lundi 28 juillet 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Attaques contre la Patrie

 Le remplacement des F-5 Tiger par un nouvel appareil de combat a provoqué des attaques en règle contre notre patrie. Les récentes actions médiatiques entreprises dans le but de nuire à la défense nationale nous montre les buts et les méthodes de certaines personnalités politiques, qui font fi du réalisme le plus élémentaire. Nous devons dénoncer sans relâche leurs déclarations mensongères, ainsi que tout propos faux, incomplet ou biaisé émis par les adversaires de la défense nationale.

  De nombreux socialistes, qui appartiennent pourtant à un parti gouvernemental, ne recherchent rien d'autre que la disparition pure et simple de l'armée en opposant des arguments à la rigueur intellectuelle contestable aux leçons de l’histoire et du présent. C'est ce qu'ont admis implicitement des représentants socialistes à la RSR au sujet des achats militaires et il n'est pas rare que des gens des partis de gauche ne réclament, à coups de déclarations démagogiques et agressives, des réductions budgétaires visant la défense confédérale. Certains se permettent même de traiter nos chefs militaires d'incapables dont on ferait bien de contrôler et d'entraver les actions criminelles.

  Alors que le Département de la Défense dispose toujours du droit d'entreprendre des travaux sans mise à l'enquête publique, le Groupement pour une Suisse sans armée(GSsA), s’est permis d'entraver légalement un chantier du DMF, alors que plus de trois milliards sont dépensés annuellement dans l'aide au développement, sans contestation. Cependant, malgré des arguments souvent fallacieux, les résultats des consultations populaires ont clairement montré la volonté des Suisses de maintenir leur neutralité armée. Alors que la Confédération est quotidiennement en butte aux attaques de la France, des Etats-Unis ou de l'Europe, le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) parle d'un grand succès pour une politique de paix inexistante. Mais, le peuple suisse est conscient qu'il serait irresponsable de se passer des Forces Armées, même s'il n'a aucune envie de s'en servir.

  Le Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA) se réjouit béatement du rejet de l’achat des nouveaux avions de combat et continue de prétendre que ces appareils allaient coûter 10 milliards de francs au lieu des 3 milliards budgétés. Ces individus peu scrupuleux estiment que le domaine civil avec son nombre croissant de fonctionnaires aurait un besoin urgent de 10 milliards de francs. Evidement que notre défense nationale en ferait les frais, car l’armée et la droite militariste n’ont plus le dernier mot en matière de politique de sécurité. Or, sur quarante ans, ce nouvel appareil de combat n'aurait coûté que 6 milliards, soit le 15% des 120 milliards déboursés pour l'aide au développement dans la même période.

  Les événements qui se déroulent actuellement ä l'Est de l'Europe, au Proche Orient et au Sud sont généralement perçus avec un optimisme béat. De plus des maladresses, parfois au plus haut niveau, ont largement contribué à renverser les rôles: les vainqueurs sont devenus les vaincus, donnant ainsi un nouvel élan aux opposants. II est vain d'espérer que ces milieux renoncent à leurs prétentions. Preuve en est la virulence de la campagne du GSsA contre l'acquisition du Char Leopard, du F/A-18 Hornet C/D ou du JAS-39 Gripen E.

  Les étrangers de Suisse utilisent notre démocratie libérale pour s'emparer de postes important et opèrent un travail de sape insidieux dans les médias. Le dénigrement national porte lentement ses fruits et même nos sportifs engagés aux jeux olympiques ont été victimes de cette critique malintentionnée. Ces attaques sournoises et récurrentes contre notre fédéralisme, notre plurilinguisme, notre démocratie, notre neutralité ou notre secret bancaire ont fait des dégâts difficilement mesurables au sein de la population. La majorité silencieuse est manipulée par les médias et dire la vérité ou son avis devient une attaque intolérable.

  Bien que les buts demeurent inchangés, les méthodes des opposants à un suisse indépendante et neutre ont évolué et le sondage est employé comme moyen de désinformation. Parmi ces moyens, le sondage d'opinion apparait comme l'un des plus pernicieux. Employé dans une période où la tendance est à se poser d'innombrables questions, pas toujours justifiées, il apporte des réponses faciles qui ont la vertu d'être prétendument celles du plus grand nombre et qui trouvent ainsi une légitimité. Dans ces manipulations de l'opinion, des chiffres faussés prêtent à des interprétations tendancieuses. Rien ne permet de juger de l'honnêteté scientifique de tels résultats, surtout lorsque le but du commanditaire est évident.


