Autriche et l’Arabie Saoudite, en plus des pays producteurs. Le Typhoon II est un bi réacteur extrêmement lourd et puissant, doté des techniques les plus récentes, capable d’emporter toutes les armes conventionnelles de l’OTAN. Dépassant Mach 2, il est toutefois dépourvu de version marine.

L’Angleterre, l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, l’Autriche et l’Arabie Saoudite dispose de ce chasseur européen. Celui-ci à déjà été produit à 338 exemplaires. L’Allemagne offre à la Confédération Helvétique la vente d’anciens Typhoon de première génération pour remplacer les F-5 E/F Tiger II de l’armée suisse.

Concernant ses résultats opérationnels, le Typhoon II a fait preuve de sa puissance en Lybie. Il est de plus en service dans la puissante Deutsche Luftwaffe et dans la célèbre Royal Air Force.

La Confédération Helvétique au terme d’une campagne d’évaluation n’a pas retenu le Typhoon, car son prix a été jugé excessif par le peuple. Bien qu’incompatible au niveau des ordonnances sur le bruit et incompatible au niveau de l’enveloppe budgétaire accordée par le parlement, cet appareil déjà utilisé par trois de nos voisins et par cinq pays européens répond parfaitement aux besoins de l’armée confédérale. Capable de décollage et d’interception rapide, il dispose d’un radar, d’un casque de visée et d’une avionique efficaces et modernes.


Source : Internet  (page actualisée le 28/09/12)

mardi 25 septembre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Nouvelles offres

La judicieuse décision du ministre de la défense Uli Maurer a obligé les Français et les Allemands à réviser leurs prétentions irréalistes en matière d'appareil de combat présenté. En effet, les Français et les Allemands, face au marasme économique et à l'absence de menace aérienne crédible ont décidés de calquer leurs offres sur celles des Suédois. Tant les Allemands que les Français offrent 22 appareils de l'ancienne génération pour 3 milliards de francs.

Or ces offres, bien qu'elles soient intéressantes, arrivent un peu tard, alors que le gouvernement suisse et le gouvernement suédois arrivent dans la ligne finale de leur contrat d'acquisition. Rappelons que l'armée suisse cherche un appareil pour remplacer le F-5 E/F Tiger II, qui soit compatible avec l'OTAN, avec l'Europe, avec le FA-18 C/D Hornet pour défendre l'espace aérien helvétique. Or le JAS-39 Gripen répond idéalement à ce cahier des charges :
        - Il a a la même taille que le F-5 E/F Tiger II qu'il doit remplacer.
        - Il a le même type de réacteur que le FA-18 C/D Hornet qu'il doit seconder.
        - Il est plus rapide que l'appareil français, tout en étant moins bruyant.
        - Il a la même puissance relative que l'appareil français, tout en étant plus maniable.
        - Il est capable de s'adapter immédiatement à l'infrastructure existante.
        - Il utilise les mêmes missiles que nos FA-18 C/D .
        - Il sera capable de décoller de nos autoroutes en cas de guerre.
        - Il est moins complexe, son exploitation et son entretien sont moins onéreux.
        - Il autorisera l'armée suisse à maîtriser sa technologie car partiellement produit sur place.
        - Il possède un viseur de casque plus performant que ces rivaux.
        - Il possède une avionique plus performante que ces rivaux.
        - Il possède un radar plus performant que ces rivaux.

Les nouvelles offres reçues par le Conseil Fédéral ne concernent des appareils anciens et obsolètes dont les armées des pays producteurs aimeraient se débarrasser. La firme Dassault, dont l'appareil Rafale n'est utilisé que par la seule armée française doit impérativement vendre ses appareils obsolètes à l'étranger sous peine de faillite. Par contre, les anciens Eurofighter Typhoon allemands de première génération pourraient entrer en ligne de compte dans une nouvelle évaluation. Ces appareils sont extrêmement puissants, possèdent un armement compatibles avec nos FA-18 et sont déjà en service dans les armée de l'air anglaise, allemande, autrichienne, italienne et espagnole.

Mais, l'achat d'appareil anciens et biréacteurs, n'apporte aucune solution en matière de nuisances sonore, ne procure aucune contre-partie politique ou financière, ne fournit pas de travail à notre industrie. Alors que le contrat négocié avec l’État suédois fournit :
        - un espace d'entraînement dans le grand nord suédois,
        - une collaboration étatique dans la conception et la construction,
        - des contrats pour la firme technologique RUAG,
        - des contrats pour la firme aéronautique Pilatus,
        - des contrats pour la firme ferroviaire Stalder Rail.

L'achat de cellules éprouvées, mais fatiguées, pourrait être une solution de dépannage, mais temporaire, car à ce moment, pourquoi ne pas acheter d'anciens FA-18 A/B espagnols ? Il est indispensable pour la Confédération helvétique de lier cet achat de nouveaux appareils de combats à une contre-partie politique qui nous libérerait de la pression intolérable exercée par l'UE au niveau économique, politique et migratoire.


Source : Internet (page actualisée le 25/09/12)

mercredi 25 juillet 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Gripen

L’histoire du SAAB Gripen commence en 1982 en Suède, au moment des derniers soubresauts de la guerre froide.

