lundi 19 mars 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Affaire des Rafale incompatibles

 Dans sa difficile mission de protection du pays, l'armée suisse doit faire face à de nouveaux dangers, tant intérieurs qu'extérieurs. Parmi les menaces intérieures, le Groupement pour une Suisse Sans Armée (GSSA) non seulement s'oppose à tout achat militaire, mais s'allie également avec les antimilitaristes suédois. Dans le même temps, les journaux romands essentiellement en mains françaises ne manquent pas une occasion de mettre en valeur l'invendable Rafale. Finalement, les médias audiovisuels officiels, noyautés par des lobbies pro français font tout leur possible pour empêcher l'achat du Gripen.

 Tout d'abord, le GSSA opte pour une attitude passive, qui consiste à laisser la défense de notre espace aérien à nos voisins européens. Or cette attitude défaitiste nous condamnerait inévitablement à accepter sans combattre les diktats de l'Union Européenne. Mais le GSSA justifie sa position angélique et dogmatique en argumentant que le rôle principal de l'armée suisse n'est plus la défense contre l'extérieur, mais la répression de manifestations populaires éventuelles venant de l'intérieur. Cependant le GSSA oublie que la stabilité de notre pays en fait une place financière et industrielle enviée et qu'a contrario la probabilité d'une guerre avec nos voisins n'est pas à négliger.

 Ensuite les journaux sont unanimes pour dénigrer le Gripen, car la plupart des journaux appartiennent à de groupes de presse et d'opinion français. Ces groupes de presse et d'opinion sont proches du gouvernement français et des industries d'armement. En nous vendant des Rafales, c'est tout une nouvelle philosophie de défense que les Français nous vendraient, avec de nouveaux radars, de nouvelles interfaces de communication, de nouveaux moteurs et de nouveaux missiles. En outre l'armée suisse devrait reconsidérer la taille de ses hangars, de ses cavernes alpines et de ses alvéoles de protection. Les journaux suisses ne parlent pas de cette triple incompatibilité des systèmes français avec les systèmes helvétiques, avec le système OTAN et avec le système européen.

 Finalement la Radio Télévision Suisse (RTS), qui a remplacé la RSR et la TSR, qui avaient elles-mêmes supplanté les défuntes Radio Lausanne et Radio Genève, outrepassent leur rôle de média public et s'invitent dans le débat. Cette incurie résulte du fait que la RTS joue en Suisse le rôle de la cinquième colonne. Noyautée par des étrangers d'outre jura, elle met en exergue les différences entre lémaniques et alémaniques, italophones et germanophones, catholiques et protestants, jeunes et vieux, au lieu de vanter l'unité confédérale. La RTS failli à son travail d'information en ne mentionnant pas les insuffisances du Rafale en Afghanistan, le 50% de cible ratées en Libye et les écrasements d’appareils en Provence. La RTS a une position partiale en ne faisant pas mention de la défaite du Rafale au Tiger Meet, face au FA-18 en 2008 et face au JAS-39 en 2010.

 Au sein de la Confédération Helvétique même, le système des partis fait que les Écologistes, les Socialistes, les Chrétiens, les Radicaux et les Libéraux s’opposent tous à l’achat de cet appareil parce que le département de la défense est tenu par un UDC. Or, au delà des luttes partisanes, la tâche principale de l’armée est la défense de la population et du territoire. Pour cela, elle doit disposer d’appareils petits, maniables, agiles, rapides, capables d’opérer depuis n’importe quel point du territoire. Comme la Migros, les PTT, les CFF ou les Alpes, l'armée est aussi un ciment confédéral et elle unit les différentes parties du pays. Pour ces raisons, l’armée confédérale mérite le Saab JAS-39 Gripen, qui a fait ses preuves en Libye, qui a été exporté dans plusieurs pays et qui suffit à la Suède.

 Face à ces forces anti-gouvernementales, la Société Suisse des Officiers (SSO) abonde dans l'autre direction et ne veut que le meilleur appareil du moment. La SSO aspire à l'achat de l'Eurofighter Typhoon II, déjà utilisé par nos voisins allemands, autrichiens et italiens. Or cet appareil idéal est trop cher pour la Suisse et seule la menace d'initiative du GSSA a réussi à empêcher l'achat d'un appareil sur-dimensionné. Le peuple a empêché que ne se reproduise la catastrophique affaire des Mirages français des années septante. Cependant, les Français grâce à une désinformation ciblée et à des rémunérations occultes tentent d’appâter les personnes influentes de notre pays, en leur promettant une version 4 et 5 de leur appareil obsolète et incompatible. Mais dans le même temps, la France ne fait rien contre ses ressortissants qui prennent les places de travail des Suisses, qui agressent des jeunes filles ou des personnes âgées, qui s’en prennent aux offices de poste, aux banques et aux habitations privées.

Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)

jeudi 15 mars 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Affaire des Rafales français

Dès le début, le Département Fédéral de la Défense de la Confédération Helvétique avait montré son scepticisme tant face à la nécessité que face à l'urgence d'acquérir de nouveaux appareils de combat. En effet, des jets supersoniques ne peuvent rien contre la pression migratoire générée par les accords Schengen, accords qu'ont su nous imposer les milieux économiques zurichois. En effet, des avions lourdement armés sont impuissants contre la pression économique exercée sur notre monnaie par la finance internationale. En effet, des chasseurs aériens à réaction ne peuvent s'opposer aux verbales attaques médiatiques des dirigeants politiques étrangers. Or, il est impératif cependant que la Suisse ne laisse pas un ventre mou au sein de l'Europe et la Suisse doit avoir des avions de combat, ne serait-ce que pour faire la police du ciel.

Les Français tentent par tous les moyens de nous faire acheter leur mythique appareil Rafale, qu'ils ont péniblement réussi à hisser au standard F3, après 25 ans d'existence. Mais cet appareil franco-français développé dans les années huitante nécessite un grand rétro-fit, notamment au niveau des moteurs, de l'avionique, du radar et du système de visée. Or, il n'est évidement pas dans l'intérêt de la Confédération d'acheter un appareil dépassé pour participer financièrement à sa mise à niveau. Or, les Français de Dassault tentent de réitérer la scandaleuse "Affaire des Mirage III S", en nous promettant l'hypothétique développement de nouvelles versions plus adaptées et plus efficaces, mais évidement payées par notre pays.

Cependant, à la différence de la France, la Confédération Helvétique est une véritable démocratie et le peuple suisse peut refuser des achats militaires et des adhésions qu'il juge superflues. En effet, nous avons eu l'opportunité de refuser la tutelle de l'Union Européenne, alors que les peuples de France ne sont jamais consultés par leurs élites sur ce sujet. Ils sont même contraints via l'impôt de participer à l'enrichissement de quelques oligarques, dont Dassault. En effet, l'avion franco-français déjà extrêmement complexe est devenu si cher et si fragile, qu'il en est devenu inutilisable au quotidien et TOTALEMENT INEXPORTABLE. Il n'a d'ailleurs en trente années d'existence jamais été exporté. Il n'a donc jamais dégagé de bénéfices qui lui aurait permis d'évoluer. Évidemment que dans ces conditions, il n'est pas dans l'intérêt de la Suisse de financer le développement des chasseurs aériens de ses voisins.

Par contre, l'appareil suédois doit remporter tout nos suffrages, car en plus d'être moderne, il est petit, agile, robuste et maniable. Il génère moins de bruit, moins de pollution et consomme moins de carburant. Il rentre dans l'enveloppe budgétaire allouée au département de la défense par l'Assemblée Fédérale, sous la pression du GSSA. Il est compatible au niveau des moteurs, au niveau de l'armement avec nos FA-18 C/D Hornet, qui ont battu le Rafale en compétition inter-armées en 2008, tout comme le JAS-39 Gripen C/D l'a fait en 2010. Il est compatible au niveau de la taille avec nos F-5 Tiger II E/F, tout en ayant les capacités offensives du Rafale. L'appareil suédois autorisera en outre notre industrie d'armement à maintenir son niveau technologique, fournira des emploi dans ce domaine, assurera notre indépendance militaire et ne confiera pas la défense du pays à des lobbies étrangers.

Malheureusement, les manipulations et les malversations opérées par les Français ont fait ressortir le fait qu'il n'y a nulle urgence d'acquérir un nouvel appareil de combat. Nos F/A-18 remplissent pour l'instant parfaitement leur tâche de défense aérienne. Mais les guerres du futur utiliseront les drones, les missiles anti-missiles, la furtivité et la coopération. Il faut donc continuer de développer avec la Suède le Gripen qui utilise ces techniques. Contre les attentats, les guérillas, les maffias et les gangs armés qui passent nos frontières, le Conseil Fédéral serait bien avisé de développer un version garde-frontière de notre Pilatus XXI, car contre cette nouvelle forme de guerre asymétrique, les jets ne peuvent rien.


Source : Internet (page du 26/05/2012 actualisée le 20/05/2014)