mercredi 15 janvier 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Argumentaire logique en faveur du Gripen

 Les Français présentent un nouvel avion à la Suisse alors que la compétition est terminée et perdue par Dassault. Je ne comprends pas comment on peut remettre en cause la compétition en Suisse juste parce que Dassault revient à la charge en disant: "Pouce, on a perdu la compétition, mais on revient avec une nouvelle offre d'un avion qui est encore en développement, faites nous confiance!"

 A mon humble avis, cette fois c'est pour le Gripen. Il ne faut pas oublier que le Rafale F3.04 n'existe pas encore et qu'il n'a pas encore la moindre commande (même pas de l'armée française). Il est donc impossible de connaitre ses coûts d'exploitation ni même d'évaluer les dates de livraison (il y a toujours des retards). Entre l'élaboration d'un prototype et la mise en production industrielle d'un avion de chasse, il y a un monde.

 Avant l'intervention des Politiques, le Rafale avait tout d'abord a été éliminé en Inde, notamment sur les incertitudes concernant le radar : il n'a pas encore d'AESA et il existe un doute sur l'intégration possible d'un tel radar sur le Rafale. La totalité de ses composants (moteur par exemple) sont français, et il faut demander la permission à la France pour avoir accès à la technologie ou modifier ces composants.

 D'un autre coté le Gripen a montré qu'il était un des meilleurs avions sur le marché et un des plus complets. En tenant compte que l'heure de vol du Rafale est le double de celle du Gripen, comme, un Gripen fait le boulot d'un Rafale, le choix du Gripen s'impose. D'autant que des synergies avec l'armée française déjà proposées n'apportent aucun avantage.

 Enfin il est clair que le Gouvernement Suisse a préféré le Gripen. Des négociations pour faire baisser le prix du Rafale de moitié pour qu'il rentre dans le budget n'auraient pas suffi pour le choisir. Premièrement sa hauteur, qui l'empêche d'entrer dans nos cavernes alpines. On ne va pas dégonfler le pneus de l'appareil chaque fois que l'on veut le mettre à l'abri ! Secondement son incompatibilité avec l'armement du FA-18 Hornet et du F-5 Tiger. On ne va tout de même pas racheter tout l'armement dont on dispose déjà.

 Objectivement, Pour la Suisse, le Gripen est LE meilleur choix :
  • Proximité des bases suédoises.
  • Entrainement en Suède.
  • Soutien technique en Suisse.
  • Soutien économique en Suède.
  • Soutien politique en Suède.
  • Retour sur investissement pour RUAG, Armasuisse, Pilatus et Stalder Rail.
 De plus, le Gripen peut emporter toute la panoplie d'armement de l'OTAN et sera opérationnel en 2008, exactement en même temps que le F3.04T recalé.

 Les Français, qui n'ont jamais été en phase avec l'économie, estiment néanmoins qu'il est grand temps que le joujou porteur de mort de Dassault soit exporté. Les Français envisagent l'année courante pour le décollage du Rafale, car ils estiment qu'une usine qui ne produit que quatre avions par an frôle la productivité du « service publique. Les Français ne desespèrent pas de trouver une solution pour les autres marchés, qu'elle soit militaire ou diplomatique.

 Comme les Indiens sont durs en affaire, les Français craignent que le contrat en Inde ne se retourne. mais les Français souhaitent néanmoins bonne chance à Dassault, car si ce contrat échoue, il n’y aura plus tant d'autres possibilité. En effet, si même le Brésil anti-américain achète des Gripen bourrés de technologie américaine, à qui la famille Dassault pourrait-elle fourguer sa daube. D'autant plus que le gouvernement français n'est pas prêt à faire un geste, car la famille Dassault demeure un capitaliste qui profite de la France avec ses programmes militaires subventionnés.
JAS-39 Gripen
 Il est curieux qu'un appareil aussi décrié que le JAS-39 Gripen C/D soit en service à 166 exemplaires dans le monde, dont 100 en Suède, 26 en Afrique du Sud, 14 en République Tchèque, 14 en Hongrie et 12 en Thaïlande.
 Il est curieux qu'un appareil tant décrié que le JAS-39 Gripen E/F fasse déjà l'objet de plus de 200 commandes fermes de la part de la Suède, de la Suisse et du Brésil. D'ailleurs, la Suède ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et prévoit de vendre son appareil en Malaisie, en Thaïlande, en Bulgarie, en Hongrie, en Tchéquie et en Croatie.

