vendredi 30 janvier 2015

Nouvel appareil de combat (NAC): Rafale à éviter

 Le Rafale, dont les études ACX avaient débuté en 1978, sera vraisemblablement l'ultime appareil entièrement fabriqué en France. Ce chasseur-bombardier omnirôle appelé à remplacer 7 types d’aéronef ne fut rendu opérationnel au sein de l’armée de l’air française que depuis 2007, c'est à dire 30 ans après le début du programme. Privilégiant la provenance, plutôt que l'excellence, ce Rafale n'a jamais été exporté et a même du être imposé de force à l'armée française. Les Français ambitieux ont de quoi être pessimistes, car l'avant-dernier appareil entièrement fabriqué en France, le Mirage 2000, avait tout de même eu une carrière commerciale de plus de vingt ans.
Rafale en perdition après un tir de DCA
Rafales en fuite pour éviter la DCA, PC allumée







 Mais les temps ont changé, les Français ne peuvent plus s'appuyer sur les missiles nucléaires du plateau d'Albion pour imposer un Mirage IIIc face à un J-35 Drakken. Les malversations opérées à l'époque dans cette affaire ont durablement terni les relations franco-helvétiques, car à la différence du J-35 Drakken, fabriqué par un pays neutre de l'AELE, le Mirage avait les défauts suivants :
  • vitesse de décollage trop élevée,
  • distance de décollage trop grande,
  • mauvaise visibilité vers l'avant,
  • tenue de cap aléatoire à basse vitesse et,
  • maniabilité insuffisante.
 Cependant, les militaires financés par Dassault réussirent à imposer leur Mirage IIIS face à l'appareil supérieur de SAAB, qui était voulu par le peuple et les chambres. Suite à cette décision catastrophique,
  • l'armement du être changé,
  • le radar du être changé,
  • le train d'atterrissage du être changé,
  • le réacteur du être changé,
  • des fusées durent être ajoutées,
  • tant est si bien que le prix augmenta de 160%,
  • les commandes baissèrent de 50%,
  • un conseiller fédéral du démissionner et
  • des petits F-5 Tiger II durent être achetés en remplacement.

 Malgré le scandale retentissant que provoqua cette sombre affaire dans les années 1960 en Europe, les Français osent aujourd'hui conspuer le JAS-39 Gripen suédois, l'Eurofighter Typhoon européen ou le F-35 américain. L'Eurofighter Typhoon II se vend non seulement en Angleterre, en Allemagne, en Italie et en Espagne, mais s'exporte dans trois pays : en Autriche, en Arabie Saoudite et à Oman. Le JAS-39 Gripen se vend non seulement en Suède, mais en Tchéquie, en Hongrie, en Afrique du Sud, en Thaïlande et au Brésil, sans être exhaustif.
 Alors que bien qu'il ne se soit jamais exporté, de fortes présomptions de scandale de corruption pour le Rafale demeurent en Inde, ou le Typhoon était favori, en Suisse où le Gripen était favori et au Brésil ou le Hornet était favori.

 Prévues à 320 exemplaires, les commandes de Rafales pour la France ont diminué de 50% à 180 exemplaires. Le prix unitaire a dans le même temps passé de 100 à 150 millions d'euros. Les performances, qui se voulaient révolutionnaires en 1980 sont actuellement dépassées par la concurrence.
 Un F-15 E/F doté du radar APG-82 est beaucoup plus puissant, beaucoup plus rapide et beaucoup plus efficace que le petit Rafale. Un JAS-39 Gripen E/F offre la même polyvalence que le Rafale pour la moitié de son prix prix.
 Alors que les Français plébiscitent le programme européen Airbus, ils se permettent de dénigrer le programme européen Typhoon II. Cet appareil plus puissant, plus rapide et plus dangereux seconde cependant idéalement le chasseur bombardier Tornado à géométrie variable, qui entre parenthèse surclasse également le Rafale.
 La presse française aux mains du consortium militaro-industriel français ne tarit pas d'éloge sur le dernier né de chez Dassault. Effectivement, l'appareil aurait pu être redoutable s'il avait emporté l'armement conventionnel OTAN, avait disposé des moteurs de l'Eurofighter Typhoon II, du radar AESA du JAS-39 Gripen E et d'un casque de visée.
 Cependant les Français qui ne doutent de rien, espèrent encore une issue favorable en Inde, où l’avion a été sélectionné de manière fort curieuse. Malgré le HAL SLA Tejas, qui fait toujours l'objet d'améliorations et le HAL FGFA issu du Su PAK FA T-50, Dassault pensent encore écouler 126 Rafale trentenaires.
JAS-39 Gripen E vers la 5e génération
 Par contre, les clients potentiels doutent que le Rafale soit aussi bon que Dassault le prétend car il ne se vend pas. De plus, les 5 crashes recensés au cours de ses premières années d'exploitation ont entaché durablement la réputation de ce chasseur-bombardier omnirôle. Des toutes ont été émis sur sa charge alaire trop importante, sur ses moteurs délivrant une puissance insuffisante et son son origine franco-française. En outre, des rapports d’évaluation vraisemblablement truqués, les dessous de table généreusement versés et des articles mensongers parus dans la presse helvétique ont semé le doute et la suspicion sur cet avion atypique.
https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikl_s-rJPep5Ct4T2RgV5zgKRZqSu21oLctV0w3ZwAgnqU6uMc6ayeRvNmBiTXR2i077EWKgKQiKuW6REtWkGLRfjZ2GZ2739gDzbnJ4YmsHJ3MVEHD9lO8f-AjUE2BLg2zmiSTT43INKw/s1600/pas+de.jpg

Source : Internet (page actualisée le 30/01/2015)

131 commentaires:

  1. Dans votre diatribe anti-française, vous avez oublié
    - l'annexion de la Franche-Comté par la France au détriment de la Suisse,
    - l'annexion de la Alsace par la France au détriment de l'Allemagne,
    - l'annexion de la Lorraine par la France au détriment de l'Allemagne,
    - l'annexion de la Savoie par la France au détriment de la Suisse,
    - l'invasion de la Suisse par la France sous le dictateur Napoléon,

    - l'utilisation de l’appellation exclusive du Guyère AOC par la France au détriment de la Suisse,
    - l'utilisation de l’appellation exclusive du vin de Champagne AOC par la France au détriment de la Suisse,

    - le massacre des gardes suisses désarmés aux Tuileries par la France au détriment de la Suisse,
    - le massacre de Marignano par la France au détriment de la Suisse d'il y a juste 500 ans.

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    1. Raisons de l'invasion française de 1798

      - Assurer un passage aux troupes occupantes vers l'Italie.
      - Voler le trésor de Bern, (la France doit toujours nous restituer plusieurs milliards).
      - Recruter des mercenaires dans la Confédération (les Etats s'appellent des cantons).
      - Instaurer le Catholiscisme en terre protestante,
      - Départementaliser et accculturer les Etats Confédérés.

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    2. Partie intégrante du Saint-Empire, les villes libres d'Empire de Metz, Tull (Tullum Leucorum) et Verdun (Verdunum) et les principautés épiscopales attenantes sont annexées de facto par Henri II à la France en avril 1552.

      Ce n'est pas un secret, c'est écrit dans tous les livres d'histoire.

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    3. La France sous Louis XI a massacré 1'500 Confédérés à St Jacques en 1444
      La France sous François I a massacré 10'000 Confédérés à Malegnano en 1515
      La France sous Napoleon I a massacré 760 Confédérés aux Tuileries en 1792

      Source : livres d'histoire

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    4. De 1515 à 1815, la Confédération Suisse a été assujettie aux despotes de Francie occidentale.

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    5. Les Français nous ont volé notre Gruyère bien aimé et la Cour Européenne des droit de l'homme ne fait rien !
      Les Français nous ont volé notre vin de Champagne et la Cour Européenne des droit de l'homme ne fait rien !
      Les Français nous ont volé notre Raclette bien aimée et la Cour Européenne des droit de l'homme ne fait rien !

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    6. Historique

      Les Français avaient imposé leur Dassault Mirage IIIe face au SAAB J-35 Draken grâce à la menace des missiles nucléaires du plateau d'Albion.

      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une vitesse de décollage trop élevée,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une distance de décollage trop grande,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une mauvaise visibilité vers l'avant,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une tenue de cap aléatoire à basse vitesse,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une maniabilité insuffisante.

      Mais les Français prétendent maintenant que grâce à l'adoption de la voilure canard du SAAB JA-37 Viggen, leur Rafale est capable de décollage court. Or, l'armée française fait décoller ses Rafale en utilisant la post-combustion ou en utilisant des catapultes à vapeur. De même, les Français prétendent maintenant que grâce à l'adoption de la voilure canard du SAAB JA-37 Viggen, leur Rafale offre une meilleure visibilité vers l'avant, une meilleure tenue de cap et une meilleure maniabilité. Or tous les spécialistes savent que le Rafale possède une fausse voilure canard et comme elle est disposée trop près de l'aile principale, ce n'est qu'une voilure delta améliorée. Elle n'apporte pas de grande amélioration à la maniabilité.

      Le Typhoon européen est à ce titre beaucoup plus puissant, rapide, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien. Le Gripen suédois est de sont côté beaucoup plus rapide, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien suisse. Le Lightning américain est lui beaucoup plus puissant, furtif, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien.






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    7. A Sion le Rafale n'a fait de manœuvres que dans l'axe de la piste, ce qui tendrait à prouver son incapacité à évoluer dans le relief alpin.

      Dassault a promis un Rafale V en 2025, avec de nouveaux moteurs, un radar AESA, une concentration de données, une compatibilité avec l'armement conventionnel OTAN et peut-être une double dérive, qui l'autoriserait à entrer dans nos hangars.

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    8. Présenté comme l'appareil du futur en 1080, le Rafale polyvalent commence à dater 40 ans plus tard.


      Le Rafale F3 ne possède pas une vitesse suffisante pour la Suisse, et malheureusement, même le F4 n'atteindra pas Mach 2 en 2030.

      Le Rafale F3 ne rentre pas dans les abris prévus pour les avions, et malheureusement, même le F4 ne pourra pas y entrer en 2030.

      Le Rafale F3 ne possède pas de casque de visée pour la Suisse, mais le F4 aura sûrement celui du Gripen et du Typhoon en 2030.

      Le Rafale F3 ne possède pas de radar AESA pour la Suisse, mais le F4 aura sûrement celui du Gripen et du Typhoon en 2030.

      Le Rafale F3 ne possède pas de concentration de donnée pour la Suisse, mais le F4 aura sûrement celle du Gripen et du Typhoon en 2030.

      Le Rafale F3 ne possède pas de LINK-16 pour la Suisse, mais le F4 aura sûrement celle du Gripen et du Typhoon en 2030.


      Le Rafale F3 est en définitive plus un bombardier lent et lourd, qu'un intercepteur rapide et agile. Il a un taux d'utilisation d'à peine 30% et mécessite une équipe de spécialistes de 10 personnes pour son entretien. Le Rafale F3 est redoutable avec des armes françaises.

      Le Rafale F3 possède le défaut d'emporter 15 tonnes de bombes, que la Suisse n'utilise pas.
      Le Rafale F3 possède le défaut d'emporter la bombe atomique, que la Suisse n'utilise pas.
      Le Rafale F3 possède le défaut de décoller d'un porte-avion, que la Suisse n'utilise pas.
      Le Rafale F3 possède le défaut d'utiliser des catapultes à vapeur, que la Suisse n'utilise pas.


      Le Rafale F3 est vanté aussi pour sa polyvalence imaginée il y près de 40 ans !

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    9. Au cours de ces dernières années, le Département militaire fédéral à déjoué par deux fois les manigances de la France.

      La première fois, lorsqu'étrangement le Rafale conçu dans les années 1970 avait remporté l'évaluation pour le remplacement partiel des F-5 E/F Tiger II. Le ministre en charge du DFAE s'était rendu compte que le concours semblait être formaté sur les performance du Rafale de Dassault et avait déliberement choisi l'appareil qui présentait le meilleur rapport prix/performance.

      La seconde fois, lorsque Thales a voulu imposer son système de DCA, ce qui aurait entraîné l'achat de matériel incompatible français. Le ministre en charge du DFAE s'était rendu compte que le choix de ce système aurait eu une répercussion sur le choix de l'avion.

      Les fuites parues dans la presse pour discréditer le choix du Conseil Fédéral avaitent alors fortement indisposé celui-ci. La proposition directe de ne fournir que 18 appareils pour le même prix avait fini par franchement agacer le Gouvernement. Comme Dassault avait déjà été condamné pour des pots de vin en Belgique, en Inde et avait truqué des élections, le gouvernement avait pris conscience du complot et licencia les experts corrompus.

      Cela a fait remonter à la surface l'affaire des Mirages français de 1960. Alors que le J-35 Draken de SAAB était favori pour équiper l'armée fédérale, des malversations avait fait choisir le Mirage III de Dassault. L'appareil ne convenait pas, des modifications durent être apportées et le prix doubla. 60 appareils au lieu de 100 furent achetés et le ministre de l'armée du démissionner.

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    10. Le Gripen suédois correspond tout à fait aux missions qui lui sont demandées. Son seul problème est qu'il coûte moins cher que la concurrence et les non-connaisseurs pensent à tort qu'il est inférieur.

      Le Gripen suédois va plus vite que le Rafale français et que le F/A-18 américain. Le Gripen suédois va aussi vite que l'Eurofighter Typhoon d'Airbus, soit Mach II.

      Le Gripen suédois ne nécessite aucune modification de bâtiments, à la différence du Rafale français, de l'Eurofighter Typhoon d'Airbus ou du Super Hornet américain, pour lesquels il faudra compter sur l’adaptation des infrastructures de deux à trois aérodromes.

      Le Gripen suédois possède un meilleur radar AESA que le Rafale français et que le F/A-18 américain. Le radar AESA du Gripen suédois ne se contente pas de couvrir une zone de 60° degrés à gauche et à droite comme touts les radar AESA, mais ajoute 40° à gauche et à droite portant la zone scannée de 120° à 200°.

      Le Gripen suédois posséde un IRST (détecteur thermique) très performant et un IFF (identificateur des menaces) mode 5

      Comme le F-35 américain, le Gripen peut fusionner les données AESA, IRST et IFF sur un même écran. Disposant de trois canaux de communications sécurisés, le Gripen est capable de dialoguer avec les autres appareils, les troupes aux sol et avec le centre de commandement. Partageant sa vision de la zone de combat avec d'autres intervenants le Gripen fait jeu égal avec F-22 et autres F-35.

      Le Gripen suédois, outre utiliser nos infrastructures existantes (pistes. hangars, obus, munitions) sans modification peut également tirer le Meteor, le Storm Shadow, le Brimstone, la GBU-53 SDB ou le Taurus KEPT 350.

      De plus, le Gripen suédois est capable d'utiliser nos autoroutes comme piste de dégagement en cas de besoin. Le Gripen suédois peut être opéré par une armée de milice. Le Gripen suédois peut se poser, être ravitaillé et réarmé en 10 mn.

      Cerise sur le gâteau, le Gripen suédois coûte à l'achat la moitié d'un Rafale français et son coût opérationnel est divisé par deux. Pour un pays aussi exigu que la Suisse, acheter un biréacteur de bombardement semble complétement irréaliste, alors qu'un appareil moins onéreux permettrait d'en acheter un nombre suffisant.

      D'ailleurs, le bombardier Rafale ne sont pas destinés à assurer la domination dans l’air. Sa vitesse maximale ne dépasse pas Mach 1.8 contre Mach 2.0 chez le Typhoon qui est aussi beaucoup plus manœuvrable. Le bombardier Rafale est capable d'emporter 15 tonnes de bombes, dont des bombes atomiques et est capable d'opérer depuis un porte-avion, ce qui le ramène au niveau du F/A-18, que nous avons déjà.

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    11. Le Gripen suédois correspond tout à fait aux missions qui lui sont demandées. Son seul problème est qu'il coûte moins cher que la concurrence et les non-connaisseurs pensent à tort qu'il est inférieur.

      Le Gripen suédois va plus vite que le Rafale français et que le F/A-18 américain. Le Gripen suédois va aussi vite que l'Eurofighter Typhoon d'Airbus, soit Mach II.

      Le Gripen suédois ne nécessite aucune modification de bâtiments, à la différence du Rafale français, de l'Eurofighter Typhoon d'Airbus ou du Super Hornet américain, pour lesquels il faudra compter sur l’adaptation des infrastructures de deux à trois aérodromes.

      Le Gripen suédois possède un meilleur radar AESA que le Rafale français et que le F/A-18 américain. Le radar AESA du Gripen suédois ne se contente pas de couvrir une zone de 60° degrés à gauche et à droite comme touts les radar AESA, mais ajoute 40° à gauche et à droite portant la zone scannée de 120° à 200°.

      Le Gripen suédois posséde un IRST (détecteur thermique) très performant et un IFF (identificateur des menaces) mode 5

      Comme le F-35 américain, le Gripen peut fusionner les données AESA, IRST et IFF sur un même écran. Disposant de trois canaux de communications sécurisés, le Gripen est capable de dialoguer avec les autres appareils, les troupes aux sol et avec le centre de commandement. Partageant sa vision de la zone de combat avec d'autres intervenants le Gripen fait jeu égal avec F-22 et autres F-35.

      Le Gripen suédois, outre utiliser nos infrastructures existantes (pistes. hangars, obus, munitions) sans modification peut également tirer le Meteor, le Storm Shadow, le Brimstone, la GBU-53 SDB ou le Taurus KEPT 350.

      De plus, le Gripen suédois est capable d'utiliser nos autoroutes comme piste de dégagement en cas de besoin. Le Gripen suédois peut être opéré par une armée de milice. Le Gripen suédois peut se poser, être ravitaillé et réarmé en 10 mn.

      Cerise sur le gâteau, le Gripen suédois coûte à l'achat la moitié d'un Rafale français et son coût opérationnel est divisé par deux. Pour un pays aussi exigu que la Suisse, acheter un biréacteur de bombardement semble complétement irréaliste, alors qu'un appareil moins onéreux permettrait d'en acheter un nombre suffisant.

      D'ailleurs, le bombardier Rafale ne sont pas destinés à assurer la domination dans l’air. Sa vitesse maximale ne dépasse pas Mach 1.8 contre Mach 2.0 chez le Typhoon qui est aussi beaucoup plus manœuvrable. Le bombardier Rafale est capable d'emporter 15 tonnes de bombes, dont des bombes atomiques et est capable d'opérer depuis un porte-avion, ce qui le ramène au niveau du F/A-18, que nous avons déjà.

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    12. OUI à ECOPOP

      Seul 49.98% du peuple s'était déplacée ce funeste 30 novembre 2014 pour défendre la nature et la liberté en Suisse.
      Inconscients de leur euvironnement, 74.1% des votants avait alors refusé de limiter le bétonnage à outrance et la destruction de notre espace vital.
      Mais en définitive, ce n'était que 37 % de la population qui a voulu imposer au 63% restant l'accroissement de la supopulation étrangère et ses nuisances.

      A cause de l'Union Européenne, les paysans disparaissent peut à peu et les forêts disparaissent lentement. Corolaire de cette main-mise de l'économie sur la nature, les oiseaux, les fleurs, les loups, les lynx, les gapaetes barbus et les forêts disparaissent au profit de du béton. Toujours plus d'immeubles, toujours plus de routes, toujours plus d'autoroutes, donc par conséquent toujours plus d'écoles, d'hopitaux, de centrales nucléaires.

      Face à la pression démographique, notre cadre de vie se péjore sans cesse. Les forêts, l'agriculture, les zones urbaines et les routes font disparaître la vie sauvage. Les catholiques qui étaient 3%, il y a seulement 150 ans sont maintenant 53% ! Les juifs et les musulamans sont également en forte croissance.

      Voulons-nous réellement que notre pays se transforme en une immense ville peuplée uniquement d'étrangers ?





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      Bruno Zimmermann 30 septembre 2014 à 22:52

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    13. A la conférence de Turin, la France a préfèré un avion à tout-faire plutôt qu'un chasseur d'exception.

      Devant le succès du Panavia Tornado à géométrie variable, l'Angleterre, l’Allemagne et l’Italie développèrent en 1985 un appareil de supériorité aérienne basé sur le même concept, mais avec une voilure fixe de type canard. Comme le Panavia Tornado à géométrie variable était capable d'atteindre Mach 2.4 en altitude, comme de voler à près de Mach 1 à 60 mètres du sol, l'Eurofighter Typhoon à voilure canard devait aussi être capable de dépasser Mach II. Il devait en plus jouir d'une puissance et d'une d'une maniabilité exceptionnelle pour assurer une supériorité aérienne incontestable.

