jeudi 24 avril 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Votation du 18 mai 2014

La procédure d'acquisition du nouvel appareil de combat soumise au peuple le 18 mai rencontre une certaine opposition. Mais tous les projets similaires ont profondément divisé et ont été hautement contestés. Au cours des années 1990 déjà, pacifistes, gauchistes, antimilitaristes et altermondialistes de tous poils n’avaient pas réussi à empêcher l’achat des 34 F/A-18 C/D de l'armée de l’air fédérale. Vingt ans plus tard, ils remettent le couvert pour tenter d'empêcher le remplacement des 54 F-5 E/F Tiger par seulement 22 JAS-39 E Gripen.

La sécurité de la Suisse et la protection de sa population au cours des 30 prochaines années sont pourtant l'enjeu de la mise à jour des Forces Aériennes Suisses. Alors que les deux chambres ont validé le remplacement décidé par le Conseil Fédéral, le peuple suisse devra se prononcer le 18 mai sur le mode de financement des 3 milliards de francs nécessaire pour protéger l’espace aérien suisse jusqu’en 2050. Pas moins de dix ans d’évaluations techniques et de débats politiques ont marqué le renouvellement partiel des Forces aériennes suisses. Alors que notre chasseur suédois était en concurrence avec le Rafale du français Dassault et le Typhoon de l'européen Eurofighter, les nations étrangères se sont largement immiscées dans le débat pour favoriser leurs industries nationales. La firme française Dassault, s'est notamment ingéniée à polluer le débat avec des arguments fallacieux pour imposer son Rafale inadapté.

D'autre part, une alliance hétéroclite composée de féministes, de pacifistes, de gauchistes, d'antimilitaristes et d'altermondialistes irresponsables a pris le risque d'appuyer les anarchistes du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA), qui ont collecté 60'000 signatures, pour que le mode de financement soit soumis au vote fédéral. Après s'être dressé contre l'achat des chars Leopard en 1987, ce groupuscule avait déjà exigé l’abolition de l’armée suisse dans les urnes en 1989, et en 1993, le GSsA avait déjà tenté de opposer à l’acquisition du Hornet. En 2009, les anti-militaristes avaientt demandé l’arrêt d’achat de nouveaux avions de combat et en 2014, ce mouvement pacifiste veut un nouveau vote national sur le sujet.

Comme dans les années trentes, les écologistes et les anti-nucléaires font preuve d'angélisme en prétendant que les risques réels, les dangers et les menaces sont de nature civile uniquement. Ces utopistes estiment que la sécurité devrait plutôt passer par une sortie du nucléaire et une politique climatique responsable, plutôt que par l'entretien de nos forces aériennes. Les féministes, les pacifistes et les altermondialistes prétendent que les 6 milliards de francs, que coûtera l'appareil jusqu'en 2050 s'éléveront à 10 milliards. Alors que 110 milliards seront dépensés dans l'aide au développement d'ici 2050, ces utopistes persistent à penser que ces milliards seraient mieux employés dans l’éducation, les transports publics ou le régime d’assurance vieillesse. Illogiquement, ces mêmes personnes e veulent pas voir que nos rentes AVS seront surtout mises à mal par le grand nombre d'étrangers qui pourront prétendre à une telle prestation grâce aux accords de Schengen.

Alors que de nouvelles tensions surviennent partout dans le monde, les socialistes pensent que les Forces Aériennes Suisses n'ont pas besoin de nouveaux avions de combat pour assurer la police du ciel, car ce groupement fait preuve d'angélisme en ignorant les pressions européennes dont la Confédération fait l'objet. Ce même groupement fait preuve de légèreté en encensant le F/A-18 C/D Hornet, dont il avait essayé d'empêcher l'achat dans les années nonante. Complétement ignare en matière d'aviation, mais appuyés par les Français de Dassault, les anti-militaristes, anarchistes et écologistes prétendent que le Gripen E que la Suisse, la Suède et le Brésil ont commandé n'existe pas, alors que la base éprouvé de cet appareil multirôle vole dans près de 6 pays différents à plus de 200 exemplaires.