La Suède, ancienne puissance européenne devenue neutre, mais géographiquement trop proche de l’ogre soviétique, ressent le besoin de se doter d’un nouvel appareil de combat capable de prendre la succession de ses robustes Saab 35 Draken et Saab 37 Viggen. Pour ce faire, la Suède développe l’appareil avec ses alliés Anglais et Américains, qui fournissent les puissants moteurs et l’armement conventionnel. Comme 50% des pièces proviennent de pays appartenant à l’OTAN, l’appareil est hautement compatible avec l’alliance occidentale, tout en étant produit par un pays neutre.

L’appareil de combat multi rôle suédois devait être capable de rivaliser avec les appareils soviétiques et devait autoriser la Suède à conserver son avance technologique. Après une mise au point laborieuse, le premier avion est livré en 1989, alors que l’URSS implose face à la coûteuse course technologique imposée par les Américains dans le domaine des missiles, du bouclier spatial, ou des bombardiers hypersoniques.

Le gouvernement suédois s’est impliqué dans la conception, la fabrication et la commercialisation du JAS-39 Gripen, car la Suède veille jalousement à défendre sa neutralité, tout comme son autonomie technologique et militaire. C’est pour cette raison qu’elle fournit également l’appareil sous forme de leasing. Le Gripen est un mono réacteur extrêmement puissant, doté des techniques les plus récentes, capable d’emporter toutes les armes conventionnelles de l’OTAN. Atteignant Mach 2, il est capable de décoller de pistes sommaires, il est également facile d’entretien et bon marché à l’achat comme à l’usage.

La Suède et l’Afrique du Sud ont fait l’acquisition de cet excellent appareil, alors que la Tchéquie, la Hongrie et la Thaïlande l’utilisent grâce à un judicieux contrat de location. La Confédération Helvétique va également s’équiper de Gripen, car il a la même taille que le F-5 E/F Tiger II qu’il doit remplacer, donc peut le faire sans modification et sans délais. Durant la période transitoire de mise au point, la Suède offre à la Confédération Helvétique le prêt d’anciens Gripen C/D pour pallier aux manques du Tiger et pour familiariser les pilotes avec le fonctionnement de l’appareil suédois.

Concernant ses résultats opérationnels, le Gripen possède une base saine, car en service dans cinq armées nationales différentes depuis 20 ans. Alors que 2 appareils ont été perdus dans la phase de mise au point des années 80, le Gripen s'est comporté de manière exemplaire et a accompli sa tâche sans perte en Libye. Le Gripen a été le premier à lancer le missile à longue portée Meteor.

La Confédération Helvétique a également fait le choix du JAS-39 Gripen pour remplacer ses F-5 E/F Tiger II, dans le cadre d’une collaboration entre Etats neutres, nordiques, montagneux et non affiliés à l’Euro, car il offre la compatibilité en terme de taille, de coût, de motorisation et d’armement.  De plus, il dispose du radar le plus efficace, du casque de visée le plus efficace et de l'avionique la plus moderne. Accessoirement, le Gripen est mono réacteur et ne va pas enfreindre la législation fédérale très restrictive sur le bruit. En outre, il peut être mis en œuvre par une armée de milice et peut décoller d’autoroutes au besoin. Payé en couronnes suédoises stables et non en Euro, il fournira du travail aux entreprises helvétiques et laissera le pays libre et indépendant de toute main-mise étrangère.



Source : Internet (page actualisée le 28/07/2012)

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Rafale

L’histoire du Dassault Rafale commence en 1977 en France, au moment des derniers soubresauts de la guerre froide.

La France, ancienne puissance coloniale, battue trois fois par son voisin germanique et sauvée trois fois par les Anglo-Saxons, ressent le besoin de se doter d’un nouvel appareil de combat capable de prendre la succession de ses fragiles Dassault Mirage. Pour ce faire, la France, se joint dans un premier temps aux études en vue de produire un véritable chasseur aérien européen. Mais la France après avoir bénéficié de l’aide technique de l’Allemagne, de l’Italie et de l’Angleterre pour la conception se désolidarise du projet pour favoriser son industrie nationale.

L’appareil de combat multi rôle français devait être capable non seulement de rivaliser avec les appareils soviétiques, mais devait remplacer pas moins de 7 types d'appareils de l'armée française. Plutôt que d'autoriser l’Europe à s’affranchir de la tutelle des États-Unis, l'objectif du chasseur polyvalent français était de s'affranchir de la collaboration européenne.  Le premier avion est livré en 1998, soit après 22 longues années d’errances, qui rendent cet appareil obsolète avant même sa sortie, car entre-temps la situation géostratégique a changé, la menace soviétique a disparu depuis près de 10 ans et de nouvelles technologie étaient apparues.

Le gouvernement français est contraint de soutenir seul le programme Rafale, car des collusions entre les dirigeants et la famille Dassault l’y contraignent. Devant l’insuccès à l’export, la population française subventionne son milliardaire Dassault par des commandes supplémentaires alors que la France n’est pas en situation de guerre.