      Tout au contraire, les Français avaient préféré suivre une voie solitaire en développant bizzarement un chasseur-bombardier à polyvalence élargie, capable de remplacer au moins 7 types d'appareils de provenance diverses en service dans leur armée.
      En 1986, la France faisait voler un prototype Rafale A, équipé de F-404 américains, seulement 8 ans après le premier vol de leur Mirage 2000, équipé de M-56.
      Mais en 1989, le Rafale doit se rabattre sur des M-88 français pour des raisons politiques.
      En 1991, le Rafale C et le Rafale M prennent leur envol, sans réacteurs Rolls-Royce, ni réacteurs américains.
      En 2001, le Rafale M F1 entre en service, c'est-à-dire 15 longues années après le premier vol du démonstrateur.
      En 2006, le Rafale C F2 entre en service, mais 20 années après le premier vol du prototype A.
      En 2008, tous les Rafale sont livrés au standart F3, puis au standard F3R en 2018.
      Tous les Rafale seront livrés au futur standard F4 dès 2025.
      En attendant d'être au niveau de la concurrence, certains Rafales prélevés dans l'armée françaises volent à crédit sous cocardes étrangères au Moyen-Orient pour assurer les visées hégémoniques de la France.

      En privilégiant le juif Dassault, il a fallu une trentaine d'année au Rafale pour remplir un partie de ses objectifs initiaux. Depuis sa mise en service de 2001, le Rafale français a déjà remplacé le Crusader américain, le Mirage IV français, le Jaguar anglais, le Mirage F1 français et le Super-Etendard français. Mais le Rafale français n'a pas remplacé l'AlphaJet allemand et le Mirage 2000, qui offrent une belle résistance. La concurrence développant sans cesse de nouveau concepts, le Rafale doit sans cesse être mis à jour, alors que l'Eurofighter Typhoon forme un parfait binôme avec le Panavia Tornado dans le reste de l'Europe.



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      Bruno Zimmermann 30 septembre 2014 à 22:41


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    14. Battus par les Allemands en 1870, les Français ne revaient que de prendre leur revanche. Les Français ne parlaient pas encore d'aviation.
      Battus par les Allemands en 1814, les Français ne revaient que de prendre leur revanche. Sauvés par les Anglais, les Français ne disposaient pas d'avion performant.
      Battus par les Allemands en 1840, les Français ne revaient que de prendre leur revanche. Sauvés par les Anglais, les Français ne disposaient pas d'avion performant.

      Au fil de ces conflits, les Allemand inventent le moteur Otto, le moteur Diesel, le moteur Wankel, le moteur à réaction, le missile, la fusée, la bombe atomique, le radar ...
      Les Français s'emparent alors des plans des avions à réaction allemands pour copier le Messerschmitt 262, puis copient les Delta Dagger et Delta Dart américains. Enfin, les Français atteignirent Mach 2 en pallier avec le Dassault Mirage III. Mais dans les années 1970, les Français se trouvent à nouveau dépassés par les F-15 et F-16 américains, comme par les MiG-29 et Su-27 soviétiques et développent l'appareil de combat du futur (ACF). Mais c'est un nouveau fiasco, qui oblige les Français a abandonner les concept de la géomètrie variable, comme celui du décollage vertical.

      Les Français veulent alors frapper un grand coup : ils s'associent avec les Anglais, les Allemand et les Italiens pour concevoir l'appareil de combat Européen (ACE) et dès 1976, ils étudient en parallèle la cellule, le moteur et le système d’armes.

      - Dassault développe l'ACX, basé sur l'ACF, (Mirage 4 et Mirage 8 avortés) pour remplacer remplacer l'Etendard, le Super-Etendard, le Crusader, le Mirage III, le Mirage F1, le Jaguar et le Mirage V.
      - British Aerospace développe l'EAP, un intercepteur puissant et rapide capable de emplacer les Phantom et les Jaguar, comme d'appuyer les Tornado à géométrie variable et les Harrier à décollage vertical.
      - Messerschmitt-Bölkow-Blohm GmbH (MBB), VFW-Fokker et Dornier développent le TKF-90 pour remplacer le F-104 Starfighter, le F-4 Phantom et le Tornado à géométrie variable.

      Comme les Français voulaient le commandement et désiraient une version marine, ils n'hésitent pas à trahir leurs alliés européens pour développer leur avion en solitaire. Ayant acquis assez d'informations pour développer seule son appareil, la firme Dassault avait présenté le Rafale comme l'appareil le plus avancé technologiquement. C'était le cas à la fin des années 1970, mais quarante ans plus tard, l'Union Soviétique a disparu, alors que les radars AESA et les avions furtifs à décollage vertical ont fait leur apparition. Or, l'armée de l'air française a dû attendre 2006 avant de constituer son premier escadron de Rafale, dont les études avaient débuté 30 ans auparavant.


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    15. L'européen AirBus est sommé par son rival français Dassault de développer un successeur commun aux Tornado, Typhoon et Rafale.

      Mais quand on sait que les Français ont trahi par trois fois leur alliés européens, on ne voit pas pourquoi l'Europe s'associerait avec un constructeur aussi faible que le juif Dassault. Rappelons-nous simplement que les Français n'avaient refusé de participer tant au Panavia Tornado à géométrie variable, tant au redoutable char Léopard II, tant au puissant Eurofighter Typhoon II. Ceci démontre clairement une volonté de non-collaboration, qui s'accorde avec les velleités conquérantes et l'esprit neo-colonialistes des Français.

      Comme ces mêmes Français avaient refusé de collaborer au fantastique Hawker Harrier à décollage vertical, au génial Panavia Tornado à géométrie variable, ils ne collaboreront pas au Tempest II furtif. La plupart des Européens ont d'ailleurs déjà opté pour le surpuissant F-35 américan, lui aussi furtif et hypermaniable.

      A force de s'obstiner à refuser la collaboration avec le motoriste Rolls-Royce, le missiler MBDA, l'électronicien Leonardo et l'avionneur BAE, les Français vont rater la 5e génération et la furtivité, comme ils ont raté le décollage vertical et la géométrie variable.

      Le jusqu'au boutisme des Français prétérite l'ensemble de l'industrie européenne de la défense.





      - Les Français n'ont pas réussi à développer un avion de combat à géométrie variable, alors que les Anglais, les Allemands, les Américains et les Russes en ont en service.
      - Les Français n'ont pas réussi à développer un avion de combat à décollage vertical, alors que les Anglais, les Allemands, les Américains et les Russes en ont en service.
      - Les Français n'ont pas réussi à développer un avion de combat furtif, alors que les Anglais, les Allemands, les Américains et les Russes en ont en service.


      - Dans les trains, les Français ont réussi a développer un train TGV, mais qui va tout droit.

      - Les Français n'ont pas réussi à développer un train qui penche dans les virages, alors que les Italiens et les Suisse en ont en service.

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    16. Dans les années 1950, Dassault opta pour la voilure delta, afin d'obtenir une vitesse élevée. Or les avions supersoniques présentaient de mauvaises qualités de vol à basse vitesse (vitesses de décollage/atterrissage élevées + distances importantes pour décoller/atterrir. Mais pour tenter de remédier à l'instabilité aux faibles allures, la diminution de la flèche à basse vitesse, puis l'augmentation à grande vitesse se révéla la solution qui s'est largement imposée pour évoluer à différentes allures sans perdre d'efficacité.

      Dans les années 1960, les voilures articulées à géométrie variable, dont la forme peut être modifiée en vol, firent l'objet de divers programmes internationaux, et ce type de voilure fut dans les faits utilisé couramment sur les avions militaires des années 1970. Le chasseur embarqué Grumman F-14 Tomcat américain, le chasseur bombardier Tornado européen et le Mikoyan-Gurevich MiG-23 Flogger soviétique sont tous doté d'une telle voilure. Le constructeur aéronautique français Dassault avait vainement étudié quatre projets d'avions à géométrie variable : les Mirage III G, Mirage G4 et G8. Trois prototypes avaient même été construits, répondants aux divers besoins, sans déboucher sur une fabrication en série.

      En 1963, la firme française Dassault étudia un modèle dérivé du Mirage F2, avion de pénétration à basse altitude tout temps et aussi intercepteur supersonique. Conservant la même cellule que le Mirage F2 ainsi que le même réacteur Pratt & Whitney TF-306 construit sous licence par SNECMA, le Mirage III G fut doté d'une nouvelle voilure toujours placée en position haute. Le premier exemplaire effectua son vol inaugural en novembre 1966 avec une aile bloquée à 20° de flèche et en décembre atteignit Mach 2.1 avec l'aile en position de flèche maximale (70°).

      Après la perte du prototype monoréacteur en 1968, le programme fut arrêté, prétextant l'origine américaine du moteur américain plutôt que les crédits insuffisants. En effet, le programme concurrençait idéalement le projet européens AFVG, qui aboutira au développement du Panavia Tornado européen. Satisfait des essais du monoréacteur Mirage G, l'état-major de l'Armée de l'Air voulu néamoins doter l'avion de 2 réacteurs SNECMA Atar 9K-50 français pour remplir son programme RAGEL.

      En 1968, 2 biréacteurs biplaces expérimentaux Mirage G4 capables d'emporter soit un armement nucléaire, soit un volume important d'armes classiques furent commandés. Comme ces chasseurs-bombardiers auraient du utiliser les futurs réacteurs SNECMA M53, ils avaient été doté d'une structure capable d'atteindre Mach 2.5 en altitude, comme d'effectuer des frappes nucléaires à basse altitude en supersonique. Mais, alors que le G4 était en construction, les spécifications furent changées pour un avion monoplace biréacteur de taille inférieure, destiné à des missions d'interception et disposant d'un rayon d'action moins important que le G4. Le G4-01 biplace, renommé G8-01, vola en 1971 et le G4-02 monoplace, renommé G8-02 fit de même en 1972.

      Dotés de réacteurs français Atar 9K-50, d'un radar Thomson-CSF et du système de navigation et d'attaque à basse altitude du SEPECAT Jaguar, les G8 n'entrèrent jamais en production de série, faute de budget entre 1971 et 1976. Comme, la France ne s'était pas associée au programme Panavia Tornado, la formule d'envergure variable se révéla trop complexe pour elle et le programme d'avions à flèche variable fut abandonné en 1974.

      Pourtant General Dynamics fabriqua les F-111 Aardvark et EF-111A Raven. Boeing/North American fabriqua en le bombardier B1A Lancer. Panavia fabriqua le Tornado. A part le MiG-23, les Russes produisirent le MiG-27, le Sukhoi Su-24, le bombardiers Tu-22M Backfire et Tu-160 Blackjack, tous à géométrie variable

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    17. Les performances d'un jet de combat dépendent de ses armes, de son radar et de son électronique. Elles ne dépendent pas de son origine ou de son prix.

      Par exemple le Gripen coûte deux fois moins cher que le Rafale, mais est beacoup plus moderne et performant. Par exemple, il dispose d'un casque de visée, d'une intégration des données et d'un radar AESA ouvrant de 100° à gauche comme à droite.

      Sans être aussi puissant que l'Airbus Typhoon européen, le Gripen est redoutablement maniable, rapide et dangereux. Le Gripen a servi au développement du missile Meteor et son radar révolutionaire interresse les Etats-Unis.

      Acheter un bombardier biréacteur conçu il y a une quarantaine d'année erait par contre complétement suicidaire, car la France n'a pas les moyens de faire évoluer son appareil. Pire, ses commandes baissent sans cesse, son prix prend l'ascenceur et la France essaie de développer son successeur. A force de vouloir tout faire, le Rafale de Dassault ne fait rien de bien.

      Le bombardier français peut atterrir sur un porte-avion, ce qui coûte cher et influence négativement les autres domaines du vol.
      Le bombardier français peut emporter des ogives nucléaires, ce qui coûte cher et influence négativement les autres domaines du vol.
      Le bombardier français ne peut par contre décoller de nos autoroutes, ce qui coûte cher en matière d'efficacité.
      Le bombardier français ne peut par contre entrer dans nos cavernes alpines, ce qui coûte cher en matière d'efficacité.
      Le bombardier français ne peut par contre être opéré par une armée de milice, ce qui coûte cher en matière d'efficacité.
      Le bombardier français ne peut par contre utiliser nos munitions, ce qui coûte cher en matière d'efficacité.
      Le bombardier français ne peut par contre utiliser notre système de communication, ce qui coûte cher en matière d'efficacité.
      Le bombardier français ne peut par contre attteindre Mach 2, ce qui coûte cher en matière d'efficacité.

      Les performances d'un jet de combat dépendent de ses armes, de son radar et de son électronique. Elles ne dépendent pas de son origine ou de son prix.

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    18. Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il n'entre pas dans les cavernes alpines.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il ne décolle pas d'autoroute ou de piste non préparée.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il n'utilise pas de bio-carburant.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il n'est pas opérable par un armée de milice.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il ne possède pas de casque de visée.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il n'entre pas d'intégration de données.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il n'utilise pas notre système de communication.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il n'utilise pas nos munitions.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il coûte trop cher.
      Le Rafale français ne convient pas à la Suisse car il est dépassé.

      Voila, j'ai fait un résumé de divers billets parus sur ce blog.

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    19. Alors que l'Europe développe le Panavia Tornado à géométrie variable, capable de Mach 2.5 en altitude et Mach 1.5 au niveau de la mer, les Français éblouis par leur orgueil stupide remplacent leurs Mirage III par des Mirage F1. Dans les années 1970, les Français choisissent de doter leurs Mirage de voilure en flèche suivant l'exemple du Lightning I anglais des années 1960 ou du Eagle américain, qui tous deux possèdent des voilures fixes hautes.

      Les Français sont obligés de suivre cette solution, car ils sont incapables de mettre au point la géométrie variable ou le décollage vertical. Alors que les Européens possèdent déjà les appareils d'assaut Harrier et Tornado, les Français rencontrent des difficultés avec leur voilure delta : mauvaise visibilité vers l'avant, instabilité à basse vitesse, distance de décollage trop grande et vitesse de décollage trop élevée.

      Parallèlement, les Français utilisent leur voilure delta à toutes les sauces : Mirage III E pour les attaque tout temps, Mirage III R pour la reconnaissance et Mirage IV pour la frappe nucléaire. Le Jaguar développé par les anglais et l'Alpha Jet développé par les Allemand complètent cette panoplie de jet à voilure triangulaire, alors que le Eagle américain est déployé en Europe pour remplacer le Phantom et le Starfighter.

      Aujourd'hui les Français ont à nouveau décidé de ne pas collaborer avec l'Europe. Lorsque les Européens ont voulu développer un successeur à leur Tornado à géométrie variable, les Français ont décidé de construire le Rafale, un Mirage biréacteur à voilure delta améliorée de type canard. Les Français ont alors égoïstement pensé à leurs propres besoins : 7 types d'appareil différents à remplacer, places de travail et industrie à préserver. De leur côté, les Européens ont développé l'intercepteur Typhoon II à la meilleure puissance, à la meilleure accélération, au meilleur taux de montée, au meilleur taux de roulis et à la meilleure vitesse de pointe. Actuellement, les Européens se tournent vers les Américains pour trouver un remplaçant à leurs Tornado et leur Harrier et sont en train de s'équiper de Lightning II furtif.

      Comme les Français n'ont pas de Tornado, ni de Harrier et encore moins de Typhoon II, ils ne vont sûrement pas acheter de Lightning II. Les Français vont continuer à utiliser leurs jet delta, Mirage et Rafale, comme bonnes à tout faire.



      L'industrie française n'a pas été capable de développer le décollage vertical
      L'industrie française n'a pas été capable de développer la géométrie variable
      L'industrie française n'a pas été capable de développer la furtivité

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  2. C'est pour cette raison que Dassault, comme SAAB et Eurofighter ont ajouter des élevons à l'avant pour améliorer la maniabilité, diminuer la distance de décollage et d'atterrissage. Cela remplace avantageusement une tuyère vectorielle et permet des évolutions surprenantes.

    Du point de vue de la maniabilité, le JAS-39 Gripen E/F plus léger et relativement plus puissant surclasse ses concurrent en dog-fight.

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    1. Le Rafale a été invincé du marché brésilien, car il était trop sophistiqué, trop cher à l'achat, trop cher à l'utilisation, sans casque de visée, sans compatibilité internationale.
      Le monoréacteur JAS-39 Gripen E/F, bien moins cher à l’achat, comme à l’heure de vol, affichait des équipements de dernière génération.
      Le monoréacteur JAS-39 Gripen E/F, est bien plus rapide, a un meilleur radar à antenne active AESA, une meilleure avionique, une meilleur concentration de données affichable dans le casque et à déjà lancé le missile de croisière air-air Meteor.

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    2. En France, bien des citoyens s'interrogent sur la légitimité de l'empire Dassault, groupe privé de l'industrie de la mort, bâti aux frais de l'Etat.

      Le groupe Dassault Aviation est un constructeur aéronautique français fondé en 1929 par Marcel Bloch (Dassault) et reste le dernier groupe d'aviation au monde détenu par la famille de son fondateur et portant son nom. Radicalement opposé à tout projet de coopération européenne, le juif Bloch craint pour sa source de financement et développe ses avions seul. En 1967, la Société des Avions Marcel Dassault acquiert 66 % du capital de Breguet Aviation et aidée par le gouvernement français l'absorbe en 1971.

      A côté du groupe Dassault, la France dispose depuis 1957 de Sud-Aviation, et depuis 1958, de Nord-Aviation (Potez), qui fusionnent en 1970 pour former Aerospatiale. En 1999, celle ci fusionne avec le groupe Matra de Lagardère. En 2000, celle-ci fusionne avec l'allemand DASA et l'espagnol CASA pour former EADS, qui produit le chasseur de supériorité aérienne europeen.

      Pour contrer l'Eurofighter Typhoon II d'EADS, le juif Dassault persiste à produire le bombardier atomique Rafale, qui coûte déjà 38 milliards d'Euro en 2009 et la France continue de financer ce projet dantesque. Le projet lancé une vingtaine d'année auparavant était budgété à 26 milliards d'Euro et le peuple français. L'Etat français a financé à 85% les études de cet appareil, voulu par Dassault, et l'armée doit acheter des appareils qui ne correspondent pas à ses besoins.

      En 2008-2009, le groupe Dassault est au bord de la faillite, faute de guerre et de commande. L'aviation civile, ne va pas bien non plus à cause de la crise. Or, à la suite de collusion, l'Etat autorise en 2009 le juif Dassault de s'emparer des 20,6% de Thales, que Alcatel-Lucent détenait dans Thomson-CSF et évince le groupe européen EADS. L'Etat français sous la coupe de Sarkozy, qui demeure le premier actionnaire du groupe de Défense, a ainsi autorisé cette transaction sans la soumettre à une OPA. Cette acquisition, qui profite au groupe Dassault, va vraisemblablement lui permettre enfin mettre à niveau l'électronique de son Rafale trentenaire.

      Le groupe européen EADS détient 46% du constructeur français Dassault, mais ne disposait d'aucun pouvoir de décision. En 2012, EADS et BAE Systems envisagent de fusionner pour isoler le français Dassault, mais l'opération ne s'était pas concrétisée. En 2014, Airbus Group (EADS) envisage de céder les 46,3% du capital qu’il détient dans Dassault Aviation, pour se concentrer sur l'Eurofighter Typhoon II. Le retrait de l’Airbus Group profite au juif Dassault, mais celui-ci n'arrive pas à racheter les 46,3 % du capital, pour 5 milliards d’euros.

      En outre, Olivier Dassault, petit fils de Charles Bloch veut reprendre les rênes de l'empire, car il est ingénieur et pilote. Comme toute la dynastie, Il est aussi impliqué dans la politique et dans l'économie, mais son père Olivier refuse de céder le pouvoir.

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    3. La France a refusé que FIAT sauve Citroen, et ce fut une catastrophe technique, économique et politique, car Peugeot et Citroen appartiennent maintenant au Chinois. Renault appartient au Japonais. Le PSG aux Arabes.


