vendredi 11 février 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): LeTemps contre Gripen

Le journal Le Temps qui appartient en partie aux Français continue son Gripen Bashing, alors que le Conseil Fédéral a souverainement décidé de remplacer nos 52 F-5 Tiger par 22 JAS-39 Gripen E.

Ce journal peu recommandable et son journaliste Petignat utilisent de termes choisis pour influencer l'opinion publique romande. Ils commencent par appeler le président de la Confédération Ueli Maurer par son prénom et ils continuent en qualifiant le remplacement obligatoire du Tiger par l'achat du Gripen ou l'affaire du Gripen. Mais cette mauvaise propagande se trompe de cible, car l'UDC est seulement en charge du Département Militaire, Monsieur Maurer est seulement en charge de ce département et le Gripen est seulement le candidat le plus approprié pour remplacer nos vénérables Tiger.

Ce journal peu recommandable et son journaliste Petignat s'acharnent contre le JAS-39 Gripen E, mais pour quelles raison ? Il faut chercher ailleurs cette pathétique tentative d'inflencer le court de l'histoire :

1 - Le département de la Défense est en main de l'UDC et comme les Genevois n'aiment pas l'UDC, il attaquent le Gripen et l'armée pour attteindre l'UDC.
2 - Le ministre Ueli Maurer est le président suisse-allemand de 'UDC et comme les Genevois n'aiment pas la Suisse tout court, il attaquent Monsieur Maurer pour atteindre l'UDC et la Suisse traditionnelle.
3 - L'armée a besoin de remplacer ses vétustes Tiger et comme les Genevois n'aiment pas l'armée, il attaquent au Gripen comme au président Maurer pour atteindre l'UDC et l'armée.



Chronologie retrograde

Le 15 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps annonce sur son site WEB que le PDC renonce à diriger la campagne pour les Gripen en raison des ingérences de la Suède dans la campagne. Mais le journal ne parle pas des visites de Sarkosy à Couchepin ni de Edelstein à Maurer.

Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps critique sur son site WEB les performances du Gripen E. Les Français anti-suisses aux commandes de ce journal mettent en doute sa vitesse de pointe, comme son radar, alors que cet appareil vole déjà dans 5 armées du monde, depuis 15 ans. Bien sûr les Français ne se vantent pas des 5 crashes de leur Rafale, survenus en tant de paix, ni des problèmes de mise au point que rencontre son système de visée et son radar AESA, tous deux fabriqué en France.

Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps rajoute sur son site WEB que les pilotes militaires suisses se comportent comme des enfant gâtés et ne veulent pas d'un appareil monoréacteur. Le quotidien saisit cette occasion pour titrer Le Gripen à un prix de superdiscounter. Mais ces journalistes complétement incompétants du fait de leurs études littéraires passent sous silence le fait que le Gripen a une meilleure avionnique, un meilleur radar et une meilleure vitesse de pointe que le FA-18 et le Rafale. Or, la Confédération a un urgent besoin d'un avion petit, rapide, agile, doté d'un radar surpuissant pour défendre le territoire helvétique et non pas du camion à bombe poussif et bruyant, rêvé par les pilotes militaires. Le journal Le Temps reproche de plus à RUAG d'en retirer des bénéfices, car SAAB Aerospace appartient à RUAG.

Le 13 février 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps en rajoute une couche et dévoile sa véritable nature de cheval de Troie au sein de la Confédération. Ce journal s'attaque frontalement à Ueli Maurer et lui reproche de n'avoir pas choisi un avion plus cher qui n'aurait rien rapporté à la Suisse en terme d'emploi. Le journal continue sa diatribe anti-Gripen en revenant sur les 98 améliorations que la firme SAAB a déjà apporté à son Gripen. Le journal s'attaque aussi à la communication de l'ancien président de la Confédération.

Le 29 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps se réjouit sur son site WEB que le référendum contre les Gripen a formellement abouti et que la campagne pour l’achat des avions de combat Gripen, entamée depuis des mois, peut désormais officiellement commencer. Au contraire de ce qu'avaient claironné les référendaires, seules 65384 signatures n'ont pu être récoltées. On est loin des 500'000 signatures récoltées contre le FA-18 et le peuple validera cette acquisition le 18 mai.