  Les sondages pseudo-scientifiques établis par des organismes sous influence et réalisé sur un échantillon restreint renforcent toujours la tendance majoritaire. Les médias instillent la croyance populaire d'un fosse entre Suisses alémaniques et Suisses romands, entre Suisses riches et Suisse pauvres et entre Suisses jeunes et Suisses âgés.


Source : Internet (page actualisée le 2014/07/26)

13 commentaires:

  1. Les Confédérés qui ont voté contre le JAS-39 Gripen E pensent que les Français et les Américains sont seuls capables de développer un radar AESA, alors que les Russes détiennent un AESA depuis la fin des années 80 sur le Mig-31. Le premier chasseur occidental à en être doté le sera par les Japonais, sur le Mitsubishi F2 extrapolé du Lockheed Martin F-16 Fighting Falcon. ¨

    Les Confédérés qui ont voté contre le JAS-39 Gripen E n'ont pas compris qu’il s’agissait d’un choix industriel d'ArmaSuisse et du Conseil Fédéral pour assurer l'avenir de la RUAG, dans une moindre mesure pour assurer l'avenir de Pilatus, ou encore pour assurer l'avenir de Stalder Rail.

    Les Confédérés qui ont voté contre le JAS-39 Gripen E n'ont pas compris qu’il s’agissait d'assurer un avenir à la Suisse, aux Forces Aériennes et de procurer du travail, en minimisant les nuisances d’une trop forte dépendance de l’étranger. Ils n'ont pas compris que l'indépendance, la neutralité et la richesse de la Suisse dépendait de cette acquisition.

    Les Confédérés qui ont voté contre le JAS-39 Gripen E n'ont pas de fierté et ne réalisent pas que la base saine du Gripen aurait permis de poursuivre l'aventure avortée du Pilatus P-16. Notre armée aurait pu se doter d'un appareil ultraperformant pour un investissement fort raisonnable.

    Les Confédérés qui ont voté contre le JAS-39 Gripen E ne lisent que des journaux français aux mains des groupes d’armement et ne réalisent pas que le Rafale est le plus monumental échec de la France. En trente années d'existence, cet appareil ne s'est jamais vendu et a du être imposé de force à l'armée française, qui préférait logiquement le Mirage 2000-9 et le F/A-18. Les journaux français ne relatent pas les crashes de 5 Rafales en 5 ans d'exploitation. La France en faillite est d'ailleurs en train de négocier la vente du concept Rafale à l'Inde pour le produire là-bas. L'Inde est en effet intéressée à obtenir un avion en fin de vie pour développer leur collaboration sur le PAK FA russe.

    En dépit des huit longues et onéreuses années d'études qu'ont opérées ArmaSuisse, les Confédérés qui ont voté contre le JAS-39 Gripen E pensent qu'un appareil d'occasion comme les Mirage 2000-9 des Emirat Arabes Unis pourraient tenir 20 ans à un coût moindre que le JAS-39 Gripen E. Mais alors pourquoi ne pas acheter des F/A-18 A/B aux forces espagnoles et les moderniser ? Pourquoi ne pas remettre à niveau nos F-5 E/F Tiger datant de la guerre froide (Korée) ?

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  2. L'échec du Gripen dans les urnes appelle à la réflexion et à une vision globale de notre politique de sécurité, comme l'adaptation de l'organisation et des missions de l'armée selon le rapport de sécurité 2015 du DEVA (Développement de l'armée), car le vote du 18/05/14 questionne sur l'échec et empêche mise à niveau du F-5 E/F Tiger II, achat de Gripen C/D d’occasion ou remplacement de F/A-18 C/D par des Gripen E/F.

    Alors que les Américains se repositionnent stratégiquement en Asie, les événements en Jugoslavie, en Israel, en Syrie, en Crimée et en Ukraine menacent comme les cyber-risques. L'opposition systématique française désarme unilatéralement l'Europe, alors que des murs solides sont nécessaires au système défensif tout autant qu'un toit à l'Armée Suisse. Une défense sol-air robuste et mobile est nécessaire à des forces terrestres bien équipées, mobiles et polyvalentes.

