lundi 13 février 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Affaire des Rafales invendables

Considérant les développements de l'Affaire des Rafales, il apparait de plus en plus que des infiltrés français au sein de la Confédération ont vraisemblablement versés des pots-de vins non seulement aux industriels de la République pro-Française de Genève, mais aussi aux militaires et aux parlementaires. Le témoignage en est fourni par un ancien conseiller fédéral valaisan qui avait largement bénéficié des largesses de Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault, Bouygues et consort. Seule la longueur de la campagne d'évaluation des nouveaux chasseurs avait permis à la Confédération de mettre cet homme de paille à la retraite sans causer trop de dégâts.

Il faut se veiller à ce que la situation qui prévaut en France n'arrive pas en Suisse. Par une désinformation continue, le consortium militaro-industriel Dassault oblige le peuple français à payer seul le développement onéreux d'un avion certes d'exception, mais conçu pour la guerre froide. Comme la conception de cet appareil remonte aux années septante, son avionique nécessite des mises à niveaux perpétuelles, qui ne l'autorisent toutefois pas à acquérir l'efficacité d'appareils de conception plus récente. Cependant, comme la démocratie directe et le fédéralisme n'existe pas en France, le peuple français est contraint malgré lui de participer au financement de cet appareil et à l'enrichissement de ses élites, dont la famille Dassault.

Comme avec l'affaire des Mirages, les milieux politico-financiers français tentent de nous vendre des appareils qui ne nous conviennent pas. Pour ce faire, ils ont grassement rémunéré quelques officiers de l'armée fédérale pour que ces derniers élaborent un rapport diffamatoire contre l'appareil qui convient le mieux à notre armée et à notre pays. Ensuite, par des fuites savamment orchestrées, les Français tentent de semer le doute et la désunion au sein du collège gouvernemental, alors que la décision d'acheter l'appareil suédois a été prise de manière définitive après une longue campagne d'évaluation. Mais l'histoire se répète et comme avec l'affaire des Mirages, les milieux politico-financiers français tentent d'influencer le peuple suisse en envoyant de nouvelles propositions aux élus du peuple. Les Français ont même envoyé le dénommé Charles Edelstenne pour convaincre le Conseil Fédéral avec de nouvelles propositions.
  1. Accès aux bases d'entrainement du territoire français
  2. Vente d'une version très diminuée de l'appareil polyvalent français.
  3. Prix inférieur au prix du JAS-39 Gripen E et du Typhoon pour 18 appareils au lieu de 22.
Or, cette nouvelle proposition n'enchante pas véritablement les militaires qui sont habitués à disposer du meilleur matériel du moment, car :
  • Le Rafale en version diminuée n'apporte rien à la défense aérienne et c'est plutôt à une version améliorée que nos forces aériennes aspirent.
  • Le Rafale ne dispose toujours pas d'une motorisation suffisante, qui viendra avec les version 4 ou 5 de l'appareil.
  • Le Rafale ne dispose toujours pas d'une avionique suffisante, qui viendra avec les version 4 ou 5 de l'appareil.
  • Le Rafale reste un appareil biréacteur qui a deux fois plus de chance de rencontrer un problème au niveau des moteurs.
  • Le Rafale est toujours incapable de décoller de pistes courte peu aménagées.
  • Le Rafale ne dispose  de viseur de casque valable, démontré par les récents engagements en Lybie avec 50% d'objectifs manqués.
  • Le Rafale est toujours incompatible avec le Frelon tant au niveau des moteurs que des armes embarquées.
  • Disposer de zones d'entraînement en France n'apporte rien à notre armée, qui doit combattre dans les territoires froids et montagneux.
  • Disposer de moins d'appareils qui sont immobilisés plus longtemps au sol risque d'être dangereux pour la Suisse.
Finalement le Rafale ne sera pas fabriqué en Suisse, ne fournira pas de places de travail, diminuera donc notre indépendance et notre savoir-faire. Cette seule raison devrait suffire à écarter la candidature de l'appareil français. Le Rafale ne sauvera ni RUAG, ni Armasuisse, ni Pilatus, ni Stalder Rail.

