mercredi 25 décembre 2013

Nouvel appareil de combat (NAC): Les Français opèrent sous couvert

Au Brésil comme en Suisse, l'appel d’offres on été soumis à des influences françaises.
En 2009, les Français forçaient la main du président Luiz Inácio Lula da Silva pour que le Rafale soit choisi par le Brésil. Mais les autres fournisseurs révélaient l'affaire dans la presse et des rumeurs de pots de vin se mirent à circuler. Le Français Jean-Marc Merialdo, essaie alors de remettre les pendules à l’heure et de dissimuler les défauts rédibitoires de l'appareil de Dassault, comme son prix ou son obsolescence technologique. Mais c'est parole contre parole et la France n'a pu convaincre.
Après cet épisode, le président Lula n'a plus été soutenu par la hiérarchie militaire et il octroya alors un délai supplémentaire à SAAB, car la candidature du Gripen semblait également convaincante. D'ailleurs, les militaires, en première ligne pour juger l'appareil pensent déjà en effet qu'il était le plus adapté aux besoins des forces aériennes du pays.
En 2010, un compte-rendu d’évaluation mettait le Gripen en première place, Mais, deux ans plus tard, un autre rapport d’analyse invitait Brasilia à choisir le FA-18 de Boeing, car le coût unitaire du Rafale à 175 millions d’euros détonnait avec un prix de 142,3 millions d’euros pour les forces françaises, Le coût de l’avion de Dassault avait été ignominieusement majoré à l’export,

Les Français se rendent compte que le coût d’acquisition et de maintenance est déterminant
Au sein du Mercosur, le Brésil fait figure de bon élève. Mais les indicateurs économiques n’incitent cependant guère à l’optimisme : les taux d’intérêts sont élevés, le prix des matières premières indigènes stagnent, l’inflation guette, le déficit courant se creuse, la dette publique représente 58,8% du PIB et les finances publiques sont sous tension. Sur le plan monétaire, le Real est malmené sur les marchés depuis l’annonce de l’ex-président de la FED d’un probable durcissement de sa politique.
Dans ces conditions, le choix d’un avion de combat peu onéreux, tant à l’achat qu’en exploitation, se comprend. De plus, la logique financière prend en compte le ratio coût-efficacité plus favorable du Gripen. Car le Gripen, beaucoup plus rustique, privilégie l'efficacité avec des équipement à la pointe du progrès. Sur papier. l'heure de vol du Gripen monoréacteur n'est que de 4'500 Unités de Compte Européenne contre 39'000 pour le Rafale franco-français. Il va sans dire que tant l’État français que la firme Dassault promettent depuis des lustres une hypothétique mise à niveau des moteurs et de l'avionnique. Mais, il faut bien dire que le situation de la France n'est guère plus enviable que celle du Brésil.

Les Français mettent en doute les nouvelles ambitions aéronavales du Brésil
Le Brésil dispose déjà de capacités aéronavales, avec le Sao Paulo, un ancien porte-avion français acheté d'occasion. Mais les excellents A-4 Skyhawk, dont il est doté ne dureront pas éternellement. Le choix du F/A-18 Hornet ou éventuellement du Rafale, deux avions embarqués, aurait pu sembler logique pour les ambitions brésiliennes. Mais Saab avait également développé une version navale de son Gripen E/F, qu'il avait déjà proposé à l'Inde.

Les Français dénigrent le Gripen E/F en développement
Pour dénigrer la base saine du Gripen, Français ont mis le paquet. Lors de son évaluation par les forces militaires suisses, Dassault a mandaté plusieurs agences en 2008 pour faire du tort à l'appareil suédois et promouvoir l'invendable Rafale. Ces agences ne se sont jamais appesanties sur les 5 mystérieux crashes de Rafale en temps de paix, mais ont mis en exergue les capacités insuffisantes du réservoir de l'ancien Gripen C/D. A ce sujet, d'anciens rapports d'évaluation préalables ultra secrets ont été rendus public et ont débouchés sur une enquête pénale. De plus, des cadres supérieurs du département de la Défense ont été grassement retribués pour exprimer leurs réserves sur l'appareil suédois.Ces cadres durent être remplacés. Après ces incidents, la France n'est plus du tout convaincante avec son jeu à la Tanguy & Laverdure. L’Eurofighter était visé par la Suisse, mais il était beaucoup trop cher et il ne disposait pas de Radar AESA, Comme le Brésil, la Suisse préfère attendre 2018 pour toucher les appareils ultramodernes, au développement desquels elle aura participé.