    Toutefois, par le refus du Gripen, le peuple suisse vient de commettre une erreur dont les conséquences vont se faire sentir pendant plusieurs décennies. Alors que ses moyens financiers l'autorisaient à remplacer ses Tiger, la Suisse donne un mauvais signal à ses voisins et à ses partenaires. Sur le plan international, cette décision est interprétée comme un signe de faiblesse politique ou de réticence à faire les efforts nécessaires pour assurer souveraineté et indépendance confédérale. Depuis la fin de la Guerre froide, la Confédération est la cible de nombreuses attaques et dans un contexte international incertain, elle devra négocier nombre de dossiers délicats pour assurer l’avenir de notre place internationale ces prochaines années.

    Sur le plan intérieur, ce succès des opposants à l’armée ne restera certainement pas sans suite, car de simples adversaires du Gripen, les utopistes et les gauchistes, sont devenus des fossoyeurs de la démocratie, de la liberté et de l'indépendance. Socialistes et Verts demandent d’amputer le budget du DDPS des 300 millions d’augmentation accordés par le Parlement. Ils veulent opposer de nouveaux référendums et initiatives aux acquisitions de drones et de missiles antiaériens.

    Les Forces aériennes continueront à être soumises à la cure d’amaigrissement débutée au lendemain de la Guerre froide et l’entrée dans les technologies du XXIe siècle sera repoussée d’une décennie en dépit de la modernisation des F/A-18 des années 1980. Alors que l’acquisition du Gripen aurait en effet permis de disposer de capacités modernes comme le radar AESA, les capteurs passifs, le missile Meteor ou la polyvalence en 2020. Avec le refus d’acheter l’appareil suédois, les Forces aériennes ne disposeront de tels moyens qu’au moment où le F/A-18 sera remplacé, c’est-à-dire vers 2030. Déjà insuffisants en cas de crise, les effectifs des Forces aériennes vont encore diminuer, comme toute notre défense armée depuis déjà 10 ans. Le refus du 18 mai reporte l’achat d’un nouvel avion de combat de plusieurs années, alors que nos Hornet prennent de l'âge. Les délais d’évaluation, de procédure d’acquisition et d’entrée en service d'un appareil de combat obligent à songer au remplaçant des F/A-18 dans 10 ans seulement.

    La proposition utopiste d'acheter alors 60 appareils pour remplacer Tiger + Hornet est irréaliste, car financièrement, il sera impossible d'acheter plus de 25 ou 30 appareils en une fois. Les Forces aériennes devront néanmoins compter sur cet effectif réduit pour remplir de manière partielle les missions de police de l’air dans les 30 ans et elle perdront d’importants savoir-faire. En cas de détérioration de la situation internationale, le réarmement sera difficile à mettre en œuvre et exigera des années.

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  3. Jamais vendu à l'exportation et imposé aux armées françaises, le bombardier nucléaire Rafale provoque une augmentation des charges financières des armées, qui empêche le rachat de nouveaux équipements comme le remplacement d'équipement anciens. Les échecs successifs à l'exportation et les crashes à répétition provoquent une véritable polémique en France, entourée de mauvaise foi. Les pathétiques français accusent leurs concurrents de malversation, alors que l'épisode suisse a montré que des ministres, des hauts-gradés et même un président de la Confédération avaient été corrompu par la France.



    Refusé dans un premier temps par la marine française, les projections de commandes du bombardier nucléaire Rafale n'en finissent pas d'être revues à la baisse. Plutôt que développer les équipements de l'excellent Mirage 2000, à la manière des Yankee avec leurs F-16 et autres F/A-18, les gouvernements successifs français corrompus par le juif Dassault ont opté pour l'hyper sophistiqué Rafale, dont la cellule, le système d'armement et les moteurs sont produits en France. Cette décision a rendu le juif Dassault multi-millionnaire, mais a plongé la France dans un marasme économique majeur, qui a entraîné la cessation de la production de l'abordable Mirage 2000. En effet, le Rafale des années 80 est bien trop cher pour être exportable et il est même si cher que la France ne peut l'utiliser pour ses opérations de pacification dans le Tiers-Monde.



    Un des problèmes majeurs du Rafale est qu'il ne peut emporter que de l'armement français. Même, s'il n'est pas prouvé que ces systèmes étrangers sont inférieurs aux nôtres, il aurait fallu tous les racheter, au cas où le Département militaire fédéral avait eu la saugrenue idée d'acheter aux Français ! En effet le malheureux client d'un Rafale est obligé d'acquérir une palette complète de missiles et systèmes d’arme divers conçus par les missiliers français dont la fiabilité et l'efficacité reste à prouver. Les modifications qu'un client devrait apporter à la norme STANAG 1760 du point de vue informatique, non seulement coûterait extrêmement cher, mais diminuerait la compatibilité avec le radar.