Le Rafale est un bi réacteur bruyant et gros consommateur de kérosène. Doté de techniques françaises, il est incapable d’emporter les armes de l’OTAN et utilise ses propres systèmes. Extrêmement fragile et sophistiqué, il est incapable de décoller de pistes sommaires et nécessite des spécialistes pour son entretien. Très onéreux à l’achat, il l’est également à l’usage.

Aucun pays au monde hormis la France n’a voulu de l’appareil franco-français, qui est incompatible avec tout ce qui vole actuellement (avionique, armement, moteurs)  : refus en Corée du sud en 2002 pour des F-15, refus au Pays-Bas en 2002  pour des F-35, refus à Singapour en 2005 pour des F-15, refus au Maroc en 2008 pour des F-16, en 2009, l’Inde refuse le Rafale, en 2011, refus de la Confédération Helvétique en 2011 pour des JAS-39, refus des Emirats Arabes Unis en 2011, refus du Brésil en 2011. Le Rafale avait même été refusé en son temps par la Marine Nationale Française, qui lui préférait le FA-18.

Concernant ses résultats opérationnels, le Rafale a été incapable de faire une désignation laser de ses cibles en Afghanistan et a du être accompagné de Mirage V. Le Rafale opérant seul a manqué plus de 50% de ses cibles en Libye. Deux Rafales en patrouille se sont percutés en Provence en 2010 et un autre a sombré en Méditerranée en 2011.

La Confédération Helvétique au terme d’une campagne d’évaluation n’a pas retenu le Rafale, car aucune collaboration entre États n’a pu être trouvée. Le Rafale rencontre de plus des incompatibilités au niveau de la taille, des ordonnances sur le bruit, de l’enveloppe budgétaire accordée, de l’avionique et du radar. Malgré le lobbying intense opéré par la France auprès des haut gradés de l’armée, le coût exorbitant des modifications et des frais annexes engendrés par ces d’incompatibilités ont rendu l’appareil français insupportable financièrement.


Source : Internet ( page actualisée le 25/07/2012)







lundi 16 juillet 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): GSSA contre Gripen

 Les antimilitaristes du GSSA claironnent qu'ils ont remporté une grande victoire, alors que le processus d'acquisition des Gripen se déroule selon le plan prévu. Ils prétendent avoir réussi à reporter l'achat des appareils en 2018, alors que la mise au point des appareils ne peut se faire du jour au lendemain.

 La Suisse n'a nul besoin dans l'immédiat d'un appareil ultra offensif, capable d'aller déposer une bombe atomique dans une capitale lointaine. Elle a besoin d'un appareil petit, maniable, rapide dans le but de défendre notre espace aérien. Cet appareil doit remplacer nos 54 F-5 E/F Tiger II et seconder nos 32 F/A-18 C/D Hornet.

 Actuellement, l'ensemble de l’État-major, la société des officiers et le gouvernement sont convaincus que le JAS-39 E Gripen est l'appareil optimal pour la Confédération Helvétique. En effet, à la suite de la campagne de tests, il apparait qu'il rentre dans l'enveloppe budgétaire allouée à l'armée, qu'il possède des dimensions similaires à l'appareil qu'il doit remplacer, qu'il est compatible avec l'armement du Hornet, qu'il est opérable par une armée de milice et qu'il est capable de décoller à partir d'une autoroute. En outre son radar est supérieur à ceux de ses concurrents, son avionique est plus  moderne que celle de ses concurrents et il est moins bruyant que ses concurrents.

 Or, le GSSA lui-même a contraint le parlement a fixer un budget contraignant pour brider les envies délirantes de notre nomenklatura militaire. Mais, comme on ne peut laisser un ventre mou au cœur même de l'Europe, doit-on laisser d'autre assurer la défense de notre territoire et se plier aux diktats de l'Union Européenne. Il est étonnant qu'après avoir obtenu gain de cause, cette association ne se réjouisse pas de sa victoire et continue une lutte vaine et stérile. Peut-être que ce ramassis d'illuminés, sous couvert de suppression de l'armée veut en fait l'adhésion à l'Union Européenne, l'abrogation du Secret bancaire et à terme la disparition de la Confédération.

Pour une défense crédible face à l'europe ultracapitaliste et antidémocratique : 
OUI au Gripen le 18 mai 2014


Source : Internet (page actualisée le 16/07/2012)

vendredi 25 mai 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Décision souveraine

Malgré la décision prise par le Conseil Fédéral, la presse continue de plus belle d'alimenter la polémique par des attaques insidieuses contre notre Gripen, donnant vraiment l'impression d'être revenu à l'époque du Sonderbund. Les journaux genevois influencés par la proximité de la France et les journaux d'obédience catholique détenus par des groupes d'édition français essayent par tous les moyens de dénigrer la décision souveraine du Conseil Fédéral.