 Si la France est derrière toutes ces basses manœuvres pour empêcher la Suisse d'avoir une défense aérienne, cela mériterait que le Conseil Fédéral diligente une enquête administrative pour savoir qui se trouve réellement derrière ces groupuscules anarchistes et terroristes. Espérons que la prochaine votation réussira à renvoyer les profiteurs de la libre-circulation chez eux.

 Insurgeons-nous contre les accords bilatéraux, qui ne profitent qu'aux Français !

Source : Internet (page du 22/01/2014 actualisée le 01/09/2015)

13 commentaires:

  1. Le 18 mai 2014, nous votons sur le remplacement de 54 F-5 Tiger E/F par seulement 22 JAS-39 Gripen E.

    A part la Patrouille Suisse, les Tiger complètement dépassés ne servent plus à rien, car ils sont incapables de piloter des missiles, tout comme d'intercepter des appareils de nuit ou par mauvais temps. Ces appareils obsolètes coûtent néanmoins 17'000 francs et brûlent 2'600 litres de kérozène par heure de vol. Comme ces vieux appareils volent 2'700 heures par an, ils coûtent 46 millions annuellement et brûlent plus de 7 millions de litre de kérosène.

    Le choix du Gripen pour remplacer le Tiger, décidé par le Conseil Fédéral est un choix logique et responsable. En effet, le Gripen coûte moitié prix de ses concurrents, à l'achat comme à l'entretien, tout en assurant des prestations supérieures. Non seulement, l'avionique et l'électronique du Gripen sont plus modernes que celles de ses concurrents biréacteurs, mais son radar a une portée supérieure, ses senseurs infrarouge détectent toutes les menaces et son casque de visée et son grand écran centralisent les informations de diverses sources. Le contrat optimal qu'a conclut le Conseil Fédéral n'assurent pas seulement le prix d'acquisition le plus bas, mais comprend aussi les accessoires, l'armement et l'infrastructure.

    Pour financer ce remplacement, l'armée prélüvera annuellement 300 millions de francs sur son budget pendant dix ans qu'elle versera dans un fonds spécial. Au contraire de ce que disent les référendaires et les gauchistes, ni la recherche, ni les crèches seront impactées par ce remplacement. Il faut bien comprendre que le coût total de ce remplacement correspond à la dépense annuelle (!) de l'aide au développement. Le développement de l'Afrique vaut-il vraiment dix fois plus que notre propre sécurité ?

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    1. Lors de la votation du 18 mai 2014 sur la loi sur le fonds Gripen, le peuple se prononcera sur la sécurité et l’indépendance de notre pays.

      Nous n’allons pas simplement voter sur le remplacement d'un avion dépassé par un appareil moderne. Nous allons fondamentalement prendre la décision de renoncer à notre sécurité en supprimant volontairement nos capacités de défense. Or de notre sécurité, dépend non seulement notre bien-être, notre économie, notre stabilité et notre attractivité.

      Toutes les autres votations secondaires dépendent de la capacité qu'à la Suisse de préserver son indépendance pour conserver son système démocratique prospère. En s'attaquant à son système défensif, des forces extrêmistes internes et des forces totalitaires de l'étranger veulent anéantir 700 ans d'histoire.

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    2. Les petits français sont tout content du vote suisse, après les millions qu'ils ont dépensé en désinformation. Si la Suisse dispèosait de l'arme atomique, elle saurait quelle capitale raser en priorité. Ces inconscients de français proposeraient même une nouvelle offre pour leur ruine volante qui vient de s'écraser 5 fois au sol, causant la perte de 3 pilotes.
      Un F/A-18 étant capable d'abattre 3 vieux appareils français à la fois, l'équilibre des forces est respecté avec la France. 32*3 donne une centaine d'appareil contre les huitante Rafales disponibles.

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    3. La Suisse devrait tenir les petits Français pour responsable du cafouillage généré par l'achat du JAS-39 Gripen E. La Suisse devrait saisir cette occasion pour demander la restitution des milliards du trésor de Bern volé sous Napoleon.

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    4. Si les Français essaient encore de nous vendre leur Rafiote après ce qu'ils nous ont fait, il restera la possibilité d'interner les 300'000 Français qui travaillent en Suisse, de bloquer les 300'000 frontaliers français à la frontière et d'ennuyer administrativement les 300'000 Français naturalisés qui nous pompent l'air.

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  2. La Suisse n'a nul besoin dans l'immédiat d'un appareil ultra offensif, capable d'aller déposer une bombe atomique dans une capitale lointaine. Elle a besoin d'un appareil petit, maniable, rapide dans le but de défendre notre espace aérien. Cet appareil doit remplacer nos F-5 E/F Tiger II et seconder nos FA-18 C/D Hornet.