Le 26 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que Saab en campagne pour son Gripen et ses liens avec le Département fédéral de la défense (DDPS), font couler de l'encre dans la presse dominicale.

Le 25 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps révèle sur son site web que des activistes suédois ont trouvé des documents entre la firme SAAB et le gouvernement fédéral. Le quotidien genevois en faillite essaie de mettre en défaut des relations de travail normales entre un acquéreur et un fournisseur, alors que le gouvernement Suisse a passé commande pour 22 chasseurs de la dernière génération auprès de la firme suédoise. Cependant, ces activistes feraient mieux d'investiguer auprès du gouvernement français, de la firme Dassault et de l'Agence Fahrner. Ce journal ne s'est pas inquiété du soutien suspect pour le Rafale de l'ancien conseiller fédéral Couchepin, du soutien suspect pour le Rafale de lancien Pilote essayeur Levrat et du soutien suspect pour le Rafale de l'officier Hurter. (Prix identique de 22 appareils suisse et de 66 appareils indiens !).

Le 14 janvier 2014, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que les Suisses voteront sur l'acquisition de 22 Gripen et se réjouit de cette possibilité d'affaiblir le Pays. Pour obtenir ces signatures, les référendaires ont grossi les chiffres : 60'000 signatures au lieu des 100'000 revendiquées et 7 milliards au lieu des 10 milliards revendiqués pour une période de 35 ans, soit 200 millions par ans. Les signatures émanent des gauchistes, des socialistes, des écologistes et des anti-militaristes.

Le 06 novembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site web que des opposants de droite s’attaquent au Gripen, arguant que l'aspect économique prime sur l'aspect stratégique.

Le 09 octobre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Gripen devra affronter la guerre des finances, car les référendaires genevois brandissent le gaspillage supposé des finances fédérales comme arme contre le Gripen.

Le 08 octobre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que la bataille aérienne est engagée autour du Gripen, car la récolte des signatures des référendaires genevois contre le remplacement du Tiger démarre, appuyée par les gauchistes et verts libéraux.

Le 23 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que l’échec du GSsA renforce Ueli Maurer, c'est à dire que le net rejet de l’initiative contre le service obligatoire rend optimiste le ministre de la Défense pour le Gripen. Mais des chantiers devront être engagés: améliorer l’égalité devant l’obligation de servir et la compatibilité entre les obligations professionnelles et militaires

Le 19 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que Ueli Maurer transformera le vote sur le Gripen en vote pour ou contre l’armée, car le ministre du département de la défense explique simplement au peuple suisse que les Forces Aériennes sont un élément fondamental de notre armée et que d'affaiblir l’aviation, c’est affaiblir l’armée, donc affaiblir la Suisse. Lors de l'attaque des gauchistes contre le FA-18 en 1993, les anti-suisse avaient récoltés 500'000 signatures contre cet avion, mais l'avaient finalement acheté.

Le 18 sept. 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Gripen n'a plus qu'un obstacle devant lui : le peuple, car après le Conseil National, le Conseil des Etat vient également de lever le frein aux dépenses.

Le 17 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que Le Président de la Suisse est un As de l'aviation, car le chef du DDPS utilise la la fascination pour l'aviation et le poids de l’industrie aéronautique pour gagner la votation contre le remplacement du Tiger et manque de vision stratégique.

Le 12 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le tacticien Ueli Maurer impose son Gripen, car le Ministre de la Défense a desserré le frein aux dépenses, démonté les accusations venues de l'étranger et a ouvert a été desserré et la voie est ouverte à un référendum. Ces accusations infondées parlaient d'avion de papier, d'avion prototype ou d'avion IKEA et mettaient en avant les 98 modifications apportées au Gripen C/D pour passer au stade E/F. Là aussi, le choix des termes employés laisse penser que ces gauchistes franco-genevois à la solde de l'étranger utilisent ce journal comme agent de propagande.

Le 11 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le Conseil National crée le fonds spécial pour le Gripen, car la Chambre du peuple a logiquement accepté la création du fonds spécial pour le remplacement du Tiger et a levé le frein à l’endettement.

Le 11 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps titre sur son site WEB que le peuple aura le dernier mot sur le Gripen, car le Conseil National traite le dossier du remplacement du Tiger. Le département de la Défense dirigé par le Président Maurer doit impérativement obtenir la majorité absolue, faute de quoi, le dernier mot pourrait revenir au peuple en 2014.