Alors que des études ont duré 8 ans avant de choisir cet appareil, les détracteurs du Gripen agissent secrètement dans les médias helvétiques afin de conditionner négativement les esprits. Ces individus opposés à la Suisse, non seulement, prétendent dans les médias helvétiques qu'une centaine d'améliorations seront nécessaires avant de rendre notre JAS-39 Gripen E opérationnel, mais ces et de plus, mettent en doute leur faisabilité. Or ces améliorations sont déjà effectives sur les divers appareils qui sont actuellement en service dans différentes armées du monde, car l'intelligence des ingénieurs et des stratèges suédois est de tester les différent modules de mise à niveau sur des appareils différents pour une questions d'efficacité et de rationalité. Ces appareils européens pleinement compatibles avec l'OTAN sont ainsi toujours en perpétuelle évolution et en validation. Leur architecture d'avant garde permet d’accueillir les dernières évolutions technologiques, armement, avionique, informatique, selon les besoins spécifiques du client, plutôt que des sauts technologiques stupides et coûteux.

L'orgueil et la suffisance des francophones et des francophiles empêche le processus d'acquisition de se dérouler normalement, car ces journaux ne parlent jamais du refus de l'aéronavale française de s'équiper de Rafale, ne parlent jamais de l'incapacité du Rafale de désigner des cibles en Afghanistan, ne parlent jamais des 50% d'échec du Rafale en Lybie et ne parlent jamais des Rafales qui s'écrasent en Provence. Ces mêmes journaux ne parlent jamais des 30 (trente !) années de tergiversations et d'errance de l'histoire du Rafale, qui ont rendu l'appareil français obsolète bien avant sa sortie. En effet, l'avionique de l'appareil français est d'un autre âge, ses moteurs sont notoirement insuffisants, il est incapable emporter les vecteurs militaires standards et il constitue un véritable gouffre financier.

Les Français imbus d'auto-suffisance osent dénigrer la décision souveraine d'un État démocratique, tout comme les capacités technologiques des autres États européens. C'est la raison pour laquelle cet avion n'a jamais été exporté en trente années d'existence. Heureusement que le Conseil National a nommé une sous-commission pour éclaircir la provenance des fuites, démêler l'intoxication mensongères à l’intérieur de l’administration même et punir les coupables. En effet, certains haut gradés de notre armée, nostalgiques de la guerre froide et grassement rétribués par l’État français n'aspirent qu'a l'acquisition d'un chasseur de pénétration capable de porter la menace atomique sur Moscou. Or à l'heure des drones, des missiles intelligents, des satellites et des avions sans pilotes, cette conception dépassée de la guerre coûte beaucoup trop cher au contribuable et ne le protège même plus des menaces d'aujourd'hui.

Heureusement que certains au sein du département fédéral de la défense ont une vision claire de la situation et appuient l'acquisition intelligente du SAAB JAS-39 Gripen E. En effet cet appareil moderne, européen et compatible avec les armes de l'OTAN correspond idéalement à un petit pays comme le notre. A la différence de l'inadapté appareil français, le moderne Gripen sera produit en Suisse, procurera des emploi en Suisse et préservera l'avance technologique de notre industrie. De plus, cette collaboration avec la Suède, entre pays nordiques et neutres ne sera pas payé en Euro, offrira des débouchés pour nos avions d'entrainement Pilatus et nos rames ferroviaires produites par Stalder. Ce choix pragmatique contente les militaires, car elle nous ramène à la belle époque du P-16; contente les milieux touristiques, car cet avion mono-réacteur génère moins de décibels que ces concurrents; contente les milieux économiques et le peuple car coûte moins cher que ces concurrents directs pour une efficacité accrue.
Source : Internet  (page actualisée  le 26/05/2012)

lundi 19 mars 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Affaire des Rafale incompatibles

 Dans sa difficile mission de protection du pays, l'armée suisse doit faire face à de nouveaux dangers, tant intérieurs qu'extérieurs. Parmi les menaces intérieures, le Groupement pour une Suisse Sans Armée (GSSA) non seulement s'oppose à tout achat militaire, mais s'allie également avec les antimilitaristes suédois. Dans le même temps, les journaux romands essentiellement en mains françaises ne manquent pas une occasion de mettre en valeur l'invendable Rafale. Finalement, les médias audiovisuels officiels, noyautés par des lobbies pro français font tout leur possible pour empêcher l'achat du Gripen.

 Tout d'abord, le GSSA opte pour une attitude passive, qui consiste à laisser la défense de notre espace aérien à nos voisins européens. Or cette attitude défaitiste nous condamnerait inévitablement à accepter sans combattre les diktats de l'Union Européenne. Mais le GSSA justifie sa position angélique et dogmatique en argumentant que le rôle principal de l'armée suisse n'est plus la défense contre l'extérieur, mais la répression de manifestations populaires éventuelles venant de l'intérieur. Cependant le GSSA oublie que la stabilité de notre pays en fait une place financière et industrielle enviée et qu'a contrario la probabilité d'une guerre avec nos voisins n'est pas à négliger.