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    1. Les Français pensent connaître les problèmes du Rafale, mais ils se fourvoient sur leur origine. Les Français pensent que c'est le manque d’expérience en zones de combat, qui l’empêche les armées étrangères de lui faire confiance, alors que c'est son prix, son origine franco-française et son incompatibilité avec l'armement existant.

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    2. A l'époque, les Français considéraient leur nation comme riche et forte et n'avaient que le désir de se hâter d’aller prendre dans l’extrême Orient la position que les Français pensaient devoir y occuper


      Etant encore sous l’influence de la défaite de 1871, les Français avaient félicité le gouvernement de l’assaut de la citadelle d’Hannoï en 1874. Ces envahisseurs n'avaient éprouvé aucune confusion à reconnaître l'assaut donné par une troupe française sur la capitale du Tonkin, tant que cet acte inadmissible ne lui forçait pas la main et ne l’obligeait pas la France à une occupation prématurée.

      En ce temps-là, la majorité de la nation française doutait sérieusement, d'être en mesure d’étendre par les armes les limites de ses colonies, car elle se sentait contrainte d'économiser le sang de ses fils pour les batailles à venir contre l'Allemagne. Cependant, les Français pensaient à l'époque, que la sécurité de leur occupation en Cochinchine exigaient une prompte intervention militaire de la France, car l’ouverture du Tonkin leur auraient offert d’admirables débouchés commerciaux.

      Les Français parlaient en ces termes : "venger le mépris de la foi jurée et venger l’insulte faite à l'honneur français en annexant le Tonkin".
      Les Français ne voulaient cependant pas vouloir lancer leurs forces militaires dans "une de ces aventures sentimentales où le désintéressement est proche de la duperie".

      Aujourd’hui, après trois défaites et trois sauvetage par les Anglo-Saxons, les Français ne pensent plus ainsi. D'autant plus que les Français n'ont pas toujours été partisans d’une sage réserve financière. La France d'aujourd'hui est affaiblie, car membre de l'UE et de l'OTAN, car accablée une dette de 2'000 milliards d'Euro laissé par le gouvernement Sarkosy et un Franc français à 0.15 centimes d'Euro..


      Comme en Afrique aujourd'hui, les Français revanchards ajoutaient que rien de chevaleresque et rien de périlleux les poussaient à agir en Asie, si ce n'est le prestige, la politique et les intérêts économiques.

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  3. Le Conseil fédéral avait pris toutes les mesures pour choisir le bon avion, en coopération avec les forces aériennes. L’appareil choisi est non seulement celui qui correspond tout à fait aux missions qui lui sont demandées, à savoir la défense de l'espace aérien et la police du ciel, mais de surcroit, c'est aussi le meilleur marché. Cependant, les pro-Rafale et les pro-Typhoon au sein d'Armassuisse ont pesé de tout leur poids pour juger les performances du Gripen comme juste satisfaisante.

    Il est vrai que le JAS-39 Gripen n'aurait pas permis un raid de bombardement sur Paris, mais quelques éléments très spécifiques comme le radar, les communicactions, les ordinateurs, l'avionique et les défenses passives rendent cet appareil plus performant que ces concurrents.

    De plus, il a la même taille que nos F-5 E/F Tiger, utilise les mêmes armes que nos F/A-18 C/D Hornet et il est pleinement compatible avec notre armée de l'air, notamment en dislocation.

    Le Conseil fédéral a lancé un appel d’offres pour 22 appareils. Or, selon le groupe de projet, 12 chasseurs polyvalents de cette génération auraient suffi. Ce qui aurait permis d'éviter l'écueil du référendum populaire. Or ce même groupe d'experts avait préconisé d'acheter 33 avions pour remplacer idéalement nos 54 F-5 E/F Tiger.

    L'avantage de la décision populaire de mai 2014 est que la Suisse ne pourra plus organiser de grands raouts médiatique internationaux à Genève et ce la est déjà une bonne décision en soi.