Rappelons que l'armée suisse cherche un appareil pour remplacer le Tiger II E/F, qui soit compatible avec l'OTAN, avec l'Europe, avec le FA-18 C/D pour défendre l'espace aérien helvétique. Or le Gripen répond idéalement à ce cahier des charges.
  • Il a a la même taille que le Tiger qu'il doit remplacer, à la différence du Rafale français.
  • Il a le même type de réacteur que le FA-18 qu'il doit seconder.
  • Il est aussi rapide que l'appareil français, tout en étant moins bruyant.
  • Il a la même puissance relative que l'appareil français.
  • Il est capable de s'adapter à l'infrastructure existante, sans modification.
  • Il autorisera l'armée à maîtriser sa technologie car produit sur place.
  • Il possède un viseur de casque, à la différence du Rafale français.
  • Il pourra utiliser les mêmes missiles que le FA-18, à la différence du Rafale français.
  • Il sera capable de décoller de nos autoroutes, à la différence du Rafale français.
  • Il ne sera pas truffé de back-doors (logiciels espions), à la différence du Rafale français.

Source : Internet (page mise à jour 26/05/2012)

15 commentaires:

  1. Produit sur place ? en collaboration sans doute, mais tous les appareils en lice seront produits à l'étranger.
    De toute façon, produire de l'armement ne réduit pas la crise, mais conduit à la guerre.....

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  2. Thales accusé de corruption et mis en examen en 2014

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  3. A l'heure où le très performant JAS-39 Gripen E produit par la Suède, est vendu à l'étranger, le Rafale français rencontre des difficultés à l'export. Plutôt que de s'interroger sur l'incompatibilité de leur appareil avec à peu près tout ce qui vole, les Français critiquent la concurrence. Plutôt que de regretter d'avoir trahi le projet Eurofighter, les Français s'étonnent que les suédois construisent aussi des appareils aussi performants.

    Cependant, la Suède construit ses avions de combat depuis les années 50 : Saab Tunnan, Lansen, Draken, Viggen, Gripen. Politiquement concurrencé par le Mirage III, le superbe J-35 Draken, s'était néanmoins exporté, au Danemark, en Finlande, en Autriche et dans l'école des pilotes d'essais américains NTPS. Mais face aux pressions françaises, il avait échoué en Suisse.

    Le prototype du JAS-39 Gripen suédois a fait son premier vol en 1988, plus de deux ans après le premier vol du démonstrateur Rafale français (1986). L'avion est entré en service dans la Flygvapnet, l'armée de l'air suédoise, en 1996, c'est-à-dire huit ans après son premier vol, mais cinq ans avant les premières livraisons du Rafale à la Marine française. Aujourd'hui, la Suède peut aligner plus de 180 Gripen (sur une commande totale de 262) alors que seuls 132 sur 180 Rafale ont été livrés en France.

    Le JAS-39 Gripen se vend à l'étranger : la Tchèquie et la Hongrie en louent chacune 14, l'Afrique du sud en a

    commandé 28, la Thaïlande 12 et le Brésil 36. Par ailleurs, les pilotes d'essais de l'Empire's Test Pilot School anglaise s'entraînent sur Gripen. Devant les retards du F-35 Saab propose le Gripen E au Danemark, à la Belgique, à la Norvège et encore à la Royal Navy anglaise. L'Argentine s'est déclarée intéressée par 24 Gripen E fabriqué au Brésil. La campagne de désinformation opéré par les service secrets français a cependant fait échouer l'achat suisse devant le peuple.

    Les Français arrogants soutiennent que produire et exporter un avion par un pays de 9 millions d'habitants, dont le PIB pèse 15% de celui de la France, ce n'est pas si mal... D'autant plus que la Suède répond toujours aux critères de Maastricht et ne se contente pas de construire des avions de combat, mais aussi des sous-marins classiques et des blindés remarquables comme le CV-90. Les succès du JAS-39 Gripen suédois viennent du fait qu'il comporte une grande part, de l'ordre d'un tiers, de technologie américaine. Son moteur à double flux est dérivé du General Electric F414 et son radar à balayage électronique actif Raven ES-05 est produit par Selex Galileo.

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  4. S’il y a bien un exemple des dérives incontrôlées du développement d’un avion, le Dassault Rafale est un très bon cas de figure à citer. Au départ, c’est une demande des pays européens, qui souhaitent renouveler leur flotte à moindre coût par la collaboration. Mais la Grande Bretagne, qui dispose déjà de l'imporessionnant chasseur bombardier Panavia Tornado à géométrie variable, désire un intercepteur lourd de supériorité aérienne. L'Allemagne qui dispose du même redoutable Panavia Tornado, L'italie, qui dispose aussi de Panavia Tornado, prend place dans le projet européen. L'Espagne emboîte le pas aux trois premiers. Convaincue par les performances pures de l'appareil, l'Arabie Saoudite en commande par la suite sans participer à son élaboration.

