lundi 5 janvier 2015

Nouvel appareil de combat (NAC): Choix politique plutôt que logique

  Pour comprendre le résultat désastreux des votations de mai 2014, il faut mentionner l'efficacité de la campagne de désinformation organisée autour du JAS-39 Gripen E. En effet certains opposants à la Suisse avait même prétendus qu'il fallait acheter le JAS-39 Gripen E pour punir l'armée, estimant stupidement qu'il était inférieur à l’Eurofighter, au Hornet ou au Rafale.


 Cependant, manipulées par l'étranger, ces personnes mal-informées avaient osé parler d'un jet en kit, car elles croyaient naïvement qu'il était moins performant et qu'il tenait moins longtemps en l’air. Comme il coûtait moins cher que ses concurrents, polluait moins que ces rivaux et générait moins de décibels que d’autres appareils similaires, même les opposants à l'armée estimaient que le SuperGripen du futur allait être une punition pour les Forces aériennes.

 Or ces personnes mal-intentionnées n'ont pas tenu compte du radar supérieur, de la maniabilité supérieure, de la vitesse de pointe supérieure, de l'intégration de données supérieure ou de la compatibilité supérieure avec notre armée. Cependant, pourr éviter l'achat du Lockheed Martin F-35 américain, successeur naturel du F/A-18, les opposants à l’acquisition du JAS-39 E suédois aurait du réfléchir avant de priver l’armée de ce qu'ils avaient appelé un nouveau joujou.

 Le peuple a en effet dit plusieurs fois dans les urnes qu’il tenait à pérenniser une armée et une industrie de l’armement. Comme les forces aériennes font partie intégrante de notre défense, la Suisse devra de toute manière, racheter un avion. Or il ne restera à l'horizon 2020 que le F-35 pour remplacer les F-5 Tiger achetés en 1965 et liquidés en 2015.

 Un achat du jet suédois nous aurait dispensé de devoir recommencer une procédure d’achat qui n'aboutira que dans cinq ou dix ans, pour nous proposer un appareil plus coûteux et moins performant. Le dilemme des opposants était donc de dépenser un peu tout de suite ou prendre le risque de devoir dépenser une fortune plus tard. Cependant, la communication désastreuse de l'armée, le conseiller fédéral UDC attaqué sur tout les fronts, les contre-vérités des socialistes et les blagues douteuses des écologistes ont réussi à mener la Confédération dans une impasse dangereuse. Malgré le consensus unanime des Chambres et du Conseil Fédéral, cette votation a divisé la population en bons et en mauvais Suisses.

 L'affaire du détournement sur Cointrin avait pourtant montré l'urgence d’instaurer une police aérienne permanente à laquelle le Gripen E était indispensable. Or, la défense nocturne du ciel suisse est le maillon faible de notre politique de sécurité. Après avoir mis en place le système de radars FLORAKO en 2003, les autorités suisses ont suspendu le dossier pendant dix ans, à cause des coupes budétaires imposées à l'armée. Alors que nos 32 F/A-18 Hornet, appuyés par 22 JAS-39 Gripen E, auraient parfaitement conservés leur fonctionnalité jusqu'en 2040, c'est maintenant en 2020 déjà que le problème du remplacement va se manifester.

 Pour un petit pays comme la Suisse, sans colonies et sans bombe atomique, il aurait fallu dire oui au remplacement des 52 F-5 E/F Tiger II et acheter le modèle le moins coûteux, le moins tape-à-l’œil, mais le plus rapide, le plus efficace et et le plus utile grâce à son radar surpuissant. Le Gripen E, est plus rapide que les Rafale, Hornet et autres F-35. Son mode SuperCruise surclasse tant Hornet que F-35 et son rayon d'action suffit parfaitement au territoire helvétique. Du point du vue technique, le radar AESA du Gripen E ouvre sur 200°contre 140° à la concurrence, l’avionique est la même que celle du F-35 et du futur Sukhoi T-50 russe. L’électronique est également la plus rapide pour analyser et répondre aux menaces.

 Il était donc aberrant de dire que le chasseur polyvalent était inférieur aux autres. Il n'y a pas de bons ni de mauvais avions, mais des avions adaptés aux besoins géostratégiques d'un pays. La Suisse neutre et indépendante n'a aucun besoin d'aller déposer une ogive nucléaire à l'autre bout du globe, mais doit disposer d'un avion qui voit loin et dispose d'une excellente architecture électronique. C'est le cas avec l'avion suédois, le Brésil l'a également choisi et d'autres s'y intéressent.



 Curieusement, les anti-Gripen nous ont présenté le F/A-18, comme modèle à suivre, alors qu'il s'y étaient opposés dans les années 90. Ces mêmes anti-Gripen nous vantent le Rafale à tout bout de champ, alors qu'ils s'y seraient opposés s'il avait été choisi. Jamais une campagne aussi entachée de malhonnêtetés de la part de la mafia anti-armée n'aura été aussi évidente.

 Les connexions de Philipp Müller avec le lobby pro-Rafale, les motivations tout aussi intéressées de Thomas Hurter, les avis partiaux de Gerald Levrat et les paroles sentencieuses de Pascal Couchepin auraient du prévenir la population d'un complot pro-français.

 Les gauchistes objectent que les paysans vivent d'une perfusion étatique qui nous coûte plus de 3 milliards en aides et en paiements directs chaque année, soit une flotte de Gripen. Pourtant, un simple contrôle aux frontières empêcherait la norme "Cassis de Dijon" imposée par l'UE de fausser la concurrence.

 Les Altermondialistes ne réalisent pas que le Tiers-Monde nous coûte également plus de 3 milliards par année, soit une flotte de Gripen, sans aucune contre-partie, alors que les retraités, les handicapés et le chômeurs peinent à nouer les deux bouts en Suisse.
OUI a NOBILLAG le 4 mars 2018

  
 Devant les manipulations politiques orchestrées depuis l'étranger,
 Exigeons de revoter sur le Gripen !


Source : Internet (page actualisée le 05/01/2015)

73 commentaires:

  1. Après dix ans d'analyses approfondies, le socialiste catholique Levrat veut relancer une nouvelle analyse pour remplacer les F-5 E/F Tiger II en espérant sans doute arriver à des conclusions différentes que les spécialistes de la question.

    Maintenant que le crédit est refusé, il est impossible de trouver rapidement un consensus pour un autre type d’avion, car un autre referendum sera à nouveau lancé par ceux qui se réjouissent de toute cette incertitude affaiblissant notre défense et notre pays. Le but des socialistes, des gauchistes et des écologistes est de faire disparaître la Suisse à terme.

    Vraiment, il aurait été plus que raisonnable de laisser de côté irritations, hésitations et autres sentiments : ça aurait fait preuve de sens politique, de responsabilité que de donner le feu vert au JAS-39 E SuperGripen.

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    1. Les socialistes, les écologistes, les féministes et le genevois ont traité le JAS-39 Gripen d'avion en papier, car il voulaient les milliards de l'armée pour leur canton. Les gauchistes genevois qui vivent au dessus de leurs moyens désirent encore plus de salles de spectacles inutiles, d'autoroutes inutiles, de ponts autoroutiers inutiles et des tunnels sous les Alpes ou les lacs inutiles. Le canton de Genève représente un véritable danger pour la Suisse, car sa dette s'apparente à celle d'un Etat.

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    2. La sécurité, la liberté et l’indépendance sont les fondements qui ont couronné de succès la Condédération Helvétique.
      Il est de la responsabilité du peuple suisse de préserver et de protéger ces valeurs pour les transmettre aux futures générations.
      La sécurité est une valeur ne s’acquière pas gratuitement, au même titre qu’une assurance-maladie ou une assurance responsabilité civile.
      Les utopistes qui qualifient les investissements pour la sécurité du pays de gaspillage d’argent public ne réalisent pas que le bien-être économique et social, dont nous disposons, dépend essentiellement de la sécurité intérieure et extérieure.
      Les anti-militaristes prétendent faussemnt que l'armée reçoit de plus en plus d'argent, alors que le budget de l'armée a été systématiquement réduit au cours des 15 dernières années.
      Cependant, notre armée doit accomplir des missions toujours plus diverses et variées avec des moyens financiers de plus en plus limités.
      Des milliards sont dépensés annuellement pour soutenir l'Unité de compte européenne, alors que l'AVS de nos concitoyens n'est même plus assurée.
      Des milliards sont dépensés annuellement pour financer des étudiants étrangers, alors que le chômage guette les étudiants suisses.
      Des milliards sont dépensés annuellement dans des programmes d'aide au Tiers-Monde, alors que les invalides suisses se retrouvent à l'Aide Sociale et sont stigmatisés.

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    3. Si le Franc suisse était en difficulté, il est fort à douter que l'UE essaie de le sauver à coups de milliards.

      En voyant l’irresponsabilité des pays membres de l'UE, on peut douter d'une prochaine reprise. Les pays de l'Union Européenne veulent des subventions, mais ne veulent pas les payer.

      L'Union Européenne et l'OTAN attaquent la Russie sur ses frontières, comme au bon vieux temps de la guerre froide.

      L'Union Européenne se comporte comme une organisation fascistoïde en attaquant les petits pays dans l'éducation.

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    4. Convoitants les milliards de l'armée pour leur canton, les socialistes, les écologistes, les féministes et les Genevois ont traité le JAS-39 Gripen E d'avion en papier, car il voulaient les milliards de l'armée pour leur canton. Avec la RTS, c'est exactement le même schéma qui se reproduit, toute cette clique de gens inutile essaie de conserver ses privilèges moyenâgeux. Ces gauchistes genevois, qui vivent au dessus de leurs moyens, veulent les millions de la BNS pour construire inutilement encore plus de salles de spectacles, d'autoroutes, de ponts autoroutiers, de tunnels sous les Alpes ou le lac.

      Disposant de d'atout comme le CERN, l'ONU ou Cointrin, le canton de Genève possède le plus fort taux d'étrangers et de chômeurs de Suisse. Le canton de Genève représente un véritable danger systèmique pour la Suisse, car sa dette s'apparente à celle d'un Etat. De plus ce canton est indéfendable du point de vue militaire. La Confédération leur construit tout de même le CEVA, mais le canton de Genève aspirent à encore plus ....

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    5. Alors que l'AVS est menacée, les Genevois veulent des milliards pour la RTS.
      Alors que le chômage et la précarité n'ont jamais été si élevée, les Genevois construisent le CEVA pour faire venir toujours plus d'étrangers.

      Si seulement la RTS arrêtait de parler de l'Union Européenne et du Pape, elle serait utile.

      La RTS critique le président Trump, qui a été élu et qui a réussi à relancer l'économie de son pays.
      La RTS critique le président Poutine, qui a été élu et qui a réussit à relancer l'économie de son pays.

      La RTS ne critique pas Genève, qui est un gouffre à milliard. La Confédération devrait mettre ce canton sous tutelle.
      La RTS ne critique pas Junker, qui est le nouvel Hitler. Il veut la mort de la Suisse et une entrevue nous coûte 1.3 milliard. Les Genevois devraient payer ce milliard avec la plus-value qu'il aurait reçu de la Banque Nationale.

      EN TOUT CAS, IL FAUT VOTER OUI à NO-BILLAG

      Non aux milliards pour la RTS
      Non aux milliards pour les JO
      Non aux milliards pour Junker
      Non aux milliards pour les étrangers
      Non aux milliards pour les frontaliers

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  2. Les adversaires de l’armée avaient clairement prétendu que le JAS-39 Gripen E n'était pas le bon avion, car chaque fois qu’il a fallu renouveler la flotte aérienne suisse, une telle opposition s'était manifestée.

    Conséquemment, l'individu Veya s'était fait relativement discret sur les aspects technologiques qu'il ne maîtrisait pas pour se contenter d'arguer que le JAS-39 Gripen E n'était qu'un "prototype". Cet argument, emprunté aux référendaires, selon lequel le Gripen n'était qu'un "avion de papier", qui n'avait "pas encore volé une seule minute", faisait tout de même abstraction du fait qu'il s'agissait de la mise à jour d'un modèle totalement fonctionnel depuis... 1988.

    Ce débat infantile n'offrait aucun débouché, car le Gripen E est une variante du JAS-39 Gripen qui implémente les derniers progrès en matière d'avionique militaire. Son radar AESA par exemple, dépasse de loin ce que sont capables de faire les Français ou les Allemands. Si l'avionneur suédois Saab AB avait proposé sa version A, de 1996, les opposants auraient pu crier à l'obsolescence. Mais faire croire en 2014 que l'ultime version d'un modèle en service n'existait pas et n'avait encore jamais volé se trouvait bien dans le registre d'une campagne politique. D'autant plus que l'incroyable modularité de l'offre est l'une des particularités de Saab, qui taille ses avions à la demande du client, plutôt que d'imposer un modèle fixe dont les "helvétisations" avaient coûté une fortune dans le cas du Mirage français. Quand on sait que l'avion ne doit pas être livré avant 2018, l'on se demande bien pourquoi la gauche tient absolument à voler sur une version de 2014..? Quand un constructeur automobile sort la deuxième série d'un modèle qui a rencontré le succès, il ne vient à l'idée de personne de parler de voiture qui n'aurait "jamais roulé"; simple question de bon sens.