Le 8 septembre 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que les Suisses ne veulent pas du Gripen, car 63% des Genevois sondés se déclarent contre l'achat de l'avion suédois. Considérant que leur canton serait indéfendable en cas d'attaque de la part de la France.

Le 28 août 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que le parlement veut en finir avec le Gripen en septembre, car la Commission de la politique de sécurité du Conseil national traitera ce problème.

Le 27 août 2013, le journal de boulevard franco-genevois Le Temps lance sur son site WEB que le Le Gripen gagne une manche, car un exemplaire du Gripen fait sa démonstration sur l'aérodrome militaire de Emmen.

L'utopie d'une Europe démocratique et confédérale s'est évanouie suite aux attaques incessantes dont la Confédération fait les frais. Persévérer donc dans l'idée d'une adhésion relève aujourd'hui de la démence sénile. Or, la campagne contre le Gripen, contre l'UDC et contre Monsieur Maurer, organisée par les socialistes, le antimilitaristes et les écologistes aurait du à terme augmenter les ventes de ce quotidien franco-genevois, qui a perdu sa base de lecteurs. Cependant, devant la somme d'attaques fondées et non fondées, il faut espérer que ce journal anti-suisse disparaîtra bientôt, car il atteint des sommets de mauvaise foi.
Suisse assiégée

Source : Internet (page du 11/02/2011 actualisée le 20/02/2014)

6 commentaires:

  1. Les ingénieurs de chez Dassault ont prétendu que le Rafale possède deux réacteurs pour pouvoir décoller de porte-avions en sécurité. Or avec les progrès réalisés, la fiabilité des moteurs modernes rend cette redondance obsolète et la seule utilité d'un biréacteur est d'emporter des bombes. Toutefois, les bombardiers biréacteurs entrent en infraction avec notre législation sur le bruit et sur la pollution. Ces ingénieurs reconnaissent que l'emploi de deux réacteurs laisse une importante signature thermique et nuit à la furtivité, mais ont ajouté que ce Rafale biréacteur pourrait théoriquement effectuer la SuperCruise du Gripen et que seule la législation en vigueur l'empêchait de décoller sans PC. Ils ont assuré que le Rafale possèdait un contrôle électronique de puissance, mais ont reconnu que malgré ce FADEC et contrairement au Gripen, ce bombardier de la guerre froide ne peut utiliser ni carburant du commerce, ni bio-carburant, mais du carburant militaire français seul.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont reconnu que le Rafale, à la différence du Gripen, ne pouvait utiliser les abris et les cavernes existantes, car sa dérive est trop haute et à la différence du Gripen, ne peut utiliser les armes du F/A-18 C/D ou du F-5 E/F Tiger II, mais du matériel militaire français. Or la norme Stanag 1760 n'autorise le bombardier nucléaire français à d'envoyer le missile METEOR du Gripen E en n'utilisant qu'un seul canal. Les ingénieurs de chez Dassault ont admis que le Rafale, n'est pas totalement compatible avec l'Europe et avec l'OTAN, mais que sa complète adéquation avec la France lui procurait une certaine supériorité. Ils ont reconnu que le Rafale, n'était pas complétement furtif, mais qu'ils avaient minimisé sa signature radar en utilisant des matériaux composites, ce qui explique le prix de vente exorbitant du bombardier.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont mis en avant que le Rafale, dans sa dernière version possède également, tout comme le Gripen un AESA, car ils ont réussi le tour de force d'intégrer le nouveau radar dans le nez de l'appareil, sans modifier son assiette de vol. Mais à la différence du Gripen, son ouverture est moindre et il ne dispose d'aucun affichage dans le casque, car les ingénieurs de chez Dassault ont préféré faire l'impasse sur le casque de visée, pour laisser la tête des pilotes libre.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont expliqué que le Rafale dispose, comme le Gripen d'une perche de ravitaillement en vol, mais pour un pays de 500 sur 300 km ne disposant pas d'avions ravitailleurs, cet argument n'est pas pertinent. Ils ont ajouté que la dernière version du Rafale serait capable, comme le Gripen dialoguer avec les satellites, mais pour un pays ne disposant pas de satellites, cet argument n'est pas pertinent et le prix déjà très élevé du Rafale deviendrait insupportable. Pour faire la différence avec le Gripen, les ingénieurs de chez Dassault ont mis en avant que le Rafale, pouvait décoller d'un porte-avion et disposait de capacités nucléaires, mais pour un pays ne disposant ni d'ogives, ni de porte-avions, ni d'accès à la mer, cet argument n'est pas pertinent.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont admis que le Rafale était quatre fois plus cher que le Gripen, alors que sa vitesse, son radar et ses missiles lui sont inférieur. Mais ils ont justifié que le Rafale représentait une solution supportable à long terme sur le plan financier, car il n'existait pas d'autre solution pour la France. Mais, ils reconnaissent que le JAS-39 Gripen E était la solution optimale pour l’Armée suisse, car le Gripen E répondait sur plusieurs plans aux exigences formulées par le CF et aux besoins de la troupe. Pour assurer la Police du ciel et le contrôle de l'espace aérien, un monoréacteur plus rapide et plus adapté à la topographie suisse semble toutefois suffisant, surtout équipé de Meteor.