      La France a opposé au FIAT G-91 Gina européen, le Dassault Etendard, et ce fut une catastrophe technique, économique et politique

      La France a opposé au Tornado européen, le Dassault F1, et ce fut une catastrophe technique, économique et politique

      La France a opposé au char Leopard européen, le char Leclerc, et ce fut une catastrophe technique, économique et politique

      La France a opposé au Typhoon européen, le Dassault Rafale, et ce fut une catastrophe technique, économique et politique

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  3. Un élevon est la gouverne placée sur chaque bord de fuite d'une aile delta conjuguant l'action de gouverne de tangage (volet de profondeur) à celle de roulis.
    La surface portante, qui a été placée à l'avant du fuselage, plus petite que l'aile principale placée à l'arrière, s'appelle un plan canard. Ces surfaces supplémentaires permettent de réduire la vitesse d'atterrissage et d'augmenter la maniabilité en tangage. A la différence d'un empennage classique, un plan canard participe à la portance sans augmenter la traînée.

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  4. La suite:

    4) "Les Français chauvins n'arrêtent pas de conspuer le JAS-39 Gripen suédois, l'Eurofighter Typhoon européen ou le F-35 américain." Moi je dirais que ce sont plutôt las anglais et les américains qui dénigrent le Rafale à tout va, voire l'ignorent, comme si cet avion n'existait pas tout simplement car ils savent que c'est un excellent avion. La réalité et que le Rafale est bien supérieur au Typhoon qui n'est même pas capable de mener des missions seul et nécessite l'appui des Tornados! Quant au F35 c'est un gouffre financier et un échec technique et celui-ci n'est toujours pas en service! Il n'a même pas pu être présenté au salon de Farnborough cet été en raison de problèmes de réacteurs! C'est dire! Et il n'est même pas sorti qu'il est déjà dépassé sur certains points par les avions actuels ...

    5) Si les français ont quitté le programme européen c'est simplement parce que cet avion ne correspondait pas au cahier des charges de l'armée française! Le Rafale a été conçu en fonction de l'armée française pas pour être exporté. mais il va de soi qu'on espère toujours en vendre à l'export sauf à ne pas vouloir divulguer sa technologie.

    6) Le HAL Tejas n'est pas au niveau loin s'en faut sinon pourquoi ne pas s'en contenter? Faut être logique. Les Suisses n'en veulent pas?

    7) Le HAL issu du PAK50 russe? Ce n'est qu'un prototype qui est encore loin d'être en service!

    8) Les difficultés à finaliser viennent de ce que l'INDE voudrait que Dassault garantisse les avions construits par les indiens! La réalité c'est qu'ils n'ont pas les compétences donc trop facile de faire porter la responsabilité sur les autres! ILs veulent le construire? Qu'ils assument! Sinon pas de souci on peut tous les construire en France, ce qu'on devrait faire d'ailleurs! Ce sont les français qui ont financé le développement de cet avion, on doit en avoir les retombées. Et je suis plutôt contre le transfert de technologies qui va nous faire perdre une partie de notre avance!

    9) Son origine franco-française? Et alors en quoi serait-ce un handicap? Nos industries aéronautiques sont au top de la technologie et nous sommes le seul pays avec les USA à encore savoir fabriquer un avion de combat dans sa totalité sans apport externe. C'est un gage d'INDEPENDANCE!

    Pour le dernier post: Le Gripen plus puissant? C'est une plaisanterie c'est un mono réacteur! Gripen NG: poussée: 63,5 kN (98 kN avec postcombustion) Rafale: 100kN (50*2) et 150 kN (75*2) en post combustion.

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    1. Le Dassault Rafale français est un appareil du passé

      Inconvénients :

      - Il n'entre pas dans les cavernes alpines, alors que c'est ce que veut la Suisse.
      - Il n'entre pas dans les abris antiaériens, alors que c'est ce que veut la Suisse.
      - Il ne possède pas de casque de visée, alors que c'est ce que veut la Suisse.
      - Il ne possède pas un bon radar, alors que c'est ce que veut la Suisse.
      - Il n'atteint pas Mach II, alors que c'est ce que veut la Suisse.
      - Il n'utilise pas de biocarburant, alors que c'est ce que veut la Suisse.
      - Il n'utilise pas de carburant du commerce, alors que c'est ce que veut la Suisse.
      - Il ne fait pas de supercruise, alors que c'est ce que veut la Suisse.

      - Il est biréacteur, alors que la Suisse ne veut pas payer pour ça.
      - il ne décolle pas sans catapulte à vapeur, alors que la Suisse n'en n'a pas et ne veut pas payer pour ça.
      - il décolle depuis un porte-avion, alors que la Suisse n'en n'a pas et ne veut pas payer pour ça.
      - Il emporte 15 tonnes de bombes, alors que la Suisse n'en n'a pas et ne veut pas payer pour ça.
      - Il emporte la bombe atomique, alors que la Suisse n'en n'a pas et ne veut pas payer pour ça.

      avantage :

      - Aucun


      Au contraire, le Dassault Rafale français fait payer très cher sa versatilité, sa capacité à utiliser un porte-avion ou à lancer une bombe atomique,

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    2. Historique

      Les Français avaient imposé leur Dassault Mirage IIIe face au SAAB J-35 Draken grâce à la menace des missiles nucléaires du plateau d'Albion.
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une vitesse de décollage trop élevée,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une distance de décollage trop grande,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une mauvaise visibilité vers l'avant,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une tenue de cap aléatoire à basse vitesse,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une maniabilité insuffisante.

      Mais les Français prétendent maintenant que grâce à l'adoption de la voilure canard du SAAB JA-37 Viggen, leur Rafale est capable de décollage court. Or, l'armée française fait décoller ses Rafale en utilisant la post-combustion ou en utilisant des catapultes à vapeur. De même, les Français prétendent maintenant que grâce à l'adoption de la voilure canard du SAAB JA-37 Viggen, leur Rafale offre une meilleure visibilité vers l'avant, une meilleure tenue de cap et une meilleure maniabilité. Or tous les spécialistes savent que le Rafale possède une fausse voilure canard et comme elle est disposée trop près de l'aile principale, ce n'est qu'une voilure delta améliorée. Elle n'apporte pas de grande amélioration à la maniabilité.

      Le Typhoon européen est à ce titre beaucoup plus puissant, rapide, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien suisse. Le Gripen suédois est de sont coté beaucoup plus rapide, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien suisse. Le Lightning américain est lui beaucoup plus puissant, furtif, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien suisse.

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  5. Un Choix Souverainiste

    Avec des réserves en Euro de 200 milliards, la Suisse a atteint les limites de ce qu'elle pouvait faire en matière de soutien à l'Unité de Compte Européenne, ci-après Euro.

    Maintenant que Bruxelles a décidé unilatéralement de dévaluer la monnaie commune de 20%, nos réserves en cette monnaie artificelle ont diminué d'autant.

    Les Genevois et les gauchistes se sont empressés d'accuser la BNS de trahison. Or ces gens qui ne comprennent rien à l'économie ne voient pas plus loin que le bout de leur nez. Cette mesure empêche les spéculateurs de s'enrichir illégalement en ne produiant aucune richesse.

    Le réel problème de la Suisse est sa trop forte proportion de population étrangère. Si les ressortissants de l'UE quittaient le territoire national, il a aurait assez de travail pour tout le monde.

    La décision de Bruxelles vient de nous faire perdre 40 milliards.

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    1. Ah ah tu préfères garder tes immigrés arabo-musulmans qui ne foutent rien à part aller à la mosquée et vouloir convertir tout le monde!

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  6. Le gouvernement français prétend que la flotte Rafale totalise actuellement 120.000 heures de vol, dont 16.000 en opérations. La firme Dassault prétend même que depuis mi-2013, les Rafale de série sont dotés du radar à antenne active RBE2 AESA de Thales, alors qu'un tel radar alourdirait le nez de l'appareil et l'empêcherait de décoller. Comment un Français moyen serait assez naifs pour immaginer en toute bonne foi que la France aurait eu les moyens d'engager des Rafale à 150 millions d'Euros pièce sur les héatres d'opération d'Afghanistan, de Libye, du Mali, de Centrafrique et d'Irak.

    Ach, man muss verrückt sein, daran zu denken, ein solches Flugzeug zu kaufen !

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  7. Dans le choix du nouvel appareil de combat (NAC) ou (TTE), il aurait tout d'abord fallu se poser les bonnes questions :

    Pour remplacer les F-5 E/F Tiger II dans leur rôle de police du ciel, il aurait fallu :

    Acheter un appareil compatible avec le sytème FLORAKO, ce qui élimine d'emblée tout appareil de Dassault.
    Acheter un appareil compatible avec les armes du F/A-18 C/D, ce qui élimine d'emblée tout appareil français.
    Acheter un appareil compatible avec la taille du F-5 E/F Tiger II, ce qui élimine d'emblée tout Rafale.
    Acheter un appareil disposant d'un casque de visée, ce qui élimine d'emblée tout Rafale.
    Acheter un appareil capable de supercruise, ce qui élimine d'emblée tout appareil doté de M-88.
    Acheter un appareil capable de décoller sans postcombustion, ce qui élimine d'emblée tout appareil doté de M-88.
    Acheter un appareil produit par un pays neutre, ce qui élimine d'emblée tout appareil français.
    Acheter un appareil qui a déjà été exporté, ce qui élimine d'emblée tout Rafale.
    Acheter un appareil déjà utilisé dans plusieurs armée de l'air, ce qui élimine d'emblée tout Rafale.

    Après avoir répondu à ces 10 questions seulement, on aurait du s'interroger sus les capacités réelles ou supposées des appareils en lice.

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    1. Warum Rafale statt Gripen wählen eigentlich ?
      Rafale kostet vier mal teuer.
      Rafale ist nicht adaptiert.
      Rafale ist fabriziert von Franzosen, nur für Franzosen !
      Rafale ist zu vermeiden

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    2. Les gauchistes, socialistes et autres altermondialistes auraient du réfléchir avant de refuser le crédit pour les JAS-39 Gripen E, qui aurait pu prendre la relève du F-5 E/F Tiger II sans frais et sans délai.

      En effet, pour des raisons pratiques et financières, nous devions impérativement acheter un appareil compatible avec la taille du F-5 E/F Tiger II, ce qui élimine d'emblée le Rafale, car il n'entre pas dans les abris conçus pour le Tiger. Reconstruire toutes les cavernes et les alvéoles de protection va nous coûter au bas mot des milliards. Les gauchistes et autres altermondialistes auraient du penser à cela !

      En effet, pour des raisons pratiques et financières, nous devions impérativement acheter un appareil compatible avec les armes du F/A-18 C/D et du F-5 E/F Tiger II. Remplacer toutes les armes et tout les missiles dont nous disposons déjà par du matériel français va nous coûter au bas mot des milliards. Les gauchistes et autres altermondialistes auraient du penser à cela !

      En effet, pour des raisons pratiques et financières, nous devions impérativement acheter un appareil compatible avec notre système FLORAKO, ce qui élimine d'emblée le Rafale, car il utilise un système français. Remplacer tout le sytème de transmission dont nous disposons déjà par du matériel français va nous coûter au bas mot des milliards. Les gauchistes et autres altermondialistes auraient du penser à cela !

      En effet, pour des raisons pratiques et financières, nous devions impérativement acheter un appareil monoréacteur, ce qui élimine d'emblée le Rafale, car il utilise deux moteurs français de faible puissance comme le F-5 E/F Tiger II des années soixante. Remotoriser tous les appareils avec des moteurs européens ou américains va nous coûter au bas mot des milliards. Les gauchistes et autres altermondialistes auraient du penser à cela !

      En effet, pour des raisons opérationnelles et militaires, nous devions de préférence acheter un appareil disposant d'un casque de visée, ce qui élimine d'emblée le Rafale, car les français n'ont pas été capable d'en mettre au point un tel système. Remplacer tout tous les cockpits avec des casques européens ou américains va nous coûter au bas mot des milliards. Les gauchistes et autres altermondialistes auraient du penser à cela !

      De plus pour des raisons politiques et militaires, nous devions impérativement acheter un appareil produit par un pays neutre, ce qui élimine d'emblée le Rafale, car produit par un pays qui nous cause bien des ennuis du point de vue des réfugiés économiques. D'ailleurs, quel serait le pays assez bête pour assurer sa défense avec des appareils, dont la cellule, les moteurs, l'avionique et les armes sont conçues par un seul pays. Les gauchistes et autres altermondialistes auraient du penser à cela !

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    3. Réponses orientées des agents de l'étranger :
      Ils prétendront que le Rafale, dans sa dernière version possède un espèce de FADEC également, car les ingénieurs de chez Dassault ont réussi le tour de force d'intégrer un contrôle électronique de la puissance, comme sur les appareils civils.
      Ils mettront en avant que le Rafale, dans sa dernière version possède un espèce de radar AESA également, car les ingénieurs de chez Dassault ont réussi le tour de force d'intégrer le nouveau radar dans le nez de l'appareil, sans pour autant modifier son assiette de vol.
      Ils prétendront également que le Rafale, dans sa dernière version est capable d'effectuer une légère SuperCruise, car les ingénieurs de chez Dassault l'ont doté de réacteurs M-88 de 50kN et que seule la législation en vigueur l'empêche de décoller sans utiliser la PC.
      Ils rétorqueront que le Rafale, n'est pas totalement compatible avec l'Europe et avec l'OTAN, mais cependant les ingénieurs de chez Dassault lui ont conféré une complète adéquation avec la France, ce qui lui procure une certaine supériorité parfois.
      Ils répliqueront que le Rafale, n'est pas complétement furtif, mais cependant les ingénieurs de chez Dassault ont tenté de minimiser au maximum la signature thermique en utilisant des matériaux composites. Le manque de furtivité n'est pas un argument pertinent dans ce cas de figure, car cela se paie aussi !
      Ils expliqueront que le Rafale, dans sa dernière version peut être doté d'un casque de visée, car les ingénieurs de chez Dassault ont préféré laisser la tête des pilotes libre de toute entrave, pour le Dog-Fight notamment. L'absence de casque de visée n'est pas un argument pertinent dans ce cas de figure.
      Ils justifieront que le Rafale ne peut utiliser de carburant du commerce, ni de bio-carburant, car les ingénieurs de chez Dassault ont préféré utiliser du carburant militaire.
      Ils mettront en avant que le Rafale, dans sa dernière version dispose d'une perche de ravitaillement en vol, car les ingénieurs de chez Dassault ont tenté de maximiser l'allonge de l'appareil. Mais pour un territoire de 500 sur 300 km, le ravitaillement en vol n'est pas un argument pertinent, d'autant plus qu'il faudrait déjà disposer d'avions ravitailleurs.
      Ils asséneront que le Rafale dispose de capacité de dialogue avec les satellites, car les ingénieurs de chez Dassault ont prévu cette éventualité. Mais que la communication satellitaire n'est pas un argument pertinent, car le pays acheteur doit déjà disposer de satellites.
      Ils avanceront l'argument que le Rafale, dans sa dernière version dispose de la capacité de décoller d'un porte-avion, car les ingénieurs de chez Dassault l'ont doté de capacité maritime de manière native. Cependant, l'envol de porte-avion n'est pas un argument pertinent, car le pays acheteur doit déjà disposer de tels navires.
      Ils se vanteront que le Rafale dispose de capacités nucléaires, car les ingénieurs de chez Dassault l'ont doté d'une telles capacités de manière native. Or l'emport d'ogives nucléaires n'est pas un argument pertinent, car le pays acheteur doit déjà disposer de telles armes.

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    4. L'appareil Français Rafale est beaucoup trop onéreux, beaucoup trop polyvalent et beaucoup trop lié à des firmes françaises tant au niveau de l'armement, de l'avionique que de la motorisation. Son avionique dépassée, son comportement en vol aléatoire et sa faible compatibilité avec notre matériel et avec notre armée risque de rendre notre pays gravement dépendant de l'étranger.
      C'est pour cette raison que le SAAB JAS-39 Gripen est la solution idéale pour la Confédération, car il possède de larges possibilités de développement, de synergie et d'emploi. Cet appareil préservera également au mieux notre indépendance vis-à-vis de l'étranger, car produit par un pays froid, neutre, protestant et ancien membre de l'AELE .

      D'ailleurs, le Rafale français est inadapté pour la Suisse car

      - il ne peut utiliser les cavernes alpines du Tiger ou du Hornet.

      - il n'entre pas dans le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement.

      - il ne décolle pas sans PC et ne vole pas en supersonique sans PC.

      - il ne lance pas les missiles des Tiger ou des Hornet.

      - il ne décolle pas depuis nos autoroutes.

      - il n'est pas opérable par une armée de milice.

      - il ne dispose pas d'un aussi bon radar que le JAS-39 Gripen E.

      - il n'est pas assez manoeuvrable pour le combat tournoyant en vallée alpine.

      - il ne dispose pas d'un casque de visée.

      - il n'utilise pas de bio-carburant, ni de kérosène jet A1.

      - il n'utilise pas la norme FLORAKO.

      Par contre, le Rafale français a des spécifications inutiles et coûteuses :

      - peut opérer à partir d'un porte-avion (?!).

      - il peut emporter 15 tonnes de bombes (?!).

      - il peut emporter des bombes atomiques (?!).

      - il est biréacteur (?!).

      Par conséquent, votons OUI au Gripen en 2017 !

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    5. La Confédération suisse ne touche aucune mer. Pourquoi acheter un appareil opérable de puis un porte-avion ?

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  8. Pour la presse française, le Rafale de Dassault n’a qu’un défaut : son prix. Car pour la presse française, le Rafale de Dassault est la Rolls de l’aéronautique française. Or mystérieusement, toutes les tentatives de vente à l’étranger ont capoté, ce qui interroge sur le bien fondé de cet enthousiame.

    A force de vouloir tout faire, l’avion de combat fabriqué par Dassault est un paradoxe volant. Une « merveille » franco-française capable d’atteindre Mach 1,6 et de remplir une variété de missions sans équivalent dans l'armée française. Une Rolls de l’aéronautique made in France, unanimement appréciée, mais qui nécessite un environnement français, des armes française, un important appui sol français et des pilotes français.

    L’imminence de la conclusion d’un contrat pour la vente de 24 appareils à l’Egypte, qui pourrait intervenir dans les prochains jours, va-t-il inverser la tendance ? Rien n’est moins sûr. Une des spécialités du Rafale est en effet de susciter des mirages de vente. La tension monte, les sources proches du dossier se rengorgent, les responsables politiques s’enthousiasment, la signature est programmée, 3, 2, 1…

    En 2013, le Brésil avait opté pour le JAS-39 Gripen E/F plutôt que pour le F/A-18 E/F SuperHornet.
    En 2011, les Emirats Arabes Unis avaient estimé la proposition pour 60 avions Rafale, "non compétitive" pour les Emirats.
    En 2011, la Confédération Helvétique avait opté pour le JAS-39 Gripen E, malgré les intenses efforts de désinformation effectués par la France.
    En 2007, l'Arabie Saoudite avait opté pour 72 Eurofighter Typhoon II, doté des sytèmes AIS (MITS, EMCON), CAPTOR (TWS, IFF, AESA), PIRATE (FLIR, IRST), DASS (DAC, DAL, DDM).
    En 2005, Singapour avait opté pour 12 puissants F-15 SG développant 258 kN dotés du radar AESA APG-63(V)3.
    En 2002, la Corée du Sud avait opté pour 60 puissants F-15 K développant 258 kN dotés du radar APG-63(V)1.
    En 2002, les Pays-Bas avaient opté pour l'onéreux projet F-35 JSF.

    A coup de malverstions, la France avait réussi à imposer les ancêtres du Rafale dans divers pays :
    - Mirage III des années 60 avait équipé une vingtaine d’armées dans le monde.
    - Mirage F1 des années 70 avait équipé une dizaine d' Etats.
    - Mirage 2000 des années 80, n’avait équipé que huit marchés étrangers.
    - Rafale, des années 90, n'avait équipé que la France et encore à contre-coeur.

    Présenté par la presse française comme un produit très haut de gamme, donc très cher, le Rafale de Dassault est omnirôle au sein de l'armée française, mais est totalement incompatible avec les armemements standards. Au cours d'une même misssion, il peut assurer des missions de défense et de combats aériens, effectuer des vols de reconnaissance, frapper de loin et avec précision grâce à ses missiles, comme appuyer des troupes terrestres en tir rapproché au sol. Utile dans la lutte antinavire, ill peut ravitailler un autre chasseur en vol et assure la dissuasion nucléaire.