Depuis la chute de l'URSS, les Forces aériennes suisses ont drastiquement diminué leur dotation. Sur les 34 chasseurs-bombardiers Hornet biréacteurs acquis dans les années 90, l'armée de l’air suisse ne dispose actuellement plus que de 32 F/A 18 E/F, car 2 biréacteurs biplaces se sont écrasés dans les Alpes, entrainant la mort de 4 personnes de valeur. Ces crashes ont démonté à la Suisse qu'un appareil biréacteur n'était pas adapté au relief alpin.
Sur les 110 chasseurs Tiger II, vétérants de la guerre de Corée acquis en 70 - 80, l'armée de l’air suisse ne dispose actuellement plus que de 54 F-5 E/F. Cette flotte de Tiger, qui ne peut intervenir ni de nuit, ni par mauvais temps doit impérativement être remplacée par 22 JAS-39 E/F Gripen.
Comme la Suisse pourrait à l'avenir être affectée par un conflit pour le contrôle des ressources naturelles, un conflit pour le contrôle des données ou pire, être impliquée dans un conflit majeur ayant pour enjeu l’énergie, l’alimentation ou le travail, elle a un besoin impératif des jets suédois pour une défense aérienne crédible et bordable. A ce propos, la Suède, nordique et neutre comme la Suisse, est le partenaire d’affaires idéal, car elle possède sa propre monnaie. De plus, le Gripen est l'appareil moderne et fiable, qui offre le meilleur rapport qualité-prix et la firme Saab offre des «compensations intéressantes» à hauteur de 2,5 milliards de francs. Les entreprises helvétiques actives dans les industries de l’ingénierie, des machines et de l’horlogerie ainsi que des chercheurs universitaires de tout le pays bénéficieraient de ces mesures compensatoires.
Près de 1000 postes de travail pourraient ainsi être créés ces dix prochaines années en Suisse !


Oui aux places de travail le 18 mai 2014


Source : Internet (page actualisée le 24/04/2014)

8 commentaires:

  1. Ces satanés Français continuent leur Gripen Bashing et prétendent que le risque risque technologique concernant le Gripen est « très élevé » en Suisse. Pourquoi le risque technologique serait-il moins élevé en France avec une dette à 200 mille milliards d'Euros, un taux de chômage à 15% et des avions Rafale qui s'écrasent de mamière inexpliquée.

    Ces Français gonflés ne comprennent pas que le Conseil Fédéral ait choisi le JAS-39 Gripen E en novembre 2011 au dépens de l'Eurofighter Typhoon II, pour remplacer le F-5 Tiger II E/F, car il répondait exactement au cahier des charges.
    Or ces Français mauvais joueurs ont tout fait pour que le choix du Gripen soit contesté tant par les anti-militaristes, que les gauchistes, sans parler des écologistes.

    Ces Français machiavéliques ont fait paraître dans la presse d'ancien rapports d'évaluation péalables datant de 2008, en payant un traître dans l'administration fédérale. Il avaient d'ailleurs tenté de faire de même avec un Président de la Confédération qui avait été obligé de prendre sa retraite.
    La diffusion de ce rapport a définitivement mis le responsable à la retraite et mis l'appareil français hors jeu pour la sélection.
    Par contre la confrontation entre les différents appareil a permis à la firme SAAB de refaire son retard en développant une version E du Gripen, au radar supérieur au Rafale, à la vitesse supérieure au Rafale et à l'avionique supérieure au Rafale, pour un prix inférieur de 50%.

