Le projet parlait de remplacer les Tiger et de collaborer au mieux avec les Hornet.
- Le Rafale coûtait deux fois trop cher à l'achat, il est donc recalé.
- Le Rafale coûtait deux fois trop cher à l'emploi, il est donc recalé..
- Le Rafale n'entrait pas dans les hangars du Tiger, il est donc recalé..
- Le Rafale n'entrait pas dans les cavernes du Tiger, il est donc recalé.
- Le Rafale n'entrait pas dans les alvéoles du Tiger, il est donc recalé.
- Le Rafale n'emportait pas les armes du Tiger, il est donc recalé.
- Le Rafale n'entrait pas dans les hangars du Hornet, il est donc recalé.
- Le Rafale n'entrait pas dans les cavernes du Hornet, il est donc recalé.
- Le Rafale n'entrait pas dans les alvéoles du Hornet, il est donc recalé.
- Le Rafale n'emportait pas les armes du Hornet, il est donc recalé.
- Le Rafale n'avait pas de Radar AESA, il est donc recalé.
- Le Rafale n'utilisait pas de carburant du commerce, il est donc recalé.
- Le Rafale était trop bruyant, il est donc recalé.
- Le Rafale consommait trop, il est donc recalé.
- Le Rafale ne possédait pas de viseur de casque, il est donc recalé.
- Le Rafale n'était pas opérable par une armée de milice, il est donc recalé.
- Le Rafale ne décollait pas depuis une route normale, il est donc recalé.
- Le Rafale n'était pas produit en Suisse, il est donc recalé.
- Le Rafale était biréacteur, il est donc recalé.
- Le Rafale emportait des bombes atomiques, il est donc recalé.
- Le Rafale n'avait pas de casque de visée, il est donc recalé.
- Le Rafale n'avait pas d'intégration de données, il est donc recalé.
- Le Typhoon coûtait deux fois trop cher, il est donc recalé.
- Le Typhoon n'avait pas de Radar AESA, il est donc recalé.
- Le Typhoon n'utilisait pas de carburant du commerce, il est donc recalé.
- Le Typhoon était biréacteur, il est donc recalé.
De toute façon, d'ici 2040 toute l'Europe utilisera le même type d'appareil et la France devra arrêter son opposition systématique (pas de collaboration au programme Typhoon,
pas de collaboration au programme Tornado,
pas de collaboration au programme Leopard).
Source : Internet (page actualisée le 16/09/13)
un francais
RépondreSupprimerJ'espere que la france continuera a ne pas coopérer aux programmes européens, et j'espere que d'ici 40 ans l' U E sera morte et enterrée; Ce m’insupporte de voir mon pays travailler avec des pays qui pendant 1000 ans lui ont craché dans le dos, l'ont trahis, et fait saigner. Au moins pour le dernier point nous leur avons rendu la pareille.
Je ne souhaite pas non plus de guerre, mais que chacun reste chez soit et les vaches seront bien gardées, comme on dit chez moi.
je préfère voir mon pays dans le concert des nations de 3eme rang, que de le voir fourvoyer avec ses ennemis d'hier.
D'autant plus qu'avec notre démographie, dans 40 ans les allemands auront plus besoin de nous que nous n'avons besoin d'eux aujourd'hui.
Et Pour la petite histoire la france a fait partie du programme typhoon, Si elle l'a quittée c est pour des divergence de besoins opérationnels.
Quant au programme Léopard, certes vous l'avez financé en achetant des unités, mais la coopération s'arrete la, et de toutes façons l’Europe n'a plus besoin de char de combats... a bon entendeur....
Et pour en revenir avec le programme typhoon le coopération européenne en font un avion mon efficient économiquement que le rafale.
Alors que la Suède refuse de collaborer avec les Islamistes, la France vend des Rafales aux Égyptiens et autres Arabes.
SupprimerDans les années 1970, pour les raison de coût et de rationnalité, les stratèges français avaient formulé une demande pour un appareil militaire unique, capable de remplir les rôles de plusieurs avions différents. La firme Dassault avait tenu le pari avec le Rafale et l'ultrapolyvalence française demeure sans doute la plus grande des qualités de cet avion de combat intégralement produit en France.
RépondreSupprimerLors du lancement du programme ACT/ACM, en 1976, les forces armées françaises avaient exprimé le besoin d'un nouvel avion de combat, capable de remplacer pas moins de sept types d'avions différents au sein de l'armée de l'air et la marine nationales. Dans l'Europe naissante, il est envisagé de développer avec l'Allemagne de l'Ouest, le Royaume-Uni, l'Espagne et l'Italie, un chasseur polyvalent capable de remplir les missions de défense aérienne, de reconnaissance, d'attaque de précision air-sol ou air-mer, de pénétration à basse altitude, ainsi que des missions nucléaires. Pendant longtemps, l'appareil d'Etat n'a pas eu de vision marchande dans le domaine. La perspective était opérationnelle plutôt que technologique et industrielle. Dès le départ, l'armée de l'air et la marine fixent à 286 le nombre de Rafale dont elles ont besoin pour assurer leurs missions.