    Disposant de trop de capacités superflues, il rebute les pays sans porte-avion, sans bombe atomique, sans AWACS ou sans satellites à investir dans un fournisseur exclusif. En effet cet appareil doit obligatoirement être équipé avec du matériel produit par Dassault, Thales et Snecma.

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    1. En dépit de l'opposition des Ecologistes, Gauchistes, Socialistes, Antimilitaristes, Féministes et Altermondialistes, les experts ont expliqué qu’un nouvel avion de combat était nécessaire pour assurer la défense de l’espace aérien suisse. Ils ont aussi précisé que leurs choix sur les besoins de l’armée, les spécificités du futur appareil et sur la marche à suivre n’étaient pas encore arrêtés, mais le chois du JAS-39 Gripen E est toujours d'actualité. Jusqu’à présent, le calendrier prévu est le suivant : rendu du rapport définitif au printemps 2017, premier achat en 2022, première livraison en 2025 et mise en service en 2030.

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    2. Et cette fois on achetera 40 F-35 lightening II

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  9. Les Français vont armer les Islamistes avec des bombes atomiques

    Une rumeur persistante est née sur le WEB comme quoi les Français allaient vendre des frégates aux Islamistes égyptiens. Les Français espèrent écouler avec leur frégates 24 appareils Rafales. Ces appareils disposent de manière native de la capacité à utiliser de l'armement nucléaire. Aux aboi économiquement, les Français vont-ils oser armer le plus grand ennemi qu'a connu la civilisation.

    L'Union Européenne, l'OTAN et le CIA montrent une fois de plus leur incapacité à empêcher les fuites technologiques.

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    1. Arrêtez votre propagande anti-française vous êtes pitoyables les petits suisses! Les militaires égyptiens au pouvoir ne sont pas vraiment des islamistes me semble-t-il ... Après tout dépend du sens que vous donnez aux mots.

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  10. Le Rafale a été invincé du marché brésilien, car il était trop sophistiqué, trop cher à l'achat, trop cher à l'utilisation, sans casque de visée, sans compatibilité internationale.
    Le monoréacteur JAS-39 Gripen E/F, bien moins cher à l’achat, comme à l’heure de vol, affichait des équipements de dernière génération.
    Le monoréacteur JAS-39 Gripen E/F, est bien plus rapide, a un meilleur radar à antenne active AESA, une meilleure avionique, une meilleur concentration de données affichable dans le casque et à déjà lancé le missile de croisière air-air Meteor.

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    1. Comme le territoire suisse est exigu, ce qui est important pour sa défense, c'est la vitesse de pointe (au minimum Mach II)

      Comme la Suisse ne possède pas de puit de pétrole, ce qui est important pour sa défense, c'est de pouvoir consommer du biocarburant produit localement.
      Comme la Suisse ne possède pas de puit de pétrole, ce qui est important pour sa défense, c'est de pouvoir consommer du carburant du commerce.

      Comme le territoire suisse est exigu, ce qui est important pour sa défense, c'est de pouvoir décoller depuis des portions d'autoroute
      Comme la Suisse ne possède pas de AWACS, ce qui est important pour sa défense, c'est le radar AESA
      Comme la Suisse est neutre, ce qui est important pour sa défense, c'est de pouvoir emporter de nombreux armement, notamment américain

      Comme la Suisse est démocratique, ce qui est important pour sa défense, c'est la compatibilité avec une armée de milice
      Comme la Suisse est démocratique, ce qui est important pour sa défense, c'est un coût réduit pour pouvoir acheter plus d'avions

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    2. La Belgique choisit le F-35 : La France a-t-elle tué l'Europe de la défense en développant seule le Rafale ?

      Le projet de défense européenne a de nouveau du plomb dans l'aile après que la Belgique ait remplacé ses F-16 par des F-35 américains plutôt que des Typhoon européens.

      Après un long appel d'offres lancé en mars 2017, l'américain Lockheed Martin a vendu à la Belgique 34 chasseurs F-35 pour remplacer ses F-16. Le Danemark, les Pays-Bas et la Norvège ont également décliné l'option européenne, optant pour le F-35 de Lockheed Martin. Du point de vue technique, le dossier de Lockheed Martin a non seulement tiré parti de son prix plus attractif, mais également du saut d'une génération au moins.

      A la différence du Rafale, le Typhoon européen est européen, atteint Mach 2, intègre un radar AESA et est pleinement compatible avec l'OTAN. D'un autre point de vue, la France paie-t-elle pour avoir humilié la Belgique en faisant chuter plusieurs ministres belges ou la France, en s'adressant directement au gouvernement pour éviter l'évaluation a-t-elle indisposé la Belgique ? De plus, la question des armes françaises (des chars Leclerc et des avions Rafale) utilisées contre des civils en Egypte indispose nombre de gouvernements ?

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    3. | Aviation Today : With 'Sincere Regret,' Airbus Accepts Belgian Selection of F/A-35 Over Typhoon II
      | Aviation Today on 26 Oct 2018

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  11. A l'époque, les Français considéraient leur nation comme riche et forte et n'avaient que le désir de se hâter d’aller prendre dans l’extrême Orient la position que les Français pensaient devoir y occuper

    Etant encore sous l’influence de la défaite de 1871, les Français avaient félicité leur gouvernement de l’assaut de la citadelle d’Hannoï en 1874. Ces envahisseurs n'avaient éprouvé aucune confusion à reconnaître l'assaut donné par une troupe française sur la capitale du Tonkin, tant que cet acte inadmissible ne lui forçait pas la main et ne l’obligeait pas la France à une occupation prématurée.

    Cependant, en ce temps-là, la majorité de la nation française doutait sérieusement, d'être en mesure d’étendre par les armes les limites de ses colonies, car elle se sentait contrainte d'économiser le sang de ses fils pour les batailles à venir contre l'Allemagne. Cependant, les Français pensaient à l'époque, que la sécurité de leur occupation en Cochinchine exigaient une prompte intervention militaire de la France, car l’ouverture du Tonkin leur auraient offert d’admirables débouchés commerciaux.

    Les Français parlaient en ces termes : "venger le mépris de la foi jurée et venger l’insulte faite à l'honneur français en annexant le Tonkin".
    Les Français ne voulaient cependant pas vouloir lancer leurs forces militaires dans "une de ces aventures sentimentales où le désintéressement est proche de la duperie".

    Aujourd’hui, après trois défaites et trois sauvetages par les Anglo-Saxons, les Français ne pensent plus ainsi. D'autant plus que les Français n'ont pas toujours été partisans d’une sage réserve financière. La France d'aujourd'hui est affaiblie, car membre de l'UE et de l'OTAN, car accablée une dette de 2'000 milliards d'Euro laissé par le gouvernement Sarkosy et un Franc français à 0.15 centimes d'Euro..

    Comme en Afrique aujourd'hui, les Français revanchards ajoutaient que rien de chevaleresque et rien de périlleux les poussaient à agir en Asie, si ce n'est le prestige, la politique et les intérêts économiques.

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    1. Derrière l' Egypte liée géographiquement à la Libye, c'est bien la France qui se vend des avions à elle-même... pour préparer, sous pavillon étranger, ses prochaines interventions... là où elle a déjà détruit 42 années d'efforts de tout un peuple.

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  12. À la fin des années 1970, l'armée de l'air et la marine française avaient exigé un chasseur bombardier capable de remplacer pas moins de sept types d'avions. Pari, auquel Dassault avait répondu par le Rafale omnirôle, n'utilisant que des sous-traitants français.

    L'ultrapolyvalence franco-française constitue peut-être un avantage, mais sans aucun doute la plus grande des défaut de l'avion de Dassault. Lors du lancement du programme, il y a déjà une trentaine d'années, l'armée de l'air et la marine avaient exigé un appareil capable de remplacer pas moins de sept types d'appareils au sein de l'armée française. En conséquence, les études et le concept du Dassault Rafale devait le rendre apte à la défense aérienne, é la reconnaissance, à l'attaque de précision air-sol et air-mer, ainsi qu'aux missions nucléaires. Comme l'appareil se devait d'être omni-rôle, c'est à dire capable d'accomplir plusieurs tâches au cours d'une même mission, en combinant par exemple attaque au sol et combat aérien ou encore tir air-air longue distance pendant une phase de pénétration à basse altitude, l'avion a perdu son interopérabilité européenne et a vu son prix multiplié par quatre.

    Les premières études pour un chasseur polyvalent européen débutent en 1976 et la trahison de la France survient en 1985, car Dassault voulait développer seul les concepts de l'ACF en utilisant des sous-traitants français. Or en 1989, l'URSS, qui devait faire face simultanément à la course aux armements, à la guerre de l'espace et à la lutte contre les Talibans implose. Cet événement signifie la fin de la guerre froide et change totalement la donne.

    Premier vol d'essai du Rafale franco-français en 1991, soit 15 ans après le début des études et deux années après la chute de l'URSS. Il va sans dire que l'appareil répond au cahier des charges initial, mais plus du tout à la nouvelle donne géopolitique.
    - Premier vol du Rafale (Air) de série en 1998, malgré la chute de l'URSS.
    - Premier vol du Rafale (Marine) de série en 1999, malgré la chute de l'URSS.

    Mise en service du Rafale franco-français en 2001, soit dix longues années après son premier vol et 25 ans après le début du projet. Il va sans dire que les concepts, l'avionnique, les processeurs et les radars sont alors dépassés.
    - Première livraison à la marine en 2000
    - Qualification du standard F1 en 2001, soit 15 ans après le début des études
    - Première livraison à l’armée de l’Air et opérationnel dans la marine en 2004.
    - Mise à niveau et qualification du standard F2.1 en 2005.
    - Qualification du standard F2.2 et opérationnel dans l'armée en 2006.
    - Livraison du premier centre de simulation (CSR) en 2007.
    - Livraison du second centre de simulation (CSR) et qualification du standard F3 en 2008
    - Mise à niveau et qualification du standard F3.2 en 2010.

    Le Rafale a été développé en trois versions utilisant 80 % de composants communs et au départ, l'armée de l'air et la marine avaient fixer à 286 le nombre de Rafale dont elles ont besoin pour assurer leurs missions. Mais 5 crashes inexpliqués survenus entre 2007 et 2012 vont réduire ce nombre à 180.

    Comme le JAS-39 Gripen et l'Eurofighter Typhoon, le Rafale français utilise des commandes électriques, une voilure canard et une taille moyenne, qui lui procurent une grande agilité. Motorisé par Safran, il est toutefois handicapé par ses deux turboréacteurs M88-2. En 2014, un milliard d'euros est inestit pour un nouveau standard F3R intégrant le nouveau missile air-air longue portée Meteor, développé par MBDA pour le JAS-39 Gripen.

    Trois contrats inespérés risquent de prolonger cependant les chaînes de fabrication de ce bombardier du passé. L'Egypte, é'Inde et le Quatar ont optés pour ce pur produit français et l'avenir dira s'ils ont eu raison.

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  13. Pour soutenir la décision du CF d'acheter des JAS-39 Gripen E, il faut préciser qu'à l'époque, aucun des prototypes présentés n'était en service. Mais le JAS-39 Gripen E était la solution optimale pour la Confédération, car le Gripen E répondait exactement aux besoins de l’Armée suisse et répondait sur plusieurs plans aux exigences formulées par le CF, notamment sur le plan financier.

    En cette période de restriction et de chômage, les prototypes de Dassault et de EADS pour la Suisse dépassaient largement le budget alloué à l'armée par le peuple, ce qui constituait un handicap majeur. De plus, les prototypes de Dassault et de EADS pour la Suisse ne pouvait en aucun cas être fabriqués dans la Confédération, ce engendrait une dépendance vis à vis de l'étranger et ne permettait pas de résorber le chômage. Par contre, pour remplacer le F-5 E/F Tiger II et collaborer avec le FA-18 Hornet C/D, le JAS-39 Gripen E répondait idéalement, car la Confédération participait dès le départ et à son financement et des entreprises suisses auraient été impliquée dans sa conception. Des places de travail auraient été créée, le savoir-faire helvétique aurait été préservé et le chasseur polyvalent n'aurait plus eu aucun secret pour nos armuriers.

    Pour remplacer le F-5 E/F Tiger II et collaborer avec le FA-18 Hornet C/D, les prototypes de Dassault et de EADS pour la Suisse comportaient deux réacteurs et engendraient un certains nombre de nuisances et d'inconvénients. Tout d'abord, ils auraient généré plus de bruit et de pollution que le JAS-39 Gripen E, ce qui est fort dommageable dans un pays touristique comme le notre. ensuite, les prototypes biréacteurs présentés par Dassault et par EADS pour la Suisse entraient en infraction avec notre législation sur le bruit, comme sur la pollution.

    Concernant l'adéquation avec notre armée, le JAS-39 Gripen E présentait des dimensions comparable au F-5 E/F Tiger II et pouvait le remplacer sans aucune adaptation de notre infrastucture au sol. De plus, il pouvait emporter les mêmes armes que le F-5 E/F Tiger II et que le F/A-18 C/D. avec le matériel déjà utilisé par notre armée. Concernant la versabilité, le JAS-39 Gripen E était capable de décoller de nos autoroutes et de nos terrains de dégagement en utilisant un minimum d'infrastructure au sol. A la différence des lourds chasseurs bombardiers de Dassault et de EADS, capables d'emporter des bombes atomiques, le JAS-39 Gripen E utilise un unique réacteur surpuissant et peut utiliser du carburant du commerce comme du biocarburant. Pour la police du ciel et pour la défense de l'espace aérien, c'était donc l'appareil qu'il nous fallait et nos sages ne s'y étaient pas trompé.

    Pour moitié prix des prototypes présentés par Dassault et par EADS pour la Suisse, le JAS-39 Gripen E offrait le Radar AESA surpuissant, le viseur de casque, la supercruise, le décollage sans PC et la compatibilité totale avec notre armement. De plus, cet appareil moderne représentait une solution supportable à long terme.

    En cette période de restriction et de chômage, les prototypes de Dassault et de EADS pour la Suisse coûtaient quatre fois plus cher que le JAS-39 Gripen E, mais pour assurer la Police du ciel, un monoréacteur rapide, moderne et adapté à la topographie suisse suffirait assurement.

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    1. Réponses orientées des agents de l'étranger :
      Ils prétendront que le Rafale, dans sa dernière version possède un espèce de FADEC également, car les ingénieurs de chez Dassault ont réussi le tour de force d'intégrer un contrôle electronique de la puissance, comme sur les appareil civil.
      Ils mettront en avant que le Rafale, dans sa dernière version possède un espèce de radar AESA également, car les ingénieurs de chez Dassault ont réussi le tour de force d'intégrer le nouveau radar dans le nez de l'appareil, sans pour autant modifier son assiette de vol.
      Ils prétendront également que le Rafale, dans sa dernière version est capable d'effectuer une légère supercruise, car les ingénieurs de chez Dassault l'ont doté de réacteurs M-88 de 50kN et que seule la législation en vigueur l'empêche de décoller sans utiliser la PC.
      Ils rétorqueront que le Rafale, n'est pas totalement compatible avec l'Europe et avec l'OTAN, mais cependant les ingénieurs de chez Dassault lui ont conféré une complète adéquation avec la France, ce qui lui procure une certaine supériorité parfois.
      Ils répliqueront que le Rafale, n'est pas complétement furtif, mais cependant les ingénieurs de chez Dassault ont tenté de minimiser au maximum la signature thermique en utilisant des matériaux composites. Le manque de furtivité n'est pas un argument pertinent dans ce cas de figure, car cela se paie aussi !
      Ils expliqueront que le Rafale, dans sa dernière version peut être doté d'un casque de visée, car les ingénieurs de chez Dassault ont préféré laisser la tête des pilotes libre de toute entrave, pour le dog-fight notamment. L'absence de casque de visée n'est pas un argument pertinent dans ce cas de figure.
      Ils justifieront que le Rafale ne peut utiliser de carburant du commerce, ni de bio-carburant, car les ingénieurs de chez Dassault ont préféré utilisé du caburant militaire.
      Ils mettront en avant que le Rafale, dans sa dernière version dispose d'une perche de ravitaillement en vol, car les ingénieurs de chez Dassault ont tenté de maximiser l'allonge de l'appareil. Mais pour un territoire de 500 sur 300 km, le ravitaillement en vol n'est pas un argument pertinent, d'autant plus qu'il faudrait déjà disposer d'avions ravitailleurs.
      Ils asseneront que le Rafale dispose de capacité de dialogue avec les satellites, car les ingénieurs de chez Dassault ont prévu cette éventualité. Mais que la communication satellitaire n'est pas un argument pertinent, car le pays acheteur doit déjà disposer de satellites.
      Ils avanceront l'argument que le Rafale, dans sa dernière version dispose de la capacité de décoller d'un porte-avion, car les ingénieurs de chez Dassault l'ont doté de capacité maritime de manière native. Cependnant, l'envol de porte-avion n'est pas un argument pertinent, car le pays acheteur doit déjà disposer de tels navires.
      Ils se venteront que le Rafale dispose de capacité nucléaires, car les ingénieurs de chez Dassault l'ont doté d'une telle capacité de manière native. L'emport d'ogives nucléaires n'est pas un argument pertinent, car le pays acheteur doit déjà disposer de telles armes.

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    2. En 2013, la Suisse choisit le 30 novembre 2011 le Saab Gripen (au détriment du Rafale et de l'Eurofighter Typhoon), dans le cadre du programme TTE de remplacement partiel de la flotte de F-5E Tiger II185. C'est alors que les Français ont traîtreusement envoyé une contre-proposition au Parlement suisse.
      À la suite de cette annonce, les traîtres français ont publié un ancien document des Forces aériennes suisses de novembre 2009 qui indiquait non seulement que le Rafale était le favori des catholiques, des profrançais et des expats, mais aussi que le Gripen choisi par le Conseil fédéral avait été jugé moins bon dans sa première version que le Rafale ou le F/A-18.
      La capacité d'emport d'un Rafale est mise en avant par les espions français, alors que la rapidité supérieure, le radar supérieur, la compatibilité supérieure, la maniabilité supérieure, la robustesse supérieure et le prix inférieur sont privilégié par le Conseil Fédéral.
      Le 18 mai 2014, les citoyens suisses rejettent cependant, lors d'un vote, le plan de financement prévoyant l'achat de 22 Gripen pour 3,126 milliards de francs, soit 14 mio / pièce.
      Ayant réussi à faire capoter l'opération, les traîtres français n'excluent pas l'éventualité de faire une nouvelle offre avec leur vieil appareil inadapté.

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    3. Le Rafale n'est pas capable d'entrer dans nos cavernes alpine.
      Le Rafale n'est pas capable de décoller de nos autoroutes.
      Le Rafale n'est pas capable d'utiliser FLORAKO.
      Le Rafale n'est pas capable d'utiliser du biocarburant.
      Le Rafale n'est pas capable d'utiliser du carburant du commerce.
      Le Rafale n'est pas capable de lancer les armes du F/A-18 Hornet ou du F-5 Tiger II.

      Le Rafale n'est pas capable de piloter le METEOR en utilisant 2 canaux.

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    4. Le gel du projet de défense sol-air (BODLUV pour Bodengestützte Luftverteidigung) ne passe toujours pas auprès de certains à Berne. Au point d'imaginer que Guy Parmelin voudrait sacrifier le projet afin de récupérer les fonds pour acheter des Rafales !

      L'appareil n'a plus besoin d'être compatible avec Florako, puisque ce système va être abandonné.

      L'achat de Rafale nous livrerait pieds et poings liés aux ennemis français, car la protection contre avions proviendrait aussi des hostiles...

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    5. Le peuple souverain a mis son veto à l'achat de JAS-39 Gripen E. Il ne nous reste que la solution d'acheter des Typhoon d'occasion.

      Le Typhoon II possède le meilleur taux de montée, le meilleur taux de roulis, la plus grande vitesse de pointe et la plus grande puissance. Mis il coûte le plus cher, d'où le recours aux appareils d'occasion

      Le Rafale a l'inconvénient d'être biréacteur, de pouvoir emporter 15 tonnes de bombes, d'emporter des bombes nucléaires, de pouvoir décoller d'un porte avion et de ne pas être compatible avec BodLuV.

      Toutes ces capacités superflues se paient, d’où le prix trois fois trop élevé !

