mardi 14 février 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Propagande diffamatoire

Les Français tentent de déstabiliser notre gouvernement en publiant les résultats de l'analyse préalable du Gripen C/D, alors que nous allons acheter des Gripen E/F supérieurs au Rafale. Ceci relève de la pure désinformation et de l'intoxication politique.

Il faut alors bien préciser les points suivants :

Tout d'abord, le Rafale avait été refusé par la Marine Nationale Française, car il n'était pas capable d'apponter sur un porte-avion. La MNF lui préférait le Boeing FA-18 Hornet qui lui était supérieur en terme de puissance, d'efficacité, de maniabilité et du point de vue de ses capacité électroniques. C'est pour cette raison que notre armée s'est dotée il y a une vingtaine d'année de ce dernier type d'appareil.

Par la suite, le Rafale, lors de son premier engagement en Afghanistan s'est révélé incapable de faire une désignation laser de ses cibles. C'est la raison pour laquelle il doit toujours être accompagné de Mirage 2000-5 pour le seconder. Ce qui est particulièrement dommageable pour un appareil qui se veut polyvalent.

Finalement, le Rafale, lors de son engagement en Lybie a manqué plus de 50% de ses cibles du à son système de visée inadapté et à l'absence de viseur de casque. Ce qui est particulièrement fâcheux pour un appareil à 100 millions de francs pièce.

De surcroit, le Rafale est le seul appareil a ne pas nécessiter d'ennemi, ni de missile pour se faire descendre. Du fait de son avionique dépassée et de sa charge alaire trop importante, le Rafale est capable de s'envoyer au tapis en temps de paix seul ou en patrouille. En cinq ans, ce sont ainsi cinq appareils qui ont ainsi disparus des écrans radar. Ce qui est plutôt regrettable pour un appareil sensé défendre le pays.

Évidement que tous ces points ont été totalement occultés dans la presse. Il faut dire que la plupart des journaux romands sont détenus par des groupes militaristes Français, qui essaient d'influencer négativement la population romande. La Radio romande et la Télévision Romande sont pareillement noyautées par des ressortissants d'outre Jura. Le groupe Dassault a également mandaté l'agence Fahrner pour qu'il discrédite le Gripen dans les journaux romands.

Sans doute que le Rafale n'est pas un si mauvais appareil, mais son gros problème est qu'il n'est compatible ni avec les standards européens, ni avec les standard OTAN, ni avec les standards helvétiques. Son achat nécessitera donc le rachat de tout le matériel au sol et de tout l'armement. En plus de ne pas correspondre à nos standards, cet appareil ne sera pas fabriqué sur place par nos entreprises, provoquera une dangereuse perte de souveraineté en plus des places de travail qu'il ne procurera pas. Le problème des back doors, à savoir des systèmes espions qui permettent à la France d'espionner notre pays, n'est même pas entré en ligne de compte.

Les Français veulent nous faire annuler trois années d'évaluation coûteuses pour que l'on choisisse leur appareil. Mais dans un tel cas, les autres partenaires serait également en droit de présenter de nouvelles offres. Certainement qu'à ce moment, le vieux Rafale ne ferait pas le poids dans une nouvelle évaluation face au Super Gripen E/F, au Sukhoi 34 et au MiG 35. Les éventuels contrats envisagés avec l'Inde et avec le Brésil sont par contre plus plausibles, car ces pays sont grands, possèdent une marine et sont partagés entre un achat américains et un achat russe. Sans doute qu'avec des pots de vin, un peu de diplomatie et un grand transfert de technologie, la France risque de se réaliser une de ces affaires, car ces grands pays aimeraient se doter d'une aviation militaire en sautant l'étape de la recherche.

Mais à notre pays n'a été proposé aucune de ces contreparties et le comportement de la France dans ces tractations ne mérite que notre mépris.

Arguments en faveur du Saab JAS Gripen :
  • il est est compatible avec nos 50 F-5 au niveau taille, donc ne nécessite pas de nouveaux hangars,
  • il est compatible avec notre budget, car il coûte la moitié du prix de ses concurrents,
  • il est est compatible avec nos 33 FA-18 au niveau du type de moteur,
  • il est est compatible avec nos 33 FA-18 au niveau de l’armement,
  • il dispose d’un meilleur radar,
  • il dispose d’un meilleur casque de visée,
  • il dispose d’une meilleure avionique,
  • il utilise un armement aux standards européen et OTAN,
  • il est capable de décoller de pistes sommaires,
  • il est adapté à un pays froid et montagneux comme le notre,
  • il peut être mis en œuvre par une armée de milice comme la notre,
  • il est produit par un pays neutre comme le notre.

Source : Internet  (page actualisée  le 14/07/2012)

5 commentaires:

  1. A quoi pourra bien servir une perche de ravitaillement en vol, alors que la Suisse ne dispose pas d'avion ravitailleur ?