 Ensuite les journaux sont unanimes pour dénigrer le Gripen, car la plupart des journaux appartiennent à de groupes de presse et d'opinion français. Ces groupes de presse et d'opinion sont proches du gouvernement français et des industries d'armement. En nous vendant des Rafales, c'est tout une nouvelle philosophie de défense que les Français nous vendraient, avec de nouveaux radars, de nouvelles interfaces de communication, de nouveaux moteurs et de nouveaux missiles. En outre l'armée suisse devrait reconsidérer la taille de ses hangars, de ses cavernes alpines et de ses alvéoles de protection. Les journaux suisses ne parlent pas de cette triple incompatibilité des systèmes français avec les systèmes helvétiques, avec le système OTAN et avec le système européen.

 Finalement la Radio Télévision Suisse (RTS), qui a remplacé la RSR et la TSR, qui avaient elles-mêmes supplanté les défuntes Radio Lausanne et Radio Genève, outrepassent leur rôle de média public et s'invitent dans le débat. Cette incurie résulte du fait que la RTS joue en Suisse le rôle de la cinquième colonne. Noyautée par des étrangers d'outre jura, elle met en exergue les différences entre lémaniques et alémaniques, italophones et germanophones, catholiques et protestants, jeunes et vieux, au lieu de vanter l'unité confédérale. La RTS failli à son travail d'information en ne mentionnant pas les insuffisances du Rafale en Afghanistan, le 50% de cible ratées en Libye et les écrasements d’appareils en Provence. La RTS a une position partiale en ne faisant pas mention de la défaite du Rafale au Tiger Meet, face au FA-18 en 2008 et face au JAS-39 en 2010.

 Au sein de la Confédération Helvétique même, le système des partis fait que les Écologistes, les Socialistes, les Chrétiens, les Radicaux et les Libéraux s’opposent tous à l’achat de cet appareil parce que le département de la défense est tenu par un UDC. Or, au delà des luttes partisanes, la tâche principale de l’armée est la défense de la population et du territoire. Pour cela, elle doit disposer d’appareils petits, maniables, agiles, rapides, capables d’opérer depuis n’importe quel point du territoire. Comme la Migros, les PTT, les CFF ou les Alpes, l'armée est aussi un ciment confédéral et elle unit les différentes parties du pays. Pour ces raisons, l’armée confédérale mérite le Saab JAS-39 Gripen, qui a fait ses preuves en Libye, qui a été exporté dans plusieurs pays et qui suffit à la Suède.

 Face à ces forces anti-gouvernementales, la Société Suisse des Officiers (SSO) abonde dans l'autre direction et ne veut que le meilleur appareil du moment. La SSO aspire à l'achat de l'Eurofighter Typhoon II, déjà utilisé par nos voisins allemands, autrichiens et italiens. Or cet appareil idéal est trop cher pour la Suisse et seule la menace d'initiative du GSSA a réussi à empêcher l'achat d'un appareil sur-dimensionné. Le peuple a empêché que ne se reproduise la catastrophique affaire des Mirages français des années septante. Cependant, les Français grâce à une désinformation ciblée et à des rémunérations occultes tentent d’appâter les personnes influentes de notre pays, en leur promettant une version 4 et 5 de leur appareil obsolète et incompatible. Mais dans le même temps, la France ne fait rien contre ses ressortissants qui prennent les places de travail des Suisses, qui agressent des jeunes filles ou des personnes âgées, qui s’en prennent aux offices de poste, aux banques et aux habitations privées.

Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)

jeudi 15 mars 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Affaire des Rafales français

Dès le début, le Département Fédéral de la Défense de la Confédération Helvétique avait montré son scepticisme tant face à la nécessité que face à l'urgence d'acquérir de nouveaux appareils de combat. En effet, des jets supersoniques ne peuvent rien contre la pression migratoire générée par les accords Schengen, accords qu'ont su nous imposer les milieux économiques zurichois. En effet, des avions lourdement armés sont impuissants contre la pression économique exercée sur notre monnaie par la finance internationale. En effet, des chasseurs aériens à réaction ne peuvent s'opposer aux verbales attaques médiatiques des dirigeants politiques étrangers. Or, il est impératif cependant que la Suisse ne laisse pas un ventre mou au sein de l'Europe et la Suisse doit avoir des avions de combat, ne serait-ce que pour faire la police du ciel.

Les Français tentent par tous les moyens de nous faire acheter leur mythique appareil Rafale, qu'ils ont péniblement réussi à hisser au standard F3, après 25 ans d'existence. Mais cet appareil franco-français développé dans les années huitante nécessite un grand rétro-fit, notamment au niveau des moteurs, de l'avionique, du radar et du système de visée. Or, il n'est évidement pas dans l'intérêt de la Confédération d'acheter un appareil dépassé pour participer financièrement à sa mise à niveau. Or, les Français de Dassault tentent de réitérer la scandaleuse "Affaire des Mirage III S", en nous promettant l'hypothétique développement de nouvelles versions plus adaptées et plus efficaces, mais évidement payées par notre pays.