Les Français rechignent à transférer leur technologie.
Au Brésil, les transferts de technologie consentis par les 3 concurrents en lice devaient être déterminants. Mais l'américain Boeing avait de plus offert son réseau commercial à Embraer, pour l’aider à démarcher des clients. Alors que le français Dassault ne pouvait offrir que sa technologie dépassée. Par contre, les suédois de Saab avaient directement signé des accords avec l'industrie locale, avant même la conclusion de l’appel d’offres, ce qui a fait toute la différence.

Les Français essaient d'empêcher la signature du contrat de vente.
Le JAS-39 Gripen E/F a remporté la première manche au Brésil, comme le Rafale a remporté la première manche en Inde face au surpuissant Typhoon. Les Français espèrent maintenant pouvoir empêcher la concrétisation du contrat de vente au Brésil et a finaliser celui en Inde. Et là encore, ce n’est pas une mince affaire pour la diplomatie et les services secrets français, qui espèrent toujours pouvoir provoquer un nouveau coup de théâtre, avant le versement du premier acompte. La finalisation du contrat brésilien devrait en effet prendre 10 à 12 mois, pour une livraison vers 2018, alors que l'EuroFighter Typhoon en embuscade attend son heure en Inde.

Les Français dénigrent le Gripen superperformant bourré de technologies américaines de pointe.
La candidature du F/A-18 E/F Super Hornet a été écartée au Brésil à cause des relations diplomatiques tendues entre Brasilia et Washington, suite aux révélations faites par l’ex-consultant de la NSA, Edward Snowden, au sujet de l’étendue de l’espionnage américain au Brésil. Les Français argumentent que les Etats-Unis pourront tirer quand même quelques bénéfices du choix  Gripen, car certains composants américains entre dans sa composition, dont son moteur fabriqué sous licence par Volvo. Heureusement qu’il ne faudra pas d'autorisation de Washington pour que le Gripen puisse être exporté au Brésil, car le moteur ne fait pas partie de la réglementation américaine en la matière (International trafic in Arms Regulations, ITAR).

L'option du Rafale a complétement chamboulé la Loi de programmation militaire française
La Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, repose sur le pari fou de vendre des Rafale à l’exportation, afin de permettre à Dassault de maintenir une ligne d’assemblage, Mais, l'Etat français est obligé d'assister la famille Dassault, alors que la dette de la France dépasse allégrement les 2'000 milliards d'Unités de Compte Européennes. La décision de développer le Rafale onmirôle et d'abandonner le développement du Mirage 2000-9 fait peser un risque majeur non seulement sur l'industrie française de défense, mais aussi sur la défense militaire française elle-même. Dans les 5 ans à venir, il est prévu pour les forces françaises seulement 26 appareils, qui seront payés avec un argent dont la France ne dispose pas, Les familles Peugeot, Sarkosy, Bouygues, Dassault, Lagardère et consort ont vu ces derniers temps leur patromoine décupler, alors que l'Etat français a cumulé les déficits, si bien que le projet Rafale risque bien de ne plus évoluer à l'avenir.

Source : Internet (page actualisée le 25/12/13)

5 commentaires:

  1. Lors de la votation du 18 mai 2014 sur la loi sur le fonds Gripen, le peuple se prononcera sur la sécurité et l’indépendance de notre pays.

    Nous n’allons pas simplement voter sur le remplacement d'un avion dépassé par un appareil moderne. Nous allons fondamentalement prendre la décision de renoncer à notre sécurité en supprimant volontairement nos capacités de défense. Or de notre sécurité, dépend non seulement notre bien-être, notre économie, notre stabilité et notre attractivité.

    Toutes les autres votations secondaires dépendent de la capacité qu'à la Suisse de préserver son indépendance pour conserver son système démocratique prospère. En s'attaquant à son système défensif, des forces extrêmistes internes et des forces totalitaires de l'étranger veulent anéantir 700 ans d'histoire.