    L'individu Veya sous-entendait encore que notre pays aurait été le premier à voler sur ce "prototype", ce qui ne n'aurait pas été sans risque et "nous aurait valu d’essuyer les premiers plâtres". C'était négliger que l’Afrique du Sud, la République tchèque, la Hongrie et la Thaïlande utilisaient déjà les versions les plus récentes, que le Brésil exploitera les derniers NG et que la Suède engagera 60 exemplaires de la version E dès 2018... Quant à l'affirmation du journaliste selon laquelle la dernière mouture de Saab "n’enthousiasme pas les pilotes", on ne sait pas d'où elle sort. Elle paraît d'ailleurs fortement sujette à caution tant l'avionneur suédois abreuve son monde d'avis dithyrambiques de pilotes d'essai issus de la très neutre Helvétie. Les référendaires n'ont su trouver qu'un seul militaire publiquement négatif à l'endroit du Gripen, Urs W. Honegger, capitaine d'infanterie à la retraite.

    Mais ce n'est pas cela, fondamentalement, qui avait sembler gêner l'individu Veya, lequel avait employé encore tout un paragraphe à reprocher au Conseiller Fédéral Maurer d'avoir voulu parer aux arguments traditionnels de ses opposants en cherchant à faire des économies, "un peu comme l’automobiliste qui rêve d’une nouvelle voiture mais achète finalement un modèle plus économique pour ne pas devoir justifier son choix à son épouse".

    Le peuple suisse n'aurait pas du céder totalement à un argument émanant d'un courant remettant en cause jusqu'au principe même de défense nationale et qui se fend d'un reproche aux autorités de ne pas y avoir consacré assez de moyens. Rétrospectivement la victoire des référendaires a dépendu beaucoup de la facilité avec laquelle ceux-ci semblaient s'être affranchis de la plus élémentaire notion d'honnêteté intellectuelle.

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    1. Les journalistes de la RTS ne font plus leur travail et perdent leur objectivité. En effet, les journalistes sont tous issus de filières littéraire et imposent une sorte de pensée unique en Suisse.

      Or ces journalistes sont payés par le peuple suisse via la redevance obligatoire de 450.- par année. ILS DEVRAIENT DONC FAIRE PREUVE D'IMPARTIALITE et véritablement informer les citoyens.

      Le Conseil Fédéral a reconnu que détenir l'information était un enjeu stratégique, c'est pourquoi à mon sens, elle devrait être gérée par l'armée et non pas par des amateurs restés fidèles aux dogmes des années septante. Utilisant une méthode du KGB et de la CIA, la RTS fabrique les opinions selon certaines directives. L'ingénierie sociale est une pratique utilisée depuis plus d’un siècle et aujourd'hui des gouvernements démocratiques l’appliquent dans le but d'obtenir des changements d’opinion radicaux.

      Ce processus mis en œuvre simultanément sur plusieurs médias, radio, cinéma, télévision, écoles, universités uniformise la pensée populaire. Les journalistes RTS en sont les acteurs, mais ces idiots utiles seront, avec le reste du peuple, victimes du nivellement et de la déconstruction systématique de nos valeurs. Ces journalistes préparent un futur misérable pour les enfants de la patrie, car leur endoctrinement a été bien plus intensif durant leurs études supérieures. Ils ont passé par un broyeur d’idées redoutablement efficace et ont été formatés à la pensée unique.

      Ces journalistes sont donc sincères lorsqu’ils nous matraquent quotidiennement avec leur idéologie altermondialiste socialisante. Mais, ils n’ont plus comme but la quête de l’objectivité, ou la vérification des faits, mais la confirmation de leurs idéologies dépassées et de leur théories avant-gardistes.

      Parmi leurs méthodes de désinformation, ils utilisent la proscription, c'est à dire passer sous silence des informations non compatibles à leur ligne éditoriale. Car taire des événements contraires à la pensée générale rend ces derniers invisibles donc inexistants. Ils peuvent aussi établir des associations absurdes et amalgamer des idées ou concepts incompatibles. Cela pousse souvent les gens à faire des conclusions erronées mais idéologiquement conforme à la politique rédactionnelle. Les journalistes essaient aussi de donner l'illusion d’autodétermination en séquençant les sujets avec soin pour influencer la réflexion des auditeurs vers un bilan concordant avec la doctrine éditoriale. La force de cette technique est qu'elle donne à l’auditeur l’illusion d’être parvenu à former sa propre conclusion. Une autre technique est celle de la non-contradiction. La majorité des invités de la RTS ne présente aucun conflit d’opinion fondamental et cette solution permet d'éviter la diffusion d’idées contradictoires au dogme. La dernière technique est la preuve par l’affirmation répétée. Grâce à la répétition à outrance, il est possible de forcer l'opinion publique à accepter d’une idée sans jamais la vérifier.

      exemples de désinformation récents :

      Le Président Trump est fou.......
      Le Gripen est un avion de papier.......
      L'Union Européenne veut notre bien.......
      Tuer la redevance, c'est tuer la RTS......

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  3. Le fait d'avoir voulu faire des économies sans nuire à l'efficacité semblait avoir gêné le journaliste Veya, qui avait reproché au Conseiller Fédéral Maurer d'avoir voulu parer aux arguments de ses opposants par des économies. Reprocher aux autorités de ne pas avoir consacré assez de moyens à la défense nationale de la part d'un courant remettant en cause le principe même de cette défense montrait déjà à l'époque leur malhonnêteté intellectuelle.

    Par principe, le socialiste Veya en était venu enfin à l'essentiel pour dénoncer l'esprit qui animait le conseiller fédéral UDC : "Si le Gripen peine tant à nous convaincre, c’est en raison de son principal avocat, le Conseiller Fédéral Maurer". Veya reprochait au Conseiller Fédéral Maurer de "Cultiver l’image d’une défense autonome", de "s’imaginer le héros d’une île au milieu d’un océan hostile, épargnée par les grandes ruptures technologiques" et de "parler de l’armée d’il y a trente ans et non de celle du futur." Comme Veya avait une idée très précise de l'armée du futur et des "ruptures technologiques", il avait estimé que le JAS-39 Gripen E ne saurait en faire partie, non pour des raisons strictement techniques mais plus volontiers philosophiques. Un individu comme Veya avait asséné que "C’est un constat largement partagé: le Gripen est un élément stratégique d’une défense nationale. Le cadre de réflexion est, lui, ancien: celui du XXe siècle. Le nouvel avion ne s’inscrit pas dans une vision plus moderne des armées, qui combine nouvelles menaces et technologies avancées."

    Sous la plume de Veya, la locution "C’est un constat largement partagé: le Gripen est un élément stratégique d’une défense nationale" devient un reproche. car pour Veya, la notion de défense nationale entend 2 concepts distincts : L'idée que les nations existent et qu'elles puissent être menacées. Veya partageait l'opinion que la nation est un concept appartenant au passé, au "XXe siècle", issu d'un "cadre de réflexionancien", relatif à "l’armée d’il y a trente ans".

    Le diagnostic est simple, Veya était un dangereux internationaliste.

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  4. L'internationaliste nie la nature protectrice de la nation et, par conséquent, la légitimité de son existence. Il fonde cette négation sur la conviction que la menace ne peut plus exister. Pendant la guerre froide, l'internationaliste s'employait à convaincre que l'URSS était un facteur essentiel de paix mondiale. Après la chute du mur, l'internationaliste veut bien admettre qu'une menace ait pu exister mais s'oppose formellement à ce qu'elle puisse continuer de subsister et, partant, de justifier une quelconque réaction de défense. Car l'internationaliste pense que ce que l'homme a pu connaître par le passé, il ne pourra plus le connaître, il a progressé, transcendé qu'il a été par la révélation de la révolution internationaliste.

    D'où la référence explicite à la fin de la menace soviétique, "l’armée d’il y a trente ans", qui pouvait justifier un "cadre de réflexion" à l'ancienne, mais uniquement pour fonder l'idée selon laquelle cette menace est morte et qu'il n'y en aura jamais plus de semblables. L'homme a changé, grandi, il ne fera plus jamais la guerre. L'idée va même plus loin, les nations se font la guerre, supprimons les nations pour supprimer la guerre. Il faudra aussi, par la suite, supprimer l'argent, la propriété, certains aspects du caractère humain, etc.

    Reste qu'à l'instar de son prédécesseur du XXe siècle, l'internationaliste du XXIe affirme une foi aveugle dans le conglomérat supranational qui a pris la suite du précédent: aujourd'hui, l'Union européenne. Ainsi, c'est un axiome de base, l'Union européenne et les nations qui la composent ne peuvent représenter de menace pour la Suisse.

    Pourquoi cela ? Parce que, dans la vision de l'internationaliste, la notion même de Suisse, appelée à se fondre dans l'Union européenne, a cessé de soutenir sa propre réalité, elle a cessé d'exister parce que, dans l'idée, elle doit cesser d'exister. L'idée de nation ptoposée par Veya est purement réactionnaire, elle n'est appelée à exister que si elle doit réagir à une menace; supprimez la menace, vous supprimez la nation. Il n'y a pas de menace, il n'y a pas de Suisse.

    Or, Veya ne supprimait pas la menace mais seulement l'origine étatique de toute menace. Si l'Etat, l'autorité, n'est plus d'origine nationaliste, alors il est internationaliste et n'est plus, par conséquent, sujet à la critique des internationalistes. Le conglomérat supranational ne menace pas la nation, il combat le nationalisme sous-jacent qui empêche ce grand projet de paix mondiale par fusion des nations. C'est cette vision qui explique que, tout en défendant le dogme démocratique, les tenants de cette idéologie ont fortement combattu la démocratie directe après, par exemple, le 9 février dernier; démocratie directe qui associe principe démocratique et indépendance nationale. La démocratie ne peut être bonne, admissible, que si elle sert à affranchir de l'idée de nation.

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  5. La menace existe donc toujours mais ne peut être, elle aussi, qu'internationale et indéfinie. Ainsi, l'alliance politico-médiatique ne s'accorde-t-elle plus à reconnaître comme seule et unique menace "moderne" que les cyberattaques et le terrorisme international (par extension, les extrémismes, forcément d'origine communautaire ou nationaliste). Soit deux objets qui échappent encore à l'influence définitive des conglomérats supranationaux. Il est tout de même particulièrement relevant de constater que ceux-là mêmes qui exigent de désarmer les nations et d'ouvrir les frontières sont ceux qui réclament sans discontinuer de policer l'internet et de le clôturer de taxes.

    Voilà pourquoi l'idée même de "défense nationale" est, par essence, pour ces gens-là, mauvaise, en ce qu'elle participe de l'idée de survie de la nation, de celle de gestion indépendante et souveraine d'une liberté dont celui qui en jouit ne doit rien à personne. Cette conception de liberté est insupportable à l'internationaliste, qui, au mieux, l'associe à l'égoïsme, au pire, à la conception d'une mythomanie paranoïaque, celle du "héros" juché sur son "île au milieu d’un océan hostile", et dont le désir de "défense autonome" confine à la déraison sinon à la folie. Le peuple suisse doit payer son tribut comme tout un chacun et devoir le principe même de sa liberté à ce grand protecteur qui ne dit pas son nom et paraît seul légitimé à pouvoir faire usage des notions de souveraineté, de démocratie, d'indépendance.

    Idéologue du désarmement par défaut de menace, l'expert militaire socialiste Lutz Unterseher avait lancé le slogan en Suisse, "il n'y a plus de menace" ou "Aucune menace militaire n’est actuellement dirigée contre la Suisse. Il est tout simplement inimaginable de penser qu’à l’avenir une telle menace pourrait venir des pays européens voisins."

    La parole de ce seul homme, avait suffi à servir de raison à une très forte majorité d'élites politiques, journalistiques ou intellectuelles. Cette parole avait même conduit le parti socialiste à en fixer le principe dans ses propres statuts : "Notre vision est que les armées nationales soient remplacées par un système collectif de protection de la communauté internationale" ou "Les dépenses actuelles pour l'armée suisse doivent être entièrement réaffectées à la promotion internationale de la paix. Une abolition de l’armée par la Suisse serait aussi un signal fort au retentissement mondial qui lui faciliterait une politique internationale de paix crédible".

    Le procès idéologique qu'intenta le journaliste Veya à l'adresse de notre Conseiller Fédéral Maurer est celui de ne pas avoir compris que la seule défense permise est celle qui remet son sort en main de ces structures mondiales, ONU, UE ou OTAN. Ce sont les seules légitimées à régner, car elles sont les réceptacles de toutes les bonnes intentions de l'humanité, pures et justes par essence et dont il ne convient pas de critiquer les buts parfaitement conformes aux fantasmes internationalistes. Ce que le dénommé Veya avait reproché au Conseiller Fédéral Maurer, c'est avant tout de ne pas avoir su être altermondialiste convaincu et de défendre encore l'existence de la Suisse.

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    1. Comparaisons critiques

      L'Eurofighter Typhoon produit par l'européen EADS se montre moins polyvalent et plus axé sur la supériorité aérienne et l'interception à haute vitesse, où il excelle. Ce chasseur anglo-germanique est moins à l'aise dans les missions air-sol, car il peut faire confiance au redoutable Panavia Tornado à géométrie variable, avec lequel il forme une paire indissociable. Capable d'une vitesse élevée, le Typhoon II serait indiscutablement le meilleur pour la police du ciel helvétique, mais pêche pour son manque de polyvalence.