Cependant, à la différence de la France, la Confédération Helvétique est une véritable démocratie et le peuple suisse peut refuser des achats militaires et des adhésions qu'il juge superflues. En effet, nous avons eu l'opportunité de refuser la tutelle de l'Union Européenne, alors que les peuples de France ne sont jamais consultés par leurs élites sur ce sujet. Ils sont même contraints via l'impôt de participer à l'enrichissement de quelques oligarques, dont Dassault. En effet, l'avion franco-français déjà extrêmement complexe est devenu si cher et si fragile, qu'il en est devenu inutilisable au quotidien et TOTALEMENT INEXPORTABLE. Il n'a d'ailleurs en trente années d'existence jamais été exporté. Il n'a donc jamais dégagé de bénéfices qui lui aurait permis d'évoluer. Évidemment que dans ces conditions, il n'est pas dans l'intérêt de la Suisse de financer le développement des chasseurs aériens de ses voisins.

Par contre, l'appareil suédois doit remporter tout nos suffrages, car en plus d'être moderne, il est petit, agile, robuste et maniable. Il génère moins de bruit, moins de pollution et consomme moins de carburant. Il rentre dans l'enveloppe budgétaire allouée au département de la défense par l'Assemblée Fédérale, sous la pression du GSSA. Il est compatible au niveau des moteurs, au niveau de l'armement avec nos FA-18 C/D Hornet, qui ont battu le Rafale en compétition inter-armées en 2008, tout comme le JAS-39 Gripen C/D l'a fait en 2010. Il est compatible au niveau de la taille avec nos F-5 Tiger II E/F, tout en ayant les capacités offensives du Rafale. L'appareil suédois autorisera en outre notre industrie d'armement à maintenir son niveau technologique, fournira des emploi dans ce domaine, assurera notre indépendance militaire et ne confiera pas la défense du pays à des lobbies étrangers.

Malheureusement, les manipulations et les malversations opérées par les Français ont fait ressortir le fait qu'il n'y a nulle urgence d'acquérir un nouvel appareil de combat. Nos F/A-18 remplissent pour l'instant parfaitement leur tâche de défense aérienne. Mais les guerres du futur utiliseront les drones, les missiles anti-missiles, la furtivité et la coopération. Il faut donc continuer de développer avec la Suède le Gripen qui utilise ces techniques. Contre les attentats, les guérillas, les maffias et les gangs armés qui passent nos frontières, le Conseil Fédéral serait bien avisé de développer un version garde-frontière de notre Pilatus XXI, car contre cette nouvelle forme de guerre asymétrique, les jets ne peuvent rien.


Source : Internet (page du 26/05/2012 actualisée le 20/05/2014)

mercredi 29 février 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Choix réaliste

L'achat d'appareils suédois ne se limite pas au simple achat d'un nouveau vecteur militaire aérien, mais d'une véritable coopération militaire entre deux États neutres, indépendants, non affiliés à l'Euro et jouissant du même type de climat.

Tout d'abord, la Suède propose de mettre à disposition de l'armée fédérale une zone d’entraînement dans le grand nord suédois. Ce domaine inhabité permettrait aux forces aériennes de contourner la législation suisse en matière de nuisances sonores et de vols de nuit. Ensuite, le Royaume de Suède offre à la Confédération Helvétique l'entraînement conjoint de pilotes, la maintenance conjointe des avions de combat, l'utilisation partagée de simulateurs, l'achat groupé d’armements et la gestion commune des pièces de rechange du Gripen.

Cette coopération autorisera l'Armée Fédérale à disposer enfin des moyens que le Parlement rechigne à lui fournir. Comme l'État suédois s'engage à développer conjointement pour la Suisse et la Suède le même appareil, l'armée est ainsi assurée de disposer d'une solution up-to-date et pérenne. Devant l'absence de menace d'invasion crédible dans un proche avenir, l'armée de l'air disposera ainsi d'un outil capable dans un premier temps de seconder efficacement nos Frelons pour éventuellement les remplacer à l'horizon 2040.

Grâce à l'action du GSSA, des écologistes et des milieux du tourisme, les chambres fédérales ont assigné à l'armée une enveloppe budgétaire stricte, qui empêche l'achat d'un avion trop cher, trop bruyant et trop polluant. A côté des économies en termes de stockage et de maintenance, cette coopération avec la Suède offre à Pilatus un débouché pour ses appareils d'entraînement avancés PC-21 et offre à Stalder Rail une éventuelle collaboration dans le domaine ferroviaire.

La France, comme à son habitude, nous trompe et tente de réitérer l'affaire des Mirages. Dans les années septante, la firme Dassault à coup de malversations et de mensonges avait réussi à imposer le Mirage face au Drakken. Alors que l'appareil suédois convenait idéalement, la France sous la menace de ses missiles nucléaires avait infléchi la décision du gouvernement fédéral. Mais les temps ont changés, l'URSS a disparu et le pouvoir des gradés n'est plus aussi grand. Dans le contexte actuel, le Conseil Fédéral a choisi la meilleure solution en terme de coût, d'emploi, de technologie et d'indépendance.

Source : Internet  (page actualisée  le 26/05/2012)

mardi 21 février 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Rapport confidentiel

De source autorisée, voici en primeur des extraits du rapport confidentiel non-communiqué aux journaux, à la RSR et à la TSR qui ont empêché le Rafale d'être compétitif pour l'armée suisse.