    Si à l'achat, le chasseur européen semble plus cher que le bombardier nucléaire français, il reste à pouver que l'heure de Rafale hexagonal est moins onéreuse que celle de l’Eurofighter. De toute façon il est sûr que le JAS-39 Gripen E coûtera moitié prix que ses rivaux pour des performance comparables. Pour la Suisse, le Rafale n'aurait rien apporté à la défense du pays, car il n'atteint que Mach 1.5, comme le F/A-18, mais sans son taux de montée exceptionnel. Par contre le Typhoon ou le Gripen atteignent Mach 2.3, ce qui est indispensable en cas d'interception d'hostiles.



    En Suisse, la société judéo-française Dassault a néanmoins présenté une offre pour son bombardier nucléaire de 3ième génération dans le cadre du remplacement des chasseurs léger F-5 E/F Tiger II. Les Frouzes n'avaient cependant aucune chance, car la Confédération avait placé la barre très haut en acquérant, puis en améliorant les F/A-18 E/F Hornet, pour en obtenir la version la plus performante. Le bombardier nucléaire hexagonal conçu pour remplacer pas moins de 7 types d'appareils différents en service outre Jura est malheureusement calibré pour l'armée française.Doté d'un radar PESA et de réacteurs faiblards, le Rafale aurait posé des problèmes de compatibilité avec l'armée suisse, notamment au niveau de la taille, des armements, du type de carburant, du bruit et de la maniabilité.

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  4. En 1934, on était 4 millions et on vivait heureux. En 2014, on est huit millions et on se saute dessus, car le territoire est toujours occupé par un tiers de montagne. Les étrangers vivent à 1 personne par appartement et une personne par voiture, alors que nous vivons en famille et nous partageons 1 véhicule par famille. Toutes les meilleures terres cultivables sont bétonnées pour construire des villas aux étrangers, tant et si bien que le blé va finir par manquer. Les étrangers n'ont pas de médecin de famille et vont au CHUV pour le moindre rhume.

    posted by Un confédéré on 2014/07/07

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  5. Le Rafale est le pire avion des trois testés. Non seulement ces dimensions ne sont pas adaptées à la Confédération, ni à FLORACKO, son avionique est d'un autre âge et il ne peut emporter que de l'armement français (que nous ne possédons pas et que nous allons devoir acheter). Le Rafale est un bombardier lourd, qui emporte des bombes nuéaires (que nous ne possédons pas et que nous allons devoir acheter). Le Rafale est deux fois moins rapide que le JAS-39 Gripen E ou l'Eurofighter Typhoon II.
    Si Dassault ne vend pas le catastrophique Rafale, il risque le dépôt de bilan, car cette pièce de musée ne s'est jamais exportée et la France a 2'000 milliards de dette. les chaînes de production de ce vieux coucou s'arrêteront en 2017 voire 2018 !!

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    1. Vous y allez un peu fort, le Rafale contente les Français, alors pourquoi pas la Suisse ?!

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  6. Les étrangers veulent supprimer le protestantisme en Suisse !
    Les étrangers veulent supprimer le multilinguisme en Suisse !
    Les étrangers veulent supprimer le secret bancaire en Suisse !
    Les étrangers veulent supprimer les cantons en Suisse !
    Les étrangers veulent supprimer les communes en Suisse !
    Les étrangers veulent supprimer le fédéralisme en Suisse !

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    1. Anonyme 6 septembre 2014 09:04

      Si j'ai bien compris votre diatribe, les étrangers veulent supprimer la Suisse ?

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    2. Tous les jours que Dieu fait, le citoyen suisse est astreint a payer 1.- pour les Genevois, qui rappelons-le ont refusé le crédit pour le JAS-39 Gripen II. Cette taxe d'un francs est prélevée indifférement du revenu de la personne et indifférement de l'écoute des programmes de la TSR.

      Comme au Moyen-Age, ce prélèvement d'un franc est une sorte de dû pour que les Genevois puissent continuer leurs voyages autour du monde. Encore si les Genevois en étaient reconnaissants, mais tel n'es pas le cas ; Eux savent et on le droit d'enseigner la bonne parole. Tous les autres cantons sont habités par des êtres inférieurs.

      Outre la position lamentable qu'ont prise les collaborateurs de la TSR au sujet du Gripen, ils ont également pris fait et cause pour la sédition du Jura et ne cesse de vanter l'Union Européenne, ainsi que les Catholiques. Pourtant personne n'empêchait le Jurassiens de rejoindre la France, si c'est ce qu'ils voulaient. Pourtant personne n'empêche les Catholiques de rejoindre l'Union Européenne.

