mardi 23 septembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Illusions françaises

 Les Français sont les seuls à penser que le Rafale est le meilleur avion du monde et cela relève du nationalisme primaire. Car les Français estiment qu'au Brésil, ce n'est pas Dassault, mais la France, qui a raté un contrat de quelque 5 milliards d’euros. Car pour avoir des performances équivalentes, voire supérieures, le gouvernement brésilien s'est finalement rendu compte que le JAS-39 Gripen E de la marque suédoise SAAB coûtait la moitié ou le tiers du prix d'un Rafale et était compatible avec du matériel américain.

 Cependant, les Français handicapés par leur monolinguisme et endoctrinés par leurs journaux aux mains du consortium militaro-industriel restent persuadés que le Rafale est le meilleur avion du monde. Le Rafale est un bon avion, mais il manque de compatibilité et il commence à être dépassé à l'international. La France s’est trompée en ne recourrant qu'à des manufacturiers français, ce qui a rendu le Rafale jusqu'à quatre fois trop cher. Le coût budgétaire d’un appareil représente environ une centaine de millions d’euros, sans compter les frais d’entretien et les frais de fonctionnement.

 Peu compatible avec les standards internationaux, le Rafale français est un excellent avion pour la France, mais moderne, donc fragile. Comme le JAS-39 Gripen C/D ou l'Eurofighter Typhoon II, le Rafale est capable d'accomplir toutes les missions pour lesquelles il a été conçu. Comme le JAS-39 Gripen C/D le Rafale français fait de la chasse, de la reconnaissance et de l’attaque au sol. Moins rapide et plus fragile que le JAS-39 Gripen C/D ou l'Eurofighter Typhoon II, le Rafale est capable de bombardement stratégique (nucléaire) et peut opérer depuis un porte-avion équipé de catapultes à vapeur. En service depuis dix ans, le Rafale a déjà subit 5 crashes en cours d'exercice, sans doute du à sa charge alaire trop élevée, sa puissance insuffisante ou son électronique fragile.

 Pour générer plus de profit les entreprises Dassault avaient lancé le programme Rafale multi-rôle dans les années 1980, concurremment au programme européen d'avion de combat et contre l'excellent Mirage 2000. Pour justifier cet aberrant changement de doctrine, l’État-major a invoquer une illusoire uniformisation des forces armées françaises. Cet investissement colossal visait à remplacer, à l’horizon 2025-2030, pas moins de sept types d'avions en service dans l’armée de l’air française et la marine française.


 Pour dissimuler l'échec partiel du programme Rafale, les journaux français qualifient le JAS-39 Gripen suédois d'appareil léger, rustique, économique à l’achat comme à l’usage. Mais les journaux français ne reconnaissent pas sa technologie radar supérieure, sa vitesse de pointe supérieure et son avionique plus moderne. Les journaux français prétendent que le chasseur polyvalent suédois connaît le succès dans plus de six pays uniquement à cause de son prix.


 D'ici 2020, le JAS-39 Gripen E/F sera entré en service dans deux armées de l'air et aura fait taire les critiques. Il coûtera toujours moitié prix du Rafale français, sera toujours compatible à 100% avec notre armée. Avec 2'000 milliards de dette, la France est devenue un partenaire plus que contestable, surtout que sa dette publique s'élève à 100% du PIB. Son chasseur Rafale ne se vend pas et la pérénité des entreprises Dassault n'est pas garantie à long terme.


Source : Internet (page actualisée le 23/09/2014)

vendredi 5 septembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Economie atterrée

 Le petit NON au remplacement des 54 Tiger par seulement 22 Gripen a provoqué une grave lacune dans la sécurité de la Suisse et les Suisses de souche ont pris connaissance avec beaucoup de regret du rejet par les mauvais citoyens de la loi sur le fonds Gripen.

 La capacité de l’armée suisse de remplir de façon crédible son mandat constitutionnel et de garantir la sécurité du pays est ainsi remise en question à moyen terme. Un environnement stable et sûr est cependant une exigence essentielle pour le développement de économie suisse. De plus, les coopérations industrielles envisagées avec ArmaSuisse, Pilatus, RUAG ou StalderRail ne sont plus que de l'histoire ancienne.

 Ce refus du fonds Gripen, non seulement rend impossible l’acquisition des 22 appareils de combat modernes JAS-39 E, mais va encore empêcher d'assurer la relève de nos pilotes et provoquer une perte de savoir-faire. A moyen terme, l’armée suisse ne sera plus en mesure que de façon très limitée de remplir ses tâches de police des airs, de défendre son propre espace aérien et ainsi de garantir la sécurité de notre pays.

 Ce vote regrettable a fait tomber des commandes pour plus de 2 milliards de francs, qui échappent ainsi à l’économie suisse. Ces affaires de compensation auraient assuré des emplois dans les entreprises suisses et renforcé la force innovatrice de l’industrie suisse. Cette décision populaire est d'autant plus regrettable qu’il n’y a actuellement pas d’alternative pour le remplacement de la flotte des F-5 E/F Tiger II complétement dépassés.Cette décision irraisonnée provoquée par les milieux de gauche remet en cause 8 années d'analyse coûteuses et met en péril la possibilité d'acheter l'appareil possédant le meilleur rapport qualité prix du marché.

 D'ici 2020, les Forces aériennes suisse devront remplacer non plus les Tiger, mais encore les Hornet et la facture pour 60 appareils risque cette fois de dépasser les 10 milliards. Les milieux de gauche qui ont fait échouer l'excellent contrat négocié avec la Suède, devront cette fois prendre leurs responsabilités.
Grounding du Gripen



Source : Internet (page actualisée le 15/09/2014)

jeudi 4 septembre 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Regrets amers

 La Suisse entière est consciente que les F/A-18 suffisent pour remplir les tâches de police aérienne en temps de paix et pendant les heures de bureau. Car en 2010, le ministre de la défense lui-même a justifié en ces termes l'ajournement de la procédure d’acquisition des nouveaux appareils de combat pour des raisons financières.