    A quoi pourra bien servir un crochet d'appontage, alors que la Suisse ne dispose pas de porte-avion ?

    A quoi pourra bien servir une liaison satellite, alors que la Suisse ne dispose pas de satellite militaire ?

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    1. Les Français ne nous ont proposés aucun crochet d’appontage, aucun ravitaillement en vol, aucune liaison satellitaire, aucun casque de visée, aucun radar AESA, aucune fusion de donnée, aucun moteur performant... Rien quoi !

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  2. Le chef du département de la Défense porte sa part de reponsabilité dans le refus du remplacement du F-5 E/F Tiger II. Monsieur Maurer, n’a pas été capable d'expliquer clairement au peuple suisse que l'armée devait réduire sa voilure et passer à des monoréacteurs moins coûteux. Au contraire Monsieur Maurer a dans un premier temps prétendu que ce remplacement n'était pas nécessaire.

    D'un autre côté, les opposants au Gripen ont soumis les citoyens suisses à un lavage de cerveau durant des mois. Cette opposition systématique a dépassé les limites de la décence, car dans le même temps, le Conseil fédéral ne pouvait pas y répondre de manière crédible.

    Le non au Gripen du peuple suisse est une réponse idiote aux victoires de l'UDC. Si le Gripen avait été défendu par Calmy-Rey, il aurait été accepté haut la main. Il aurait fallu arrêter de polémiquer, prendre de la hauteur et se rendre compte que sans ces nouveaux appareils, la Suisse est à la merci de n'importe que va-t-en guerre.
    Le débat technique a eu lieu et la plupart des citoyens s’y sont déclaré incompétents. Les fans de l’armée voteront oui de toutes façons et les indécrottables antimilitaristes voteront non par principe. La majorité des gens qui n’ont pas bien compris pourquoi il fallait remplacer nos vénérables F-5 E/F Tiger II maintenant et matraquée par des journaux financés par l'étranger a voté sans réféchir. Ce que le peuple suisse n'a pas compris, c'est qu'en votant non, il s'attaquait au fondement même de sa prospérité, sa sécurité. Les gauchistes et les utopistes de tout bords veulent scier la branche sur laquelle nous sommes assis. Sans une défense crédible, la Suisse n'existe plus et va devenir dépendante des décisions de l'UE.

    Au lieu de ça, les Genevois se sont rappelé que l'armée avait tiré sur des grévistes. Les antimilitaristes se sont rappelé que le Mirage français avit coûté plus du double que prévu. Le GSsA s'est rappelé du F/A-18 E/F Hornet et de ses contrepartie non repectées. Ce que le peuple suisse n'a pas compris, c'est que les opposants au Gripen veulent ouvrir tout grandes les portes de la Suisse à toute l'insécurité et la misère européenne.

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    1. Alors que le journal franco-genevois LeTemps estimait que le Gripen était un appareil multirisque, il avait exposé comment la Berne fédérale l'avait avantagé en négligeant le rapport parlementaire sur le chasseur, qui pointait les défauts du processus d’évaluation. LeTemps regrettait qu'une procédure correcte, en dépit d'anomalies avait favorisé le jet suédois, tout aussi performant mais infiniment moins coûteux, que ses concurrents. Le quotidien pro Dassault expliquait en 2007 que le DDPS avait du se contenter de 2.5 milliards de francs pour remplacer les Tiger, donc pas assez pour les 33 chasseurs prévus. Ce journal avait alors critiqué le choix réaliste des spécialistes d'acquérir 22 avions performants pour 2,2 milliards de francs, abandonnant l'option d'acheter moins d’avions plus chers.
      Sous la pression des socialistes, le DDPS avait été favorable à l’idée de privilégier le modèle le meilleur marché afin de pouvoir acquérir davantage d’appareils, tout en restant dans les limites fixées. Mais le journal pro-français n'avait pas reconnu que pour couvrir l'espace aérien helvétique, il fallait disposer d’un nombre suffisant d’avions, car cela aurait éliminé d'office les appareils trop cher. La sous-commission avait regretté de ne pas avoir été informée de cette contrainte budgétaire, qui obligeait d’opter pour l’avion le moins cher, c'est à dire le Gripen. En 2008, au départ du processus d’évaluation, la Suisse voulait l'épouvé Gripen C/D en service dans 5 armée de l'air. Mais en 2010, le report d'acquisition de 2014 à 2015 a permis au constructeur suédois de proposer une évolution E/F du Gripen, qui répondait plus précisément au cahier des charges helvétique. Au lieu d’un avion ancien, la Suisse en avait été réduite à évaluer virtuellement un prototype et toute la désinformation distillée par la concurrence tombait à l'eau. Français et Allemands avaient par contre accusé les Suédois de désinformation car SAAB n'avait pas précisé que, pour répondre plus précisement aux besoins, les forces aériennes suédoises voulaient le Gripen E/F plutôt que le Gripen C/D. Toutes les critiques perdaient ainsi leur signification et le journal regrettait le temps donné à SAAB par le CF pour parfaire son offre. L’évaluation a été menée et conclue rapidement : les essais en 2008 et rapport en 2009, c’est ce qui n'a pas permis au processus politique de suivre. Moultes tergiversations avaient permis à SAAB de mettre sont appareil au meilleur niveau et de dépasser la concurrence.
      Ce journal, qui depuis a fait faillite, expliquait que le document définissant les besoins du nouvel avion était intentionnellement vague dans ses formulations, pour qu'Armasuisse note le Gripen satisfaisant en efficité et en police aérienne. Comme la sous-commission voulait le meilleur appareil, le journal avait exposé que des divergences étaient apparues entre les pilotes soudoyés par Dassault et l’organisme fédéral neutre chargé d’évaluer l’avion. Comme une version de cette cellule volait dans 6 armées différentes, l'upgrade au modèle E/F ne représentait aucun risque, alors que les Forces aériennes redoutait ce passage.
      Pour le journal voué au chasseur français, le Centre de compétence de la Confédération était partial, car il avait sous-évalué le défi technique du passage à la version E/F du Gripen. Le journal, déplorait également que les entretiens d'Armasuisse depuis 2010 ne portaient plus que sur des questions de planification, en négligeant les offres française et allemande. La désinformation avait donné l’impression que les Suédois ne tenaient pas leurs promesses, étaient mauvais dans les contrats compensatoires et avait influencé négativement le Bureau des affaires compensatoires au sujet de SAAB.