    La France, exception culturelle française oblige, veut faire différemment comme à son habitude et veut remplacer pas moins de sept casseroles volantes au sein de son armée de l'air. La France veut pouvoir navaliser l'appareil et veut pouvoir le nucléariser. Le principal problème est que le Juif Dassault veut faire un maximum de profit et veut tout commander. Lancé à la fin des années trois-ving-dix, le projet traverse les époques et les gouvernements et son prix ne cesse de grimper. Au bout de trentes longues années, il entre en service pour 150 millions pièce, mais ne répond plus au nouveau cahier des charges de l'après guerre-froide. Sans furtivité et avec une électronique dépassée, lappareil doit être repensé de fond en comble. Sa charge alaire trop importante, conjugué à la faiblesse de ses moteurs, fait que cinq appareil s'écrasent quelques années après leur mise en service. Limité à mach 1.6, cet appareil franco-français est incapable de décoller sans postcombustion, car il a été prévu pour être aidé par des catapultes à vapeur. Sans capacités VTOL, ni STOL, sans furtivité son prix exorbitant fait que cet appareil ne s'exportera jamais.
    Les ingénieurs français ont néamoins tenté d'utiliser des matériaux composites dans sa fabrication pour l'alléger et pour essayer de diminuer sa signature radar. Les ingénieurs français ont également tenté de lui greffer un radar AESA, mais cela a complétement changé son assiette de vol. Ceci retrace la triste histoire d’un échec annoncé, celle de l’avion à tout faire, qui ne sait pas faire grand chose, mais à un prix faramineux.

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  5. Le J/FC-31 Falcon Eagle, un nouvel appareil chinois furtif a fait sa première apparition en public. Furtif signifie avionnique et radar de pointe, mais pas de décollage vertical.

    Comme l'avion n'est sorti de production que depuis deux ans, ses évolutions dans le ciel ont été très timides. Au contraire du Rafale qui fait des démonstrations depuis 30 ans sans s'exporter, il n'a pas encore fait d’évolution sous facteur de charge ou angle d’attaque élevé. Les spécialistes français qui en sont restés à l'époque du dog-fight de la guerre froide, le comparent au F-35.

    En effet, malgré tout leurs efforts, les Français n'ont jamais réussi à produire un appareil furtif ou un appareil à décollage vertical. Les premières évolutions du Rafale A au salon de Farnborough, seulement quelques mois après son premier vol n'auguraient déjà rien de bon quand aux évolutions futures de l'appareil. Les ingénieurs français ont finalement réussis à greffer un radar AESA, dont les capacités restent toujours très limitées, mais le changement des moteurs relève d'une autre paire de manches. A la différence du Rafale français, très limité au niveau de la motorisation, le J-31 est cependant, équipé de merveilleux moteurs d’origine Russe RD-93, variante du RD-33 équipant le Mig-29.

    Si le ramage du FC-31 se rapporte à son plumage et vu le secret qui entoure les programmes chinois, les Français ont de quoi se faire du souci. A la différence du Rafale français, sa forme laisse penser qu'il est discret aux ondes radars. Ses capacités électroniques devraient être par conséquent de la cinquième génération. Ressemblant fortement au F-35, l'appareil chinois devrait être discret, furtif, et abordable financièrement. Un ensemble de qualité que ne possède pas le chasseur bombardier nucléaire et omnirole français !

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  6. Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, s'est montré très retors, après l'échec du Rafale pour remplacer les F-5 E/F Tiger II en sélection contre le JAS-39 Gripen E. Certes, ce dernier fut ensuite refusé en votation populaire, à cause des opérations secrètes de désinformation commises par les Français. S'ajoutant au scandale du Mirage, les chutes à répétition des Rafales en service, comme les refus d'arrestations des Falciani, des Ségalat et autres Hariri ont durablement compromis toute éventualité de voir la Suisse opter pour le Rafale.

    Mais les Français complétement à côté de la plaque caressent cependant le rêve de fourguer, comme aux arabes, leur appareil inadapté pour remplacer nos FA-18 C/D Hornet.

    Qu'ils osent imaginer qu'il aura à nouveau toutes ses chances dans peu d'années laisse songeur, quand on sait les malversations dont sont capable les Français...