      Le JAS-39 Gripen II produit par le suédois SAAB correspond exactement aux besoins de l'armée de l'air helvétique. Disposant de la même taille que nos F-5 E/F Tiger II, il semble au premier abord léger et moins puissant, mais il est efficace, car plus rapide et doté du meilleur radar. Pour seconder le F/A-18 C/D Hornet, il dispose d'une polyvalence et d'une rusticité, qui le désigne comme le successeur, non seulement du Tiger, mais aussi du Hornet. Son adéquation avec l'environnement suisse, pour un prix défiant la concurrence garantirait la sécurité aérienne helvétique.

      Conçu pendant la Guerre froide pour aller contrer les chasseurs et les bombardiers soviétiques, le Rafale français est capable de faire de la chasse, de la reconnaissance, de l’attaque au sol et du bombardement stratégique, depuis la terre, comme depuis que la mer. Mais le Rafale omnirôle a le gros inconvénient d'être biréacteur et fragile, donc de nécessiter beaucoup d’heures de maintenance comme avec tous les avions de cette génération et pour défendre un espace aérien de 300 sur 500 km sans accès à la mer, il ne répond pas aux cahier des charges.

      Les Français qui ont toujours une technologie de retard, tiennent aux chasseurs biréacteurs par sécurité, mais avec les progrès réalisés en matière de moteur, cette redondance n'est plus nécessaire, car le F-16 et le F-35 sont d'ailleurs des monoréacteurs. Le problème est que les Français n'arrivent à produire que des réacteurs de faible puissance. Les Français qui ont toujours une guerre de retard, tiennent aux bombardiers atomiques biréacteurs capable d'appontage, mais pour défendre la neutralité helvétique au coeur de l'Europe, disposer de telles capacité est vraiment superflu. Les Français qui privilégient leur industrie, veulent imposer au reste du monde leur exhorbitant Rafale omnirôle, dont la cellule est fabriquée en France, dont les moteurs sont fabriqués en France, dont le radar et l'avionique sont fabriqués en France et qui ne utiliser que des armes françaises. Un comble à l'époque où tout le monde parle d'intégration européenne.

      S'engager pour un appareil dont tout les composants sont exclusivement produits par un seul pays peut s'avérer suicidaire, surtout si les affaires de l'eau du lac, de l'eau du Rhône, de l'informaticien Falciani, du généticien Ségalat, du secret bancaire, du Gruyère, de Champagne ou de l'assassin de Hariri empoisonne les relations avec le dit pays.

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    2. L'appareil Français Rafale est beaucoup trop onéreux, beaucoup trop polyvalent et beaucoup trop lié à des firmes françaises tant au niveau de l'armement, de l'avionique que de la motorisation. Son avionique dépassée, son comportement en vol aléatoire et sa faible compatibilité avec notre matériel et avec notre armée risque de rendre notre pays gravement dépendant de l'étranger.
      C'est pour cette raison que le SAAB JAS-39 Gripen est la solution idéale pour la Confédération, car il possède de larges possibilités de développement, de synergie et d'emploi. Cet appareil préservera également au mieux notre indépendance vis-à-vis de l'étranger, car produit par un pays froid, neutre, protestant et ancien membre de l'AELE .

      D'ailleurs, le Rafale français est inadapté pour la Suisse car

      - il ne peut utiliser les cavernes alpines du Tiger ou du Hornet.

      - il n'entre pas dans le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement.

      - il ne décolle pas sans PC et ne vole pas en supersonique sans PC.

      - il ne lance pas les missiles des Tiger ou des Hornet.

      - il ne décolle pas depuis nos autoroutes.

      - il n'est pas opérable par une armée de milice.

      - il ne dispose pas d'un aussi bon radar que le JAS-39 Gripen E.

      - il n'est pas assez manoeuvrable pour le combat tournoyant en vallée alpine.

      - il ne dispose pas d'un casque de visée.

      - il n'utilise pas de bio-carburant, ni de kérosène jet A1.

      - il n'utilise pas la norme FLORAKO.

      Par contre, le Rafale français a des spécifications inutiles et coûteuses :

      - peut opérer à partir d'un porte-avion (?!).

      - il peut emporter 15 tonnes de bombes (?!).

      - il peut emporter des bombes atomiques (?!).

      - il est biréacteur (?!).

      Par conséquent, votons OUI au Gripen en 2017 !

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  6. Nous sommes trop sur terre, c'est un constat.
    Aidons les peuples sous développés à sortir de leur misère par des mesures appropriées.
    Plutôt que de leur donner à manger, distribuons leurs des préservatifs.
    Tant qu'il ne maitriserons pas leur démographie, aucun décollage économique sera possible.
    Plutôt que de leur donner des tracteurs et des camions, apprenons leur à en faire.
    Plutôt que de leur faire miroiter un avenir en occident, faisons leur miroiter un avenir chez eux,

    Votons OUI à ECOPOP

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    1. Et votons non à la caisse unique qui ne profitera qu'aux étrangers
      Et votons non au salaire minimal qui ne profitera qu'aux étrangers

      Et votons non aux tunnels inutiles qui ne profiteront qu'aux étrangers

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    2. dépenser 10 milliards pour la RTS est une aberration

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  7. Le Confédéré suisse, est de nos jours plongé dans le chaos et se demande si la notion de citoyen fait encore sens lorsque les murs de la cité sont en ruines. Abandonné à lui-même face à des bandes de Français qui semblant issues du néolithique, le Confédéré suisse fait appel en vain à la police et au soutien des institutions étatiques pour que justice lui soit rendue.
    Pour nous préserver de ces dérives, il n’existe qu’une alternative : la Patrie comme Etat de Droit issue d’une longue gestation historique. Car seul système de ce genre, porté par tout un peuple, lui permet une identification réelle et lui garantit les droits accordés sur le papier.
    La disparition des frontières de la Patrie, donc de l’Etat, ont fait disparaître le caractère humain de cette institution. La liberté et le libre-choix ne sont plus définis. Or, la liberté ne peut s’exprimer que dans certaines limites permettant de la garantir.

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    1. Bien qu'ils n'aient jamais travaillé de leur vie avant d'être "élu" par copinage au CF, les conseillers fédéraux de gauche ne finiront jamais à l'aide sociale. Car bien qu'étant les premiers à faire la morale aux autres pour plus d'égalité et d'humanité, les gauchistes défendent les intérêts des gauchistes.Dans cette optique, la gauche opère une sorte de censure, toujours aussi peu respectueuse de ceux qui ne pensent pas comme elle.

      Les fonctionnaires grassement rémunérés avec nos impôts sont les seuls à vouloir appuyer les socialistes dont la devise est tout pour nous et pour les étrangers, mais rien pour le peuple. Cet état de fait est intolérable : Alors que les retraités et les handicapés voient leur loyer augmenter et leur rente diminuer, ils doivent payer encore plus d'impôts que lorsqu'ils travaillaient. Tout augmente, sauf l'AVS et l'AI, pour lesquelles l'argent n'est jamais disponible. Les politiciens socialistes doivent impérativement arrêter de dilapider de l'argent dans les pays en guerre

      Les anciens conseillers de gauche, s'ils étaient vraiment humais verseraient leurs rentes aux Suisses dans le besoin. Plutôt que de faire la morale à ceux qui n'ont pas un rond, ils devraient arrêter de vouloir accueillir toute la misère du monde et mettre en pratique leurs belles paroles humanistes en Suisse.

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    2. Coût annel de l'aide sociale : 3.5 millards
      Coût annel de 22 Gripen : 0.3 millards, soit 11,6 fois moins

      Coût annel de l'aide sociale : 2.6 millards
      Coût annel de 22 Gripen : 0.3 millards, soit 8,6 fois moins

      Coût annel de la RTS : 1.3 millards
      Coût annel de 22 Gripen : 0.3 millards, soit 4,3 fois moins

      Coût d'une visite de Junker : 1.3 millards
      Coût total de 22 Gripen : 3.1 millards, soit 2,4 fois plus

      Pour la seule visite de Junker, on aurait pu se payer 9 Gripen
      Pour le coût une année de fonctionnemnt de la RTS, on aurait pu se payer 9 Gripen

      10% des Suisses sont pauvres, car le taux d'étrangers est de 50%

      le taux de chomage est de 3%, car le taux d'étrangers est de 50%

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  8. Pour dévaloriser et dénigrer les vrais patriotes suisses, les intellectuels de gauche prétendent maintenant que les pauvres et les incultes font le lit de l’UDC. Une analyse Vox de l’Institut GFS.BERN sur le vote du 9 février, mandatée par le Département de Science Politique de l’Université de Genève aurait démontré que le rejet de l’initiative augmente fortement avec le niveau d’éducation et de revenu du ménage, donc que les catégories les moins éduquées et les plus faibles économiquement plébiscitaient la fermeture de nos frontières. Pour les gauchistes et féministes, le patriotisme et la bêtise sont inversement proportionnels au niveau d'éducation et de richesse. Donc, les ouvriers, les employés, les indépendants, les agriculteurs, les chômeurs et les Tessinois sont tous d'indécrottables racistes et ne font pas preuve de bon sens en voulant contrôler l'immigration. Or, curieusement, tous les européens caressent le secret désir de venir travailler en Suisse, mais personne ne veut payer les assurances maladies, les impôts et autres taxes qui sont associés à ce bien être.
    D'ailleurs, les anti-suisses, acceptent sans broncher que les Français nous empêchent de produire du vin dans le village de Champagne et nous empêchent d'apposer une AOC sur le Gruyère. Dans un autre registre, les pro-européens acceptent sans broncher que les Français nous empêchent d'acquérir un Gripen adapté à la topographie suisse ou que Giroud commercialise «Château Constellation», avec du vin vaudois.
    Alors qu'à partir de 50 ans, la plupart des Suisses sont remplacés par des étrangers qui coûtent moins cher, alors que l'espérence de vie augmente sans cesse, les gauchistes refusent la retraite à 67 ans. Par contre les gauchistes refusent la démocratie directe et la volonté du peuple souverain. Pire, les gauchistes dénigrent le droit à l'intelligence pour les opposants à l'Europe ultralibérale, antidémocratique et totalitaire.
    Rappelons que l'Union Européenne s'est constituée en dehors de la Suisse et d'une certaine manière contre elle, ce dont le Département de Science Politique de l’Université de Genève fait totalement abstraction. Située au centre de l'Europe et dépourvue de ressources, la Suisse avait fondé l'AELE pour optimiser son économie. La France et l'Union Européenne avaient alors proposé l'EEE pour détruire notre union économique. Le 6 décembre 1992 déjà, le peuple suisse avait opposé un cinglant démenti à cet antichambre de l'UE et il avait bien fait, car l'Union Européenne devenue ultralibérale, fasciste et antidémocratique avait phagocité l'AELE.
    Cependant, pour les gauchistes, intellectuels et autres altermondialistes, les sources utilisées par les votants pour s’informer a décidé du résultat du scrutin. Quiconque n'aurait pas suivi les mots d'ordre du Conseil fédéral ou la presse écrite a basculé dans la xénophobie la plus fruste. Par chance, le peuple a majoritairement décidé de se forger un avis en allumant la télévision ou en parcourant le courrier des lecteurs. C'est pour cette raison que les gauchistes, les intellectuels et les pro-européens ont prétendu que le peuple souverain, tel un serpent se mordant la queue, s’est informé en lisant le courrier des lecteurs et non pas celui des prescripteurs. Il est sûr que la presse écrite, en mains étrangères, n'a pas été assez impartiale, comme l’électorat PLR et PDC n'ont pas voulu de l'Europe.
    Dans le même registre, l'Initiative Ecopop a été refusée par 70% des Suisses et plutôt que de regretter l'échec de cette initiative en avance sur son temps, nos dirigeants ont orchestré une campagne de la peur, de la culpabilisation et de la repentance. Avec une moyenne annuelle de quasiment 100 000 nouveaux arrivants, soit plus de 10% ECOPOP sera acceptée dans les urnes à la prochaine récession. Que les partisans d'Ecopop ne se découragent pas, le territoire suisse n'étant pas extensible à l'infini, la défaite de 2014 n'est qu'une bataille de perdue.

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    1. Du point de vue religieux, la Confédération n'a aucun ordre à recevoir de Rome.

      Du point de vue linguistique, la Confédération n'a aucun ordre à recevoir de Paris.

      Du point de vue économique, la Confédération n'a aucun ordre à recevoir de Bruxelles.

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    2. Il est vrai que du point de vue religieux, la Confédération n'a aucun ordre à recevoir de Rome, car elle est historiquement protestante, mais ce n'est pas une raison pour repousser les Catholiques, qui doivent aussi être capable de fabriquer des avions, tout comme les juifs.

      Il est vrai que du point de vue linguistique, la Confédération n'a aucun ordre à recevoir de Paris, car elle est historiquement allemande, mais ce n'est pas une raison pour repousser les Francophones, qui doivent aussi être capable de fabriquer des avions, tout comme les Suédois.

      Il est vrai que du point de vue économique, la Confédération n'a aucun ordre à recevoir de Bruxelles, car elle est historiquement plus démocratique, mais ce n'est pas une raison pour repousser les Européens, qui doivent aussi être capable de fabriquer des avions.

      Des critères aussi subjectifs que la religion, la langue ou l'économie ne devraient pas entrer en considération dans l'évaluation d'un appareil de combat.