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  2. Les ingénieurs de chez Dassault ont prétendu que le Rafale possède deux réacteurs pour pouvoir décoller de porte-avions en sécurité. Or avec les progrès réalisés, la fiabilité des moteurs modernes rend cette redondance obsolète et la seule utilité d'un biréacteur est d'emporter des bombes. Toutefois, les bombardiers biréacteurs entrent en infraction avec notre législation sur le bruit et sur la pollution. Ces ingénieurs reconnaissent que l'emploi de deux réacteurs laisse une importante signature thermique et nuit à la furtivité, mais ont ajouté que ce Rafale biréacteur pourrait théoriquement effectuer la SuperCruise du Gripen et que seule la législation en vigueur l'empêchait de décoller sans PC. Ils ont assuré que le Rafale possèdait un contrôle électronique de puissance, mais ont reconnu que malgré ce FADEC et contrairement au Gripen, ce bombardier de la guerre froide ne peut utiliser ni carburant du commerce, ni bio-carburant, mais du carburant militaire français seul.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont reconnu que le Rafale, à la différence du Gripen, ne pouvait utiliser les abris et les cavernes existantes, car sa dérive est trop haute et à la différence du Gripen, ne peut utiliser les armes du F/A-18 C/D ou du F-5 E/F Tiger II, mais du matériel militaire français. Or la norme Stanag 1760 n'autorise le bombardier nucléaire français à d'envoyer le missile METEOR du Gripen E en n'utilisant qu'un seul canal. Les ingénieurs de chez Dassault ont admis que le Rafale, n'est pas totalement compatible avec l'Europe et avec l'OTAN, mais que sa complète adéquation avec la France lui procurait une certaine supériorité. Ils ont reconnu que le Rafale, n'était pas complétement furtif, mais qu'ils avaient minimisé sa signature radar en utilisant des matériaux composites, ce qui explique le prix de vente exorbitant du bombardier.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont mis en avant que le Rafale, dans sa dernière version possède également, tout comme le Gripen un AESA, car ils ont réussi le tour de force d'intégrer le nouveau radar dans le nez de l'appareil, sans modifier son assiette de vol. Mais à la différence du Gripen, son ouverture est moindre et il ne dispose d'aucun affichage dans le casque, car les ingénieurs de chez Dassault ont préféré faire l'impasse sur le casque de visée, pour laisser la tête des pilotes libre.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont expliqué que le Rafale dispose, comme le Gripen d'une perche de ravitaillement en vol, mais pour un pays de 500 sur 300 km ne disposant pas d'avions ravitailleurs, cet argument n'est pas pertinent. Ils ont ajouté que la dernière version du Rafale serait capable, comme le Gripen dialoguer avec les satellites, mais pour un pays ne disposant pas de satellites, cet argument n'est pas pertinent et le prix déjà très élevé du Rafale deviendrait insupportable. Pour faire la différence avec le Gripen, les ingénieurs de chez Dassault ont mis en avant que le Rafale, pouvait décoller d'un porte-avion et disposait de capacités nucléaires, mais pour un pays ne disposant ni d'ogives, ni de porte-avions, ni d'accès à la mer, cet argument n'est pas pertinent.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont admis que le Rafale était quatre fois plus cher que le Gripen, alors que sa vitesse, son radar et ses missiles lui sont inférieur. Mais ils ont justifié que le Rafale représentait une solution supportable à long terme sur le plan financier, car il n'existait pas d'autre solution pour la France. Mais, ils reconnaissent que le JAS-39 Gripen E était la solution optimale pour l’Armée suisse, car le Gripen E répondait sur plusieurs plans aux exigences formulées par le CF et aux besoins de la troupe. Pour assurer la Police du ciel et le contrôle de l'espace aérien, un monoréacteur plus rapide et plus adapté à la topographie suisse semble toutefois suffisant, surtout équipé de Meteor.

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  3. La France et Dassault ont subi ensemble un flop retentissant en Suisse et au Brésil face au JAS-39 Gripen E. Les Français accusent le coup après les refus pour le Rafale en Corée du Sud, à Singapour et au Maroc, comme si le Rafale français de Dassault devait être incontournable. Les Français se sentent humiliés face à un concurrent suédois, a priori plus faible que les mastodontes américains. Alors que les experts autoproclamés prétendent que le Rafale n'est pas dépassé, l’avion de Dassault produit intégralement en France se révèle beaucoup trop cher en regard de ses performances moyennes. De plus, son origine franco-française le rend non compétitif avec d'autres matériels certifié OTAN. Les commerciaux de Dassault semblent cependant sûrs d’eux et ne pensent pas que incombatible signifie invendable. Comme la loi de programmation militaire est en péril, l’industrie militaire française joue son va-t-ou en cédant à perte des Rafales destiné l'armée française.

    Les journaux français, qui appartiennent tous au complexe militaro-industriel français prétendent que le F/A-18 a également subi un échec au Brésil. Les services secrets français ont alors joué la carte de Snowden pour infléchir le choix de la présidente Dilma Rousseff. De même, les services secrets français avaient révélé des études préalable d’un document confidentiel de l’armée suisse sur les performances du Gripen C/D face au Rafale. Cette intervention dans les journaux avait entraîné le refus dans les urnes.