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  7. Pour soutenir les islamistes et empêcher les attentats sur son sol la France a conclu cinq contrats différents avec les Arabes en guerre, évalués à 5,2 milliards d’euros :

    1. Contrat entre les Islamistes et l'entreprise française Dassault Aviation concernant 24 Rafale de première génération déjà en service dans l'armée française.

    2. Contrat entre les Islamistes et l'entreprise française DCNS concernant une frégate multimission FREMM, déjà en service dans l'armée française.

    3. Contrat entre les Islamistes et l'entreprise française MBDA concernant des missiles air-air Mica et de croisière Scalp, déjà en service dans l'armée française.

    4. Contrat entre les Islamistes et l'entreprise française SAGEM concernant des missiles air-sol 2ASM, déjà en service dans l'armée française.

    5. Contrat entre les Islamistes et l'entreprise française LaCroix concernant concernant les systèmes de leurre du Rafale.


    La France en négociant ces contrats à perte avec le dictateur El-Sissi accroit la dette de l'Egypte et accroit la dette de la France indirectement. Mais la France en négociant ces contrats à perte avec le dictateur El-Sissi rend l'Egypte dépendante de ses industries nationale et là est le but inavoué. En effet, la France ne pouvait arrêter la production des bombardiers Rafale conçus pour la guerre froide et en négociant ces contrats à perte avec un pays en faillite, réussit enfin à exporter son Rafale franco-français. De plus, la France en négociant ces contrats à perte avec le dictateur El-Sissi reprend sa place de colonialiste en Afrique et sauve la tête du miliardaire Dassault, comme du Président Hollande.

    On voit clairement à quoi la Confédération Helvétique a échappé : rachat de tout l'armement, recontruction de toute l'infrastructure au sol et abandon de la neutralité ! L'achat d'un appareil dépassé comme le Rafale nous aurait rendu dépendant de la France, non seulement au niveau de la cellule, des moteurs ou de l'avionique, mais aussi pour les missiles et pour l'armement !

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    1. Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II a la même taille que le Tiger qu'il doit remplacer, à la différence du Rafale français. Ce qui est parfaitement exact, mais le fait que le Rafale soit sensiblement plus grand et plus puissant est-il vraiment un inconvénient ? Après tout, tout évolue vers le mieux.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II a le même type de réacteur que le FA-18 qu'il doit seconder. Ce qui n'est pas tout a fait exact, il est américain aussi, c'est tout..
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II est aussi rapide que l'appareil français, tout en étant moins bruyant. Ce qui est complétement erroné : Le Rafale Français plafonne à Mach 1.6, alors que le JAS-39 Gripen E dépasse largement Mach 2 avec son nouveau moteur GE-414-G.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II a la même puissance relative que l'appareil français. Ce qui n'est pas tout a fait exact, le f-414-g développe 98 kN pour 1'110 kg, soit 11 kg par kN ou 88 N par kg, alors que deux M-88 développent 150 kN pour 1800 kg, soit 12 kg par kN ou 83 N par kg.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II est capable de s'adapter à l'infrastructure existante, sans modification. Ce qui est parfaitement exact, mais il n'est pas sûr que les Meteor et les Iris-t soient compris dans le prix.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II autorisera l'armée à maîtriser sa technologie car produit sur place. Ce qui est complétement erroné : Le Gripen E sera fabriqué en Suède ou au Brésil.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II possède un viseur de casque, à la différence du Rafale français. Ce qui est parfaitement exact, mais il s'agit d'un choix, un appareil comme le Rafale privilègie le Dog-Fight, plutôt que le tir à distance.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II pourra utiliser les mêmes missiles que le FA-18, à la différence du Rafale français. Ce qui est parfaitement exact, mais il n'est pas sûr que les Meteor et les Iris-t soient compris dans le prix.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II sera capable de décoller de nos autoroutes, à la différence du Rafale français. Ce qui est parfaitement exact, mais il s'agit d'un choix, un appareil comme le Rafale privilègie une assistance au sol importante.
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      Le cap. Rob. Schweizer a dit que le JAS-39 Gripen II ne sera pas truffé de back-doors (logiciels espions), à la différence du Rafale français. Ce qui est parfaitement exact, mais il s'agit d'un choix, un appareil comme le Rafale ne doit pas ouvoir être utilisé contre la France.

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    2. La plupart du temps, les achats de matériel militaire servent souvent à récompenser ou à acheter un positionnement politique particulier. En effet, si l'Egypte, le Qatar, les Emirats ou l'Arabie Saoudite se décident d'acheter des armes à tel ou tel pays, ce n'est souvent pas par besoin, mais pour des raisons politiques, économiques ou stratégiques. Le plus bel exemple est donné par la France, qui n'écoule pas ses produits technologiques, marchande sa politique extérieure pour les vendre.