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    6. Le JAS-39 Gripen E est produit par un pays ami, la Suède.
      Le Eurofighter Typhoon II est produit par des pays amis, l'Allemagne, l'Angleterre et l'Italie.

      Le Rafale est produit par un pays ennemi, qui nous bloque l'accès à Erasmus et qui veut licencier des collaborateurs à Cointrin !

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    7. AVIS AUX DETRACTEURS DU GRIPEN

      Vous avez refusé d'entrer en matière pour le remplacement de 50 F-5 Tiger II complétement dépassés par 22 JAS-39 Gripen ultramodernes.

      Mais attention, le Rafale français date d'une quarantaine d'année, c'est pourquoi il n'atteint pas Mach II et qu'il ne décolle pas sans catapultes à vapeur. Outre le fait que le Rafale français est moins rapide que le Typhoon européen et que le Gripen suédois, le Rafale ne fait pas de supercruise, c'est à dire qu'il ne décolle pas sans PC et qu'il ne passe pas le mur du son sans PC. En outre, le Rafale français possède un gros désavantage pour un pays alpin : il est moins maniable que le Typhoon européen et que le Gripen suédois, du fait de ses ailerons canards mal disposés

      Outre le fait que le Rafale français est moins maniable que le Typhoon européen et que le Gripen suédois, le Rafale français ne consomme pas de BioCarburant, ni de carburant du commerce. Ce qui est fort regrettable pour un pays ne disposant pas de puit de pétrole. En outre, le Rafale français possède un gros désavantage pour un pays alpin : il possède un moins bon radar que le Typhoon européen et que le Gripen suédois car il nécessite un AWACS. En outre, le Rafale français possède un gros désavantage pour un pays neutre : il est capable d'emporter 1.5 son poids en bombes, mais il est incapable de décoller d'une autoroute assisté par une armée de milice.

      En outre, le Rafale français possède un gros désavantage pour un pays alpin : il est capable de décoller d'un porte-avion équipé de catapultes à vapeur. Or la Suisse ne possède aucun porte-avion, ni aucune catapulte à vapeur.

      Cerise sur le gâteau, le Rafale français coûte 2 fois plus cher que ses concurrents et il nécessite 2 fois plus d'entretien, car son taux de disponibilité n'est que de 30%. Comme il n'entre pas dans les cavernes alpines et n'utilise pas l'armement dont nous disposons, il faudrait envisager des frais supplémentaires. Dans le prix d'achat, il faudrait rajouter l'achat d'un AWACS, d'un avion ravitailleur, d'un porte-avion, de catapultes à vapeur, de nouveau hangars et construire de nouvelles cavernes alpines.

      DE 10 MILLIARDS, LE PRIX RISQUE FORT D'ATTEINDRE 20 MILLIARDS

      Un soldat suisse déçu par la tournure qu'ont pris les événements


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  14. Comparant les trois appareil en lice, il apparaît que l'Eurofighter Typhoon produit par l'européen EADS se montre peu polyvalent et plus axé sur la supériorité aérienne et l'interception à haute vitesse, où il excelle. Ce chasseur anglo-germanique est moins à l'aise dans les missions air-sol, car il peut faire confiance au redoutable Panavia Tornado à géométrie variable, avec lequel il forme une paire indissociable. Capable d'une vitesse élevée, le Typhoon II serait indiscutablement le meilleur pour la police du ciel helvétique, mais pêche pour son manque de polyvalence.

    Le JAS-39 Gripen II produit par le suédois SAAB correspond exactement aux besoins de l'armée de l'air helvétique. Disposant de la même taille que nos F-5 E/F Tiger II, il semble au premier abord léger et moins puissant, mais il est efficace, car plus rapide et doté du meilleur radar. Pour seconder le F/A-18 C/D Hornet, il dispose d'une polyvalence et d'une rusticité, qui le designe comme le successeur, non seulement du Tiger, mais aussi du Hornet. Son adéquation avec l'environnement suisse, pour un prix défiant la concurrence garantirait la sécurité aérienne helvétique.

    Conçu pendant la Guerre froide pour aller contrer les chasseurs et les bombardiers soviétiques, le Rafale français est capable de faire de la chasse, de la reconnaissance, de l’attaque au sol et du bombardement stratégique, depuis la terre, comme depuis que la mer. Mais le Rafale omnirôle a le gros inconvénient d'être biréacteur et fragile, donc de nécessiter beaucoup d’heures de maintenance comme avec tous les avions de cette génération et pour défendre un espace aérien de 300 sur 500 km sans accès à la mer, il ne répond pas aux cahier des charges.

    Les Français qui ont toujours une technologie de retard, tiennent aux chasseurs biréacteurs par sécurité, mais avec les progrès réalisés en matière de moteur, cette redondance n'est plus nécessaire, car le F-16 et le F-35 sont d'ailleurs des monoréacteurs. Le problème est que les Français n'arrivent à produire que des réacteurs de faible puissance. Les Français qui ont toujours une guerre de retard, tiennent aux bombardiers atomiques biréacteurs capable d’appontage, mais pour défendre la neutralité helvétique au cœur de l'Europe, disposer de telles capacité est vraiment superflu. Les Français qui privilégient leur industrie, veulent imposer au reste du monde leur exorbitant Rafale omnirôle, dont la cellule est fabriquée en France, dont les moteurs sont fabriqués en France, dont le radar et l'avionique sont fabriqués en France et qui ne utiliser que des armes françaises. Un comble à l'époque où tout le monde parle d'intégration européenne.

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    1. Nioum il y a 7 mois

      Les nouveaux defis des armées, les dangers qui menacent notre démocratie de par le monde sont posés par des groupes organisés de manière distendue ayant en leur sein des groupuscules locaux, fanatiques et recherchant par tout les moyens à nous harceler pour rendre notre mode de vie impossible ou du moins très couteux. Face à ces acteurs, l’arsenal stratégique développé durant la guerre froide n’est pas d’une grande utilité. En revanche le transport léger, l’armement au poing est esssentiel, tant pour nos troupes que pour équiper nos alliés que pour constituer un partenaire crédible. En méttant notre outils manufacturier dans les mains de Krauss Maffei, nous soumettons notre liberté à la volonté politique de Berlin.

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    2. Les Français ne se sentent pas rajeunir à la lecture de leur hebdomadaire aéronautique 'Air et Cosmos'. En effet, ils y apprennent que les forces aériennes américaines retirent du service actif le F-117A Night Hawk, après un quart de siècle de bons et loyaux services. Ce bombardier mythique construit par Lockheed, a révolutionné l’aéronautique, car il fut le premier avion, capable d’échapper aux radars, grâce à la furtivité.

      Conçu dans les années 70 pour déjouer les radars soviétiques, il effectuent de nombreuses missions inconito, avant que son existence ne soie révélée dans les années 90. Cependant, en utilisant la déformation du champ magnétique des antennes de téléphones portable, les Russes en détectèrent un au Kosovo et l'abattirent avec un missile SA-3 opérant avec des longueurs d’onde très larges.

      Alors que la France empêtrée dans son programme Rafale, a totalement négligé le concept de furtivité, les Américains en développent déjà les capacités sur le F-22 Raptor et le F-35 Lightning II. Alors que la Russie, l'Inde et la Chine alignent également de tels appareils modernes, l'US Air Force est capable d'aligner encore des bombardiers furtifs B2.

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    3. En effet, les programmes de développement et l'acquisition d'avions de combat font depuis quelques années l'objet d'une controverse animée, car ils sont des processus extrêmement onéreux et complexes. Actuellement, les budgets défense sont en recul dans tous les pays et de nombreux Etats ne savent toujours pas comment remplacer leurs anciens appareils. Même s'il pourrait sembler inopportun de penser aux remplaçants de l'Eurofighter Typhoon II, du JAS-39 Gripen de SAAB, le F-22 de Lockheed Martin/Boeing et le F-35 de Lockheed Martin, les membres de l'OTAN doivent penser à la conception d'une 6e génération de chasseurs à réaction, pour se maintenir à la pointe de la technologie aérospatiale militaire.

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  15. Voici une synthèse qu'on apprécie ou pas ! Nos amis amis français, visiblement pas ! Certes, le rédacteur de ce site particuliement sérieux en matière aéronautique, nous offre ici à sa manière une diatribe peu un trop anti- Rafale à mon goût ! Mais cela n'engage que lui et finalement cela compense les attaques incessantes et partiales de certains.

    Hé non, RUAG ne jure pas à travers Dassault, la firme aux mains de la Confédération n'a jamais porté le moindre jugement sur le sujet, le reste n' est que petite phase de la communication de ceux-ci. RUAG aimerait plutôt participer au Gripen E.

    Le Gripen correspond à nos attentes et permet une utilisation depuis nos bases de montage et autoroutes à un prix excellent.

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  16. Tout ce dont est capable de faire le Rafale français, le Gripen suédois peu le faire aussi, mais pour moitié prix :

    Tout d'abord, le Gripen coûte 2 fois moins cher que le Rafale à l'acquisition, car il est monoréacteur et n'utilise pas d'armements spécifiques, à part le Meteor.

    Ensuite, le Gripen coûte 2 fois moins cher que le Rafale à l'utilisation, car il est monoréacteur et n'utilise pas des armements spécifiques.

    Se contentant de kérozène commercial ou de biocarburant, le Gripen de consomme 2 fois moins de carburant que le Rafale, car il ne possède qu'un seul réacteur plus puissant.

    Plus rustique, le Gripen coûte 2 fois moins cher à l'entretien et est opérable par une armée de milice.

    Plus léger et monoréacteur, le Gripen pollue 2 fois moins que bombardier Rafale biréacteur, surtout qu'il peut utiloiser du carburant commercial ou du bio-carburant

    Capable de supercroisière, c'est à dire décollage et passage du mur du son sans post-combustion, le Gripen fait 2 fois moins de bruit que le Rafale.

    Disposant d'un radar 2 fois plus puissant, le Gripen est capable de détecter le Rafale avant que celui-ci l'ait vu et l'abattre.

    Plus léger et emportant moins de bombes, le Gripen est 2 fois plus rapide que le Rafale.

    Monoréacteur et plus petit, le Gripen est 2 fois moins détectable, grâce à sa peinture spéciale.

    Plus léger et plus rustique, le Gripen, non seulement peut décoller de nos autoroutes, mais est 2 fois plus maniable dans les reliefs alpins.


    L'ATTITUDE BELLIQUEUSE DE LA FRANCE DANS LES MEDIA IMPOSE UNE VOTATION SUPPLÉMENTAIRE POUR CORRIGER LE VOTE DU 18 MAI 2014 ET EXIGEONS DE REVOTER SUR LE GRIPEN


    La Suisse refuse de payer plus cher un appareil capable d'opérer à partir d'un porte-avion, car la Suisse n'en n'a pas.

    La Suisse refuse de payer plus cher un appareil capable d'emporter la bombe atomique, car la Suisse n'en n'a pas.

    La Suisse refuse de payer plus cher un appareil capable d'emporter 15 tonnes de bombe, car la Suisse veut défendre son espace aérien et faire la police du ciel.

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    1. Effectivement le Rafale peut peu, mais coûte cher, alors que le Gripen peut beaucoup et coûte peu...

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    2. Le Typhoon II accélère mieux, a une meilleure vitesse de pointe, a un meilleur taux de montée, a un meilleur radar et est beaucoup plus européen.

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    3. Quels sont les motifs qui ont poussé le ministre de l'armement Parmelin à suspendre le projet d’acquisition du système de défense sol-air BodLuv, après une dépense de 20 millions de francs ?

      N'y voit-on pas les pot-de-vins de la France ou de Dassault à nouveau ?

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  17. Les Français monolingues sont endoctrinés par leurs grands groupes de presse, qui appartiennent tous à l'industrie d'armement. En conséquence, même les non-spécialistes du domaine sont persuadés que les qualités techniques de l’avion de combat Rafale fabriqué par Dassault en France sont très largement supérieures à celles de ces concurrents américains, comme le F/A-18 Hornet, ou suédois, comme le JAS-39 Gripen E. Les Français ne remettent pas en cause les qualités du Rafale, bien qu'il ait été copieusement boudé par de nombreux pays. D’après les experts, il est fort probable que le Rafale ne s’exportera jamais, car il ne correspond pas aux attentes du marché et que sont rapport qualité prix est absolument désastreux.

    La Suisse et le Brésil ont préféré acheter les avions suédois, plutôt que l'avion français. Il faut dire que le petit appareil suédois offre pour la moitié du prix, une vitesse de pointe largement supérieure, un radar infiniment plus convainquant et des capacités électroniques adapées à la guerre moderne. De plus le JAS-39 Gripen peut reprendre immédiatement toutes les missions du F-5 E/F Tiger II et du F/A-18 C/D Hornet. Il utilise en effet les mêmes armes, le même système radio FLORAKO, le même casque de visée et il a des demensions comparables au F-5 E/F Tiger II.

    Par contre, le Rafale offre de nombreuses capacités superflues qui alourdissent inutilement son prix d'achat : il est capable d'atterrir sur un porte-avion, alors que la Suisse n'en possède pas; il est capable d'enporter des ogives nucléaires, alors que la Suisse n'en possède pas; il est capable d'emporter 15 tonnes de bombes, alors que la Suisse veut faire la police du ciel.

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  18. Le Rafale a été conçu en premier lieu pour l'armée de l'air et la marine Française. Pour cette raison il est extrêmement efficace avec toutes sortes d'armements français, qui le rendent particulièrement operationnel dans un environnement français et avec des pilotes français. Une éventuelle vente à l'exportation serait un plus pour la firme Dassault et l'Etat français, mais n'est pas prioritaire. En effet, la France a intelligement renoncé à divelopper un appareil de 5ème génération pour améliorer sa propre 4e génération.

    Le Rafale est incompatible avec nombre d'armements internationaux, mais les ingénieurs de chez Dassault ne désespèrent pas de pouvoir lancer le METEOR européen. Le Rafale n'est pas furtif, mais les ingénieurs français ont finalement réussi à intaller un Radar de style AESA sur les derniers modèle de Rafale. Le Rafale n'est pas rapide, mais Dassault ne désespère pas de développer un nouveau moteur dans un avenir plus ou moins lointain. Le problème avec la Suisse est qu'il n'entre pas dans les abris, n'emporte pas l'armement disponible et ne répond pas avec FLORAKO.

    L'Etat français participe avec d'autres groupements de pression à la promotion du Rafale à l'international car ce type de vente est avant tout politique. Le problème est que le Rafale, développé en interne coût extraordinairement cher et n'offre même pas les capacités d'un F-16 E Viper ou d'un JAS-39 E Gripen. La firme Dassault essaie d'ailleurs de transformer le chasseur Rafale, qui était à la pointe dans les années 80, en une version bombardier lourd.

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    1. A l’heure où le Rafale rencontre des difficultés à l’export, la Suède offre le spectacle d’une petite nation capable de construire son propre avion de combat et même de le vendre à l’étranger.

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    2. C'est bien vrai, concernant les armes, y a comme un problème, le Rafale n'est pas capable d'utiliser ni les armes du Tiger, ni les armes du Hornet. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil pour remplaces nos chasseurs au moindre coût.

      un citoyen suisse, qui paie ses impôts


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  19. Il faut proposer à LeDrian de nous donner gratuitement 50 Rafales en échange des 500'000 réfugiés français, que nous conserverions, malgré leur catholicisme et leur accent.

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    1. 50 Rafales de la dernière génération tout équipés contre 500'000 expats me semble une excellente solution. Surtout que les expats sont déjà là et qu'il n'est pas besoin de les faire venir.

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  20. Depuis le refus de l’avion suédois, les acteurs aéronautique sont restés les mêmes : Airbus, Boeing, Lockheed Martin, Dassault , Sukhoï et Saab. Le Gripen E avait été choisi pour son prix de 3,1 milliards pour 22 appareil tout compris (armement, formation, pièces de rechange). La désinformation et les pressions de toutes sorte avait conduit les Confédérés helvétiques au rejet.
    Quand on sait que le prix du prochain avion, serait évalué à plus du double du coût du projet refusé, comment va réagir le peuple ? La trentaine de F/A-18 C/D et la trentaine de F-5 E/F devront assurer la défense du ciel coûte que coûte.

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    1. Pour stopper un Boeing ou un Airbus, un Tiger peut encore faire l'affaire, mais pour combien de temps ?

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  21. Du côté des opposants, ce sont les mêmes qui refusent de se défendre. Les Ecologistes, les Gauchistes, les Socialistes, les Antimilitaristes, les Féministes et les Altermondialistes rejettent toute idée de défense autonome et d'autarcie alimentaire. Pour le Conseil fédéral le refus de la population de tout avion de combat est synomyme de disparition pure et simple de la Suisse multiséculaire. Les étrangers nouvellement arrivés et les Suisses de fraîche date utilise leurs voix pour détruire le bien-être, qui règne dans notre pays.

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    1. Il est de notoriété publique que les Ecologistes, Gauchistes, Socialistes, Antimilitaristes, Féministes et Altermondialistes, comme des moutons veulent adérer à une Union Européenne antisociale, antidémocratique, ultralibérale et ultracapitaliste.

      Le secret banquaire risque de disparaître en Suisse, si ce n'est déjà fait.
      Le protestantisme risque de disparaître en Suisse, si ce n'est déjà fait.
      Le multilinguisme risque de disparaître en Suisse, si ce n'est déjà fait.
      L'agriculture risque de disparaître en Suisse, si ce n'est déjà fait.
      Le bien-être risque de disparaître en Suisse, si ce n'est déjà fait.
      La nature risque de disparaître en Suisse, si ce n'est déjà fait.
      L'armée risque de disparaître en Suisse, si ce n'est déjà fait.

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    2. Notre Constitution fédérale exige de veiller à la souveraineté aérienne. Pour cela, il est essentiel d'avoir une armée de l'air forte. Cette dernière a entre autres les tâches suivantes:

      La souveraineté aérienne :
      - Sécuriser l'espace aérien national
      - Sécuriser l'espace aérien de la Suisse en tant que frontière étatique
      - Garantir la disponibilité de nos voies de circulation aériennes
      - Protéger les manifestations ou objets des dangers aériens

      Bouclier aérien :
      - Empêcher les violations de l'espace aérien
      - Protéger les utilisateurs de l'espace aérien
      - Protéger la population contre les menaces aériennes

      Défense aérienne :
      - La reconnaissance aérienne
      - Défense de l'espace aérien
      - Assurer la supériorité aérienne
      - Repousser les attaques aériennes
      - Soutenir les forces terrestres déployées pour la défense nationale.

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    3. C'est bien vrai, concernant le carburant, y a comme un problème, le Rafale n'est pas capable d'utiliser notre carburant du commerce A1, ni notre BioCarburant. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil utilisable pas notre pays.

      un citoyen suisse, qui paie ses impôts

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  22. Comment les Français envisageait-ils de réduire le nombre d'avions nécessaire pour remplir l'ensemble des missions ?
    Alors que le JAS-39 Gripen E est beaucoup plus polyvalent que le Rafale français, la Suisse aurait pu en acheter le double pour la même somme. Pour le prix de 22 appareils, l'armée de l'air n'aurait eu que 12 Rafale. Comment les Français, dans leur suffisance avaient-ils envisager d'agir en même temps à Romanshorn, à Davos et à Genf ?

    La dessus venait se greffer les problèmes de carburant, de radio, d'armement et de taille excessive.

    L'appareil choisi devait pouvoir reprendre les tâche du F/A-18 C/D Hornet, comme du F-5 E/F Tiger II, sans délai et en reprenant les mêmes équipements.

    L'achat d'un appareil français aurait impliqué un changement de doctrine total, le rachat de tout le matériel, la reconstruction de tous les bâtiments, l'approvisionnement en un nouveau kérozène et la formation de tout le personnel sur du nouveau matériel.

    S'il faut tout changer, autant passer sur du matériel russe plus performant et moins cher.

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    1. Les principaux défaux du Rafale sont :

      qu'il peut emporter sont poids en armement,
      qu'il peut décoller d'un porte-avion,
      qu'il n'utilise pas les armes du Hornet ou du Tiger,
      qu'il n'entre pas dans les abris qui lui sont assignés.

      Mais on peut ajouter :

      qu'il n'a pas de casque de visée,
      qu'il ne dialogue pas avec les satellites,
      qu'il est plus lent que le Gripen ou que le Typhoon,
      qu'il est moins maniable que le Gripen ou que le Typhoon,
      qu'il ne peut décoller d'une autoroute,
      qu'il ne peut opérer par une armée de milice.