    Les Français, qui ne doutent de rien osent comparer le JAS-39 Gripen E à une Peugeot face à une BMW, qui représenterait le Dassault Rafale. Le JAS-39 Gripen E a pourtant une meilleure vitesse de pointe que le bombardier Rafale. Le JAS-39 Gripen E a pourtant une meilleure avionique que le bombardier Rafale. Les Français, qui ne doutent de rien éspèrent vendre leur Rafale trentenaire à l’Inde, au Qatar ou à la Malaisie. Le JAS-39 Gripen E a pourtant un meilleur radar que le bombardier Rafale. Mis pourquoi payer trois fois plus cher des capacités militaire, que l'on peut obtenir avec un jAS-39 Gripen E. Le DDPS doit tout mettre en œuvre pour que l'acquisition d'un nouvel avion de combat soit financièrement supportable pour l'armée, à moyen et à long terme et c'est pour cette raison que le Conseil fédéral s'est prononcé en faveur du Gripen E/F de l'entreprise suédoise SAAB.

    les Français conspuent le Typhoon II, qui est exporté dans plusieurs pays, qui est plus rapide que le Rafale, qui a un meilleur casque de visée que le Rafale, qui a un meilleur taux de montée que le Rafale et qui a une meilleure accélération que le Rafale. Mais l'Eurofighter Typhoon II coûte encore plus cher que le Rafale français ! Comparer le Typhoon II au Rafale, c'est un peu comparer une Rolls avec une Peugeot. Un Rafale n'est pas mauvais dans tout les domaines, mais il n'est pas bon non plus. Il coûte cher et il est surtout fait pour bombarder des innocents. Le Rafale est capable de décoller d'un porte-avion, mais il n'est pas capable d'entrer dans nos cavernes alpines. Le Rafale est capable d'emporter des ogives nucléaires, mais il n'est pas capable d'emporter les armes conventionnelles dont la Confédération dispose. Le Rafale a deux moteurs, mais le Rafale n'est pas capable de faire de la supercruise.

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  4. L'Eurofighter Typhoon II a la meilleure vitesse de pointe
    L'Eurofighter Typhoon II a le meilleur taux de montée
    L'Eurofighter Typhoon II a la meilleure puissance
    L'Eurofighter Typhoon II a la meilleure maniabilité

    Mais il est le plus cher....

    Le JAS-39 Gripen E a le meilleur radar
    Le JAS-39 Gripen E a la meilleure avionique
    Le JAS-39 Gripen E a le meilleur moteur
    Le JAS-39 Gripen E a la meilleure compatibilité avec l'armée suisse

    Et il est le moins cher....

    Le Dassault Rafale peut emporter le plus de bombes !!!
    Le Dassault Rafale peut décoller d'un porte-avion !!!
    Le Dassault Rafale est le plus lent !!!
    Le Dassault Rafale a la meilleure compatibilité avec l'armée française !!!

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  5. Alors que la République Française met à mal ses budgets pour soutenir l'activité aéronautique de Charles Bloch, la firme Dassault du dit Bloch, concentrée sur le Rafale n'a plus les moyens de développer un avion pour équiper les écoles de l'air de l'armée française. Or, le Pilatus PC 21 de la firme de Stans est sans conteste l'appareil le plus performant du moment et la France a jeté son dévolu sur ce turbopropulseur, d'ailleurs donné gagnant depuis belle lurette.

    Mais, comme la France cherche par tous les moyens à vendre son bombardier biréacteur Rafale à la Confédération helvétique, cette commande apparait comme une sorte de contrepartie préalable. Le montant du contrat français n'a pas été dévoilé, mais il est évalué à 220 millions rien que pour les avions.

    Dans les marchés d'armement, rien n'est jamais le fruit du hasard et ce contrat de 17 appareils semble fausser le processus de remplacement en cours du F-5 et du F/A-18. Le gouvernement suisse a déjà choisi le JAS-39 Gripen E, mais le crédit du remplacement a été rejetée dans les urnes. Comme les haut-gradés de l'armée fédérale avaient été influencés par les services secrets français, ils voulaient le Rafale et ils avaient établit une évaluation technique, qui l'avait mis en première position. Mais les responsables des finances fédérales, échaudés par l'affaire des Mirages avaient préféré opter pour un appareil moins cher. Mal informé, le peuple avait finalement refusé le crédit d'acquisition du nouvel appareil de combat.

    Le processus d'acquisition de l’avion de combat devrait être relancé cette année en Suisse. Le ministre de la défense a déjà gelé l'étude des systèmes anti-aériens pour disposer de plus de crédit pour le Rafale. Mais, pour garantir le maintien des emplois dans l'usine Pilatus de Stans, doit-on acheter des bombardiers nucléaires français, qui ne rentrent même pas dans les abris conçus à leur effet.

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