      Il faut dire qu'il est bien fini le temps des protectorats, où le peuple soumis devait payer pour avoir les produits manufacturés de son protecteur. L'Inde s'est non seulement émancipée de l'Angleterre, mais a racheté des fleurons britanique tels Jaguar ou Land-Rover dans le domaine automobile. L'Inde indépendante est capable de produire elle-même sa propre aviation de combat, même si elle collabore encore avec les Russes. Cependant, l'Inde veut acheter quelques Rafales à la France pour en édudier les systèmes et faire évoluer son appareil de cinquième génération.

      En Egypte, c'est la France, donc le peuple français qui paie pour équiper l'armée de l'air égyptienne avec des Rafales de l'armée de l'air française. La France s'implique ainsi dans le combat contre Daesh, mais sans risquer la vie de ses pilotes et sans risquer de represailles terroristes.

      Le contrat signé au Qatar pour écouler 24 de ses Rafale comporte, comme pour l'Egypte, une contrepartie, sinon pour quelles raisons cet émirat aiderait-il la France ? L'ouverture des lignes d'Air France à Qatar Airways semble être la contrepartie économique demandée. La France semble peu à peu, de reniement en reniement, se désengager de la lutte économique mondiale. Peugeot a été cédé aux Chinois, Renault dépend des Japonais, Peugeot Cycles a été vendu aux Indiens, tout comme l'industrie minière de Lorraine.

      Comme la France a cédé sa défense aux Juifs, elle est contrainte d'accepter cette aumône de 6 milliards d’euros pour ses Rafale.

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  8. Le magazine L’Hebdo, prévient dans une dossier de huit pages des méfait des Français. Ceux-ci sont claniques, accordent une importance démesurée à la hiérarchie, ignorent toute notion de partenariat et passent des heures à débattre pour le plaisir. Leurs références proviennent de la littérature et de l'histoire française. Leurs points d'intérêts orbitent autour des moteurs Diesel et de Paris. Les Français sont en train de détruire notre économie, car la formation continue ne les intéresse pas. Ils ont fait toutes leurs études à la suite et arrivent sur notre marché du travail avant 30 ans avec la science infuse. Il déploient leurs idées préconçues sans jamais les remettre en question, ce qui à conduit la France à la catastrophe.

    Même la revue pro-européenne L’Hebdo reconnait que la France est le pays que l'on aime le plus détester. Encore en bonne santé économique, la Confédération Helvétique, qui a réussi son intégration religieuse et linguistique, se gausse du monolinguisme, du centralisme, de la paresse et du chômage des "Fraouze". Si on ne peut encore parler de racisme anti-français, des organisation de défense du citoyen se sont constituées, dont le Mouvement citoyens genevois (MCG). Mais les Suisses se retiennent pour ne pas encore agresser dans la rue ces incapables qui leurs volent leur travail. Depuis leur arrivée, le chômage quasi inexistant a bondi à 3%. Les Suisses témoignent que les Français jettent sans cesse des coups d’œil autour d'eux pour voir qui va lui piquer leur place. Les Suisses certifient que les Français s'agrippent aux places qu'il ont prises aux Suisses par tous les moyens à sa disposition." Les Suisses attestent que les Français ne disent ni bonjour ni merci, car ils sont les chefs, comme lors de l'occupation napoléonienne.

    Dans le canton de Vaud, les frontaliers gagnent 13 % de moins que leurs collègues suisses, mais par contre, dans le haut de l’échelle des salaires, les rémunérations des Français seraient de 5 % supérieures à celles des Helvètes. Le citoyen suisse s'interroge sur le nombre réel de cadres en provenance de l’Hexagone, qui se sont-ils installés dans la Confédération ces dernières années ? L’ambassade française de Bern estime à 200 000 le nombre de Français établis dans le pays, auxquels s’ajoutent 160 000 frontaliers qui passent chaque jour la frontière. Mais cette ambassade étrangère ne tient pas compte des nombreux individus, qui ont adoptés la nationalité suisse et ne figurent plus dans les ressencement hexagonaux.

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  9. Les kokoriko passés, une question demeure : Comment l'Egypte va-t-elle se payer les bombardiers Rafales qu'elle s'est offert ?

