mercredi 25 juillet 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Rafale

L’histoire du Dassault Rafale commence en 1977 en France, au moment des derniers soubresauts de la guerre froide.

La France, ancienne puissance coloniale, battue trois fois par son voisin germanique et sauvée trois fois par les Anglo-Saxons, ressent le besoin de se doter d’un nouvel appareil de combat capable de prendre la succession de ses fragiles Dassault Mirage. Pour ce faire, la France, se joint dans un premier temps aux études en vue de produire un véritable chasseur aérien européen. Mais la France après avoir bénéficié de l’aide technique de l’Allemagne, de l’Italie et de l’Angleterre pour la conception se désolidarise du projet pour favoriser son industrie nationale.

L’appareil de combat multi rôle français devait être capable non seulement de rivaliser avec les appareils soviétiques, mais devait remplacer pas moins de 7 types d'appareils de l'armée française. Plutôt que d'autoriser l’Europe à s’affranchir de la tutelle des États-Unis, l'objectif du chasseur polyvalent français était de s'affranchir de la collaboration européenne.  Le premier avion est livré en 1998, soit après 22 longues années d’errances, qui rendent cet appareil obsolète avant même sa sortie, car entre-temps la situation géostratégique a changé, la menace soviétique a disparu depuis près de 10 ans et de nouvelles technologie étaient apparues.

Le gouvernement français est contraint de soutenir seul le programme Rafale, car des collusions entre les dirigeants et la famille Dassault l’y contraignent. Devant l’insuccès à l’export, la population française subventionne son milliardaire Dassault par des commandes supplémentaires alors que la France n’est pas en situation de guerre.

Le Rafale est un bi réacteur bruyant et gros consommateur de kérosène. Doté de techniques françaises, il est incapable d’emporter les armes de l’OTAN et utilise ses propres systèmes. Extrêmement fragile et sophistiqué, il est incapable de décoller de pistes sommaires et nécessite des spécialistes pour son entretien. Très onéreux à l’achat, il l’est également à l’usage.

Aucun pays au monde hormis la France n’a voulu de l’appareil franco-français, qui est incompatible avec tout ce qui vole actuellement (avionique, armement, moteurs)  : refus en Corée du sud en 2002 pour des F-15, refus au Pays-Bas en 2002  pour des F-35, refus à Singapour en 2005 pour des F-15, refus au Maroc en 2008 pour des F-16, en 2009, l’Inde refuse le Rafale, en 2011, refus de la Confédération Helvétique en 2011 pour des JAS-39, refus des Emirats Arabes Unis en 2011, refus du Brésil en 2011. Le Rafale avait même été refusé en son temps par la Marine Nationale Française, qui lui préférait le FA-18.

Concernant ses résultats opérationnels, le Rafale a été incapable de faire une désignation laser de ses cibles en Afghanistan et a du être accompagné de Mirage V. Le Rafale opérant seul a manqué plus de 50% de ses cibles en Libye. Deux Rafales en patrouille se sont percutés en Provence en 2010 et un autre a sombré en Méditerranée en 2011.

La Confédération Helvétique au terme d’une campagne d’évaluation n’a pas retenu le Rafale, car aucune collaboration entre États n’a pu être trouvée. Le Rafale rencontre de plus des incompatibilités au niveau de la taille, des ordonnances sur le bruit, de l’enveloppe budgétaire accordée, de l’avionique et du radar. Malgré le lobbying intense opéré par la France auprès des haut gradés de l’armée, le coût exorbitant des modifications et des frais annexes engendrés par ces d’incompatibilités ont rendu l’appareil français insupportable financièrement.


Source : Internet ( page actualisée le 25/07/2012)







1 commentaire:

  1. En France, bien des citoyens s'interrogent sur la légitimité de l'empire Dassault, groupe privé de l'industrie de la mort, bâti aux frais de l'Etat.

    Le groupe Dassault Aviation est un constructeur aéronautique français fondé en 1929 par Marcel Bloch (Dassault) et reste le dernier groupe d'aviation au monde détenu par la famille de son fondateur et portant son nom. Radicalement opposé à tout projet de coopération européenne, le juif Bloch craint pour sa source de financement et développe ses avions seul. En 1967, la Société des Avions Marcel Dassault acquiert 66 % du capital de Breguet Aviation et aidée par le gouvernement français l'absorbe en 1971.

    A côté du groupe Dassault, la France dispose depuis 1957 de Sud-Aviation, et depuis 1958, de Nord-Aviation (Potez), qui fusionnent en 1970 pour former Aerospatiale. En 1999, celle ci fusionne avec le groupe Matra de Lagardère. En 2000, celle-ci fusionne avec l'allemand DASA et l'espagnol CASA pour former EADS, qui produit le chasseur de supériorité aérienne europeen.

    Pour contrer l'Eurofighter Typhoon II d'EADS, le juif Dassault persiste à produire le bombardier atomique Rafale, qui coûte déjà 38 milliards d'Euro en 2009 et la France continue de financer ce projet dantesque. Le projet lancé une vingtaine d'année auparavant était budgété à 26 milliards d'Euro et le peuple français. L'Etat français a financé à 85% les études de cet appareil, voulu par Dassault, et l'armée doit acheter des appareils qui ne correspondent pas à ses besoins.

    En 2008-2009, le groupe Dassault est au bord de la faillite, faute de guerre et de commande. L'aviation civile, ne va pas bien non plus à cause de la crise. Or, à la suite de collusion, l'Etat autorise en 2009 le juif Dassault de s'emparer des 20,6% de Thales, que Alcatel-Lucent détenait dans Thomson-CSF et évince le groupe européen EADS. L'Etat français sous la coupe de Sarkozy, qui demeure le premier actionnaire du groupe de Défense, a ainsi autorisé cette transaction sans la soumettre à une OPA. Cette acquisition, qui profite au groupe Dassault, va vraisemblablement lui permettre enfin mettre à niveau l'électronique de son Rafale trentenaire.

    Le groupe européen EADS détient 46% du constructeur français Dassault, mais ne disposait d'aucun pouvoir de décision. En 2012, EADS et BAE Systems envisagent de fusionner pour isoler le français Dassault, mais l'opération ne s'était pas concrétisée. En 2014, Airbus Group (EADS) envisage de céder les 46,3% du capital qu’il détient dans Dassault Aviation, pour se concentrer sur l'Eurofighter Typhoon II. Le retrait de l’Airbus Group profite au juif Dassault, mais celui-ci n'arrive pas à racheter les 46,3 % du capital, pour 5 milliards d’euros.

    En outre, Olivier Dassault, petit fils de Charles Bloch veut reprendre les rênes de l'empire, car il est ingénieur et pilote. Comme toute la dynastie, Il est aussi impliqué dans la politique et dans l'économie, mais son père Olivier refuse de céder le pouvoir.

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