La firme Dassault avait pensé tout d'abord développer cet appareil polyvalent dans un cadre européen, mais les divergences des besoins amènent la France à développer son projet seule dès 1985. La Grande-Bretagne, la RDA et l'Italie s'orientent en effet vers un chasseur de supériorité aérienne capable de s'opposer aux nouveaux appareils soviétiques, alors que les besoins français englobent la capacité d'opérer depuis un porte-avions. De plus, la firme Dassault pense a préserver les emplois en France et veut privilégier le motoriste national SNECMA, aujourd'hui SAFRAN. La firme Dassault crée le GIE ACE International en 1987 et impose le Rafale pour remplacer les F-8 Crusader et Super-Etendard face au F/A-18.
4 juillet 1986 : Vol du Rafale A démonstrateur
26 janvier 1988 : Lancement du programme pour 46,4 milliards d'euros.
30 avril 1993 : disponibilité du radar RBE2.
27 février 1990 : Disponibilité du moteur M-88.
19 mai 1991 : Vol du Rafale C monoplace
12 décembre 1991 : Vol du Rafale M marine
30 avril 1993 : Vol du Rafale B biplace
En 2004, le Rafale F1 est opérationnel dans la Marine. En 2006, le Rafale F2 est opérationnel dans l'armée de l'air. En 2008, le Rafale F3 est opérationnel dans l'armée.
En 1991, la firme Thales et Thomson ont développé le radar PESA RBE2 pour le Rafale. Mais en 2004, 90 millions d'euros ont du être investis pour le développement et l'intégration d'une antenne à balayage électronique actif. En 2010, Thales double la portée du radar RBE2, grâce à la version AESA, indispensable pour utiliser le missiles à longue portée METEOR.
En janvier 2014, la Défense française a accepté d'injecter un milliard d'euros pour développer le nouveau standard F3R de modernisation du Rafale. Dassault intégrera ainsi le nouveau missile air-air longue portée METEOR, développé par MBDA, et la norme OTAN STANAG 1760, pour le rendre interopérable au sein d'une coalition en suivant des procédures communes.
En 1986, le Rafale A vole.
RépondreSupprimerEn 1988, le programme coûte 46.4 milliards.
En 1993, le radar RBE2 est disponible.
En 1990, le réacteur M-88 est disponible.
En 1991, le Rafale C monoplace vole.
En 1991, le Rafale M marine vole.
En 1993, le Rafale B biplace vole.
En 1991, le radar PESA RBE2 est disponible.
En 2004, 90 millions d'euros sont investis dans le Radar du Rafale.
En 2004, le Rafale F1 est opérationnel dans la Marine.
En 2006, le Rafale F2 est opérationnel dans l'armée de l'air.
En 2008, le Rafale F3 est opérationnel dans l'armée.
En 2010, Thales double la portée du radar RBE2, grâce à la version AESA, indispensable pour utiliser le missiles à longue portée METEOR.
En 2014, un milliard d'euros pour moderniser le Rafale au standard F3R. Un milliard d'euros pour intégrer le missile METEOR, développé sur le JAS-39 Gripen en utilisant la norme OTAN STANAG 1760.
En 2020, plusieurs milliards d'euros pour moderniser le Rafale au standard F4.
Le constructeur français Dassault se rapproche dangereusement de la faillite.
RépondreSupprimerNon seulement, son président juif risque l'inégibilité et devra payer plusieurs millions d'amende, mais le groupe aéronautique français vend dorénavant plus de chasseurs Rafale que d'avion d'affare Falcon. En effet, le projet de Falcon 5 vient d'être abandonné, pour laisser place à un Falcon 6 doté de moteur américains. Or, ce nouvel appareil n'arrivera au mieux que dans trois ans, c'est à dire en même temps que le futur Rafale F3, doté d'un radar AESA et compatible avec de l'armement non-français.
Mais le pire est que l'ancien Rafale, développé dans les années 80, doit impérativement durer dans les forces aériennes françaises, car toutes les promesses d'achat viennent de pays insolvables du tiers-monde.
Jusqu'à présent la France, via le prélévement d'impôts continue de subventionner les chaîne de fabrication à hauteur de 11 appareils par année, mais jusqu'à quand ?
Les activités civiles de Dassault périclitent également; le projet de Falcon 5x est abandonné. Devant l'inadéquation du Rafale III au combat moderne, le Rafale IV verra le jour en 2025.
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RépondreSupprimerEn 1986, le Rafale A vole.
RépondreSupprimerEn 1988, le programme coûte 46.4 milliards.
En 1993, le radar RBE2 est disponible.
En 1990, le réacteur M-88 est disponible.
En 1991, le Rafale C monoplace vole.
En 1991, le Rafale M marine vole.
En 1993, le Rafale B biplace vole.
En 1991, le radar PESA RBE2 est disponible.
En 2004, 90 millions d'euros sont investis dans le Radar du Rafale.
En 2004, le Rafale F1 est opérationnel dans la Marine.
En 2006, le Rafale F2 est opérationnel dans l'armée de l'air.
En 2008, le Rafale F3 est opérationnel dans l'armée.
En 2010, Thales double la portée du radar RBE2, grâce à la version AESA, indispensable pour utiliser le missiles à longue portée METEOR.
En 2014, un milliard d'euros pour moderniser le Rafale au standard F3R. Un milliard d'euros pour intégrer le missile METEOR, développé sur le JAS-39 Gripen en utilisant la norme OTAN STANAG 1760.
En 2019, le Rafale F3R vole
En 2020, plusieurs milliards d'euros pour moderniser le Rafale au standard F4.
En 2025, le Rafale F4 vole....ra peut-être ou sera remplacé par le Typhoon T4 à poussée vectorielle.