    Les Français ignorants que SAAB Aerospace appartient à la Confédération Suisse, ne trouvent pas normal que les appareils suisse soient produits par la Suisse. A la différence du Rafale, qui n'aurait pas fournit une seule place de travail en Suisse, le JAS-39 Gripen E va sauver RUAG, Armasuisse, Stalder Rail, Pilatus et bien d'autres. Comme la firme Saab développe des avions exceptionels depuis plus longtemps que Dassault, il n'y a aucun risque qu'elle ne puisse pas développer un appareil supérieur au bombardier Rafale du siècle passé.

    Ces sournois de Français continuent leur Gripen Bashing et ont prétendu dant la presse qu'il fallait effectuer 98 modifications pour que le Gripen s'adapte aux exigences suisses.
    Les espions français ont parlé de risque technologique trop grand avec le nouveau Gripen, alors que pas moins de 5 Rafale s'écrasaient en exercice. La France se retrouve dans l’impasse, avec des énormes dépassements de coûts, une dette qui dépasse les 200 mille milliard d'euros et aucune possibilité d'exporter son Rafale qui n'est compatible qu'avec du matériel français.

    Or les risques sont insignifiants, voire nuls, car le Conseil Fédéral a négocié un contrat de béton qui fait porté toutes les responsabilités au royaume de Suède. Tel n'est pas le cas avec la France qui a encore vainement tenté d'écouler 18 anciens Rafales pour 2.7 milliards de Francs. Vexés les Français prétendent maintenant que l'Inde serait d'accord d'acheter leur Rafale, mais rien n'est encore joué, car le consortium Eurofighter veut présenter une nouvelle offre pour son Typhoon II à radar AESA doté d'un casque de visée qui permet de tirer sur des cibles invisibles derrière les ailes de l'appareil chasseur.

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    1. Historique

      Les Français avaient imposé leur Dassault Mirage IIIe face au SAAB J-35 Draken grâce à la menace des missiles nucléaires du plateau d'Albion.

      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une vitesse de décollage trop élevée,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une distance de décollage trop grande,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une mauvaise visibilité vers l'avant,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une tenue de cap aléatoire à basse vitesse,
      > - Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui avait une maniabilité insuffisante.

      Mais les Français prétendent maintenant que grâce à l'adoption de la voilure canard du SAAB JA-37 Viggen, leur Rafale est capable de décollage court. Or, l'armée française fait décoller ses Rafale en utilisant la post-combustion ou en utilisant des catapultes à vapeur. De même, les Français prétendent maintenant que grâce à l'adoption de la voilure canard du SAAB JA-37 Viggen, leur Rafale offre une meilleure visibilité vers l'avant, une meilleure tenue de cap et une meilleure maniabilité. Or tous les spécialistes savent que le Rafale possède une fausse voilure canard et comme elle est disposée trop près de l'aile principale, ce n'est qu'une voilure delta améliorée. Elle n'apporte pas de grande amélioration à la maniabilité.

      Le Typhoon européen est à ce titre beaucoup plus puissant, rapide, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien. Le Gripen suédois est de sont côté beaucoup plus rapide, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien suisse. Le Lightning américain est lui beaucoup plus puissant, furtif, maniable et efficace dans la défense de l'espace aérien.






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  2. Dans les années 1940, l'achat de 114 Messerschmitt Bf 109 D/E/F/G fut hautement contesté, mais cette acquisition empécha alors l'invasion de la Suisse.
    Dans les années 1940, l'achat de 130 Mustang P-51 pour 11 millions de fr.s. ne fut pas contestée.
    Dans les années 1940, l'achat de 221 Vampire DH-100 Mk 6 ont été contesté par le parti socialiste.

    Dans les années 1950, l’achat de 100 Pilatus P-16 fut prise annulée suite au crash de deux prototypes dans le lac de Constance. La Suisse, à la différence de la Suède abandonna alors le rêve d'un appareil de combat suisse et laissa le P-16 devint le Learjet au Canada.
    Dans les années 1950 ,l'achat de 250 Venom DH-112 Mk 6 n'a pas été contesté, car les FFA construisirent ces 150 FB1 et 100 FB4, qu’elle ne retira qu’en 1983.
    Dans les années 1950, l’achat de 160 Hawker Hunter Mk 58 n'a pas été contesté, car la Suisse traversait la période de haute conjoncture des 30 glorieuses.