      MAIS SURTOUT, IL COUTE BEAUCOUP PLUS CHER !!!

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  23. La France se gargarise d'avoir construit un Dassault Rafale omnirôle. La France met en avant les capacités particulières du Rafale :

    Le premier atout du Rafale français est, selon le Français eux-mêmes, qu'il peut opérer à partir d'un porte-avion. Cette capacité est superflue et inutile pour la Suisse, car notre pays ne touche à aucune mer et ne possède pas ce type de navire. Pouvoir décoller d'un porte-avion est bien, mais ce serait beaucoup mieux si le Rafale pouvait utiliser les cavernes alpines du Tiger ou du Hornet. Pouvoir décoller d'un porte-avion est bien, mais ce serait beaucoup mieux si le Rafale pouvait décoller depuis nos autoroute et être opérable par une armée de milice.

    Le deuxième atout du Rafale français est, selon le Français eux-mêmes, qu'il est capable d'emporter 15 tonnes de bombes françaises, dont des bombes nucléaires. Cette capacité est superflue et inutile pour la défense de l'espace aérien suisse et la police du ciel. Le but de l'armée suisse est de défendre et non pas d'attaquer, a fortiori avec des bombes nucléaires, qu'elle ne possède pas. Le probléme est que le Rafale, malgré la norme STANAG n'est toujours pas capable d'emporter les bombes et les missiles du Tiger ou du Hornet. Pouvoir emporter 15 tonnes de bombes est bien, mais il faudrait au'il puisse emporter les bombes et les missiles dont nous disposons. Ce qui est important pour la Suisse, c'est de pouvoir tirer le METEOR du JAS-39 Gripen E et d'avoir un radar qui couvre sur 100°.

    Le troisième atout du Rafale français est, selon le Français eux-mêmes, qu'il est biréacteur. Cette capacité est superflue et inutile pour la Suisse, car notre pays montagneux de 300 sur 500 km ne nécessite pas une longue allonge pour être défendu. A contrario, un biréacteur consomme plus qu'un monoréacteur, coûte plus cher qu'un monoréacteur, demande plus d'entretien qu'un monoréacteur, pollue plue qu'un monoréacteur et fait plus de bruit qu'un monoréacteur. D'ailleurs les réacteurs du Rafale n'utilisent pas de bio-carburant, ni de kérosène jet A1. De plus, les réacteurs français du Rafale ne lui permettent pas de décoller sans PC et ne lui permettent pas de voler en supersonique sans PC, sous peine de surchauffer. En outre le gain de puissance apporté par le deuxième moteur est annulé par le surplus de poids embarqué. Ce surplus de poids devient même un handicap en le rendant moins manoeuvrable pour le combat tournoyant en vallée alpine. La preuve en est faite avec les nombreux F/A-18 biréacteurs, qui se sont crashés dans les Alpes.

    En résumé, pouvoir décoller d'un porte-avion, emporter 15 tonnes de bombes ou être biréacteur ne compense pas le fait de ne pas entrer dans l'enveloppe budgétaire fixé par le Parlement, ne compense pas le fait de ne pas avoir un aussi bon radar AESA que la concurrence, ne compense pas le fait de ne pas avoir de casque de visée, ne compense pas le fait de ne pas utiliser la norme FLORAKO, ne compense pas le fait de ne pas dialoguer avec les satellites.

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    1. Cela ne sert à rien de répéter tout ce qui a déjà été dit sur ce site

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    2. Le Rafale français, non seulement coûte plus cher, mais n'utilise pas de carburant du commerce, ni de bio-carburant.
      Le Rafale français, non seulement coûte plus cher, mais n'utilise pas Florako, ni BodLuv.
      Le Rafale français, non seulement coûte plus cher, mais n'utilise pas l'armement du F/A-18 ni du F-5.
      Le Rafale français, non seulement coûte plus cher, mais n'entre pas dans les abris existants.

      Rappelon que l'appareil choisi doit pouvoir reprendre les tâche du F/A-18 C/D Hornet, comme du F-5 E/F Tiger II, sans délai et en reprenant les mêmes équipements.

      Or, l'achat d'un appareil français implique un changement de doctrine total, le rachat de tout le matériel et de tout l'armement, la reconstruction de tous les bâtiments, l'approvisionnement en un nouveau kérosène et la formation de tout le personnel sur du nouveau matériel.

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    3. l'achat du Rafale français va impliquer le changement de toute notre infrastructure :
      - reconstruction de tous nos abris.
      - reformation de tous nos mécaniciens.
      - rachat de tout notre armement.
      - rachat de toute notre DCA.
      - changement de toute notre stratégie.
      - engagement de spécialistes pour réparer ces machines fragiles et coûteuses.

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    4. C'est bien vrai, concernant les infrastructures, y a comme un problème, le Rafale ne peut entrer ni dans nos alvéoles de protection, ni dans nos cavernes alpines. C'est de nouveau le peuple suisse qui va payer pour de nouvelles constructions militaires.

      un citoyen suisse, qui paie ses impôts

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  24. Alors que les Français plébiscitent le programme européen Airbus, ils se permettent de dénigrer le programme européen Typhoon II. Or l'appareil européen est plus plus puissant, plus rapide et plus endurant que l'appareil français. Il est idéalement secondé par le chasseur bombardier Tornado à géométrie variable, qui entre parenthèse surclasse également le Rafale.

    Les Français ne se rendent pas compte qu'il sont endoctrinés par leur dirigeants. Toutes leurs sources d'information sont détenues par 10 milliardaires proches des milieux militaro-industriels.

    Pour défendre la Suisse, il n'est nul besoin d'un bombardier biréacteur capable d'emporter des armes nucléaires depuis un porte-avion.

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    1. Le Rafale est plus lent que le Typhoon et que le Gripen. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil rapide ?

      Le Rafale est moins maniable que le Typhoon ou que le Gripen. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil maniable ?

      Le Rafale ne peut pas emporter les armes du Hornet ou du Tiger. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil compatible avec l'existant ?

      Le Rafale peut décoller d'un porte-avion. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération ne touche à aucune mer et ne possède pas de porte-avion ?

      Le Rafale peut emporter des bombes atomiques. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération n'est pas un pays nucléaire ?

      Le Rafale a un plus faible taux de montée que le Typhoon. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil à fort taux de montée ?

      Le Rafale a un plus faible taux d'accélération que le Typhoon. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil à fort taux d'accélération ?

      Le Rafale peut emporter 15 tonnes d'armement. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un intercepteur et pas d'un bombardier ?

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  25. Le Rafale ne peut entrer dans les alvéoles et les cavernes de protection. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil compatible avec nos infrastructures.

    Le Rafale n'est ni compatible avec Florako, ni avec BodLuv. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil compatible avec notre armée.

    Le Rafale est capable d'emporter 15 tonnes de bombe nucléaires. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un intercepteur capable de faire la police du ciel et de défendre pays.

    Le Rafale n'est pas capable de décoller sans post-combustion. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération à besoin d'un avion silencieux.

    Le Rafale n'est pas capable de passer le mur du son sans post-combustion. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération à besoin d'un avion silencieux.

    Le Rafale n'est ni compatible avec le carburant du commerce A1, ni avec le BioCarburant. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil compatible avec notre pays.

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    1. Notre Ministre Parmelin a annulé BodLuv, car il voulait reprendre tout le processus depuis le début. Ce n'était pas qu'il voulait essayer de faire rentrer le Rafale français dans la compétition par la bande.

      Le Rafale n'entre définitivement pas dans les cavernes alpines et définitivement pas dans l'enveloppe budgétaire consacrée au remplacement. Mais faut faire croire aux petits Français qu'on est ouvert à leur arguments.

      Mais la Confédération n’achètera jamais de catapultes à vapeur pour plaire aux Français, la Confédération n’achètera jamais de porte-avions pour plaire aux Français, la Confédération n’achètera jamais de bombes atomiques pour plaire aux Français...

      Je doute que la Confédération mette tous ses œufs dans le même panier en achetant la cellule, le réacteur, l'avionique, les missiles, les munitions et le carburant aux Français uniquement. Pour des raisons de cpûts, il faut penser à pouvoir réutiliser au maximum le matériel et les infrastructures dont notre armée dispose déjà !

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    2. on a pas besoin d'un bombardier nucléaire poussif, mais d'un d'un chasseur de supériorité aérienne capable au minimum de Mach II

      Par la suite, la supercruise, le carburant A1, le biocarburant E8 et le décollage d'autoroute seront des plus et Parmelin le sait.

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    3. Après avoir échoué produire un chasseur bombardier à géométrie variable et échoué à produire un chasseur supersonique à décollage vertical, la France décide pour des raisons budgétaires de développer un avion militaire capable de remplacer 7 type d'appareils de combat utilisé par les forces armées françaises.

      Or, à la fin des années 1970, la firme française Dassault Aviation produisait déjà un chasseur bombardier à voilure delta, le Mirage 2000, qui remplissait plusieurs tâches au sein de l'Armée de l'air et qui existait en plusieurs versions. Bien que cet avion ne fut pas arrivé au terme de ses développements, la France obligea Dassault de rejoindre le programme européen d'avion de combat pour des raisons de coûts. Développé avec l’Allemagne de l’Ouest, l'Angleterre, l’Espagne et l’Italie, ce programme est abandonné par la France en 1985, car elle veut privilégier ses constructeurs nationaux et développer un nouveau programme pour un avion biréacteur capable d'opérer depuis un porte-avion. Dassault va donc partir du bombardier Mirage 4000 pour développer le Rafale.

      Pour résoudre les problèmes insurmontables rencontré avec le Mirage, à savoir vitesse de décollage et d'atterrissage trop élevée, instabilité à basse vitesse et manque de vision ver l'avant, la firme Dassault reprend la formule canard du Saab Viggen. Pour répondre au cahier des charges, la firme française Dassault Aviation fait voler un prototype Rafale en 1986 et le programme débute en 1988. Le Rafale monoplace vole en 1991, ainsi que sa version navalisée, puis la version biplace apparaît en 1993. Le Rafale entre finalement en service dans la Marine nationale française en 2001, soit 15 ans après son premier vol.

      Comme l'Eurofighter Typhoon II et le JAS-39 Gripen, le Rafale est à aile delta, à plans canard, à commandes de vol électriques. Comme l'Eurofighter Typhoon II, le Dassault Rafale dispose de deux moteurs et est capable de délivrer un missile nucléaire. Même si le Rafale n'a pas la puissance du Typhoon européen, n'a pas le tx d'accéleration du Typhoon européen, n'a pas la vitesse du Typhoon européen et n'a pas la maniabilité d'un Typhoon européen, le chasseur-bombardier Rafale est une réussite technologique, même s'il ne dispose pas de la furtivité des chasseurs bombardiers américains F-22 Raptor et F-35.








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    4. La France pouvait développer un appareil à décollage vertical, elle ne l'a pas fait c'est tout. La France pouvait développer un appareil à géométrie variable, elle ne l'a pas fait, c'est tout. La France ouvait développer un appareil furtif, elle ne l'a pas fait c'est tout.

      Plutôt que de développer des appareils ultraspécialisés et très chers, la France à préféré développer le concept omnirôle, qui autorise des économie d'échelle. Tout est développé en France, tout est construit en France, la France ne dépend de personne pour mener sa politique extérieure.

      Le Rafale a une certaine furtivité et une certaine capacité à décoller court.

      Le programme rafale a aussi permis de conserver un savoir-faire et des places de travail en France.

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  26. Le F-15 atteint 100'000 pieds en 200 secondes. Pourquoi ne pas acheter des F-15 d'occaz ?

    (c'est un avion des années septante, mais quand même...)

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    1. Rôle et importance des appareils (aéronautiques) de combat

      A l’avenir, les rôle des appareils de combat va rester importants, malgré les changements que connaissent les responsables militaires. Pour assurer une protection crédible et efficace de l’espace aérien, il est nécessaire de disposer d’une combinaison de moyens et de compétences au sol comme dans les airs. par conséquent, la modernisation des moyens requis pour la protection de l’espace aérien fait partie intégrante du développement de l'armée. Dans le cas improbable d’un conflit armé en Europe, la Suisse doit disposer de ses propres moyens de défense, en l’occurence d'appareils de combat, pour protéger son espace aérien et en cas de nécessité, le défendre sur une courte période contre toute attaque directe. Cette capacité permettrait aussi de contribuer, le cas échéant, à une défense commune avec les pays limitrophes. Ces appareils de combat peuvent aussi être engagés pour protéger des acteurs non étatiques en cas de menace terroriste concrète et persistante.

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    2. Surtout que des versions stealth de cet appareil d'exception existent

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    3. Les Américains sont géniaux :
      Ils offrent le F-22 et le F-35 à la vente, mais aussi le F/A-18, le F-16 ou le F-15.

      Y en a pour tout les goûts, mono et bireacteur, rapides ou puissants, furtif ou semi-furtif.

      Le rafale est comparable au F/A-18 que nous avons déjà.

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  27. Dans les années 1970, pour les raison de coût et de rationnalité, les stratèges français avaient formulé une demande pour un appareil militaire unique, capable de remplir les rôles de plusieurs avions différents. La firme Dassault avait tenu le pari avec le Rafale et l'ultrapolyvalence française demeure sans doute la plus grande des qualités de cet avion de combat intégralement produit en France.

    Lors du lancement du programme ACT/ACM, en 1976, les forces armées françaises avaient exprimé le besoin d'un nouvel avion de combat, capable de remplacer pas moins de sept types d'avions différents au sein de l'armée de l'air et la marine nationales. Dans l'Europe naissante, il est envisagé de développer avec l'Allemagne de l'Ouest, le Royaume-Uni, l'Espagne et l'Italie, un chasseur polyvalent capable de remplir les missions de défense aérienne, de reconnaissance, d'attaque de précision air-sol ou air-mer, de pénétration à basse altitude, ainsi que des missions nucléaires. Pendant longtemps, l'appareil d'Etat n'a pas eu de vision marchande dans le domaine. La perspective était opérationnelle plutôt que technologique et industrielle. Dès le départ, l'armée de l'air et la marine fixent à 286 le nombre de Rafale dont elles ont besoin pour assurer leurs missions.

    La firme Dassault avait pensé tout d'abord développer cet appareil polyvalent dans un cadre européen, mais les divergences des besoins amènent la France à développer son projet seule dès 1985. La Grande-Bretagne, la RDA et l'Italie s'orientent en effet vers un chasseur de supériorité aérienne capable de s'opposer aux nouveaux appareils soviétiques, alors que les besoins français englobent la capacité d'opérer depuis un porte-avions. De plus, la firme Dassault pense a préserver les emplois en France et veut privilégier le motoriste national SNECMA, aujourd'hui SAFRAN. La firme Dassault crée le GIE ACE International en 1987 et impose le Rafale pour remplacer les F-8 Crusader et Super-Etendard face au F/A-18.
    4 juillet 1986 : Vol du Rafale A démonstrateur
    26 janvier 1988 : Lancement du programme pour 46,4 milliards d'euros.
    30 avril 1993 : disponibilité du radar RBE2.
    27 février 1990 : Disponibilité du moteur M-88.
    19 mai 1991 : Vol du Rafale C monoplace
    12 décembre 1991 : Vol du Rafale M marine
    30 avril 1993 : Vol du Rafale B biplace

    En 2004, le Rafale F1 est opérationnel dans la Marine. En 2006, le Rafale F2 est opérationnel dans l'armée de l'air. En 2008, le Rafale F3 est opérationnel dans l'armée.
    En 1991, la firme Thales et Thomson ont développé le radar PESA RBE2 pour le Rafale. Mais en 2004, 90 millions d'euros ont du être investis pour le développement et l'intégration d'une antenne à balayage électronique actif. En 2010, Thales double la portée du radar RBE2, grâce à la version AESA, indispensable pour utiliser le missiles à longue portée METEOR.
    En janvier 2014, la Défense française a accepté d'injecter un milliard d'euros pour développer le nouveau standard F3R de modernisation du Rafale. Dassault intégrera ainsi le nouveau missile air-air longue portée METEOR, développé par MBDA, et la norme OTAN STANAG 1760, pour le rendre interopérable au sein d'une coalition en suivant des procédures communes.

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    1. La loi de programmation aérienne s'était basée sur des prix de revient des années septante. Dans le programme, il n'avait pas été prévu que l'URSS disparaisse, que la furtivité des appareils devienne incontournable et que des radars AESA deviennent standard.

      La France est capable de produire un radar AESA mais le prix du Rafale a doublé, car dans le même temps, il a fallu l'adapter aux normes internationales (link16 et IFF). Résultat, le Rafale coûte horriblement cher aux peuples français, sans avoir de moteur performant, ni de casque de visée, ni de concentration de données.

      D'autres secteurs de l'armée française en pâtissent, alors que la famille Dassault s'enrichit sur le dos des peuples de France.

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  28. En 2016, 20mn.fr essayait d'être optimiste et titrait Pourquoi le Rafale, ancien avion maudit, se vend désormais comme des petits pains et suggerait que François Hollande était le meilleur superviseur de ventes d’armes que la France ait connu. Sous son mandat l’avion de combat omnirôle du multimilliardaire Serge Bloch a été vendu à 24 unités pour l’Egypte, 24 unités pour le Qatar et 36 unité pour l’Inde.

    - Rappelons que le programme RAFALE date des années 1970 et qu'il devait être européen.
    - Rappelons que la France a trahi ses partenaires en 1985 pour favoriser le juif Charles Bloch, ci-après Dassault.
    - Rappelons que le protoype Rafale vole en 1986 et le programme judéo-français est lancé en 1988.
    - Rappelons que le monoplace Rafale, puis sa version marine volent en 1991 et la version biplace en 1993.

    Le problème est que cet appareil est fabriqué exclusivement en France, que son moteur est fabriqué en France, que ses armes proviennent de France, que sont radar provient de France et que même son carburant provient de France. Cet appareil a été conçu pour les besoins autarciques de la France, ce qui est positif pour l'emploi et le maintien des capacités technologiques en France. Mais le Rafale subit plusieurs types de concurrences :

    - la concurrence française du Mirage 2000-5, bien plus rapide, qui ne reçut pourtant jamais le Radar AESA qu'il méritait.
    - la concurrence européeenne des anciens partenaires, qui développèrent des appareils plus adaptés, sinon plus performants.
    - la concurrence américaine ou russe, qui produisait des appareil plus compétitifs

    C'est pour cette raison que François Mitterand ne réussit jamais à exporter cet appareil omnirole taillé pour l'armée française. Michel Roccard le traitait d'ailleurs de désastre économique majeur.
    C'est pour cette raison que Jacques Chirac ne réussit jamais à exporter cet appareil omnirole taillé pour l'armée française. Une proximité malsaine avec Dassault l'obligea à continuer dans cette voie sans issue.
    C'est pour cette raison que Nicolas Sarkosy ne réussit jamais à exporter cet appareil omnirole taillé pour l'armée française.

    Mais François Hollande, a réussi à exporter 84 Rafale, soit 24 en Egypte, 24 au Qatar et 36 en Inde.

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    1. Vive la France !

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    2. "Dépenser 13 milliards pour la TSR est une aberration" et l'initiative "No Billag" est la seule possibilité d'éviter ce gaspillage de fonds publics.

      La radio-télévision publique est un élément vital de notre souveraineté, explique Alexis Pfefferlé, spécialiste du renseignement économique. En contrôlant la radio et la

      télévision, on peut gagner des élections ou en faire perdre, comme avec le cas du fonds Gripen.
      Partant de ce principe et en l'extrapolant, il ne devrait plus rester d'étrangers à la RTS, car c'est une infrastructure vitale à protéger. Dans notre confrontation quotidienne

      contre l'Union Européenne, l'armée devrait superviser les programmes de la RTS.
      Payer 13 milliards pour avoir une retransmission des émissions françaises est une honte de la part d'un pays civilisé. Dans notre pays, des immigrés français prennent la place des Suisses, des frontaliers français prennent la place des Suisses et des résidents français prennent la place des Suisses. C'est à eux qu'il faudrait faire payer la RTS.