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    3. Les Genevois et les Socialistes essaient de faire croire que l’initiative No-Billag veut supprimer la SSR. C'est de la désinformation, car seule la redevance est visée par l'initiative, pour offrir une diversité d'information au peuple suisse. Les gens de la SSR ont en effet oublié leur déontologie professionnelle et présentent systématiquement une seule face du problème. (nous ne reviendrons pas ici sur l'échec du remplacement des F-5 Tiger II, ni la votation sur la surpopulation étrangère)

      Les Genevois et les Socialistes essaient de faire croire que sans la redevance Billag, la cohésion nationale serait mise en danger, alors que cette cohésion repose sur le partage de valeurs et des intérêts communs. Au contraire, la RTS exerce des coercitions sur le peuple suisse mieux créer des tensions. la RTS critique des valeurs communes typiquement suisses comme les banques, l'armée, la Migros ou la Coop. Alors que le peuple suisse a voté par trois fois contre l'Union Européenne antidémocratique et ultralibérale, la RTS s'obstine à nous présenter des commentaires venus de l'étranger, de la France notamment. La RTS n'essaie pas de nous présenter les autres parties du pays comme des alliés, mais comme de adversaires. On entend des phrases du type : tel canton est mauvais, car il vote UDC; tel canton est mauvais, car il baisse les impôts; tel canton est canton est mauvais, car il refoule les étrangers. La RTS essaie de culpabiliser le citoyen suisse de vouloir la liberté, la démocratie et l'indépendance.

      Je n'ai jamais entendu la RTS vanter les mérites du président Trump ou du président Poutine, alors qu'ils ont été démocratiquement élus. Je n'ai jamais entendu la RTS vanter les mérites de l'UDC ou du PLR, alors que ces partis font avancer la Suisse. La RTS est plutôt du côté du PSS et du PDC, qui sont les champions de la gestion des dépenses, mais qui sont incapable de créer de la richesse. Comme les entreprises néolibérales, la RTS ne va jamais engager un chômeur suisse ou un handicapé suisse. Au contraire, elle va engager du personnel étranger incapable de prononcer nos langues et de comprendre nos accents.
      Alors que les PTT ont évolué et que les CFF ont évolué, la RTS continue de vivre dans l'euphorie des 30 glorieuses et adopte une démarche arrogante pour maintenir ses privilèges. Elle dépend de la Confédération, mais elle critique la composition et les décisions du Conseil Fédéral. Elle ne comprend pas l'économie et se permet de critiquer les décisions de la Banque Nationale. Elle dépend du peuple, mais elle s'autorise à critiquer ses décisions de votations. Par contre, la RTS ne va jamais critiquer la politique néocoloniale de la France, ou les discours paternalistes du Pape catholique.

      En effet. la RTS se permet de faire de la politique avec notre argent et ne se contente pas de nous informer :
      Tout d'abord, la RTS est pour les catholiques, car elle continue de diffuser les messes du pape et a fêté l'arrachement du Jura au canton de Berne.
      Deuxièmement, la RTS est contre les peuples, car la RTS était pour l'annexion de l'Ukraine par l'UE, mais contre l'indépendance de la Catalogne, de la Corse ou du pays basque.
      Troisièmement, la RTS est liberticide, car elle a pris parti de l'Espagne contre l'indépendance de la Catalogne, elle a pris parti de l'Europe contre l'indépendance de l'Angleterre et elle a pris parti de la France contre l'indépendance de la Corse.

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    4. La RTS nous inonde de Fake-News :
      - Nous n'avons pas besoin de remplacer le F-5 Tiger II.
      - Les F/A-18 suffisent amplement.
      - Il n'y a pas trop d'étrangers en Suisse.
      - L'Union Européenne ne nous soumet pas à une pression intense.
      - Les frontaliers ne provoque pas de dumping salarial.
      - Les frontaliers ne provoquent pas l'inflation des loyers

      etc etc etc

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  9. Les achats d’armement mondiaux brassent des intérêts, qui divergent entre militaires et diplomates d’un pays. La Suisse n’y a pas échappé avec la fameuse histoire des Mirage. Alors que le Département politique (DFAE) a opté pour le JAS-35 Draken, le CF commande 100 Mirage à Dassault et cet achat crée un malaise au sein de l’AELE, car selon la neutralité, il aurait été préférable d’acheter en Suède plutôt qu’en France. Comme la Suisse, la Suède protestante est cofondatrice de l’AELE, tandis que la France catholique fait partie de la CEE. Pendant la Guerre froide, la Bern fédérale entretient une relation spéciale avec Stockholm, bien que le royaume nordique traite plus librement sa neutralité que la Confédération. La France est un voisin encombrant, alors que la Suède, qui partage la même philosophie en matière de défense, de commerce et de diplomatie, inspire un grand respect et est soignée comme un partenaire privilégié.

    A l'époque de la guerre froide, face au SAAB Draken, les militaires avaient réussi à imposer le Dassault Mirage, malgré ses innombrables défauts. Mais un demi-siècle plus tard, alors que les pilotes militaires souhaitent le Dassault Rafale, l’inverse se produit avec le choix de l'idéal JAS-39 Gripen E. Cependant, des militaires soudoyés par Dassault ont sciemment laissé fuiter des rapports établis contre le Gripen mais en vaine. L'admirable conseiller fédéral Maurer voit dans l’origine suédoise du Gripen la fidélité à la neutralité, au libéralisme et au protestantisme et réagit en licenciant certains traîtres dans l'armée.

    Des documents diplomatiques de l’affaire Mirage montrent que le CF voulait utiliser la carte commerciale pour améliorer certaines questions bilatérales. Sans établir de lien direct entre achat de l’avion et autres dossiers, une liste de souhaits a été dressée et l’ambassadeur suisse en France devait en informer le gouvernement français en utilisant le juif Dassault. La Bern fédérale voulait lever les obstacles commerciaux dressés par la France, qui entravaient déjà les relations internationales : pouvoir exporter davantage de pommes et de fromage, autoriser BBC à vendre des turbines à EdF, ou encore empêcher la France de recruter des confédérés dans la Légion.

    Le choix du Gripen est intervenu au moment où les relations bilatérales avec la France étaient tendues et certains voulaient monnayer le Rafale pour modérer l’hostilité française. Le CF et le DDPS nient tout rapport entre l’avion de combat et le secret bancaire. les appelations contrôlées, les frontaliers ou l'immigration.

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    1. Alors que le journal franco-genevois LeTemps estimait que le Gripen était un appareil multirisque, il avait exposé comment la Berne fédérale l'avait avantagé en négligeant le rapport parlementaire sur le chasseur, qui pointait les défauts du processus d’évaluation. LeTemps regrettait qu'une procédure correcte, en dépit d'anomalies avait favorisé le jet suédois, tout aussi performant mais infiniment moins coûteux, que ses concurrents. Le quotidien pro Dassault expliquait en 2007 que le DDPS avait du se contenter de 2.5 milliards de francs pour remplacer les Tiger, donc pas assez pour les 33 chasseurs prévus. Ce journal avait alors critiqué le choix réaliste des spécialistes d'acquérir 22 avions performants pour 2,2 milliards de francs, abandonnant l'option d'acheter moins d’avions plus chers.
      Sous la pression des socialistes, le DDPS avait été favorable à l’idée de privilégier le modèle le meilleur marché afin de pouvoir acquérir davantage d’appareils, tout en restant dans les limites fixées. Mais le journal pro-français n'avait pas reconnu que pour couvrir l'espace aérien helvétique, il fallait disposer d’un nombre suffisant d’avions, car cela aurait éliminé d'office les appareils trop cher. La sous-commission avait regretté de ne pas avoir été informée de cette contrainte budgétaire, qui obligeait d’opter pour l’avion le moins cher, c'est à dire le Gripen. En 2008, au départ du processus d’évaluation, la Suisse voulait l'épouvé Gripen C/D en service dans 5 armée de l'air. Mais en 2010, le report d'acquisition de 2014 à 2015 a permis au constructeur suédois de proposer une évolution E/F du Gripen, qui répondait plus précisément au cahier des charges helvétique. Au lieu d’un avion ancien, la Suisse en avait été réduite à évaluer virtuellement un prototype et toute la désinformation distillée par la concurrence tombait à l'eau. Français et Allemands avaient par contre accusé les Suédois de désinformation car SAAB n'avait pas précisé que, pour répondre plus précisement aux besoins, les forces aériennes suédoises voulaient le Gripen E/F plutôt que le Gripen C/D. Toutes les critiques perdaient ainsi leur signification et le journal regrettait le temps donné à SAAB par le CF pour parfaire son offre. L’évaluation a été menée et conclue rapidement : les essais en 2008 et rapport en 2009, c’est ce qui n'a pas permis au processus politique de suivre. Moultes tergiversations avaient permis à SAAB de mettre sont appareil au meilleur niveau et de dépasser la concurrence.
      Ce journal, qui depuis a fait faillite, expliquait que le document définissant les besoins du nouvel avion était intentionnellement vague dans ses formulations, pour qu'Armasuisse note le Gripen satisfaisant en efficité et en police aérienne. Comme la sous-commission voulait le meilleur appareil, le journal avait exposé que des divergences étaient apparues entre les pilotes soudoyés par Dassault et l’organisme fédéral neutre chargé d’évaluer l’avion. Comme une version de cette cellule volait dans 6 armées différentes, l'upgrade au modèle E/F ne représentait aucun risque, alors que les Forces aériennes redoutait ce passage.
      Pour le journal voué au chasseur français, le Centre de compétence de la Confédération était partial, car il avait sous-évalué le défi technique du passage à la version E/F du Gripen. Le journal, déplorait également que les entretiens d'Armasuisse depuis 2010 ne portaient plus que sur des questions de planification, en négligeant les offres française et allemande. La désinformation avait donné l’impression que les Suédois ne tenaient pas leurs promesses, étaient mauvais dans les contrats compensatoires et avait influencé négativement le Bureau des affaires compensatoires au sujet de SAAB.

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    2. Les Français, qui voulaient privilégier leur industrie nationale plutôt que jouer le jeu européen, ont prétendu que le Typhoon était trop mono-mission, trop lourd, et pas navalisable. Les Français peuvent raconter leur mensonges aux Français, mais pas aux autres. Par exemple les crashes à répétition qui ont entaché la carrière de l'appareil ont tous été attribués aux pilotes par la presse de Dassault.

      Depuis 25 ans, la guerre froide est terminée, le Rafale continue d'être pensé pour combattre les bombardiers et les chasseurs soviétiques. Les Français ont privilégié le Rafale, au détriment de la qualité, de la compatibilité et de l'efficacité. Plutôt que de faire passer le faire passer le splendide Mirage 2000-5 vers le Mirage 2000-9 en le dotant des technologies du Rafale, les États-majors français ont semblé changer de doctrine.

      Mais le choix français du Rafale contre l'Eurofighter n'a rien d'un changement de doctrine : il relève de l'appétit insatiable du juif Dassault pour l'argent. Comme la plupart des journaux français appartiennent à des groupes militaro-industriels, ils endoctrinent les Français pour qu'ils soutiennent l'aberrant bombardier nucléaire biréacteur Rafale. Cependant un Mirage 2000 avec la motorisation du Typhoon II et le radar du Gripen aurait été imbattable et idéal pour la Suisse, comme pour la France.

      Le Rafale est un bel avion doté de M-88 français, mais ne peut décoller sans PC, nécessite des catapultes à vapeur et est incapable de supercroisière. De plus il n'est pas furtif, n'entre pas dans nos abris, n'utilise pas nos munitions, ne va pas vite, ne peut décoller de nos autoroute et ne peut utiliser notre essence.

      En plus de le payer 2 ou 3 fois plus cher, le Rafale combine une somme incroyable d'incompatibilités avec la Confédération et l'armée suisse. Mais certains nostalgiques préféreraient acquérir un appareil du passé, mais rappelons-nous que de 1515 à 1815, la Suisse a subi la tutelle française...

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    3. Depuis 40 ans que ce projet pharaonique a été lancé, le misérable contribuable français est contraint d'enrichir la famille Dassault, sans pour autant se sentir plus en sécurité. Au contraire, les aventures risquées en Afrique, au Proche-Orient et au Moyen-Orient ont rendu l’atmosphère plus dangereuse que jamais en France.

      Jocelin de St-Quentin

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    4. C'est bien vrai, concernant la pollution et le bruit, y a comme un problème, le Rafale n'est ni capable de décoller sans PC, ni capable de passer le mur du son sans PC. C'est de nouveau le peuple suisse qui va souffrir du bruit et de la pollution.

      un citoyen suisse, qui paie ses impôts

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    5. A côté de Louis XIV, Hitler était un enfant de coeur. Il faut se remettre dans le contexte, Louis XIV a massacré des gens pendant toute la durée de son règne. Louis XIV a annexé la Lorraine, la Franche-Comté et d'autres pays libres.

      Mais surtout, Louis XIV a massacré nos ancêtres protestants.

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    6. Des documents diplomatiques concernant l’affaire des Mirages IIIS montrent que le CF voulait déjà à l'époque utiliser la carte commerciale pour améliorer certaines questions bilatérales. Sans établir de lien direct entre achat de l’avion et autres dossiers, une liste de souhaits a été dressée et l’ambassadeur suisse en France devait en informer le gouvernement français en utilisant le juif Bloch.