    Dans les années 1960, l’achat de 60 Mirage IIIS au lieu de 100 pour 871 millions de fr.s. provoquèrent un scandale suite au dépassement de 576 millions de fr.s. des 100 modèles originellement prévus. Il fut décidé de ne plus acheter de matériel français.

    Dans les années 1970, l'achat de 72 Northop F-5 E/F Tiger II pour 1'170 millions n'a pas été contesté, car la catastrophe des Mirages IIIS laissait la Suisse sans défense.

    Dans les années 1980, l'achat de 38 Northop F-5 E/F Tiger II supplémentaires pour 770 millions de Fr.s. n'a pas été contesté, car la catastrophe des Mirages IIIS laissait la Suisse sans défense. Ces appareils furent retirés en 2015, après 35 de services
    Dans les années 1980, l'achat de 20 Hawk Mk.66 n'a pas été contesté, car la Suisse pu faire monter les appareils par FFA. En 2002, les Hawk sont retirés du service par mesure d'économie.

    Dans les années 1990, l’achat de 34 F/A-18 C/D Hornet a été contesté par le GSSA, mais fut accepté dans les urnes.

    Dans les années 2000, la vente de 18 avions Hawk a été contestée car RUAG, Armasuisse et FFA, qui voulait géer la transaction. En 2007, la Suisse vend 18 Finlande rachète les 18 Hawk d'entraînement à la Finlande pour.

    Dans les années 2010. l'achat de 22 JAS-39 E Gripen a été contesté par le GSSA, mais fut accepté dans les urnes.

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    1. La campagne contre l’achat du Gripen n’est rien d’autre qu’une étape supplémentaire pour supprimer l’Armée suisse, en l’affaiblissant jusqu’au point de non-retour. La défense armée de la Suisse est un tout et supprimer une des ses composantes les plus essencielle entraînera la disparition du tout. Les gauchistes auront alors obtenus ce qu'ils rerche depuis 30 ans : suppression du service militaire, suppression de la protection aérienne, suppression de l’Armée, suppression du secret bancaire, conclusion d’un accord de défense avec un pays étranger et finalement adhésion à l’Union européenne ultralibérale et antidémocratique. Donc, dire non au Gripen, c'est dire non à la Stabilité et à la prospérité de la Suisse.
      …..Dire non au Gripen, c’est dire non à la Suisse indépendante et neutre….pensez-y le 18 mai…..

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    2. Suite à l'affaire des Mirage français avec dépassement de crédit de 66 %, réduction des commandes de 100 à 57 appareils, la Suisse achète 72 F-5 E/F Tiger II. Suite de la mise hors service des Venom vers la fin des années septante, les missions d'appui au sol sont confiées aux Hunter et la Suisse doit acheter 38 F-5 E/F Tiger II supplémentaires pour les tâches de couverture aérienne. A la différence du chasseur français, le Northrop F-5 E/F Tiger II assemblé en Suisse est facilement exploitable par une armée de milice.

      Sur les 110 F-5 E/F Tiger II construits en Suisse, 44 ont été vendus aux USA, 12 ont été repeints pour la patrouille suisse, 9 ont été accidentés et 3 ont disparus. Les 54 appareils restants seront ferraillés en 2016 et suite à la votation irresponsable du peuple suisse, la Suisse ne pourra compter que sur ses 32 F/A-18 C/D.