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  29. Capacité et importance des appareils (aéronautiques) de combat dont les Forces aériennes doivent disposer

    A l’avenir, les exigences du service de police aérienne et du contrôle de l'espace en situation normale et en cas de tensions détermineront le choix du type d’avion de combat et le nombre d’appareils requis. La défense aérienne devrait pouvoir disposer d'une capacité lui permettant au moins pendant un court laps de temps de repousser une attaque contre la Conféldération et de contribuer efficacement à un programme de défense commun avec les pays limitrophes, à supposer que la Suisse opte pour cette alternative à la suite d’une attaque. Les Forces aériennes sont une composante de l'armée et doivent donc, en dernier ressort, pouvoir aussi contribuer aux opérations de défense contre une attaque armée. C’est pourquoi l’acquisition d’un nouvel appareil (aéronautique) de combat doit pouvoir également permettre de rétablir un minimum de capacités air-sol pour que les Forces aériennes puissent, en cas d'’attaque militaire, soutenir les autres armes en combattant des cibles au sol. Il est prévu que ces nouveaux avions de combat permettent de retrouver une capacité de reconnaissance minimale, si cela s’avère raisonnable et envisageable du point de vue technique et financier. Les 2 capacités (air-sol + reconnaissance) ne doivent déterminer ni le nombre, ni le coût des des nouveaux appareils (aéronautiques) de combat. De même, elles ne doivent pas non plus pénaliser les capacités air-air pures.

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    1. Le Rafale n'est pas furtif et coûte trop cher
      Le Rafale ne décolle pas verticalement et coûte trop cher
      Le Rafale n'utilise pas de carburant du commerce et coûte trop cher
      Le Rafale n'atteint pas Mach 2 et coûte trop cher

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  30. Le Lockheed Martin F-35 est un adversaire redoutable pour le Rafale ou l'Eurofighter, mais pas pour le JAS-35 Gripen E, qui coûte beaucoup moins cher. Tous deux sont monoréacteurs et offrent des capacités STOL. Bien sûr l'appareil américain offre la furtivité et le décollage vertical, mais pour un prix 2 fois supérieur. En outre le F-35 n'atteint pas les Mach 2.1 du Gripen ou les Mach 2.5 du Typhoon II.
    L'Eurofighter Typhoon à une excellente accélération, un excellent taux de montée, un excellent taux de roulis et atteint une vitesse de Mach 2.5. C'est l'appareil idéal pour seconder le Panavia Tornado à géométrie variable de pénétration et d'appui tactique.
    Alors que Dassault s'est opposé par le passé au Fiat G-91 européen, au Tornado européen, au Typhoon II européen, il clame aujourd'hui haut et fort que le F-35 n'est qu'une machine à détruire l'industrie européenne aéronautique de défense. Car la France a peur d'être incapable de construire un avion de chasse moderne. Cette idée parrait aujourd'hui incongrue, mais pourrait devenir une réalité à cause du F-35 américain de Lockheed Martin, qui pourrait enterrer tout successeur au Rafale français. Les Typhoon de supériorité aérienne sont en passe d'être épaulés par ces nouveaux appareils américains futifs et hypermaneouvrables. L'Italie et l'Angleterre ont déjà franchi le pas et l'Allemagne est sur le point de le faire. C'est pour cette raison que les Français prétendent que le F-35 est une machine à détruire l'industrie aéronautique militaire européenne, car les pays qui optent pour ce chasseur renoncent à terme à conserver les capacités de concevoir leur propre avion.
    Les pays, qui ont participé au Panavia Tornado et à l'Eurofighter Typhoon II sont séduits par le bombardier furtif. L'Italie et le Royaume-Uni ont d'ores et déjà pris commande du F-35, alors que l'Espagne et l'Allemagne font partie des prospects et risquent de les rejoindre avec la Turquie, l'Australie, les Pays-Bas, le Canada, la Norvège, le Danemark, le Japon, la Corée du Sud et Israël.
    Le F-35 est un avion de 5e génération, qui a comme le Gripen, dispose de la super-croisière, du vol à haute altitude, de la fusion de données et la super manœuvrabilité. Il compense sa vitesse limitée à Mach 1.5 par sa furtivité.
    Les pays, qui ont participé au Panavia Tornado et à l'Eurofighter Typhoon II sont séduits par le bombardier furtif. L'Italie et le Royaume-Uni ont d'ores et déjà pris commande du F-35, alors que l'Espagne et l'Allemagne font partie des prospects et risquent de les rejoindre avec la Turquie, l'Australie, les Pays-Bas, le Canada, la Norvège, le Danemark, le Japon, la Corée du Sud et Israël.
    Le F-35 est un avion de 5e génération, qui a comme le Gripen, dispose de la super-croisière, du vol à haute altitude, de la fusion de données et la super manœuvrabilité. Il compense sa vitesse limitée à Mach 1.5 par sa furtivité.

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    1. Le Lockheed Martin F-35 est un adversaire redoutable pour le Rafale ou l'Eurofighter, mais pas pour le JAS-35 Gripen E, qui coûte beaucoup moins cher. Tous deux sont monoréacteurs et offrent des capacités STOL. Bien sûr l'appareil américain offre la furtivité et le décollage vertical, mais pour un prix 2 fois supérieur. En outre le F-35 n'atteint pas les Mach 2.1 du Gripen ou les Mach 2.5 du Typhoon II.
      L'Eurofighter Typhoon à une excellente accélération, un excellent taux de montée, un excellent taux de roulis et atteint une vitesse de Mach 2.5. C'est l'appareil idéal pour seconder le Panavia Tornado à géométrie variable de pénétration et d'appui tactique.
      Alors que Dassault s'est opposé par le passé au Fiat G-91 européen, au Tornado européen, au Typhoon II européen, il clame aujourd'hui haut et fort que le F-35 n'est qu'une machine à détruire l'industrie européenne aéronautique de défense. Car la France a peur d'être incapable de construire un avion de chasse moderne. Cette idée parrait aujourd'hui incongrue, mais pourrait devenir une réalité à cause du F-35 américain de Lockheed Martin, qui pourrait enterrer tout successeur au Rafale français. Les Typhoon de supériorité aérienne sont en passe d'être épaulés par ces nouveaux appareils américains futifs et hypermaneouvrables. L'Italie et l'Angleterre ont déjà franchi le pas et l'Allemagne est sur le point de le faire. C'est pour cette raison que les Français prétendent que le F-35 est une machine à détruire l'industrie aéronautique militaire européenne, car les pays qui optent pour ce chasseur renoncent à terme à conserver les capacités de concevoir leur propre avion.
      Les pays, qui ont participé au Panavia Tornado et à l'Eurofighter Typhoon II sont séduits par le bombardier furtif. L'Italie et le Royaume-Uni ont d'ores et déjà pris commande du F-35, alors que l'Espagne et l'Allemagne font partie des prospects et risquent de les rejoindre avec la Turquie, l'Australie, les Pays-Bas, le Canada, la Norvège, le Danemark, le Japon, la Corée du Sud et Israël.
      Le F-35 est un avion de 5e génération, qui a comme le Gripen, dispose de la super-croisière, du vol à haute altitude, de la fusion de données et la super manœuvrabilité. Il compense sa vitesse limitée à Mach 1.5 par sa furtivité.
      Les pays, qui ont participé au Panavia Tornado et à l'Eurofighter Typhoon II sont séduits par le bombardier furtif. L'Italie et le Royaume-Uni ont d'ores et déjà pris commande du F-35, alors que l'Espagne et l'Allemagne font partie des prospects et risquent de les rejoindre avec la Turquie, l'Australie, les Pays-Bas, le Canada, la Norvège, le Danemark, le Japon, la Corée du Sud et Israël.
      Le F-35 est un avion de 5e génération, qui a comme le Gripen, dispose de la super-croisière, du vol à haute altitude, de la fusion de données et la super manœuvrabilité. Il compense sa vitesse limitée à Mach 1.5 par sa furtivité.

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    2. Le Rafale date de 30 ans et coûte trop cher
      Le Rafale n'a pas de Radar AESA performant et coûte trop cher
      Le Rafale n'a pas de supercruise et coûte trop cher
      Le Rafale n'est pas furtif et coûte trop cher
      Le Rafale n'atteint pas Mach 2 et coûte trop cher
      Le Rafale ne décolle pas verticalement et coûte trop cher

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  32. Chaque semaine qui passe on découvre une faiblesse plus ou moins importante du Rafale. Cet avion, le plus cher de l'histoire, s'avère être une énorme erreur stratégique et industrielle. Avoir voulu faire un avion unique pour remplacer tous les autres a été une erreur car c'est mettre en danger toute la force aérienne d'un pays.
    Ce qui me sidère c'est que la France doit sonner des Rafales aux pays du tiers-monde pour continuer de faire tourner ses chaînes de montage. Des montages financiers accroissent la dette de pays déjà lourdement déficitaires et prennent le contribuable français pour une vache à lait.
    Conçu il y a une quarantaine d'année, le Rafale tient encore la dragée haute à bien des appareils plus modernes, mais les améliorations continuelles apportées sur l'appareil ont fait quasiment doubler son prix de revient. Le Rafale a eu droit à un radar AESA maison, mais il ne décollera jamais verticalement, il ne sera jamais furtif et il n'atteindra jamais Mach II.
    Le problème du Rafale est qu'il a été développé en France et qu'il n'est pas compatible avec de l'armement OTAN, US ou européen. Cher et peu compatible, il répond néanmoins parfaitement aux besoins néo-colonialistes de l'armée française.

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    1. Ce qui me sidère c'est que la France doit sonner les pays du tiers-monde avec des Rafales...
      ou
      Ce qui me sidère c'est que la France doit quasimment donner des Rafales aux pays du tiers-monde pour continuer de faire tourner ses chaînes de montage.

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    2. Pourquoi payer le double pour avoir un biréacteur qui n'atteint pas Mach II même avec la PC
      Pourquoi payer le double pour avoir un biréacteur qui ne décolle même pas verticalement
      Pourquoi payer le double pour avoir un biréacteur qui n'est même pas furtif
      Pourquoi payer le double pour avoir un biréacteur qui n'utilise ni biocarburant ni carburant du commerce
      Pourquoi payer le double pour avoir un biréacteur qui décolle d'un porte-avion, mais pas de nos autoroutes
      Pourquoi payer le double pour avoir un biréacteur qui emporte une bombe nucléaire, mais pas les armes du Hornet, ni du Tiger.
      Pourquoi payer le double pour avoir un biréacteur qui emporte 15 tonnes de bombe, mais doit utiliser la PC pour décoller

      Le Gripen coûte moitié moins, car il a 1 seul réacteur comme le F-35
      Le Gripen coûte moitié moins et il atteint Mach II comme le Typhoon d'Airbus

      La Suisse ne va pas payer pour des nouveaux hangars, des nouvelle catapultes à vapeur, des nouveaux porte-avions, des nouvelles munitions, des nouveaux missiles, du nouveau carburant et des nouveaux missiles.

      Si on achète du matériel français, on doit racheter tout l'armement en plus des appareils, changer toute l'infrastructure en plus des appareils, on doit racheter tout les missiles en plus des appareils et on doit même racheter tout le kérozène en plus des appareils,

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    3. Le Typhoon d'Airbus est biréacteur, mais :
      Le Typhoon d'Airbus a le meilleur taux de montée, ce qui est bien pour la Suisse.
      Le Typhoon d'Airbus a le meilleur taux de roulis, ce qui est bien pour la Suisse.
      Le Typhoon d'Airbus a la meilleure accélation, ce qui est bien pour la Suisse.

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    4. Le Typhoon d'Airbus est cher, mais :
      Le Typhoon d'Airbus a le meilleur taux de montée, ce qui est bien pour la Suisse.
      Le Typhoon d'Airbus a le meilleur taux de roulis, ce qui est bien pour la Suisse.
      Le Typhoon d'Airbus a la meilleure accélation, ce qui est bien pour la Suisse.

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    5. Après avoir subi un lourd échec face à l’Allemagne au début de la Seconde Guerre mondiale, la France, dans les bilans du conflit, a été ramenée de façon artificielle non seulement parmi les vainqueurs, mais aussi au nombre des grandes puissances. Et depuis sept décennies, Paris s’efforce par tous les moyens de maintenir ce statut, faisant preuve d’ambitions immenses.

      Si la France est un des fondateurs de l’OTAN, de 1966 à 2009, elle ne faisait pourtant pas partie de la structure militaire de l’Alliance, manifestant un haut degré d’indépendance dans les affaires militaires et internationales. La France est une puissance nucléaire ; elle occupe, en quantité de charges explosives, la quatrième ou cinquième place dans le monde (après les États-Unis, la Russie, la Chine et, peut-être, Israël).


      Courrier de Russie

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  33. Le F-35 est l’avion le plus coûteux, il est furtif et extrêmement maniable. Pas spécialement rapide, il est capable de décoller verticalement, mais est-il adapté aux missions de l’armée de l’air suisse : police du ciel, attaque au sol et reconnaissance. L'Angleterre, l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas l'ont adopté et l'Allemagne risque également de s'en équiper pour remplacer ses Panavia Tornado à géomètrie variable.

    Le F-18 E/F est le successeur de notre F/A-18 C/D Hornet, mais sa taille d'un1/3 plus grande implique de revoir toutes les infrastructures. Les deux récents crashes dans les Alpes ont démontrés qu'un appareil biréacteur n'y a pas sa place.

    Le Gripen E, déjà commandé par le Brésil et la Suède reste la solution idéale. Capable d'emporter toutes les armes du F-5 et du F/A-18, il entre dans toutes les infrastructures. Capable de Mach II et doté d'un Radar AESA superperformant, il a été conçu spécifiquement pour lancer le missile METEOR, mais peut emporter tout les armements OTAN et US. Produit par un pays neutre et nordique comme la Suisse, il sera capable de décollage STOL à partir de nos autoroutes et il sera capables d'utiliser notre carburant commercial ou notre biocarburant.

    L’Eurofighter est un chasseur de supériorité aérienne et d'interdiction aérienne avec des capacités polyvalentes. Extrêmement puissant, c'est le chasseur qui possède le meilleure taux de montée, le meilleur taux de roulis et la meilleure accéleration. Il est utilisé par l’Allemagne, le Royaume-Uni, l’Italie , l’Espagne, pays auquels se sont join l'Autriche, Oman, le Koweït et l'Arabie saoudite. Il serait également un excellent candidat pour l'armée suisse.


    Par contre, le Rafale français n'est même pas à l'ordre du jour vu sa vetusté. Concu dans les années 80, le Rafale doit constamment être mis à jour. Son prix déjà surfait a explosé après que les ingénieurs français ait du lui adjoindre un radar AESA. Non furtif et limité à Mach 1.5, le chasseur français a besoin de catapultes à vapeur pour décoller et il ne peut passer le mur du son sans PC. La France s'est elle-même rendu compte des lacunes de ce chasseur du passé et tente de le transformer en bombardier nucléaire lourd. C'est un appareil arrivé au terme de son développement et comme les chaînes de production du Rafale menaçaient de s'arrêter en 2018, la France a été contrainte de donner quasiment gratuitement des chasseurs d'occasion aux islamistes du Qatar, de l'Inde et de l'Egypte.

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    1. Après une trentaine d'année de développement laborieux, le Rafale de Dassault n'a rencontré que des échecs et est devenu un sujet de plaisanterie. A l’image du Concorde, du TGV, ou de l’EPR nucléaire, le Rafale a été relégué au rang des grands programmes français prestigieux doté des technologies de pointe mais sans débouché commercial. Cela malgré le soutien de François Mitterand, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy. Seul François Hollande a réussit l'impossible de l'exporter dans 3 pays, mais à perte. pour obtenir ce resultat, la France l'a fait intervenir contre des terroristes en moto en Libye, au Mali, en Irak ou en Afghanistan.

      Le Rafale est le sixième et sans doute dernier avion de chasse conçu par le juif Dassault après l’Ouragan, le Mirage III, le Mirage IV, le Mirage F1 et le Mirage 2000. Le Rafale des années 1980 est issu d'une trahison de la France vis à vis des Européens, qui recherchaient un successeur au fantastique Panavia Tornado à géométrie variable.

      Les Français voulaient remplacer sept types d’avions de leur armée par un seul canard boîteux, qui devait être capable de supporter le décollage d'un porte-avion comme l'emport d'une ogive nucléaire. Officiellement lancé en1988 pour 320 appareils, le programme Rafale a été réduit à 180 appareils après 30 années d'errance.

      Le programme a respecté ses objectifs, mais n'a pas rencontré le succés escompté à l'exportation. Si bien qu'ajouté aux modifications et améliorations apportées, le prix de revient a pris l'ascenceur.

      Pourtant doté de la même voilure canard que le Typhoon et le Gripen, le Rafale n'a jamais disposé de bons moteurs, ni de furtivité, ni de décollage vertical.

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    2. Le Rafale IV de 2025 aura certainement un casque de visée, la Suisse n'a qu'a attendre 2025

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  34. En France, les Islamistes sont légion. Ils ont non seulement le droit d'établissement, mais ils peuvent se marier à des françaises et ils ont le droit de conduire des automobiles. On en voit même à la télévision.

    Le problème est que la loi trop permissive en France empêche de recenser exactement leur nombre.

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  35. Le Dassault Rafale français coûte 180'000.- /appareil, alors que le JAS-39 Gripen E dans sa version MS21 coûte la moitié soit 90'000.- /appareil

    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui n'atteint même pas Mach 2
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui ne décolle même pas sans PC
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui ne passe même pas le mur du son sans PC
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui ne décolle même pas de nos autoroutes

    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui ne dispose même pas de casque de visée
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui ne dispose même pas d'un radar AESA ouvrant sur 200°
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui ne dispose même pas de concentration de donnée et 3 canaux différents de communication

    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui n'est même pas opérable par une armée de milice
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui ne tire même pas les missiles du Tiger et du Hornet

    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui n'utilise pas de biocarburant.
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui n'utilise pas de carburant du commerce.

    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui lance des bombes atomiques.
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui lance 15 tonnes de bombes.
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui opère depuis un porte-avion.
    Le peuple suisse ne veut pas payer le double pour un avion qui utilise des catapultes à vapeur pour décoller.

    Pour cela, le peuple suisse possède le bombardier F/A-18 C/D Hornet, qui emporte des bombes, décolle d'un porte-avion, est biréacteur mais n'atteint pas Mach II.
    Justement, ce type d'appareil inadapté a subit 2 crashes dans les Alpes, car trop lourd et pas assez maniable.







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  36. Dans les années septante, les Européeens ressentirent le besoin non seulement d'un appareil à décollage vertical, mais aussi d'un appareil de pénétration à basse altitude et à haute vitesse. Le chasseur supersonique à décollage vertical est bien connu, puisqu'il s'agit du célèbre Hawker Harrier qui s'est illustré aux Faulkland. Le chasseur-bombardier d'appui tactique est moins connu, mais n'est pas moins formidable :

    Le Panavia Tornado est un avion de combat multi-rôles avec des ailes à géométrie variable qui constitue le première collaboration européenne vraiment fructueuse, car cette appareil a été produit à pratiquement 1 000 exemplaires. Développé conjointement par le Royaume-Uni, la République Fédérale d'Allemagne et l’Italie, le chasseur bombardier Panavia Tornado est capable de voler à Mach I à 60 mètres du sol ou à Mach 2.5 à haute haltitude grâce à sa voilure à géométrie variable. Biplace, biréacteur, il est entré en service dans les années 1980 dans la Luftwaffe, la Royal Air Force et l’Aeronautica Militare et a même été exporté vers l'Arabie saoudite.

    Capables de guerre électronique, de frappes aériennes, de reconnaissance ou bien encore de chasse, les Panavia Tornado ont commencé a être associés à un autre produit purement européen, l’Eurofighter Typhoon II. Pour compléter cette paire, l’Italie, l'Angleterre, mais aussi la Hollande, la Belgique et vraisemblablement l'Allemagne vont se doter de F-35 Lightning II furtifs et à décollage vertical.

    Comme les Etats-Unis, l'Europe disposera d'appareils à décollage vertical, d'appareils furtifs et d'appareils à géométrie variable, capables d'opérer depuis la terre ou depuis la mer.

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    1. Après avoir échoué produire un chasseur bombardier à géométrie variable et échoué à produire un chasseur supersonique à décollage vertical, la France décide pour des raisons budgétaires de développer un avion militaire capable de remplacer 7 type d'appareils de combat utilisé par les forces armées françaises.