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  2. En cette période de restriction et de chômage, les prototypes de Dassault et de EADS pour la Suisse dépassaient largement le budget alloué à l'armée par le peuple, ce qui constituait un handicap majeur. De plus, les prototypes de Dassault et de EADS pour la Suisse n'offraient pas des compensations compétitives et ne pouvait en aucun cas être fabriqués dans la Confédération, ce engendrait une dépendance vis à vis de l'étranger et ne permettait pas de résorber le chômage. Par contre, pour remplacer le F-5 E/F Tiger II et collaborer avec le FA-18 Hornet C/D, le JAS-39 Gripen E répondait idéalement, car la Confédération participait dès le départ et à son financement et des entreprises suisses auraitent été impliquée dans sa conception. Des places de travail auraient été créée, le savoir-faire helvétique aurait été préservé et le chasseur polyvalent n'aurait plus eu aucun secret pour nos armuriers.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont bien tenté d'expliquer que le Rafale dans sa dernière version, n'est pas complétement furtif, mais qu'ils avaient tenté de minimiser au maximum la signature thermique en utilisant des matériaux composites, d'où le prix particulièrement élevé. Les ingénieurs de chez Dassault ont bien tenté de justifier que le Rafale dans sa dernière version, n'est pas totalement compatible avec l'Europe et avec l'OTAN, mais qu'il possédait une complète adéquation avec la France en ce qui concerne le carburant, les armes, le radar et l'avionique. Les ingénieurs de chez Dassault ont bien tenté de minimiser le fait que le Rafale ne rentrait pas dans les cavernes et alvéoles de protection. Les ingénieurs de chez Dassault ne se sont pas appesanti sur les cinq crashes mystérieux survenus aux Rafale en service.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont rétorqué que le Rafale, dans sa dernière version peut être doté d'un casque de visée, si le client paie encore plus cher. Les ingénieurs de chez Dassault ont expliqué que le Rafale, dans sa dernière version peut être doté d'un radar AESA, si le client paie encore plus cher. Les ingénieurs de chez Dassault ont asséné que le Rafale dans sa dernière version peut être doté de la communication satellitaire si le client dispose de satellites et paie encore plus cher. Les ingénieurs de chez Dassault ont mis en avant que le Rafale, dans sa dernière version dispose d'une perche de ravitaillement en vol, si le client dispose d'avions ravitailleurs et paie encore plus cher. Les ingénieurs de chez Dassault ont rétorqué que le Rafale, dans sa dernière version peut décoller d'un porte-avion, si le client dispose de porte-avions et paie encore plus cher. Les ingénieurs de chez Dassault ont ajouté que le Rafale, dans sa dernière version peut emporter des ogives nucléaires, si le client en dispose et paie encore plus cher.