    Le contrat de 5,2 milliards d'unités de compte européennes (euros) signés entre la France et l'Egypte, va durablement gréver les finances des deux pays, car tout deux sont en faillite. Selon l'accord, les équipements devraient être payés au moment de la livraison.
    L'Egypte va s'endetter de 2 milliards auprès de l'Etat français, qui possède déjà un passif de 2'000 milliards. Pour les 3.2 milliards restant, l'Egypte va emprunter aux banques françaises, avec une garantie de la Coface (compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur). Les banques françaises concernées sont BNP Paribas, la Société Générale ou le Crédit Agricole.

    Le contrat porte sur 24 Rafale, dont 16 biplaces et 8 monoplaces, initialement destinés à l'armée de l'air française. La France assure que les bombardiers égyptiens seront au même standard que les bombardiers français, à l'exception du tir du missile nucléaire ASMPA. Ces bombardiers seront omnirôles, c'est à dire capables de remplir toutes les missions dévolues à l'appareil : reconnaissance, tirs de missiles de croisière, mitaillage et bombardement. Fort heureusement pour l'emploi, les avions seront tous intégralement fabriqués en France et les Islmistes égyptiens n'ont pas réclamé de transferts de technologie. L'entreprise Dassault voit ainsi le spectre de la faillite s'éloigner et le milliardaire Dassault pourra continuer de s'enrichir sur le dos du peuple français.

    Devant la situation économique catastrophique de la France, l'armée doit liquider ses fleurons : La frégate Normandie équipée de missiles surface-surface Exocet et surface-air Aster va devenir égyptienne, alors que le Maroc a baptisée sa frégate Mohammed VI en janvier 2014.

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    1. La plupart du temps, les achats de matériel militaire servent souvent à récompenser ou à acheter un positionnement politique particulier. En effet, si l'Egypte, le Qatar, les Emirats ou l'Arabie Saoudite se décident d'acheter des armes à tel ou tel pays, ce n'est souvent pas par besoin, mais pour des raisons politiques, économiques ou stratégiques. Le plus bel exemple est donné par la France, qui n'écoule pas ses produits technologiques, marchande sa politique extérieure pour les vendre.

      Il faut dire qu'il est bien fini le temps des protectorats, où le peuple soumis devait payer pour avoir les produits manufacturés de son protecteur. L'Inde s'est non seulement émancipée de l'Angleterre, mais a racheté des fleurons britanique tels Jaguar ou Land-Rover dans le domaine automobile. L'Inde indépendante est capable de produire elle-même sa propre aviation de combat, même si elle collabore encore avec les Russes. Cependant, l'Inde veut acheter quelques Rafales à la France pour en édudier les systèmes et faire évoluer son appareil de cinquième génération.

      En Egypte, c'est la France, donc le peuple français qui paie pour équiper l'armée de l'air égyptienne avec des Rafales de l'armée de l'air française. La France s'implique ainsi dans le combat contre Daesh, mais sans risquer la vie de ses pilotes et sans risquer de represailles terroristes.

      Le contrat signé au Qatar pour écouler 24 de ses Rafale comporte, comme pour l'Egypte, une contrepartie, sinon pour quelles raisons cet émirat aiderait-il la France ? L'ouverture des lignes d'Air France à Qatar Airways semble être la contrepartie économique demandée. La France semble peu à peu, de reniement en reniement, se désengager de la lutte économique mondiale. Peugeot a été cédé aux Chinois, Renault dépend des Japonais, Peugeot Cycles a été vendu aux Indiens, tout comme l'industrie minière de Lorraine.

      Comme la France a cédé sa défense aux Juifs, elle est contrainte d'accepter cette aumône de 6 milliards d’euros pour ses Rafale.

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  10. Le Rafale a été conçu dans les années 1970 pour remplacer pas moins de 7 types d'appareils différents au sein de l'armée française. Il n'a pas été conçu pour être efficace, rapide ou bon marché. Il a été prévu pour résorber le chômage endémique et structurel qui sévit en France. C'est pour cette raison que la cellule est produite en France, le moteur est produit en France et qu'il ne peut emporter que de l'armement français.

    C'est pour cette raison, que le Rafale n'est pas complètement furtif et qu'il ne peut pas décoller verticalement. Voyant qu'il commençait d'être dépassé, la France l'a transformé en un bombardier nucléaire lourd et lent. Après avoir essayé de lui greffer un radar AESA pour se maintenir au niveau de la concurrence, les Français veulent maintenant développer le Rafale IV.

    Et les Français prétendent que le budget est respecté !!!?

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