    Ecrit par Confédéré fâché le 09.09.14

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  4. Incompréhensible : On diminue le nombre d'avions et les antimilitaristes sont contre
    Incompréhensible : On choisi l'avion le moins cher et les socialistes sont contre
    Incompréhensible : On choisi l'avion le moins polluant et les verts sont contre
    Incompréhensible : On choisi l'avion le moins bruyant et les femmes sont contre
    Incompréhensible : On choisi l'avion le plus moderne et les stratèges sont contre
    Incompréhensible : On choisi l'avion doté du meilleur radar et les pilotes sont contre
    Incompréhensible : On choisi l'avion le plus rapide et les pilotes sont contre

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    1. Les Socialistes, les Gauchistes et les Altermondialistes ont appelé les Suissesses et les Suisses aux urnes le 18 mai 2014, pour se prononcer sur la Loi fédérale sur le fonds d'acquisition du Gripen et ils ont gagnés. Le Gripen reste rependant la solution optimale pour l'armée suisse assure le gouvernement helvétique dans un communiqué public. En effet, il est avéré que le JAS-39 Gripen E est de loin le meilleur choix pour l'armée suisse, car l'avion remplit la mission demandée au meilleur prix. Il est équipé des meilleurs missiles et systèmes disponibles actuellement. Le programme d'armement 2012 avait certifié que l'acquisition de l'avion de combat Gripen était le meilleur choix.

      Cependant la campagne pro-Gripen s'est peut-être trop focalisée sur le fait que la Suisse avait besoin de nouveaux avions et que le Gripen était le meilleur choix. En optant pour le Saab Gripen, le Conseil fédéral avait en effet choisi le meilleur jet de combat pour remplacer le F-5 E/F Tiger II, mais aucune critique ne le démontait, avant que les services secrets français ne s'en mêle. Le gouvernement avait défendu encore et toujours le choix du Gripen, le meilleur avion pour la Suisse. Les spécialistes précisent que le Gripen E est le meilleur choix en chasse, en air-sol et en recco, mais le Rafale est le meilleur sur porte-avion et en bombardement, y compris atomique. Cependant, Ueli Maurer a réitéré son choix du jet militaire suédois Gripen, meilleur que le Rafale en vitesse pure, en nuisance sonore, en consommation, en électronique, en avionique, en radar et en agilité.

      Les Français qui n'y connaissent rien, continuent de prétendre que le Rafale est de loin le meilleur avion en service que ce soit, alors que le Conseil fédéral avait confirmé son choix du Gripen. Car pour le gouvernement fédéral, le Gripen reste l'avion de combat qui présente le meilleur rapport prix performance et le gouvernement helvétique assure dans un communiqué que le Gripen est la solution optimale pour l'armée suisse.Après avoir contourné tous les écueils, le Gripen était désormais en bout de piste, car le DDPS a été favorable à l'idée de privilégier un modèle meilleur marché. Mais la presse financière helvétique avait dévoilé un rapport qui détaillait les carences du Gripen, dont le payement cash d'un milliard, mais c'était le prix à payer pour avoir accès au code source de l'appareil et pour participer à son développement.

      Même si le vote du peuple a désavoué le CF, le JAS-39 Gripen E était le meilleur choix que l'on pouvait faire, car c'était l'appareil qui ressemblait le plus au F-5 E/F Tiger II et c'était l'appareil qui avait le plus de possibilité d'intégration dans notre armée. Après avoir fait accepter le Gripen au Parlement, le Conseil fédéral a choisi non pas le meilleur appareil dans l'absolu ou l'appareil le meilleur marché dans l'absolu, mais l'offre la plus compatible avec notre armée et avec notre défense.

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  5. Après 5 ans d'analyses et d'études approfondies, le CF avait décidé d’acquérir 22 avions de combat JAS-39 Gripen E dans le cadre du programme d’armement 2012, pour remplacer les 52 F-5 E/F Tiger II datant de la guerre de Korée. En 2013, la Chambre du peuple et la chambre des cantons, soit le Parlement dans son ensemble avait entériné avec enthousiasme cette décision. Mais Armasuisse noyauté par les services secrets français avait tout fait pour remettre l'ancien Rafale français parmi les choix envisageables. Heureusement, le CF ne s'était pas laissé influencer par les fuites organisées depuis l'étranger qui avaient visé à discréditer notre armée, notre gouvernement et ses choix stratégiques. Au contraire, les espions à la solde de l'étranger ont été licenciés avec effet immédiat.

    En optant pour le chasseur multirôle suédois, le CF avait choisi un jet de combat qui remplit les exigences militaires tout en ménageant les finances du département militaire, réduites comme peau de chagrin par les socialistes. Ce choix intelligent avait ouvert un partenariat sans précédent avec la Suède pour le développement de l’avion et les espaces d'entraînement. Des appareils déjà existants comme le Typhoon II ou le Rafale n'étaient pas capable de seconder efficacement nos 32 F/A-18 C/D Hornet. Le Gripen en cours de réalisation aurait eu une parfaite compatibilité avec notre armée et la Suisse aurait été partie prenante de son développement. Las, après le refus du peuple suisse, la Suède développe pour elle-même ce fantastique appareil du futur, mais en collaboration avec le Brésil.