      La vérité est que ces personnes favorisées craignent pour leurs privilèges et ne veulent pas être confrontées à la même concurrence que le reste de la population. 10% des Suisses sont pauvres, mais ces pauvres sont astreints de payer la même somme que les millionnaires. Cette part croissante de la population suisse tombe à l'aide sociale, car il ne leur reste que le choix de payer soit leur appartement, soit leur nourriture, soit leur assurance maladie obigatoire et cette tranche de la population ne peut tout simplement plus contribuer au bien-être des nantis de la RTS.

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  7. Les utopistes parlent d'un gaspillage de l’ordre de plusieurs milliards de francs, alors qu'il s'agit de notre sécurité et de la survie de la Suisse en tant que nation.
    Les gauchistes prétendent que le remplacement des Tiger par des Gripen va coûter des milliards aux contribuables helvétiques, alors que le SECO en dépense 10 fois plus. Les antimilitaristes avancent le chiffre fantaisiste de 10 milliards de francs jusqu'en 2030, alors que l'aide économique va coûter 100 milliards dans le même temps. Les coûts de maintenance, d’entretien et d’exploitation sont quelque chose de normal dans notre monde, mais il n'y aura pas de frais supplémentaires pour la rénovation des installations et l’achat de nouvelles armes et technologies, car cet appareil est le plus avancé technologiquement.
    Ce que les gauchistes ne disent pas c'est que les milliards économisés vont financer les études des étrangers qui viennent profiter du système suisse, vont financer les transports utilisés par les étrangers de Suisse et les étrangers qui viennent dans notre pays vont réclamer des prestations à l'AVS dans quelques années.

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  8. Pour sauver la France, il faut la transformer en démocratie fédérale, comme l'Allemagne, la Suisse ou les Etats-Unis. Plutôt que de réduire le nombre de régions, transformons ses régions en pays indépendants et supprimons les département inutiles, car non représentatifs. Vive la Corse indépendante ! Vive la Lorraine indépendante ! Vive l'Aquitanie indépendante ! vive la Provence indépendante ! Vive la Normandie indépendante ! Vive la Bretagne indépendante ! Vive l'Occitanie indépendante ! Vive l'Alsace indépendante !

    Libérons les langues régionale et libérons-nous de la tutelle de Paris !

    VIVE LA CONFEDERATION FRANCAISE

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  9. Le GSSA prétend que les armes à feu sont l’un des plus grands risques pour la sécurité en Suisse, alors que nos frontières sont dégarnies face ressortissants européens ! Ces misérables individus franchissent quotidiennement la frontière pour dévaliser kiosks, banks et posts. Le GSSA prétend que les armes à feu sont une tradition absurde de notre politique de sécurité, qui veut que les soldats gardent leur arme à la maison. Cependant le citoyen-soldat est le dernier recours contre le faschisme européen. Des hordes de vauriens s'en prennent aux biens des citoyens hevétiques. Les armes de service dissimulées dans nos caves ou dans l’armoire de nos chambres à coucher assurent les conditions de sécurité de notre pays que des accords imbéciles ont mis en danger. N'importe quel européen peut venir prendre la place de travail d'un citoyen suisse. N'importe quel européen peut venir acheter la maison d'un citoyen suisse.

    Défendons notre beau pays contre l'ingérence étrangère.

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  10. En 1959, la Confédération avait installé la télévision à Genève et la Radio à Lausanne. Or en 1993, bien qu'entreprise publique payée avec nos impôts, la SSR veut décider seule de l'emplacement des studios et du lieu de production. Mais ce déséquilibre en faveur de Genève a provoqué le lancement de l'initiative NoBillag. En effet, la RTS a investi dans sa tour de verre genevoise, pour ne plus être en phase avec la misère qui s'étend en Suisse. Elle a construit trois nouveaux centres de production haute-définition destinés aux bobos.
    Après la disparition des quotidiens genevois "La Suisse" ou du "Journal de Genève", les médias écrits se sont concentrés à Lausanne, où est envisagée la construction d'un grand studio TV sur le campus de l'EPFL. Les émissions d'information, les magazines et le sport seront toujours produits à Genève/Genf et ne seront toujours pas Suisses. La SSR engraisse 1200 Genevois, pour critiquer la Suisse, c'est fatigant.

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