      Or de nos jours, l'affaire des Rafales montre que le CF voudrait également utiliser la carte commerciale pour améliorer certaines questions bilatérales. Sont concernées l' appelations Gruyère, le vin de Champagne, le programme Erasmus, le secret bancaire, la reconnaissance des brevets, les frontaliers et l'asile offert par la France à certains terroriste recherché en Suisse.

      Cependant les contreparties devraient être beaucoup plus étendues face à un appareil aussi multirisque que le Rafale. Car cet aéronef n'est pas capable d'utiliser l'armement, dont dispose notre armée de l'air et il n'est pas capable d'entrer dans les abris qui ont été conçus pour nos avions, en outre il n'est pas capable d'utiliser le carburant utilisé dans notre pays, de plus il n'est pas capable de décoller depuis nos autoroutes et il n'est pas capable d'être opérable par une armée de milice, finalement il n'est pas capable de supercruise.

      Les hauts gradés de l'armée confédérale et certains fonctionnaires de Berne l'avait cependant avantagé le Rafale français en établissant une évaluation qui le favorisait et minimisait les défauts précités.

      Les Français avaient alors mis en avant le fait que leur appareil décollait depuis un porte-avion, alors que la Suisse ne touche à aucune mer; que leur appareil pouvait emporter 15 tonnes de bombes, alors que la Suisse a besoin d'un intercepteur; que leur appareil pouvait emporter des bombes atomiques, alors que la Suisse n'a pas d'armes nucléaires; que la Suisse pouvait se contenter de 17 appareils seulement (nombre réduit comme avec les Mirages), alors que la Suisse a un urgent besoin de plus d'avions moins chers et plus performants, capable d'agir en divers lieux et en tous temps.

      Heureusement que nos stratège ne se sont pas laisser enfumé et ont opté pour le choix réaliste d'acquérir 22 avions performants pour 2,2 milliards de francs. Ce prix inclu le Radar AESA, la capacité d'emporter le Meteor, la Link16, le casque de visée, la visualisation HUD, les commandes HOTAS, le contrôle FADEC, la compatiblilité BodLuV, la certification Mach II.

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  10. L’enseignement précoce de l’anglais est inutile

    Tout le monde (ou presque) apprend l’anglais tôt ou tard car il est omniprésent, prestigieux et utile. C’est pourquoi l’enseignement précoce de l’anglais est superflu. Nos enfants doivent d’abord apprendre l'Allemand ou l'Italien ou le Français. Au minimum, ils doivent avoir une connaissance passive de la deuxième autre langue majeure du pays. À mon sens, la connaissance du Suisse allemand en Romandie est un plus. Nous écrivons nos courriers et nos commentaires sans problème en allemand standard.

    ANDREAS ERNST, PAR E-MAIL

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    1. Les Genevois n'ont pas peur de la disparition de la RTS, mais ils ont peur que la RTS parte à Lausanne à la suite des journaux.

      La RTS pourrait être déplacée à Fribourg, où déjà figurent 230 emplois.

      Le niveau de la vie est cher à Genève et la RTS coûterait moins cher dans une autre ville.

      La RTS appartient à la Confédération, mais elle engage des étrangers à tour de bras et des binationaux.

      La disparition de la RTS ne serait pas une grande perte. Ils font des promesses, mais s'ils avaient vraiment voulu changer, ils auraient fait un contre-projet. Ils ne veulent pas que l'on touche à leur salaires de ministres, alors que toutes les entreprises ont du réduire leur voilure.

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    2. La TSR a expérimentalement démarré à Genève. Mais cette ville est beaucoup trop excentrée pour représenter véritablement la Suisse.

      En 1959, le Conseil fédéral déplaça la Radio à Lausanne, mais garda la Télé à Genève.
      Ensuite les journaux "La Suisse" et "Journal de Genève" disparurent au profit de Lausanne, ville moins excentrée et plus suisse.
      Dernièrement le journal "Le Temps" a également rejoint Lausanne.
      Alors pourquoi ne pas également y déplacer la Télé ?

      La construction prévue d'un grand studio (émissions de divertissements) de la RTS-TV sur le campus de l'EPFL fait craindre à de nombreux Genevois un futur déplacement sournois de la RTS-TV à Lausanne, ce qui mettrait en péril l'arbitrage du Conseil fédéral de 1959, donc la cohésion confédérale, et inquiéterait la Genève internationale.

      Le Conseil fédéral déplacer toute la RTS à Lausanne dans les nouveau locaux de Dorigny

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  11. L'appareil Français Rafale est beaucoup trop onéreux, beaucoup trop polyvalent et beaucoup trop lié à des firmes françaises tant au niveau de l'armement, de l'avionique que de la motorisation. Son avionique dépassée, son comportement en vol aléatoire et sa faible compatibilité avec notre matériel et avec notre armée risque de rendre notre pays gravement dépendant de l'étranger.
    C'est pour cette raison que le SAAB JAS-39 Gripen est la solution idéale pour la Confédération, car il possède de larges possibilités de développement, de synergie et d'emploi. Cet appareil préservera également au mieux notre indépendance vis-à-vis de l'étranger, car produit par un pays froid, neutre, protestant et ancien membre de l'AELE .

    D'ailleurs, le Rafale français est inadapté pour la Suisse car

    - il ne peut utiliser les cavernes alpines du Tiger ou du Hornet.

    - il n'entre pas dans le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement.

    - il ne décolle pas sans PC et ne vole pas en supersonique sans PC.

    - il ne lance pas les missiles des Tiger ou des Hornet.

    - il ne décolle pas depuis nos autoroutes.

    - il n'est pas opérable par une armée de milice.

    - il ne dispose pas d'un aussi bon radar que le JAS-39 Gripen E.

    - il n'est pas assez manoeuvrable pour le combat tournoyant en vallée alpine.

    - il ne dispose pas d'un casque de visée.

    - il n'utilise pas de bio-carburant, ni de kérosène jet A1.

    - il n'utilise pas la norme FLORAKO.

    Par contre, le Rafale français a des spécifications inutiles et coûteuses :

    - peut opérer à partir d'un porte-avion (?!).

    - il peut emporter 15 tonnes de bombes (?!).

    - il peut emporter des bombes atomiques (?!).

    - il est biréacteur (?!).

    Par conséquent, votons OUI au Gripen en 2017 !

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    1. Avant la catastrophique affaire des Mirages, il y avait eu l'affaire des Moranes inadaptés

      Le Morane-Saulnier MS.406 en service dans l'armée française n'atteignaient pas les 490 km/h, car sa puissance était limitée à 860 ch. et ses radiateurs inadaptés l'empêchaient de soutenir sa vitesse maximale plus de quelques minutes sans surchauffe. De plus, les commandes de tir des mitrailleuses du MS.406 gelaient au-dessus de 5 000 m et les chargeurs de munitions limitaient le temps de tir. Plus grave que la vitesse de pointe, le taux de montée ascensionnelle était limité à 660 m/mn et le plafond limité à 9800 m.

      Le catastrophique MS.406 aurait dû être remplacé par le Dewoitine D.520, mais la France commit l'imprudence de déclarer la guerre à l'Allemagne en 1940. La France avait alors essayé de sortir une version améliorée du MS.406, le MS.410. Mais peu d'appareils furent mis au standard MS.410, car les Allemands refusèrent de voler avec cet appareil dangereux et et la plupart furent ferraillés. Le prototype du Morane-Saulnier MS.435, qui devait être une version d'entrainement biplace commandée à 60 exemplaires par la France, décolla en décembre 1939, mais ne fut jamais réalisée.

      A partir du catastrophique MS.412 français, l'entreprise Eidgenössische Konstruktions Werkstätte (EKW) de Thun développa l'excellent D-3801 équipé du moteur Hispano-Suiza 12Y-51 de 1 050 ch. Certes, la firme Saurer eut quelques difficultés avec la mise au point du moteur, mais le MS.412 fut finalement construit en série sous la désignation D-3801 par les usines usines EKW, Dornier-Werke AG et SWS. L'excellent D-3801 suisse atteignait une vitesse de 535 km/h et avait une vitesse ascensionnelle de 970 m/mn.

      HEUREUSEMENT QUE L'ESCADRE DE SURVEILLANCE ETAIT DOTEE DE Me 109 G, QUI LUI PERMIRENT D'ABATTRE NOMBRE D'APPAREILS ENNEMIS

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    2. C'est bien vrai, concernant les armes, y a comme un problème, le Rafale n'est pas capable d'utiliser ni les armes du Tiger, ni les armes du Hornet. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil pour remplaces nos chasseurs au moindre coût.

      un citoyen suisse, qui paie ses impôts

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    4. Freluquet 7 décembre 2017 à 16:58

      La France ne veut pas brader ses avions de combat


      La firme française Dassault avait offert à la Suisse de n'acheter que 18 bombardiers biréacteurs de type Rafale pour tout de même 2,7 milliards de francs. C'est 150 millions pour chaque bombardier. Sachant que ces appareils vétustes ne dépassent pas Mach 1.6, ne peuvent décoller sans PC ou sans catapultes à vapeur, le CF avait bien fait à l'époque de choisir le chasseur polyvalent suédois. En effet, pour 400 millions de plus, la firme suédoise SAAB offrait 22 appareils capables de décollage STOL, d'utilisation de biocarburant, de carburant du commerce, de supercroisière et d'une vitesse de Mach II.

      Les Français de chez Dassault avaient bien tenté de faire croire qu'ils ne pouvaient pas optimiser leur offre. Pire, pour un meilleur rapport prix-prestations, les Français conseillaient de choisir le JAS-39 Gripen E. Car dans leur suffisance, les Français de chez Dassault avaient affirmé que 18 Rafale pourraient être plus efficace que les 22 Gripen suédois retenus, comme si ces appareils avaient un don d'ubiquité et pouvaient être partout à la fois. On compatit.

      Mais, quand on sait que la vitesse de pointe du rafale rend 0.4 Mach au Gripen et au Typhoon II, voit mal comment ils pourraient être présent partout.
      quand on sait que le Rafale est comparable a une formule 1 et qu'il a une disponibilité de seulement 30 %, il est certain qu'on va en acheter moins.
      Les Français eux-mêmes reconnaissent que le Rafale fait jeu égal avec le Hornet C/D que nous possédons déjà.

      Seulement 18 rafales à 150 millions donne 2.7 milliards pour une couverture partielle (pas de supercroisière, pas de Mach II, pas de Biocarburant, radar AESA limité).
      Alors que 22 Gripen à 140 millions donne 3.1 milliards pour une couverture parfaite (Supercroisière, Mach II, Biocarburant, capacités STOL).






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  12. Les Français rechignent à s'adapter à la Norme

    Une norme est un document écrit, de nature volontaire, mais pas obligatoire, qui définit les caractéristiques techniques d'un produit ou d'un service. Sa validité est attestée par l'homologation d'un organisme étatique. Les normes DIN se sont imposées en Europe, alors que les normes ISO plus mondiales tendent à les supplanter.

    Au début, l'industrie relevait essenciellement de la mécanique, de la chimie ou de l'électricité. Les normes autorisaient la rationalisation et permettaient de se protéger contre la concurrence étrangères. Mais l'électronique envahit tout et les normes établissent des passerelles entre les diverses technologies.

    Au début, l'entreprise fabriquait tous les éléments des machines qu'elle assemblait, mais avec le déclin des structures de production intégrées, elle doit s'insèrer dans une chaîne de relations clients-fournisseurs. Par exemple, les groupes automobiles et les firmes informatiques jonglent avec les sous-traitants, mettent les fournisseurs en concurrence, car la segmentation sectorielle s'impose dans toutes les productions. Avec la mondialisation des échanges, le flux de capitaux, de produits et de services se dispersent chaque année un peu plus. L'influence des Etats-Unis, de l'Europe et du Japon s'atténue à mesure qu'apparaissent de nouveaux pays industrialisés.

    Les Français ont inventé les normes exotiques relevant de l'AFNOR, comme le réseau 110 Volt, les phares jaunes, la video SECAM, les claviers AZERTY, le MINITEL, qui les ringardisent.

    Or, pour être compétitive, une entreprise doit s'aligner sur la norme DIN ou la norme ISO. Obtenir cette certification permet d'apposer un signe distinctif sur ses produits et donne un avantage commercial à l'entreprise et lui permet d'interagir avec d'autres entreprises.




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  13. Le DDPS avait du se contenter de 2.5 milliards de francs pour remplacer les F-5 E/F Tiger, donc pas assez pour les 33 chasseurs prévus.

    Le contrat entre la Confédération et l'entreprise française Dassault Aviation n'aurait concerné que 17 Rafale. Le contrat entre la Confédération et l'entreprise française Dassault Aviation aurait également du concerner des missiles air-air Mica et de croisière Scalp, comme des missiles air-sol 2ASM ou des systèmes de leurre LaCroix.

    Mais le contrat entre la Confédération et l'entreprise française Dassault Aviation n'aurait pas concerné la reconstruction de nos cavernes alpines, de nos alvéoles de protection, de l'abandon du projet BodLuV, du rachat des munitions pour le canon du Rafale qui utilise pas notre calibre, du rachat du carburant pour le moteur du Rafale qui utilise pas notre carburant.