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  3. Après le refus populaire d'acheter 22 avions de combat JAS-39 Gripen E/F pour remplacer les 54 F-5 E/F Tiger II de l'armée, une commission d’experts a été chargée d’évaluer les besoins de la Confédération en matière de défense aérienne.

    Comme notre armée devra remplacer au cours de la prochaine décennie, non seulement ses F-5 Tiger mais aussi les 30 F/A-18 C/D Hornet, les experts ont présenté quatre options différentes :

    - 5 milliards pour 20 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 15.000 km2 avec modernisation des F/A-18 Hornet.

    - 8.5 milliards pour 30 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 45.000 km2 et abandon des F/A-18.

    - 9 milliards pour 40 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant la surface du plateau suisse.

    - 18 milliards pour 70 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 45.000 km2

    Pour assurer une présence permanente dans les airs d'au moins quatre avions pendant au moins quatre semaines, 40 appareils sont nécessaires. 8 milliards sont à disposition et le nombre d’avions nécessaires era inversement proportionel à la puissance de la défense sol-air.

    Cinq types d'appareils et trois type de DCA sont en lice, mais Avions et défense sol-air ne doivent pas forcément être acquis auprès du même pays ou de pays différents.
    En terme de coût et d'efficacité, l'appareil choisi par le Conseil Fédéral est logiquement le JAS-39 Gripen E

    - Cet appareil est le plus moderne et le plus compatible avec notre armée.
    - Cet appareil atteint Mach II.
    - Cet appareil est doté du meilleur radar AESA, ouvrant de 100° à gauche et à droite.

    A priori, le seul appareil qui ne convient pas est le Rafale Français :

    - Le Rafale français est un biréacteur lent, alors que non avons besoin d'un monoréacteur rapide.
    - Le Rafale français peut atterrir sur un porte-avion alors que la Confédération n'a pas de porte-avion.
    - Le Rafale français ne peut emporter des bombes atomiques alors que la Confédération n'a pas d'ogive nucléaire.
    - Le Rafale français ne dispose pas d'un casque de visée.
    - Le Rafale français ne peut faire de supercruise.
    - Le Rafale français ne peut tirer le Meteor.
    - Le Rafale français ne peut utiliser les cavernes alpines du Tiger ou du Hornet.
    - Le Rafale français dépasse le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement.
    - Le Rafale français ne décolle pas sans PC et ne vole pas en supersonique sans PC.
    - Le Rafale français est incapable de lancer des missiles des Tiger ou des Hornet.
    - Le Rafale français ne décolle pas depuis nos autoroutes.
    - Le Rafale français n'est pas opérable par une armée de milice.
    - Le Rafale français ne dispose pas d'un aussi bon radar que le JAS-39 Gripen E.
    - Le Rafale français n'est pas assez manoeuvrable pour le combat tournoyant en vallée alpine.
    - Le Rafale français ne peut brûler du biocarburant produit localement.

    Le Rafale français est légérement en retrait du F/A-18 Hornet dont dispose déjà l'armée fédérale.

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