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  3. La votation du 18 mai 2014 ne porte pas sur le remplacement d'un appareil de combat, mais sur la sécurité et l'indépendance de ls Suisse.
    Suivant une nouvelle tactique, la campagne des opposants à l'indépendance de la Suisse a été lancée depuis plus d'une année, avec l'aide des journaux, de la radio et de la télévision. a changé. Ces utopistes ne remettent plus directement en question la défense de notre pays, mais essaient d'affaiblir l'Armée par des voies détournées afin qu'elle finisse par perdre toute crédibilité. Après les armes à la maison et l'obligation de servir, les pacifistes s'attaquent à la défense aérienne. Financés par l'étranger, les antimilitaristes ont successivement contesté la procédure de sélection, le constructeur, les capacités, le type d'appareil ou son prix.
    Après une procédure détaillée, le JAS-39 Gripen E a été choisi, car il répond de manière idéale à nos besoins. En tant qu’Etat neutre, nous n’avons pas besoin d’un avion d'attaque nucléaire, mais d'un avion moderne pour protéger l'intégrité de notre pays.
    Parmi les avions de combat actuels, le JAS-39 Gripen E est le seul qui ne soit pas fabriqué par une ou des grandes puissances. Cet appareil performant est produit par un partenaire idéal, en qui nous pouvons avoir entière confiance en matière de sécurité et d’armement. En effet, la Suède est une démocratie stable et neutre, qui n'intègre aucune alliance militaire et n’affiche aucune politique offensive. Les opposants on pétendu que la NSA ou les USA contrôleraient le système radio du Gripen. Mais ce système est le même que sur le F/A-18 et la Suisse en établira les clés cryptographiques secrètes.
    Le JAS-39 Gripen E est moitié moins cher que la concurrence et possède le meilleur rapport qualité/prix. En 30 ans d'utilisation, ce moyen de défense va coûter 100 milllions par an, soit 0.15% du budget fédéral ou 15 centimes par 100 francs dépensés. Ce montant intégralement financé par le budget de l’armée ne coûtera pas les 10 milliards avancés par les socialistes. Par contre l'implication des enreprises suisses, peut fournir à notre économie un bénéfice non négligeable en matière financières et de savoir-faire des affaires compensatoires déjà engagées, ce que les opposants contestent encore.
    Au contraire de ce que disent les soi-disant spécialistes, sans Gripen, le service de police aérien et nos Forces aériennes disparaissent dans une dizaine d’année, tout comme, car l’acquisition d’un nouvel avion de combat prend du temps et l'engagement accru des F/A-18 va raccourcir sensiblement leur durée de vie. Les médias parlent d’une solution de rechange antidémocratiques va permettre d'acheter l'appareil validé par le Conseil fédéral et le Parlement, mais par ce vote, les citoyens maintiennent la sécurité dans notre pays.
    OUI à la sécurité le 18 mai 2014

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  4. Les socialistes suisses, en réclamant la liquidation de l’armée de milice, mettent le pays en danger. En effet, en optant pour une milice de volontaires payés, ce parti prône la suppression pure et simple de l’armée et opte pour un modèle dangereux pour la démocratie.

    La menace militaire a changé, mais cela ne signifie pas que la Suisse puisse baisser la garde, au contraire. Le continent européen, est un continent en déclin et il est devenue un nain sur le plan militaire. Et tandis que l'UE en proie à des tiraillement interne, désarme, les budgets militaires explosent en Russie, en Chine, aux Etats-Unis.

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  5. Historique

    Les Français avaient imposé leur Dassault Mirage IIIe face au SAAB J-35 Draken grâce au versement de pots de vin par Dassault.

    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, dont tout l'armement du être changé,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, dont le radar du être changé,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, dont le train d'atterrissage du être changé,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, dont le réacteur du être changé,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, à qui des fusées durent être ajoutées,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, dont le prix augmenta de 160%,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, dont les commandes baissèrent de 50%,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, à la suite de quoi un conseiller fédéral du démissionner,
    Ne répétons pas l'erreur du Mirage IIIe français, qui entraîna l'achat de 100 F-5 Tiger II en remplacement.

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