      Or, à la fin des années 1970, la firme française Dassault Aviation produisait déjà un chasseur bombardier à voilure delta, le Mirage 2000, qui remplissait plusieurs tâches au sein de l'Armée de l'air et qui existait en plusieurs versions. Bien que cet avion ne fut pas arrivé au terme de ses développements, la France obligea Dassault de rejoindre le programme européen d'avion de combat pour des raisons de coûts. Développé avec l’Allemagne de l’Ouest, l'Angleterre, l’Espagne et l’Italie, ce programme est abandonné par la France en 1985, car elle veut privilégier ses constructeurs nationaux et développer un nouveau programme pour un avion biréacteur capable d'opérer depuis un porte-avion. Dassauld va donc partir du Mirage 4000 pour développer le Rafale.

      Pour répondre au cahier des charges, la firme française Dassault Aviation fait voler un prototype Rafale en 1986 et le programme débute en 1988. Le Rafale monoplace vole en 1991, ainsi que sa version navalisée, puis la version biplace apparaît en 1993. Le Rafale entre finalement en service dans la Marine nationale française en 2001, soit 15 ans après son premier vol. Comme l'Eurofighter Typhoon II et le JAS-39 Gripen, le Rafale est à aile delta, à plans canard, à commandes de vol électriques.
      Comme l'Eurofighter Typhoon II, le Dassault Rafale dispose de deux moteurs et est capable de délivrer un missile nucléaire. Du point de vue français, le chasseur-bombardier Rafale est une réussite technologique, même s'il ne dispose pas de la furtivité des chasseurs bombardiers américains F-22 Raptor et F-35. Mais le Rafale n'a pas la puissance du Typhoon européen, n'a pas le tx d'acceleration du Typhoon européen, n'a pas la vitesse du Typhoon européen et n'a pas la maniabilité d'un Typhoon européen.

      Mais la France lance la production du Rafale IV, qui sera compatible avec le Meteor, avec les armes de l'OTAN et disposera d'un radar AESA !






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    2. Robert le 11 septembre 2018 à 20:23

      Furtivité ..... Supermanoeuvrable ... Supercroisière .... Supervitesse
      F-22 .......... F-22 ............................. F-22 .................... F-22
      F/A-35 ....... F/A-35 ......................... F/A-35 ................. F/A-35
      Su-57 ........ Su-57 .......................... Su-57 .................. Su-57
      ................... Su-30 .
      ................... Su-35 .
      ................... Su-57 .
      ................... Typhoon II .................. Typhoon II ........... Typhoon II
      ................... JAS Gripen ................ JAS Gripen .......... JAS Gripen
      A force de vouloir tout faire, le chasseur polyvalent français ne fait rien de bien. Le chasseur français, beaucoup trop complexe, sacrifie la performance au profit de la versabilité. Sa vitesse est limitée à Mach 1.6, ses moteurs sont limité à 75 kN, son éventail d'arme est limité aux armes françaises. Vu son ancienneté, il n'est pas doté de HUD, ni de HOTAS, ni de IRST, ni de casque de visée. Son radar AESA produit en Allemagne n'est pas mobile, donc limité.
      Le Rafale, comme le F/A-18, est biréacteur, emporte beaucoup de bombes, décolle d'un porte-avion et ne va pas vite.
      Avant le Rafale, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur la géométrie variable et dotèrent le Mirage d'une simple voilure delta pour assurer une vitesse de Mach 2, mais munie de volets de bord d'attaque pour le pilotage.
      - les Américains exploitèrent la géométrie variable sur le F-14 Tomcat pendant une trentaine d'années,
      - les Européens exploitèrent la géométrie variable sur le Panavia Tornado pendant une qurantaine d'années,
      - les Russes exploitèrent la géométrie variable sur le Mig-23 pendant une qurantaine d'années.
      Avant le Rafale, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur le décollage vertical et dotèrent le Mirage de fusée et de moustaches pour diminuer la distance de décollage, mais munie de volets de bord d'attaque pour le pilotage. Cependant :
      - les Européens exploitèrent le décollage vertical sur le Hawker Harrier pendant une qurantaine d'années, puis passèrent au F/A-35,
      - les Américains exploitèrent le décollage vertical sur le Harrier, le V-22 Osprey et le F/A-35,
      - les Russes exploitèrent le décollage vertical sur le Yak-38
      Pour le Rafale, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur la furtivité, c'est à dire invisibilité aux radar ennemis. Cependant :
      - les Européens exploitèrent la furtivité sur le F-117, le B-2 et le F/A-35,
      - les Américains exploitèrent la furtivité sur le F-117, le B-2, le F-22 et le F/A-35,
      - les Russes exploitèrent la furtivité sur le Su-57.
      Devant la difficulté technique, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur la supercroisière, c'est à dire décollage sans PC et passage du mur du son sans PC. Les ingénieurs français choisirent la voie de la catapulote à vapeur, associée à un train avant capable de restituer l'énérgie cinétique
      Devant la difficulté technique, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur la vitesse bisonique
      Devant la difficulté technique, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur la super-manoevrabilité, par des ailerons suplémentaires ou une tuyère orientable.
      Devant la difficulté technique, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur la liaison de données tactique
      Devant la difficulté technique, les ingénieurs français de chez Dassault firent l'impasse sur la fusion de données
      Devant la difficulté technique, les ingénieurs français de chez Dassault firent tout d'abord l'impasse tout sur le radar AESA, mais rencontrèrent par la suite de nombreuses difficultés pour l'intégrer sur le Rafale, au niveau de la répartition des masses notamment.

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  37. Dassault n'a jamais greffé de voilure à géométrie variable sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, mais Dassault a greffé une voilure en flèche sur sa cellule de Mirage pour créer le Mirage F1 de pénétration.

    Dassault n'a jamais greffé de décollage vertical sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, mais Dassault a greffé une voilure en flèche sur sa cellule de Mirage pour créer l'Etendard navalisé.

    Dassault est resté fidèle à la voilure delta sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, car c'était la meilleur manière d'atteindre des vitesse élevée, au détriment de la maniabilité.

    Le Rafale avait été développé à partir du Mirage 4000 à voilure delta, cependant.
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour améliorer sa stabilité à faible vitesse et pouvoir atterrir sur un porte-avion
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour améliorer son assiette de vol à faible vitesse et pouvoir faire de l'appui sol.
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour abaisser sa vitesse d'atterrissage et pouvoir atterrir sur un porte-avion
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour abaisser sa vitesse de décollage et pouvoir décoller d'un porte-avion

    Dassault n'a jamais greffé de furtivité sur sa cellule de Rafale, elle même dérivée de la cellule du Mirage. Dassault a placé ses ailerons canards très proche des ailes principale en les utilisant comme équilibreur, pour garder le comportement d'une voilure delta.

    Le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon II utilisent des vrais canards, porteurs, qui leur permettent une meilleure maniabilité, un décollage plus court, un atterrissage plus court grace à la fonction aerofrein et une meilleure maniabilité en vol.

    Mais tout ceci risque de changer en 2025, car Dassault pense développer le Rafale IV :

    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra dialoguer avec les troupes au sol
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un nouveau système radio
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra dialoguer avec les satellites
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d’une architecture en couche.
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un viseur de casque
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un radar RBE2 AESA amélioré
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un décodeur IFF optimisé
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'une optronique secteur frontal (OSF) profondément revue
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté le système de guerre électronique Spectra évolué
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté de capacités de leurrage électromagnétique et infrarouge accrues
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra lancer le Meteor
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra utiliser l’AASM
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV aura un moteur M-88 amélioré.

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    1. Après le refus populaire d'acheter 22 avions de combat JAS-39 Gripen E/F pour remplacer les 54 F-5 E/F Tiger II de l'armée, une commission d’experts a été chargée d’évaluer les besoins de la Confédération en matière de défense aérienne.

      Comme notre armée devra remplacer au cours de la prochaine décennie, non seulement ses F-5 Tiger mais aussi les 30 F/A-18 C/D Hornet, les experts ont présenté quatre options différentes :

      - 5 milliards pour 20 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 15.000 km2 avec modernisation des F/A-18 Hornet.

      - 8.5 milliards pour 30 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 45.000 km2 et abandon des F/A-18.

      - 9 milliards pour 40 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant la surface du plateau suisse.

      - 18 milliards pour 70 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 45.000 km2

      Pour assurer une présence permanente dans les airs d'au moins quatre avions pendant au moins quatre semaines, 40 appareils sont nécessaires. 8 milliards sont à disposition et le nombre d’avions nécessaires era inversement proportionel à la puissance de la défense sol-air.

      Cinq types d'appareils et trois type de DCA sont en lice, mais Avions et défense sol-air ne doivent pas forcément être acquis auprès du même pays ou de pays différents.
      En terme de coût et d'efficacité, l'appareil choisi par le Conseil Fédéral est logiquement le JAS-39 Gripen E

      - Cet appareil est le plus moderne et le plus compatible avec notre armée.
      - Cet appareil atteint Mach II.
      - Cet appareil est doté du meilleur radar AESA, ouvrant de 100° à gauche et à droite.

      A priori, le seul appareil qui ne convient pas est le Rafale Français :

      - Le Rafale français est un biréacteur lent, alors que non avons besoin d'un monoréacteur rapide.
      - Le Rafale français peut atterrir sur un porte-avion alors que la Confédération n'a pas de porte-avion.
      - Le Rafale français ne peut emporter des bombes atomiques alors que la Confédération n'a pas d'ogive nucléaire.
      - Le Rafale français ne dispose pas d'un casque de visée.
      - Le Rafale français ne peut faire de supercruise.
      - Le Rafale français ne peut tirer le Meteor.
      - Le Rafale français ne peut utiliser les cavernes alpines du Tiger ou du Hornet.
      - Le Rafale français dépasse le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement.
      - Le Rafale français ne décolle pas sans PC et ne vole pas en supersonique sans PC.
      - Le Rafale français est incapable de lancer des missiles des Tiger ou des Hornet.
      - Le Rafale français ne décolle pas depuis nos autoroutes.
      - Le Rafale français n'est pas opérable par une armée de milice.
      - Le Rafale français ne dispose pas d'un aussi bon radar que le JAS-39 Gripen E.
      - Le Rafale français n'est pas assez manoeuvrable pour le combat tournoyant en vallée alpine.
      - Le Rafale français ne peut brûler du biocarburant produit localement.

      Le Rafale français est légérement en retrait du F/A-18 Hornet dont dispose déjà l'armée fédérale.

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  38. Dans l'armée française, le taux de disponibilité du Rafale atteint 49.3 %, ce qui, comparé aux 22.5 % de l'avion de transport C-130, les 25.6 % de l'hélicoptère de combat Tigre, le 31.7 % des Caracal de l'armée de terre ou les 26.7 % des Lynx est supportable.

    Or le coût d'une heure de vol en Caracal a augmenté de 81 % à 34.000 euros de 2012 à 2016, le coût de l'heure de C-130 a augmenté de 150 % à 15.000 euros durant la même période.

    Comme la France utilise les Rafale intensivement dans le OPEX, ils nécessitent 12 mécaniciens par avion et le coût de maintenance emp^che l'achat de nouveaux avions.





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    1. A la conférence de Turin, la France préfère un avion à tout-faire plutôt qu'un chasseur d'exception.

      Devant le succès du Panavia Tornado à géométrie variable, l'Angleterre, l’Allemagne et l’Italie développèrent en 1985 un appareil de supériorité aérienne basé sur le même concept. Le Panavia Tornado à géométrie variable était capable d'atteindre Mach 2.4 en altitude, comme de voler à près de Mach 1 au raz du sol pour l’attaque au sol. L'Eurofighter Typhoon à voilure canard serait capable dépasser Mach II et jouirait d'une maniabilité exceptionnelle.

      Or les Français, qui avaient préféré suivre une voie solitaire, visaient égoïstement un chasseur-bombardier offrant une polyvalence élargie et capable de remplacer 7 types d'appareils de provenance diverses. En 1986, la France fait voler le Rafale A, équipé de f-404 américains, 8 ans après le premier vol du Mirage 2000. En 1989, le Rafale doit se rabattre sur des M-88 français. En 1991, le Rafale C et le Rafale M prennent leur envol. En 2001, le Rafale M F1 entre en service, 15 année après leur premier vol. En 2006, le Rafale C F2 entre en service, 20 année après son premier vol. En 2008, tous les Rafale sont livrés au standart F3, puis au standard F3R en 2018 et au standard F4 en 2025.

      En privilégiant le juif Dassault, il a fallu une trentaine d'année au Rafale pour remplir un partie de ses objectifs initiaux. Depuis sa mise en service de 2001, le Rafale français a déjà remplacé le Crusader américain, le Mirage IV français, le Jaguar anglais, le Mirage F1 français et le Super-Etendard français. Mais le Rafale français n'a pas remplacé l'AlphaJet allemand et le Mirage 2000, qui offrent une belle résistance. La concurrence développant sans cesse de nouveau concepts, le Rafale doit sans cesse être mis à jour, alors que l'Eurofighter Typhoon forme un parfait binôme avec le Panavia Tornado dans le reste de l'Europe.

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    2. La technologie franco-française dur Rafale est la principale cause des échecs du bombardier Rafale et la géopolitique n'est pas en cause. Car les spécifications du marché éliminent d'emblée un appareil "omnirôle", prévu pour les besoins français. Pour les marchés visés par le Rafale, seuls comptent la compatibilité, les transferts de technologie, le prix de l'avion et le coût de l'entretien. Or, c'est justement dans ces domaines que pêche le bombardier français.

      Tous les pays veulent des appareils de combat pour surveiller leurs frontières, avec la meilleur vitesse de pointe, le meilleur radar, mais au meilleur prix tant à l'achat qu'à l'exploitation.

      L'appareil présenté par Dassault se veut complexe et fragile, mais il n'atteint pas Mach 2, ne décolle pas verticalement et n'est pas furtif. Or, pendant cinquante ans, Dassault avait exporté avec succès les chasseurs Mystère et Mirage, des avions simples et performants. Mais maintenant, ce rôle d'outsider est rempli par le JAS-39 Gripen E et le chasseur français a du attendre vingt-sept ans sa première exportation.

      Déconnectés des besoins du marché, les Français avaient abandonné le performant Mirage 2000, pour créer un clone du Typhoon II européen, mais avec les capacités du F/A-18 américain. Obnubilés par leur réussite, les Français ont perdu le sens le plus élémentaire de l'analyse des besoins du client, en offrant un appareil incompatible avec l'Europe et avec l'Amérique.

      L'abandon de la vitesse de Mach 2, l'abandon de la furtivité, l'abandon du casque de visée, l'abandon de l'intégration de données, l'abandon de la compatibilité européenne on rendu le bombardier Rafale obsolète avant même sa sortie sur le marché. Comme le Concorde, comme le France, comme l'EPR ou le TGV, le Dassault Rafale n'est pas mauvais, mais n'intéresse personne hormis des dictateurs arabes.

      Mais reconnaissons que si les Français avaient été incapables de développer la voilure à géométrie variable ou la décollage vertical, ils ont réussi à intégrer un radar AESA de leur cru sur leur bombardier biréacteur, sans trop modifier son assiette de vol.

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    3. Exceptionnels français. car ils font exception dans tout


      Ces exceptionnels français ont développé la tension 110V pour ne pas adopter la tension standard européenne 220 V.

      Ces exceptionnels français ont développé le clavier AZERTI pour ne pas adopter le clavier standard européen QWERTZ.

      Ces exceptionnels français ont développé la norme MINITEL pour ne pas adopter la norme standard européenne INTERNET.

      Ces exceptionnels français ont développé la norme SECAM pour ne pas adopter la norme standard européenne PAL.

      Ces exceptionnels français ont développé la tension 110V pour ne pas adopter la tension standard européenne 220 V.

      Ces exceptionnels français ont développé le chasseur bombardier MIRAGE pour ne pas adopter l'avion standard européen TORNADO.

      Ces exceptionnels français ont développé le chasseur bombardier RAFAL pour ne pas adopter l'avion standard européen TYPHOON.

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  39. Les journalistes de la S décrivent la Confédération helvétique comme un bien étrange pays, car elle interdit la construction de minarets, mais pas celle des cathédrales. Elle est protestante, mais elle envoie néanmoins des troupes pour défendre le Pape.

    Les journalistes de la RTS applaudissent qu'elle refuse les parachutes dorés aux dirigeants d'entreprise, mais ne comprennent pas qu'elle essaie de protéger sa population contre les travailleurs européens. Les journalistes de la TSR reviennent toujours sur le fait que des mesures de protection contre la pression migratoire ont été inscrites dans la Constitution. Par contre, les journalistes de la TSR ne fustigent pas la reconnaissance des diplômes étrangers, ni le regroupement familial, car ils ne comprennent ni l'utilité de l'apprentissage, ni l'utilité de la démocratie directe, ni l'utilité du multilinguisme.

    Les journalistes de la RTS attribuent la brillante propérité helvète à son taux d'étrangers extraordinairement élevé et pas à l'excellence de ses écoles. Les journalistes de la TSR ne réalisent toujours pas que comme la Confédération helvétique n'a jamais eu de roi ni d'empereur, elle ne s'est jamais soumise à des juges étrangers et est restée démocratique. Les journalistes de la TSR ne réalisent toujours pas que la Confédération helvétique n'a jamais jamais asservi des populations en Afrique, en Inde ou en Amérique et qu'elle a toujours du composer avec ses maigres ressources pour s'opposer aux diktats de l'étranger. Comme la Confédération ne fait pas partie de l'Union européenne, les journalistes de la TSR la considèrent comme un pays complétement à part au centre de l'Europe, car elle a réussi à allier le meilleur de la vieille Europe traditionaliste avec l'Europe mondialiste de demain.

    Les journalistes de la RTS ne s'étonnent pas que les 40 tonnes déferlent sur le pays, alors que le peuple a voté leur bannissement du territoire. Les journalistes de la RTS ne s'étonnent pas que le trafic de transit pollue les Alpes, alors que le peuple a voté son interdiction. Les journalistes de la RTS ne s'étonnent pas que les européens prennent les place de travail des Suisses, alors que le peuple a clairement signifié la préférence nationale.

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  40. Révolutionnaire dans sa conception, le Rafale était en avance sur son temps dans les années quatre-vingt. Bénéficiant des avancées technique du projet europen Eurofighter, il n'a cependant pas pu être doté de moteurs Rolls-Royce. Composé à 40% d'aluminium et capable d'emporter son propre poids en armement divers, le Rafale ne possède pas une
    vitesse suffisante pour l'interception d'avion à réaction, car il ne peut pas atteindre Mach 2. Ceci vient du fait, que Dassault a attribué plus d'importance à la capacité de bombardement et à la capacité de décoller d'un porte-avion qu'au rôle d'interception.

    Conçu dans les années soixante-dix, le Rafale ne possède pas un radar conçu pour les paysage montagneux. Son radar PESA a bien été remplacé par un radar AESA, mais dont sa portée est notoirement insuffisante. Il faut dire que ce radar a été conçu en France, dans un concept de guerre froide et qu'il n'est pas adapté à la furtivité, ni au lancement du METEOR.

    Conçu dans les années soixante-dix, le Rafale ne possède pas un FADEC conçu pour la supercruise ou le biocarburant, car à cette époque lointaine, on ne parlait pas encore d'écologie. Pour lancer son appareil l'armée française utilise d'anciennes catapultes à vapeur américaine avec la postcombustion ouverte à fond.

    Conçu dans les années soixante-dix, le Rafale n'est volontairement pas compatible avec les armes de l'OTAN ou de la Russie, car il doit impérativement employer du matériel d'origine française, pour soutenir l'industrie.

    Conçu dans les années soixante-dix, le Rafale a rencontré de réelles difficultés à l'exportation pendant trente ans. Ces dificultés proviennent que la conception est uniquement française et que la fabrication du Rafale ne fait intervenir que des sous-traitants français. Néanmoins le gouvernement français a réussi le tour de force de le placer dans certains pays de moindre importance comme le Qatar, l'Inde ou l'Égypte.

    Pour les années 2020, le gouvernement français a pris conscience du retard technologique accumulé par le Rafale et a débloqué un crédit de 1.9 milliard pour faire évoluer le chasseur-bombardier vers sa version IV. Ce nouveau projet s'intitule Neuron, que la France aimerait bien développer avec l'Allemagne pour profiter des avancées technologique de son l'Airbus Typhoon. Ce crédit va s'ajouter à la dette de 2'300 milliards que possède déjà la France et après avoir quitté le projet européen en 1986, la France espère s'arrimer à nouveau au navire européen.

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