    Comme avec l'affaire des Mirages, dans le coût de l'appareil ne sont pas compris les frais annexes (carburant différent, obus différents, taille de l'appareil différente, missiles diffférents, normes antiaériennes différentes, système de communication différents), ce qui dépasserait au final la facture de 10 milliards. De plus nos stratèges pensent qu'une cinquantaine d'appareil seront nécessaires et pas seulement 17 unités.

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    1. C'est bien vrai, concernant les armes, y a comme un problème, le Rafale n'est pas capable d'utiliser ni les armes du Tiger, ni les armes du Hornet. Pourquoi l'acheter alors que la Confédération a besoin d'un appareil pour remplaces nos chasseurs au moindre coût.

      un citoyen suisse, qui paie ses impôts

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    2. En 2016, 20mn.fr essayait d'être optimiste et titrait Pourquoi le Rafale, ancien avion maudit, se vend désormais comme des petits pains et suggerait que François Hollande était le meilleur superviseur de ventes d’armes que la France ait connu. Sous son mandat l’avion de combat omnirôle du multimilliardaire Serge Bloch a été vendu à 24 unités pour l’Egypte, 24 unités pour le Qatar et 36 unité pour l’Inde.

      - Rappelons que le programme RAFALE date des années 1970 et qu'il devait être européen.
      - Rappelons que la France a trahi ses partenaires en 1985 pour favoriser le juif Charles Bloch, ci-après Dassault.
      - Rappelons que le protoype Rafale vole en 1986 et le programme judéo-français est lancé en 1988.
      - Rappelons que le monoplace Rafale, puis sa version marine volent en 1991 et la version biplace en 1993.

      Le problème est que cet appareil est fabriqué exclusivement en France, que son moteur est fabriqué en France, que ses armes proviennent de France, que sont radar provient de France et que même son carburant provient de France. Cet appareil a été conçu pour les besoins autarciques de la France, ce qui est positif pour l'emploi et le maintien des capacités technologiques en France. Mais le Rafale subit plusieurs types de concurrences :

      - la concurrence française du Mirage 2000-5, bien plus rapide, qui ne reçut pourtant jamais le Radar AESA qu'il méritait.
      - la concurrence européeenne des anciens partenaires, qui développèrent des appareils plus adaptés, sinon plus performants.
      - la concurrence américaine ou russe, qui produisait des appareil plus compétitifs

      C'est pour cette raison que François Mitterand ne réussit jamais à exporter cet appareil omnirole taillé pour l'armée française. Michel Roccard le traitait d'ailleurs de désastre économique majeur.
      C'est pour cette raison que Jacques Chirac ne réussit jamais à exporter cet appareil omnirole taillé pour l'armée française. Une proximité malsaine avec Dassault l'obligea à continuer dans cette voie sans issue.
      C'est pour cette raison que Nicolas Sarkosy ne réussit jamais à exporter cet appareil omnirole taillé pour l'armée française.

      MAIS FRANCOIS HOLLANDE est un héros national, car il a réussi à exporter 84 Rafale, soit 24 en Egypte, 24 au Qatar et 36 en Inde.

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  14. Pour faire face à la crise migratoire en Europe, il nous faut absolument une nouvelle politique d'immigration. En effet, malgré les efforts de diverses organisations les personnes handicapées continuent de connaître de gros problèmes d'accès au marché du travail. En Suisse, plus d'une personne sur deux en situation de handicap est exclue du monde du travail, car la Confédération s'est trop longtemps concentrée sur l'asile au détriment de la population indigène. Le problème de la libre circulation avec l'Europe fait que de plus en plus de citoyens autochtones sont purement et simplement ignorés par l'économie, qui peut recruter librement des étrangers pour toutes les tâches demandant une certaine endurance. Le résultat est que des tensions apparaissent entre les immigrants économique et les résidents séculaires. Les personnes qui rejoignent notre pays ammènent leurs coutumes, leurs langues et leurs religions avec eux, qui ne sont pas toujours acceptées librement. La conséquence est que ces personnes étrangères se regroupent dans des centres privés et ne s'intègrent pas. Elle parlent rarement le suisse-allemand et sont rarement protestantes. De plus elles partent souvent en villégiature dans le pays qu'elles ont fui, même avec un statut de réfugiées.

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    3. Posté par Jim le 14 mars 2017 à 12h53

      Les socialistes veulent la suppression des frontières ! Or c'est exactement ce que veulent les Ultra-libéraux et les Ultra-riches.

      En effet, le projet de suppression des frontières est un projet capitaliste, réussi en Europe avec la suppression des frontières pour les capitaux. Le capitalisme a soif de toujours plus de marchés et toujours plus de capitaux. La marchandisation, la monétarisation et la mondialisation sont des crédos libre-échangistes.

      Les néo-libéraux sont pour tout libéraliser et détruire tout le tissu social qu'ont mis des siècles a élaborer nos ancêtres. Les armées seront privées et pourront se retourner contre les citoyens. L'accès à l'eau sera privatisé et réservés au plus riches. Sans États, sans protection sociale, sans frontière et sans armée, nous allons nous retrouver comme en Afrique ou en Amérique du Sud.

      La suppression des nations entraîne la suppression des frontières, la suppression des règles, la suppression de la démocratie et l'instauration de la loi de la jungle.

      La suppression des Etats, avec la protection sociale qu'ils apportent est un leimotiv des milliardaires, car sans protection les travailleurs seront démunis contre le patronat et devront travailler à n'importe quel prix.



      Que les socialistes essaient donc d’aller s’installer en Arabie Saoudite ou en Chine: ils verront alors, empiriquement, que ces pays n’ont aucune intention de supprimer leurs frontières.

      Les socialistes et les gauchistes sont tellement fatigants. Apparemment, on ne leur a appris que des idioties dans nos écoles bourrées d’enseignants ignorants. Avant de maîtriser la loi de l'offre et de la demande, le calcul d'un prix de revient, ces idiots devraient se taire.

      L’idiot est une sorte d'autiste, car étymologiquement c'est celui qui vit dans un univers " privé "(idion, en grec ancien), c’est-à-dire dans un domaine mental fermé, sans commune mesure avec les réalités du monde qui l’entoure.

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  15. Les petits Français avaient offert à la Confédération de payer 18 avions de combat Rafale pour 2,7 milliards de francs. C'est 1.5 millions de francs / appareil, sans compter le changement de tous les missiles, de tout l'armement, la reconstruction de tous les hangars. On aurait été obligé de changer de doctrine et d'arrêter l'armée de milice. On aurait été obligé d'acheter des portes-avions, des catapultes à vapeur, des bombes atomiques. On aurait été obligé de décoller avec la PC allumée et de passer le mur du son avec la PC allumée.

    Heureusement le Conseil fédéral ne s'est pas laissé enfumé et a choisi 22 JAS-39 Gripen E, qui non seulement atteignent Mach 2, mais décollent des autoroutes avec du biocarburant si nécessaire.


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    1. 1.5 millions pour la Suisse, 1.4 millions pour la France, 1.2 millions pour l'Egypte et combien de millions pour l'Inde ? Monsieur Dassault se fout du monde.

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  16. Au total, en comptant les frais d’asile imputables à l’Aide publique au développement (APD), 3,51 milliards de francs ont été consacrés à l’Aide publique au développement suisse en 2016

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  17. La RTS coûte 1.3 milliard chaque année au peuple suisse et cela est un scandale.

    Je refuse de payer pour me faire influencer. Je paie pour que l'on m'informe et pas pour que l'on me lave le cerveau. La RTS a pris parti contre Blocher, contre l'UDC, contre l'économie, contre le progrès et bien sur contre l'armée.

    La RTS ne s'attaque pas aux églises, ne s'attaque pas aux frontaliers et ne s'attaque pas à l'Europe.

    Je voterais OUI à NO Billag, car cela devient intenable ! surtout pour les petits budgets.

    La RTS emploie trop d'étrangers et trop de Genevois. La RTS ne représente pas le peuple.

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  18. Non aux milliards pour la RTS
    Non aux milliards pour l'UE
    Non aux milliards pour l'Aide au développement


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    1. Coût annel de l'aide sociale : 3.5 millards
      Coût annel de 22 Gripen : 0.3 millards, soit 11,6 fois moins

      Coût annel de l'aide sociale : 2.6 millards
      Coût annel de 22 Gripen : 0.3 millards, soit 8,6 fois moins

      Coût annel de la RTS : 1.3 millards
      Coût annel de 22 Gripen : 0.3 millards, soit 4,3 fois moins

      Coût d'une visite de Junker : 1.3 millards
      Coût total de 22 Gripen : 3.1 millards, soit 2,4 fois plus

      Pour la seule visite de Junker, on aurait pu se payer 9 Gripen
      Pour le coût une année de fonctionnemnt de la RTS, on aurait pu se payer 9 Gripen

      10% des Suisses sont pauvres, car le taux d'étrangers est de 50%

      le taux de chomage est de 3%, car le taux d'étrangers est de 50%

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  19. Plus d'un milliard de rançon qui crispe la relation CH-UE

    Nouveau regain de tensions entre la démocratique Berne et l'antidémocratique Bruxelles. La Commission européenne conditionne désormais le

    développement des relations bilatérales au renouvellement du milliard de cohésion de la part de la Confédération.

    Depuis 2007, la Suisse a alloué environ un milliard de francs aux dix Etats arrivés dans l’Union en 2004 (Chypre, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Malte,

    Pologne, République tchèque, Slovaquie, Slovénie). Elle le fait toutefois de manière volontaire et autonome, à travers ses propres programmes de coopération.

    La désillusion est cruelle dans le camp des adorateurs béats de l’Union européenne (UE). Ils commencent à réaliser que 22 cantons unis démocratiquement ne

    peuvent lutter contre 26 pays unis de force dans un système totalitaire. Le CF a accordé une fois de plus 1.3 milliard à l'UE, sans obtenir une contrepartie

    notable de Bruxelles, comme si la majorité du gouvernement plaçait les intérêts de l'UE au-dessus de ceux de son propre pays.

    Comment expliquer autrement la décision du Conseil fédéral de verser une fois de plus 1,302 milliard de francs d'argent des contribuables à l'UE sans obtenir

    une contrepartie d'une valeur au moins approchante? Et comme si cela ne suffisait pas, la présidente de la Confédération Doris Leuthard a confirmé la volonté

    du CF de conclure un accord-cadre sur la reprise automatique de droit et la reconnaissance de juges UE, traité qui fera de la Suisse une colonie du monstre

    bureaucratique et antidémocratique bruxellois.

    Cette somme correspond à ce que nous coûte la RTS annuellement ou au prix de 9 Gripen E, que nous avons refusé.

    NON à BILLAG | NON à l'UE | NON au juges étrangers | NON à l'immigration de masse

    De l'argent pour nos retraites et du travail pour les Suisses

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    1. Un Vaudois dirigera l'AELE dès septembre 2018

      L’Association européenne de libre-échange (AELE) a été fondée le 4 janvier 1960, suite à la signature de la Convention de Stockholm. L’accord est entré en vigueur le 3 mai 1960. La Suisse, avec le Danemark, la Grande-Bretagne, la Norvège, l’Autriche, le Portugal et la Suède, figure parmi les sept membres fondateurs. La conclusion manquée d’une vaste zone de libre-échange en Europe occidentale et la création de la Communauté économique européenne (CEE) par le Traité de Rome en 1957 furent des éléments décisifs pour l’instauration de l’AELE.La Suède a quitté l'AELE pour rejoindre l'Union européenne en 1995, mais les fascistes européens veulent l'obliger à rejoindre la zone Euro. Toutefois, un des critères pour adopter l'Euro est d'être membre du MCE II pendant deux ans minimum. La Suède a décidé de ne pas rejoindre le MCE II, et par conséquent sa monnaie n'est pas liée à l'euro. Même si le gouvernement souhaitait devenir membre du MCE II, tous les partis politiques revendiquent que l'adhésion au MCE II ne doit pas avoir lieu sans un référendum en sa faveur.

      Les critères de convergence (ou « critères de Maastricht » ) sont des critères établis en 1991-1993 par le traité de Maastricht et fondés sur des indicateurs économiques que doivent respecter les pays membres de l’Union européenne candidats à l’entrée dans l’Union économique et monétaire européenne, la zone euro. Une fois entrés, les pays membres doivent continuer à respecter ces critères, sous peine d’avertissements puis de sanctions. Le respect de ces critères est jugé nécessaire à la réussite du pacte de stabilité et de croissance, pour éviter les phénomènes de « passager clandestin » que les zones monétaires favorisent.

      Ces critères furent établis lors du traité de Maastricht, signés par les membres de l'Union européenne le 7 février 1992, dans le cadre de la mise en place de l'Union économique et monétaire européenne.

      La Suède satisfait deux des cinq critères de convergence de Maastricht, alors que la Suisse respecte tous les critères

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  20. Le Panavia Tornado à géométrie variable est un appareil d'appui et de pénétration basse capable de Mach 2.3 développé en commun par l'Italie, le Royaume-Uni, et l'Allemagne durant les années 1970. Produit à près de 1 000 exemplaires dans les années 1980, ce redoutable chasseur bombardier a également été exporté vers l'Arabie. Grâce à de multiples ordinateurs, cet appareil est capable de voler à quasiment la vitesse du son à 60 m du sol.