    Les ingénieurs de chez Dassault ont justifié que le Rafale, dans sa dernière version coûte le triple d'un JAS-39 Gripen E, car il n'emploie que des composants français. Les ingénieurs de chez Dassault ont reconnu que le Rafale, dans sa dernière version n'avait pas la même taille que le F-5 E/F Tiger II qu'il devait remplacer et n'itiilisait pas les mêmes armes que le FA-18 C/D qu'il devait seconder. Les ingénieurs de chez Dassault ont reconnu que le Rafale était moins rapide que le Gripen, était moins agile que le Gripen et était moins rustique que le Gripen. Les ingénieurs de chez Dassault ont reconnu que le Rafale, dans sa dernière version n'était pas capable de s'adapter à l'infrastructure existante, sans frais, au niveau du casque de visée, des cellules de protection, des terrains de dégagements, du type de carburant et du système FLORAKO.

    POURQUOI PAYER PLUS CHER POUR MOINS BIEN ?!

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  3. La France a envoyé les hélicoptères Gazelle des forces spéciales de l’armée de terre, des Mirage 2000D et des Rafale contre les colonnes des djihadistes qui menacent la sécurité de l’Europe.
    La France n’a pas besoin de justification et ressasse la propagande colonialiste qu'elle intervient pour sauver le peuple malien et les droits humains. Le contrôle des mines d’uranium du Niger voisin et les intérêts de la France ne viendraient qu’en second lieu. Les médias de l’hexagone ont rivalisé dans la fabrication de mensonges pour justifier une guerre de rapine et de domination néocoloniale.
    1. - Les apparences diplomatiques sont sauves, car l'intervention française au Mali suit un prétendu l’appel du gouvernement malien pour stopper l’avancée des rebelles qui avaient pris le contrôle de la ville stratégique de Konna, alors que le président intérimaire malien ne disposait d’aucune légitimité pour appeler à l’intervention militaire d’une puissance étrangère sur sol malien.
    2. - La France justifie son opération Serval pour contrer une offensive des rebelles en direction du sud. Donnant à cette opération un caractère défensif, la France n’a pas cessé d’appeler à la guerre les Etats de la CEDEAO pour légitimiter cette guerre néocoloniale africaine et à vider toute résolution onusienne de son contenu.
    3. - La France prétend mener la guerre contre les djihadistes au nord du Mali, qui menacent la France et l’Europe, alors que la France a armé et soutenu les djihadistes en Libye, comme en Syrie. Pour de sordides desseins stratégiques et économiques, la France justifie une guerre au Mali contre le mouvement de libération touarègue au nom de la lutte contre le fondamentalisme
    4. - La France ne fait pas de différence fondamentale entre libérateurs et djihadistes. Les services français jouent avec les narcoterroristes pour affaiblir l’encombrant voisin algérien. Or, l’interprétation rigoriste de la Charia islamique n’est en tout cas pas l’affaire de la France et des gouvernements africains à sa botte.
    5. - La France a monté toute sa campagne diplomatique en direction de l’Union Africaine, l’Union Européenne et l’ONU en vue de justifier une guerre au Mali contre la déclaration d’indépendance et amener les pays africains à accepter ses conditions de « coopération » néocoloniales.
    6. - Les médias français ont abreuvé les téléspectateurs d’images et de reportages bidon montrant des citoyens maliens dans la capitale qui applaudissent l’intervention française, mais la majorité des Maliens ne sont pas dupes du jeu de la France.
    7. - Au lendemain de l’intervention française, les médias reprennent les communiqués triomphalistes du ministère français de la défense. Mais l’offensive des indépendantistes n’est pas totalement stoppée et la France engage à grand frais des Rafale pour en faire sa promotion.
    8. - Des viols d'enfants par l'armée française sont rapportés et tentent d'être étouffer par la France.

    Toutes ces horreurs pour l’uranium du Niger et les milliards de bénéfices d’AREVA, de SUEZ et de DASSAULT.

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    1. La RTS est payée avec nos impôts, mais elle prend systématiquement le parti de la France face à la Suisse, le parti de l'Europe face à la Suisse, le parti des fonctionnaires face aux citoyens.

      Il faut supprimer CET IMPOT INIQUE OUI A NOBILLAG POUR UNE TSR A TAILLE HUMAINE

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  4. Heureusement Le Temps appartient à un groupe zurichois (Tamedia) et est édité dans le canton de Vaud (Lausanne). Peut-être que les mensonges propagés par ce média se feront plus rare

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    1. La RTS est profrançaise et antisuisse
      La RTS est proeuropeenne et antisuisse
      La RtS est proélite et antipeuple

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