 Au contraire de ce que prétendent les forces occultes opposées à l'indépendance suisse, la firme SAAB n'a pas besoin de la Suisse pour survivre, car pas moins de sept pays collaborent au programme Gripen. Par contre, les firmes fédérales Armasuisse et RUAG ont un urgent besoin du JAS-39 Gripen E pour continuer de croître, tout comme la firme française Dassault aurait eu un impératif besoin de vendre son Rafale du passé pour uniquement survivre. La firme Dassault, avec seulement 11 appareils annuels est sous perfusion de l’État français, qui lui-même est grévé d'une dette de 2'000 milliards d'Euros.

 Au contraire de ce que prétendent les forces catholiques rétrograde de ce pays, la Suisse a besoin du JAS-39 Gripen E, mais la Suède n'a pas besoin de la Suisse pour le produire. En effet ce pays est capable de produire pour et par elle-même les appareils du futur dont elle a besoin. Le Brésil est d'ailleurs intéressé à produire ce appareil avec elle. La Suède a passé commande de 60 Gripen E et le Brésil de 34 Gripen E notre pays n’est donc pas le seul client et notre commande se serait ajoutée à celle des suédois. Non seulement, la Suisse disposait d'une garantie étatique, mais les équipes d’ArmaSuisse auraient pu collaborer à ce projet grandiose. Le seul inconvénient est que dans ce cas de figure, ni la Suisse, ni Armasuisse, ni RUAG, ni Pilatus ne pourront participer à son élaboration.

 Comme la Suisse est au milieu de l’Europe, nous sommes entourés de pays peu amicaux, desquels nous devons sans cesse nous méfier. Aucun accord n'existe, mais des collaboration ponctuelles sont cependant possible, comme lors du détournement d’avion sur Genf. Une aviation qui est opérationnelle durant les heures de bureau devra se contenter d’une flotte de 32 F/A-18 jusqu'en 2020.

 Dans les années soixante, le peuple avait refusé l'achat du Mirage français contre l'avis du Conseil Fédéral, car le dépassement de buget était de 60%. Le précédent du Mirage des années 60 a entraîné le rejet actuel du Gripen, alors que plus personne ne veut acheter français. De plus, la firme SAAB s’était engagée à conclure pour 2.5 milliards d’affaires compensatoires et la Suède s'était portée garante.

 Dans les années nonante, le peuple avait plébiscité l'achat du Hornet biréacteur contre l'avis du GSsA et des affaires compensatoires promises à 100% s'étaient limitées au final à seulement 40%. Le précédent du F/A-18 surdimensionné des années 90 a entraîné le rejet actuel du Gripen, alors qu'un passage à un mono-réacteur moins cher s'impose.. De plus cet achat aurait favorisé la firme fédérale RUAG, qui détient HTS à Wallisellen, Mecanex à Nyon, RUAG Space Sweden, RUAG Space Austria et RUAG Space Switzerland. Mais, la RTS, les Genevois et le GSSA ont comme mauvaise habitude de s'opposer à Nestlé, à l'EPFL ou à la RUAG, car ces entreprise réussissent. De plus, la firme SAAB s’est engagée à conclure pour 2.5 milliards d’affaires compensatoires dans la Confédération, mais les détracteurs ont provoqué des polémiques basées sur les filiales helvétiques du groupe.

 Les détracteurs genevois, qui se sentent plus étranger que suisse ont faussement prétendu que l'extraordinaire JAS-39 Gripen E n'existait que sur le papier, alors que cela aurait été une chance pour la Suisse de participer à son élaboration. Sur la base très saine du Gripen C/D, l'exceptionnelle firme SAAB a réussi en 4 ans a apporter 98 améliorations technologiques majeures, qui rendent ces performances remarquables. Alors que ces mêmes gauchistes genevois ont continuer de prétendre que les contraintes budgétaires imposées au Parlement par eux-mêmes avaient dicté le choix du JAS-39 Gripen E. Alors que les performances du Gripen E ont été estimées sur la base du prototype Gripen NG Demo et sur le plan technique, l’avion correspond au cahier des charges de notre pays. Le chasseur polyvalent s’intègre parfaitement à nos infrastructures et est même très bon avec le radar AESA ES-05 « Raven » et l'IRST.

 Les forces réactionnaires de notre pays, qui refusent toute défense active imaginent tout ce que des fonctionnaires improductifs pourrait faire avec les neuf à dix milliards de francs qu'il espèrent soustraire à l'armée. Pour ce faire, ces utopistes tiennent compte des coûts d’entretien et d’exploitation des 30 prochaines années et parlent de coûts exorbitants. Cependant les améliorations technologiques auraient été dès le départ disponibles sur l'extraordinaire JAS-39 Gripen E et n'aurait rien coûté. Par contre les modifications à apporter aux Hornet, comme celles qu'il aurait fallu apporter aux Rafale ou au Typhoon, au niveau des moteurs, du radar, de la défense passive et de l'avionique vont coûter des millions, qui pourront être pris sur le 30 milliards que va nous coûter l'aide au développement durant ce laps de temps.
Il faut relativiser 30 milliards d'aide au développement et 13 milliards pour la RTS.
L'aide au développement coûte 10 fois plus cher que notre sécurité et la RTS coûte 4 fois plus cher que notre sécurité.
 La RTS nous coûte 9 Gripen chaque année

Source : Internet ( page actualisée le 04/09/2014)