    L'Airbus Typhoon II est un avion de combat multi rôles de la dernière génération, développé en partenariat entre l’Angleterre, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne. Commandé à près de 750 exemplaires, il a ce jour, été livré à sept clients ; Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Espagne, Autriche, Arabie Saoudite, Sultanat d'Oman et Koweit. Capable de Mach 2.2, l'Airbus Typhoon II a été concu comme un appareil d'interdiction et de supériorité aérienne travaillant en binome avec le Panavia Tornado à géométrie variable.

    Le F-35 furtif est capable de décollage/atterrissage court ou vertical à partir de porte-avion et est déjà utilisé par les Etats-Unis, l'Australie, Israel, le Japon et la Turquie. En Europe, le Lockheed-Martin F-35 Lightning II est déjà utilisé par l’Angleterre, l’Italie, le Danemark, les Pays-Bas et la Norvège.

    En Europe, l'Allemagne, l'Angleterre, l'Italie et l'Espagne envisagent à terme de remplacer leur Panavia Tornado à géométrie variable par des Lockheed-Martin F-35 Lightning II. Mais leurs Airbus Typhoon II resteront l'épine dorsale de leur défense et recevront encore des améliorations. L’Angleterre et l’Italie se retrouvent donc en attente du standard T3 de leurs Eurofighter, ce qui intéresse également l’Allemagne, qui disposera d’ici 2025 d’une flotte unique d’Eurofighter.

    La Suisse devra opter entre le Typhoon II, le F-35, le Gripen E ou le SuperHornet E/F

    Le Typhoon, employé par tous nos voisins, a le meilleur taux de montée, la meilleure accélération et le meilleur taux de roulis, mais il est cher.

    Le F-35, commandé par des pays comparables à la Suisse, est furtif et décolle verticalement, mais il est encore plus cher.

    Le Gripen, produit par un pays neutre reste le meilleur choix, avec une vitesse qui dépasse Mach II, un radar AESA superperformant, des capacités STOL et une robustesse éprouvées, tous cela pour un prix inférieur de moitié à ces concurrents.

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    1. La société civile s'oppose à la société politique dans les démocraties imparfaites. alors que le peuple constitue la société civile dans les vraie démocraties.
      Les élites constituent la société politique dans les démocraties imparfaite, qui s'oppse au peuple. Les élites parlent de populisme dés qu'une décision démocratique prise par le peuple va a l'encontre des décisions élitaires.

      C'est exactement ce qui s'est passé avec l'Union Européenne; Un tout petit nombre de personne a pensé prendre le pouvoir sans avoir a être élu. Ces gens ont créé un organe supranational qui petit à petit grignote les prérogatives attribuées aux gouvernements légalement élus. Pire, ce groupement autoproclamé peut prendre des décisons sans en référer au peuple et peut mettre certains pays au ban de la société.

      Nos sociétés européennes sont retournées au Moyen Age ou le Pape autoproclamé pouvait décidé de la légitimité de tel ou tel souverain. La France, en temps que bon élève a réussi a donné une forme hexagonale à son territoire au fil du temps.





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    2. Comme au Moyen Age, les citoyens suisse sont assujettis à un impôt inique.

      Que les citoyens suisses écoutent ou pas les émissions de la RTS, que ces émissions leurs plaisent ou pas, ils sont astreints à s'aquitter d'une taxe de près de 450.- fr. pour avoir le droit de capter les programmes radio-diffusés.

      Le jeu d’équilibriste que la SSR joue dans ce débat démontre sa grande nervosité et tend également à confirmer la véracité des arguments de ses contradicteurs quant à son absence de neutralité.

      Il est évidemment compliqué de défendre ses intérêts tout en respectant le devoir de réserve que lui impose sa fonction publique.

      Cependant, la SSR a décidé de déclarer la guerre aux initiants en multipliant les attaques, souvent très émotionnelles et peu factuelles, soulignant par ce fait ses faiblesses et son incapacité à se remettre en question. Plus que sa partialité, on reproche généralement à la RTS de coûter 1.3 milliards par an à la population suisse, doit l'équivalent de 8.5 JAS-39 Gripen E tout équipés.

      Pour essayer de se défendre, la RTS prétend que les accidents de la route coutent 4.2 milliards par ans à la population Suisse en se basant sur des analyses de la Police et du TCS.

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    3. Je n'écoute plus la RTS, car ils s'acharnent contre Trump.
      Je n'écoute plus la RTS, car ils s'acharnent contre le Gripen.
      Je n'écoute plus la RTS, car ils s'acharnent contre Blocher.
      Je n'écoute plus la RTS, car ils s'acharnent contre la BNS.
      Je n'écoute plus la RTS, car ils s'acharnent contre la BNS.


      Les journalistes de la RTS sont absolument incapables d'informer le peuple suisse de manière neutre et impartiale. Ils sont obligés de ramener leur point de vue de gauchistes genevois. Ils sont exaspérants et si je voulais écouter une radio française, je me brancherais sur la France.

      Les journalistes de la RTS font pitié, absolument incapable de prononcer un nom suisse. Ils n'ont aucune connaissance d'économie, ni de politique, ni de physique, ni de biologie..... bref, il font pitié.

      Il ne savent parler que de littérature, de religion et de psychologie, c'est fout ce qu'il sont barbants. Vivement que cette RTS catastrophique disparaisse.

      PS : du danger de la surpopulation étrangère, ils en parlent pas évidement.
      du danger de l'Union Européenne, ils en parlent pas évidemment.
      du danger des Musulmans, des végétariens, ils en parlent pas évidemment.

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    4. Les Genevois et les Socialistes essaient de faire croire que l’initiative No-Billag veut supprimer la SSR. C'est de la désinformation, car seule la redevance est visée par l'initiative, pour offrir une diversité d'information au peuple suisse. Les gens de la SSR ont en effet oublié leur déontologie professionnelle et présentent systématiquement une seule face du problème. (nous ne reviendrons pas ici sur l'échec du remplacement des F-5 Tiger II, ni la votation sur la surpopulation étrangère)

      Les Genevois et les Socialistes essaient de faire croire que sans la redevance Billag, la cohésion nationale serait mise en danger, alors que cette cohésion repose sur le partage de valeurs et des intérêts communs. Au contraire, la RTS exerce des coercitions sur le peuple suisse mieux créer des tensions. la RTS critique des valeurs communes typiquement suisses comme les banques, l'armée, la Migros ou la Coop. Alors que le peuple suisse a voté par trois fois contre l'Union Européenne antidémocratique et ultralibérale, la RTS s'obstine à nous présenter des commentateurs venus de l'étranger, de la France notamment. La RTS n'essaie pas de nous présenter les autres parties du pays comme des alliés, mais comme de adversaires. On entend des phrases du type : tel canton est mauvais, car il vote UDC; tel canton est mauvais, car il baisse les impôts; tel canton est canton est mauvais, car il refoule les étrangers. La RTS essaie de culpabiliser le citoyen suisse de vouloir la liberté, la démocratie et l'indépendance.

      Je n'ai jamais entendu la RTS vanter les mérites du président Trump ou du président Poutine, alors qu'ils ont été démocratiquement élus. Je n'ai jamais entendu la RTS vanter les mérites de l'UDC ou du PLR, alors que ces partis font avancer la Suisse. La RTS est plutôt du côté du PSS et du PDC, qui sont les champions de la gestion des dépenses, mais qui sont incapable de créer de la richesse. Comme les entreprises néolibérales, la RTS ne va jamais engager un chômeur suisse ou un handicapé suisse. Au contraire, elle va engager du personnel étranger incapable de prononcer nos langues et de comprendre nos accents.
      Alors que les PTT ont évolué et que les CFF ont évolué, la RTS continue de vivre dans l'euphorie des 30 glorieuses et adopte une démarche arrogante pour maintenir ses privilèges. Elle dépend de la Confédération, mais elle critique la composition et les décisions du Conseil Fédéral. Elle ne comprend pas l'économie et se permet de critiquer les décisions de la Banque Nationale. Elle dépend du peuple, mais elle s'autorise à critiquer ses décisions de votations. Par contre, la RTS ne va jamais critiquer la politique néocoloniale de la France, ou les discours paternalistes du Pape catholique.

      En effet. la RTS se permet de faire de la politique avec notre argent et ne se contente pas de nous informer :
      Premièrement, la RTS est pour les catholiques, car elle continue de diffuser les messes du pape et a fêté l'arrachement du Jura au canton de Berne.
      Deuxièmement, la RTS est contre les peuples, car la RTS était pour l'annexion de l'Ukraine par l'UE, mais contre l'indépendance de la Catalogne, de la Corse ou du pays basque.
      Troisièmement, la RTS est liberticide, car elle a pris parti de l'Espagne contre l'indépendance de la Catalogne, elle a pris parti de l'Europe contre l'indépendance de l'Angleterre et elle a pris parti de la France contre l'indépendance de la Corse.

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  22. Dassault n'a jamais greffé de voilure à géométrie variable sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, mais Dassault a greffé une voilure en flèche sur sa cellule de Mirage pour créer le Mirage F1 de pénétration.

    Dassault n'a jamais greffé de décollage vertical sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, mais Dassault a greffé une voilure en flèche sur sa cellule de Mirage pour créer l'Etendard navalisé.

    Dassault est resté fidèle à la voilure delta sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, car c'était la meilleur manière d'atteindre des vitesse élevée, au détriment de la maniabilité.

    Le Rafale avait été développé à partir du Mirage 4000 à voilure delta, cependant.
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour améliorer sa stabilité à faible vitesse et pouvoir atterrir sur un porte-avion
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour améliorer son assiette de vol à faible vitesse et pouvoir faire de l'appui sol.
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour abaisser sa vitesse d'atterrissage et pouvoir atterrir sur un porte-avion
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour abaisser sa vitesse de décollage et pouvoir décoller d'un porte-avion

    Dassault n'a jamais greffé de furtivité sur sa cellule de Rafale, elle même dérivée de la cellule du Mirage. Dassault a placé ses ailerons canards très proche des ailes principale en les utilisant comme équilibreur, pour garder le comportement d'une voilure delta.

    Le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon II utilisent des vrais canards, porteurs, qui leur permettent une meilleure maniabilité, un décollage plus court, un atterrissage plus court grace à la fonction aerofrein et une meilleure maniabilité en vol.

    Mais tout ceci risque de changer en 2025, car Dassault pense développer le Rafale IV :

    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra dialoguer avec les troupes au sol
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un nouveau système radio
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra dialoguer avec les satellites
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d’une architecture en couche.
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un viseur de casque
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un radar RBE2 AESA amélioré
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un décodeur IFF optimisé
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'une optronique secteur frontal (OSF) profondément revue
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté le système de guerre électronique Spectra évolué
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté de capacités de leurrage électromagnétique et infrarouge accrues
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra lancer le Meteor
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra utiliser l’AASM
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV aura un moteur M-88 amélioré.

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  23. Dassault n'a jamais greffé de voilure à géométrie variable sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, mais Dassault a greffé une voilure en flèche sur sa cellule de Mirage pour créer le Mirage F1 de pénétration.

    Dassault n'a jamais greffé de décollage vertical sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, mais Dassault a greffé une voilure en flèche sur sa cellule de Mirage pour créer l'Etendard navalisé.

    Dassault est resté fidèle à la voilure delta sur sa cellule de Mirage, elle même dérivée de la cellule de l'Ouragan, car c'était la meilleur manière d'atteindre des vitesse élevée, au détriment de la maniabilité.

    Le Rafale avait été développé à partir du Mirage 4000 à voilure delta, cependant.
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour améliorer sa stabilité à faible vitesse et pouvoir atterrir sur un porte-avion
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour améliorer son assiette de vol à faible vitesse et pouvoir faire de l'appui sol.
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour abaisser sa vitesse d'atterrissage et pouvoir atterrir sur un porte-avion
    Le Rafale avait adopté la voilure du SAAB Viggen pour abaisser sa vitesse de décollage et pouvoir décoller d'un porte-avion

    Dassault n'a jamais greffé de furtivité sur sa cellule de Rafale, elle même dérivée de la cellule du Mirage. Dassault a placé ses ailerons canards très proche des ailes principale en les utilisant comme équilibreur, pour garder le comportement d'une voilure delta.

    Le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon II utilisent des vrais canards, porteurs, qui leur permettent une meilleure maniabilité, un décollage plus court, un atterrissage plus court grace à la fonction aerofrein et une meilleure maniabilité en vol.

    Mais tout ceci risque de changer en 2025, car Dassault pense développer le Rafale IV :

    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra dialoguer avec les troupes au sol
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un nouveau système radio
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra dialoguer avec les satellites
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d’une architecture en couche.
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un viseur de casque
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un radar RBE2 AESA amélioré
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'un décodeur IFF optimisé
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté d'une optronique secteur frontal (OSF) profondément revue
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté le système de guerre électronique Spectra évolué
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV sera doté de capacités de leurrage électromagnétique et infrarouge accrues
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra lancer le Meteor
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV pourra utiliser l’AASM
    En 2025, pour rivaliser avec le JAS-39 Gripen E et l'Airbus Typhoon, le Dassault Rafale IV aura un moteur M-88 amélioré.

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    1. La bataille pour le futur appareil de combat de l'armée fédérale a déjà commencé et les Français ont déjà commencé leur lobbyisme à Sion 2017.