   Rapport confidentiel

extrait no 1
    ... les dimensions du Rafale français l'empêchent d'entrer dans les cavernes alpines ...    
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car cette incompatibilité va générer des frais de reconstruction et de modification qui vont coûter des millions de Francs aux contribuables.

extrait no 2
    ... le Rafale français dépasse le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement ...    
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil. En effet, devant la recrudescence d'incivilités, de voie de fait, de cambriolages, de braquages provoquée par des ressortissants français, l'armée suisse a d'autres priorités que les appareils de combat. La probabilité d'une grande bataille de chars ou d'une attaque aérienne est à relativiser face au risque d'un attentat piloté de l'étranger, de l'entrée de gangs organisés depuis l'extérieur ou de mafias lourdement armées qui en veulent aux biens du peuple suisse.

extrait no 3
    ... le Rafale français ne possède pas le moteur GE F-414G, produit sous licence par Volvo, de la même famille que le GE 404 du FA-18, et qui offre 10,5 tonnes de poussées en Supercruise, ce qui entraîne que le Rafale n'est pas capable de décoller ni de Supercruise sans post-combustion ...    
Le Rafale doit se contenter d'une paire de moteurs français largement inférieurs aux moteurs américains du Frelon. Ces moteurs ont besoin de la réchauffe pour décoller et pratiquer la supercruise. Notre personnel au sol ne saura donc pas les entretenir et nulle synergie ne sera possible entre les appareils, comme l'échange entre les deux appareils et l'utilisation des pièces de réserve. Cette caractéristique est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil.

extrait no 4
    ... le Rafale français est incapable de lancer des missiles à courte portée IRIS-T allemands qui équipent déjà nos Frelons, comme le Rafale est incapable de lancer des missiles à courte portée ASSRAAM anglais qui équipent déjà nos Frelons et comme le Rafale est incapable de lancer des missiles à courte portée Sidewinder AIM-9X américains qui équipent déjà nos Frelons ...    
Cette incompatibilité est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car cette acquisition nécessiterait le rachat de tout l'armement et la facture doublerait.

extrait no 5
    ... le Rafale français ne peut décoller de pistes non préparées, car ses prises d'air ventrales risquent d'absorber des objets qui détruiraient les moteurs ...    
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car nous avons besoin d'un jet utilisable sur nos pistes de dégagement.

extrait no 6
    ... le Rafale français ne dispose pas de l'écran géant du F-35 ou celui du Pilatus 21, personnalisable et configurable en fonction du type de mission ...    
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car ce retard technologique empêche le Rafale d'être compétitif face aux appareils d'aujourd'hui et de demain.

extrait no 7
    ... le Rafale français ne dispose pas du radar AESA ES-05 RAVEN produit par SELEX Galileo, qui permet un balayage de ± 100 °, vision en arrière et engagement direct ...    
Cette lacune est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil.

extrait no 8
    ... le Rafale français ne dispose pas de commandes vocales, d’un HUD large de nouvelle génération et du viseur de casque HMD Cobra, le Rafale ne dispose pas non plus d'une architecture électronique de la dernière génération autorisant une puissance de calcul 5x plus rapide et le Rafale français ne dispose pas du système de guerre électronique EWS39 ...    
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil. L'absence de ces caractéristiques techniques rend le Rafale obsolète et inapte à défendre la Confédération.

extrait no 9
    ... le Rafale français n'est pas assez manoeuvrable pour le combat en vallée alpine, car trop lourd et inapte au dog-fight en relief accidenté, de plus le Rafale français n'est pas adapté à un pays froid et montagneux comme le notre, le Rafale français n'est pas produit par un pays neutre et nordique comme le notre et le Rafale français n'est pas opérable par une armée de milice comme la notre, car il est trop complexe ...   
Ces quatre inconvénients sont des raisons nécessaires et suffisantes pour rejeter l'appareil, car comme avec le Mirage, l'appareil français nécessite de telles modifications que la facture finale exploserait.

extrait no 10
    ... le Rafale français a été refusé par la Marine Française, qui lui préférait le Boeing FA-18 Hornet plus puissant et plus manoeuvrable ...    
Or nous possédons déjà cet appareil de supériorité aérienne, celui-là même, qui avait été refusé à la Marine Française, pour d'obscures raisons de collusion entre Dassault et le Gouvernement..

extrait no 11
    ... le Rafale français doit se faire accompagner de Mirage 2000-5, car il est incapable de désigner les cibles par lui-même en situation de combat ...    
On peut se demander pourquoi la presse française n'a pas plus largement fait écho de son incapacité à tirer par lui-même en Afghanistan et du ratage de 50% des cibles en Libye.

extrait no 12
    ... le Rafale français s'est fait écraser par le FA-18 C/D lors de l’Ocean Tiger Meet 08, comme le Rafale s'est fait écraser par le JAS-39 C/D lors de l’Ocean Tiger Meet 10 ...    
On peut se demander pourquoi l'armée aérienne suisse remplacerait ses excellents Hornet par un appareil inférieur, plus cher et plus ancien, qui nécessite encore des développements après 32 ans ! Alors que le Gripen que nous allons acheter a lui aussi écrasé le Rafale.

extrait no 13
    ... le Rafale français n'est pas opérable en patrouille, car naturellement instable, il risque de percuter son ailier ...    
On peut se demander pourquoi la presse française n'a pas largement fait écho des appareils Rafale détruits au cours de vols d'entraînement au dessus de la Provence.