    Propulsé par un GE F414G, du même type que celui du F/A-18 E/F Super Hornet, le JAS-39 Gripen E est capable de super croisière, c'est-à-dire de décoller et de voler au dela de la vitesse du son sans avoir recours à la postcombustion. Non seulement le JAS-39 Gripen E permettra l’utilisation des mêmes systèmes d’armes que ceux en service sur les Hornet, soit les missiles AIM-9X avec viseur de casque et l’AIM 120-C7 AMRAAM, mais il pourra également être doté de la prochaine génération de missile européen comme le METEOR. Equipé des dernières technologies, comme le casque HMD, l'affichage HUD, les commandes Fly-by-Wire à triple redondance, d'un manche à balai HOTAS, le JAS-39 Gripen E est capable de performances STOL

    Le JAS-39 Gripen E, équipé du meilleur radar AESA du marché, d'un scanneur IRST extrêment performant, sera à même de prendre la relève de nos 32 F/A-18 C/D. Comme les senseurs et les radar font tout dans la guerre moderne, l'utilité d'emporter une masse considérable de bombe est moiins importante que d'être petit, agile et furtif. Le chasseur polyvalent suédois concentre justement les données de plusieurs système de communication, de radar et de scanner sur un seul écran couleur géant, semblable au F-35 ou au P-21, afin d'offrir au pilote une représentation totale et fidèle de la situation environnante.

    Sensiblement moins cher et supérieur dans certains domaines clés, le JAS-39 Gripen E correspond exactement aux cahier des charges helvétique. Laissant de côté le deuxième moteur, cet appareil d'avenir dispose du meilleur radar AESA du moment, d'une vitesse de pointe exceptionnelle et d'une agilité sans pareille. Capable de reprendre de suite, toutes les missions du F-5 E/F Tiger II, le JAS-39 Gripen E peut aussi reprendre les missions d'appui au sol du Hunter, comme les missions de reconnaissance du Mirage IIIRS. De plus, il est capable d'utiliser du bio-carburant, de décoller de nos terrains de dégagement et d'être opéré par une armée de milice.

    En 2017, ne ratons pas l'opportunité d'aquérir le JAS-39 Gripen E !






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    1. Il faut se méfier de l'auteur qui avait déjà écrit n'importe quoi concernant les 98 points d'améliorations concerant le Gripen. Il est clair que l'on ne peut se fier à la plume d'un individu qui est proche des milieux écologistes, antimilitariste et altermondialiste.


      Pour répondre aux critiaues, l’avionneur suédois Saab présente le JAS-39 E SuperGripen, un appareil monoréacteur capable d’évoluer en supersonique (Mach 1,25) sans utiliser la post combustion grâce à une version plus puissante du moteur GE-414. La cellule agrandie de l’appareil est agrandie loge une tonne de carburant supplémentaire et des équipements, autorisant l’endurance de progresser nettement. Au passage les ingénieurs suédois mettent l’accent sur la discrétion radar en utilisant de nouveaux matériaux sur la structure et la peau de l’avion.

      Le système d’arme du Gripen E comporte un radar AESA Selex Gallileo et un capteur infrarouge IRST Selex Skyward-G. La fusion des données des différents capteurs de l’avion lui permet de détecter les avions les plus furtifs tels que le JSF américain, le J20 chinois et le T50 russe. Il met en œuvre tant les armes du F-5 et du F/A-18, que les les armes air-sol les plus modernes ainsi que les missiles air-air à statoréacteur Meteor.

      L’autoprotection signée Saab assure la détection, la localisation et l’identification précise des émetteurs tout autour de l’avion, puis brouille les menaces tant sol-air que air-air. La procimité de la frontière russe oblige les avions suédois de pouvoir détecter et contrer les menaces des systèmes S-300, S400 comme conduire des tirs contre des avions de 4e et 5e génération.

      Finalement le Gripen E est conçu comme ses prédecesseurs, pour opérer à partir de routes normales avec un décollage et un atterrissage court. De même taille que le F-5, l'appareil demeure simple d'entretien, donc opérable par une armée de miliciens. Le chasseur-bombardier suédois représente une alternative crédible au remplacement des milliers de F-16 en service dans le monde. Une option plus économique en tout cas que le très coûteux et élaboré F-35 américain. Mais il peut aussi efficacement conccurencer des biréacteurs comme le MiG-35, Su-35, Rafale et Typhoon.

      Ce nouvel appareil sélectionné par les armées de l'air suisse, suédoise et brésilienne, ne sera finalement construit que pou et par la Suède et le Brésil, suite a un vote incompréhensible du peuple suisse.

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