      Alors que le CF a déjà choisi le JAS-39 Gripen E, d'autres acteurs se profilent sur le marché. Les tests ont prouvé que l'Airbus Typhoon II est l'appareil qui conviendrait le mieux à l'armée suisse (meilleure vitesse, meilleure accélération, meilleur taux de montée et meilleur taux de roulis). Mais le SAAB JAS-39 Gripen E est le plus polyvalent (meilleure vitesse, meileur prix, meilleure compatibilité, meilleur radar et meilleure avionnique).

      Les Américains arrivent sur le marché avec leur F-35 Lightening II (furtivité et décollage vertical) et leur F/A-18 E/F Hornet. Mais le nouveau Hornet a le même problème de taille que le Rafale, il ne peut utiliser les infrastructures existantes. (cavernes, autoroutes, miliciens, biocarburant) et plafonne à Mach 1.6.

      Avantages :
      ========
      Vitesse :..................................Gripen................Typhoon
      Accelération :.............. ............Lightning............Typhoon
      Radar :....................................Gripen................Typhoon..............Lightning
      Maniabilité :.............................Gripen................Typhoon..............Lightning
      Compatibilité (prix) :................Gripen
      Compatibilité (carburant) :.......Gripen
      Compatibilité (armement) :......Gripen................Typhoon..............Hornet
      Compatibilité (milice) :.............Gripen
      Compatibilité (infrastructure) :..Gripen................Typhoon..............Lightning

      Inconvénients :
      ===========
      utilisation de porte avion :.........Lightning..............Hornet.................Rafale
      orientation bombardier :...........Lightning..............Hornet.................Rafale
      bombes atomiques :................Lightning..............Hornet.................Rafale


      A la lecture de ces chiffres, on voit que le SAAB JAS-39 Gripen E, déjà choisi par le Conseil fédéral pour ses qualités et sa compatibilité avec notre pays, remporte tous les suffrages. Mais l'Airbus Typhoon II le talonne de près et le Lightening paraît une éventualité prometteuse, d'autant plus que tout deux sont utilisé par nos voisins immédiats (Italie, Autriche, Allemagne et Angleterre).

      Le remplaçant de nos Hornet et trop gros pour nos cavernes, trop orienté bombardement et trop orienté porte-avion.

      Le problème de la Confédération est qu'elle veut un appareil
      =====> capable d'atteindre Mach 2,
      =====> capable de brûler du biocarburant,
      =====> capable de supercruise,
      =====> capable de décoller d'une autoroute sans assistance,
      =====> capable d'être opéré par des miliciens,
      =====> capable d'utiliser nos cavernes alpines,
      =====> capable de tirer de l'armement américain et européen,
      et tout cela pour le prix le plus bas possible.

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  24. Dépenser dix milliards pour la RTS, qui est d'une partialité écoeurante, est une aberration !

    Normalement, c'est aux enfants qu'on doit expliquer que "Non, c'est non !" mais le peuple suisse a déjà voté non à l'UE, Non à l'EEE, Non aux frontaliers, Non au 40 tonnes, Non aux produits transgéniques, Non aux minarets, Non aux homosexuels, Non à la traversée des Alpes.......

    Mais la classe gouvernementale fait comme si de rien n'était : les 40 tonnes circulent, les frontaliers travaillent, les étrangers touchent des subventions, les Européens traversent la Suisse et les Homosexuels s'affichent dans la rue.

    Cela vient qu'une nouvelle classe de dirigeants est apparue (des ouvriers catholiques et des immigrés catholiques à qui on a payé des études), qui ne voient pas la situation telle qu'est l'est, mais croient dur comme fer à ce qu'ils ont appris dans les livres. Ces éduqués supérieurs ne remettent pas en cause la répartition des richesses, mais s'entendent bien pour définir ce qui doit être politiquement correct. Politiquement correct au niveau linguistique, mais également au niveau des institutions. En bref, ils détiennent la vérité et la connaissance.

    Pas de mal aux animaux, pas de mal aux étrangers, pas de gros mots, MAIS LES SUISSES PEUVENT MANGER DES PATATES TOUT LES JOURS OU CREVER DE FAIM !

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    1. La Suisse est l'un des pays qui compte la plus forte proportion de non-nationaux sur son sol. Les non-confédérés représentent plus de 2 millions et représentent un quart de la population totale du pays.

      La Suisse avec 8 millions d’habitants a la même immigration que la France avec ses 65 millions d’habitants.

      La Suisse est 8 fois plus généreuse que la France en terme d'immigration. C'est comme s'il y avait 16 millions d'Arabes en France, que diraient les Français ?


      La Suisse avec 8 millions d’habitants dépense 3.5 milliards pour l'aide au développement, alors que que la France avec ses 65 millions d’habitants ne dépense que 8 milliards.

      La Suisse est 8 fois plus généreuse que la France en terme de contribution. C'est comme si la France dépensait 28 milliards pour l'aide au développement, que diraient les Français ?


      148'143 immigrés français sont inscrits à Genève et 31'665 sont inscrits à Zurich, doit 180'000 immigrés français.

      En 2017, le nombre de frontaliers a augmenté à 320'000 individus, dont 160'000 Français.

      On peut dire qu'en Suisse, 340'000 Français prennent la place de 340'000 Confédérés.

      Les statistiques du chômage ne le reflète pas, car le chômage est limité à 2 ans et après les Suisses tombent aux services sociaux.

      Les services sociaux coûtent 2.6 milliards par année au peuple suisse, alors que la RTS coûte 1.3 milliards par année au peuple suisse.

      La RTS n'est occupée que par des étranger et des bi-nationaux. Il faux cesser cette hypocrisie.
      ----------------------------------------------------------------------------------------------------
      OUI à NO-BILLAG le 4 mars


      ( le Gripen n'aurait coûté que 0.3 milliards annuel pendant 11 ans)
      ( la seule visite de Junker a coûté 1.3 milliards sans contrepartie)


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    2. Cher administrateur,

      Les Français en plus d'emmerder les Suisses, prennent 340'000 places de travail et coûtent 2.6 milliards par an à la Confédération. En poursuivant le raccourci saisissant que vous opérez :

      180'000 immigrés français + 160'000 frontaliers français + un nombre incalculable de naturalisés français donnent 340'000 français, qui font monter le chômage à 3.1% et coûtent 2.6 milliards annuels à la Confédération.

      En poursuivant votre raisonnement erroné, chaque Français touche donc indûment 7'647 de la Confédération.

      Mis vous ne tenez pas compte des autres étrangers et des Confédérés, qui touchent l'assurance chômage pour de justes motifs.

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  25. Les Genevois demandent des milliards pour la traversée de la Rade....
    Les Genevois exagèrent
    Les Genevois demandent des milliards pour la prolongation de la ligne CFF en France....
    Les Genevois exagèrent
    Les Genevois demandent des milliards pour la RTS.... Alors, que cette RTS serait bien mieux à Lausanne !
    Les Genevois exagèrent
    Les Genevois demandent les milliards de FORTA.... Alors qu'il ont déjà le CEVA et l'autoroute de contournement....
    Les Genevois exagèrent


    Les Genevois demandent des milliards alors qu'ils ne font rien contre les étrangers.....
    Les Genevois demandent des milliards alors qu'ils ne font rien contre les frontaliers.....
    Les Genevois demandent des milliards alors qu'ils ne font rien contre les immigrés.....
    Les Genevois demandent des milliards alors qu'ils ne font rien contre les réfugiés.....
    Les Genevois demandent des milliards alors qu'ils ne font rien contre les français.....

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  26. année noire pour la Confédération helvétique
    --------------------------------------------

    La Confédération helvétique compte 23 états, qui y ont adhéré démocratiquement.
    L'UE compte 26 états, qui n'y ont pas adhéré de manière démocratique.
    L'ONU compte 193 états, qui n'y ont pas adhéré de manière démocratique.

    En 2002, notre confédération s'abîmait dans le marécage mondialisant de l'ONU et des Bilatérales.
    En 2017, les lobbyistes d'hier trouvaient à se féliciter que rien d'essentiel ne soit arrivé. En effet, rien de grave, mais rien d'utile non plus.
    Il semble que cette adhésion ne fut qu'une étape, comme tant d'autres, vers toujours plus de dépendance et de soumission au nouvel ordre international.
    Il apparaît de plus en plus que la fin de notre neutralité souveraine, se profile comme l'abandon du recours systématique à la démocratie directe.


    En novembre 2017, le président non élu Junker nous fait la grâce de saluer le bon peuple suisse contre la promesse du versement de 1.3 milliards.
    En novembre 2017, le bailli Juncker impose un contrat colonial, qu'il nomme accord d’amitié pour soumettre la Suisse à la Cour de justice de l’UE.
    En décembre 2017, le président non élu Moscovici remet la Suisse sur une liste grise des Etats voyous en raison de sa démocatie.
    En décembre 2017, le président non élu Moscovici retire à la Suisse sa reconnaissance d’équivalence pour sa Bourse dans les 12 mois.


    Or la Suisse est le seul des 193 états membres de l'ONU et des 26 membres de l'UE dont le peuple a pu s'exprimer quant à son adhésion.
    Cela jette un regard critique sur le fondement démocratique de cette tour de Babel politique que sont l'Organisation des Nations-Unies et l'Union Européenne.

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  27. Après le refus populaire d'acheter 22 avions de combat JAS-39 Gripen E/F pour remplacer les 54 F-5 E/F Tiger II de l'armée, une commission d’experts a été chargée d’évaluer les besoins de la Confédération en matière de défense aérienne.

    Comme notre armée devra remplacer au cours de la prochaine décennie, non seulement ses F-5 Tiger mais aussi les 30 F/A-18 C/D Hornet, les experts ont présenté quatre options différentes :

    - 5 milliards pour 20 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 15.000 km2 avec modernisation des F/A-18 Hornet.

    - 8.5 milliards pour 30 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 45.000 km2 et abandon des F/A-18.

    - 9 milliards pour 40 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant la surface du plateau suisse.

    - 18 milliards pour 70 appareils de combat + un système de défense sol-air couvrant 45.000 km2

    Pour assurer une présence permanente dans les airs d'au moins quatre avions pendant au moins quatre semaines, 40 appareils sont nécessaires. 8 milliards sont à disposition et le nombre d’avions nécessaires era inversement proportionel à la puissance de la défense sol-air.

    Cinq types d'appareils et trois type de DCA sont en lice, mais Avions et défense sol-air ne doivent pas forcément être acquis auprès du même pays ou de pays différents.
    En terme de coût et d'efficacité, l'appareil choisi par le Conseil Fédéral est logiquement le JAS-39 Gripen E

    - Cet appareil est le plus moderne et le plus compatible avec notre armée.
    - Cet appareil atteint Mach II.
    - Cet appareil est doté du meilleur radar AESA, ouvrant de 100° à gauche et à droite.

    A priori, le seul appareil qui ne convient pas est le Rafale Français :

    - Le Rafale français est un biréacteur lent, alors que non avons besoin d'un monoréacteur rapide.
    - Le Rafale français peut atterrir sur un porte-avion alors que la Confédération n'a pas de porte-avion.
    - Le Rafale français ne peut emporter des bombes atomiques alors que la Confédération n'a pas d'ogive nucléaire.
    - Le Rafale français ne dispose pas d'un casque de visée.
    - Le Rafale français ne peut faire de supercruise.
    - Le Rafale français ne peut tirer le Meteor.
    - Le Rafale français ne peut utiliser les cavernes alpines du Tiger ou du Hornet.
    - Le Rafale français dépasse le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement.
    - Le Rafale français ne décolle pas sans PC et ne vole pas en supersonique sans PC.
    - Le Rafale français est incapable de lancer des missiles des Tiger ou des Hornet.
    - Le Rafale français ne décolle pas depuis nos autoroutes.
    - Le Rafale français n'est pas opérable par une armée de milice.
    - Le Rafale français ne dispose pas d'un aussi bon radar que le JAS-39 Gripen E.
    - Le Rafale français n'est pas assez manoeuvrable pour le combat tournoyant en vallée alpine.
    - Le Rafale français ne peut brûler du biocarburant produit localement.

    Le Rafale français est légérement en retrait du F/A-18 Hornet dont dispose déjà l'armée fédérale.

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    1. Le Rafale français ne décolle pas sans PC et ne vole pas en supersonique sans PC
      Ce n'est pas totalement exact, les procédures de vol françaises empêche l'appareil de décoller sans PC. Les essais de vol en supercruise ont engendré un consommation excessive de carburant et ont été interdit. Le Rafale est théoriquement capable de voler au dessus de Mach 1 sans PC, mais cela provoque des surchauffe moteur et des risques d'embrasement.

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    2. Bob25 mars 2018 à 11:05

      Le Rafale français n'est pas opérable par une armée de milice
      C'est exact, car le Rafale est comme une formule 1. Pour pouvoir accomplir ses prouesses, il doit être accompagné en permanence de trois ingénieurs et de quatre mécaniciens spécialisé pour chaque appareil. Le revers de la médaille de l'extraordinaire versatilité du Rafale est qu'il doit passer le tiers de son temps en révision dans l'atelier. le Rafale affiche un taux de disponibilité de seulement 45%.

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    3. Le Rafale français peut atterrir sur un porte-avion alors que la Confédération n'a pas de porte-avion
      C'est exact, la Confédération ne touche même aucune mer. Nos 30 F/A-18 C/D ont cette même capacité, mais cela ne sert à rien. Le Rafale français coûte plus cher que ces concurrents à cause de cette caractéristique.

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