  Conclusion du département fédéral des forces armées aériennes :

    ... l'appareil Français est beaucoup trop onéreux, beaucoup trop polyvalent et beaucoup trop lié à des firmes françaises tant au niveau de l'armement, de l'avionique que de la motorisation. Son avionique dépassée, son comportement en vol aléatoire et sa faible compatibilité avec notre matériel et avec notre armée risque de rendre notre pays gravement dépendant de l'étranger. C'est pour cette raison que le SAAB JAS-39 GRIPEN est la solution idéale pour la Confédération, car il possède de larges possibilités de développement, de synergie et d'emploi. Cet appareil préservera également au mieux notre indépendance vis-à-vis de l'étranger ...    

Source : Internet  (page actualisée  le 26/05/2012)

lundi 20 février 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Problème français

Comme petit pays, la Suisse a de bonnes raisons de ne pas vouloir acheter du matériel Français, car elle ne supporte plus les critiques de l'ennemi public no 1 contre sa neutralité, les reproches de l'ennemi public no 1 contre sa démocratie et les attaques récurrentes de l'ennemi public no 1 contre son secret bancaire. C'est pour cette raison que la Suisse parle d'accord d’État à État pour la fabrication de son nouvel appareil de combat.

Concernant les appellations, la Suisse n'a pas encore digéré le contentieux entre la France et le canton de Fribourg au sujet du fromage de Gruyère fabriqué dans le district de Gruyère, ancien Comté de Gruyère, au bord du lac de Gruyère. (Pour rappel : l'ennemi public no 1 n'arrive pas à mettre au pas des producteurs d'Emmental de Franche-Compté, qui usurpent du titre Gruyère). Semblablement, la Suisse n'a pas encore digéré le contentieux entre la France et le canton de Vaud au sujet du village de Champagne, du vin de Champagne et des flûtes de Champagne. (Pour rappel : dans ce cas d'homonymie entre un village et une province, l'ennemi public no 1 n'arrive pas à assouplir son appellation protégée). Comme le peuple suisse ne supporte plus que des nations étrangères s'approprient ses biens culturels, " l'affaire du Gruyère " et " l'affaire de Champagne " font partie des nombreux liges qui empoisonnent les relations avec notre voisin d'outre-Jura.

Remontant dans la temps, la Suisse n'a pas encore digéré d'avoir été menacées par les missiles atomiques français durant toute la durée de la guerre froide et concernant l'acquisition d'appareils militaires, la Suisse n'a pas encore digéré " l'affaire des Mirages " . Pour cette dernière cuisante expérience, la Suisse et n'est pas prête à retenter une quelconque affaire commerciale avec la firme Dassault. (Pour rappel : face à l'idéal Saab Drakken suédois et et au surpuissant Starfighter américain, la France avait réussi à imposer l'appareil de la firme Dassault alors que cet appareil ne répondait pas au cahier des charges de la Confédération).

Concernant les réparations de guerre, la Suisse n'a pas encore digéré le massacre de ses ressortissants désarmés aux Tuileries lors du soulèvement des Parisiens contre la Monarchie absolue des Francs. Semblablement, la Suisse n'a pas encore digéré l'invasion française de son territoire, l'imposition d'un gouvernement fantoche et le vol du trésor de Berne par le dictateur Napoleon I.

Concernant les faits militaires historiques, la petite Suisse confédérale, indépendante et neutre peut légitimement avoir une longue liste de griefs face aux seigneurs de guerre "françois" qui se sont emparé de diverses régions européennes :
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de son protectorat sur la Savoie face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon III en 1860,
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié
son annexion face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon I en 1798,
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié
la perte de la Valteline face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon I en 1797,
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié
le massacre de Marignano et la perte du Milanais face aux hordes de soudards de l'autocrate François I en 1515,
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié
la perte de la Franche-Comté face aux hordes de soudards de l'autocrate Louis XIV en 1678.
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié
la perte de la Décapole et de la région d'Alsace en 1648.
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié
l'attaque armée de la ville de Bâle et le attaque économique de la ville de Genève par le dictateur Louis XI.
 - la Confédération helvétique n'a pas apprécié
la perte de la Décapole et de l'Alsace en 1444.

Pour les diverses raisons mentionnées plus haut, un petit pays comme la Suisse a intérêt de traiter d'Etat à Etat, pour avoir s'assurer la pérennité financière et technique de ses acquisitions. L'accord conclu avec le gouvernement suédois autorise des débouchés pour la firme Pilatus dans les avions d'entraînement avancés, des débouchés pour la firme Stalder rail dans les trains et assure la survie du groupe technologique RUAG. La Suisse n'a pas d'antécédent militaire cuisant à reprocher à la Suède et la Suisse n'aura surtout pas à traiter en Euro surévalué.


Source : Internet  (page actualisée le 26/05/2012)