Les déçus du choix du Gripen ont lancés dans la presse du 31 mars 2014 une ultime offensive : Le remplacement du Tiger par des Gripen coûterait soi-disant bien plus cher que les 3.3 milliards envisagés. Or cet achat est prévu pour les 30 prochaines années et ne grévera que le budget de l'armée. Mais les référendaires ont par contre caché à la population, c'est que la DDC/SECO engloutissent 3.3 milliards par année, à l'heure où les caisses des cantons et de la Confédération sont vides.
Les préparatifs à l’achat d’un nouvel avion de combat pour remplacer les F5-Tiger acquis il y a plus de 30 ans remontent à 2003 déjà et au-delà de l’avion proprement dit, le débat est d’ordre idéologique et tourne autour du rôle de l’armée.
Comme la Suisse est une armée, c'est contre la Suisse que se tournent ces attaques !
- Le 30 novembre 2011, le Conseil fédéral s’était prononcé en faveur du Gripen E du fabricant suédois Saab et le 14 novembre 2012, il soumettait au Parlement une demande pour un crédit d’engagement de 3,1 milliards.
- Or le 12 septembre 2013, la Chambre des cantons avait approuvé la loi Gripen et le 27 septembre 2013, la Chambre du peuple avait approuvé la loi Gripen.
- Mais le 14 janvier 2014, le PS, Les Verts, les Verts libéraux et le GSsA déposaient un référendum contre la loi de financement et le 18 mai 2014, le peuple devra voter contre le financement du remplacement du Tiger une ponction de 300 millions chaque année pendant 10 ans sur le budget de l’armée.
Les attaques de l'étranger sont multiples...
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Alors que la Suisse va acheter des Gripen E des plus modernes, les référendaires déçus de ce choix et manipulés depuis l'étranger n'avaient rien trouvé de mieux que révéler dans la presse d'anciennes évaluations concernant le Gripen C/D
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Alors que 210 exemplaires du Gripen volent dans pas moins de 5 pays, les référendaires déçus du choix du Gripen manipulés depuis l'étranger, avaient prétendu que l'appareil n'existait que sur le papier. Cependant, le modèle choisi par la Suisse vole déjà à l'état de prototype et est commandé par la Suède et le Brésil. On ne peut pas en dire autant du Rafale qui n'a jamais été exporté et qui a été imposé à l'armée française.
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Sans doute manipulés depuis l'étranger, les référendaires déçus du choix du Gripen avaient commencé par tourner le Gripen en dérision et à faire des comparaison avec la marque IKEA à cause de sa provenance suédoise. Cependant les Suédois, qui ont inventé la dynamite et l'acier suédois, disposent de leur propre système de défense autonome. Les Suédois sont neutre comme les Suisses, disposent de leur propre monnaie comme les Suisses et jouissent d'un système social stable et évolué. Les Suédois sont déjà présents en Suisse grâce à IKEA, grâce à ABB et grâce à SAAB Aerospace, qui appartient à la Confédération.
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Déçus du choix du Gripen et assurément manipulés depuis l'étranger, les référendaires n'avaient rien trouvé de mieux que de critiquer la provenance américaine de certains systèmes de l'appareil, alors que nous disposons déjà du F/A-18 Hornet américain. Or cette origine américaine des composants assure la compatibilité avec notre matériel, la compatibilité avec l'OTAN et la sécurité de l'approvisionnement, ce qu'un fournisseur exotique comme la France n'est pas capable de nous fournir.
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Complètement manipulés depuis l'étranger, les référendaires ont été amèrement déçus par le choix du Conseil Fédéral et avaient alors critiqué le fait que le Gripen ne possédait qu'un seul réacteur. Cependant les progrès effectués dans les moteurs ont rendu le Gripen E plus rapide et plus maniable que le F/A-18 ou le Rafale, sans toutefois être moins sûr. Monomoteur comme le comme le F-22, le Gripen est semi furtif, grâce à ses communications satellitaires, à sa faible signature thermique et à sa petite taille.
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Déçus du choix du Gripen E, les référendaires avaient critiqué le prix discount du Gripen par rapport au Rafale et au Typhoon, car ils étaient manipulés depuis l'étranger. Leur message prétendait alors que le bon marché était toujours trop cher vis à vis des performances. Mais le Gripen E sait non seulement faire tout ce que font ses concurrents plus cher, mais il possède en outre le meilleur radar du moment, de la meilleure concentration de données dans le casque HMD et qu'il est déjà capable de lancer le missile Meteor.
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Stupidement manipulés depuis l'étranger, les référendaires et les déçus du choix judicieux du Conseil Fédéral prétendent que le JAS-39 Gripen est trop cher, trop risqué et inutile. Le Conseil Fédéral a intelligemment choisi l'appareil le moins cher du marché, pour ne pas dépasser le budget limité du Département de la Défense. Cependant, comparé aux camions à bombe de la guerre froide, le Gripen E possède une vitesse, des capacités de détection, de communication satellitaire et de pilotage de missile supérieures.
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Manipulés depuis l'étranger, les référendaires déçus par le choix du Gripen estiment maintenant que la situation n'est plus propice au remplacement des Tiger et qu'il est préférable d'attendre le remplacement du F/A-18. Mais les personnes inconséquentes qui s'opposent à une armée crédible, oublient qu'ils s'étaient déjà violemment opposés à l'achat de ces mêmes F/A-18.
Le Conseil Fédéral doit réagir...
Par conséquent, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen se révèle impératif car la pauvreté en dotation des forces aériennes suisses rend les
avions opérationnels uniquement pendant les heures de bureau. Sans cet avion, il ne sera plus possible de faire face à des situations extraordinaires et participer solidairement à la sécurité du continent.
Ensuite, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen reste le meilleur choix possible, car
l'appareil suédois coûte moitié prix de ces concurrents, s'intègre sans problème dans notre armée et possède un radar, une avionnique et une vitesse de pointe supérieure. De plus la Suède n'a plus besoin du contrat suisse pour développer ce nouvel appareil, car le Brésil a aussi opté pour cet avion d'exception.
Mais encore, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen reste le meilleur choix possible, car
l'appareil suédois coûtera le dixième de ce coûte annuellement la DDC. Ses coûts d'acquisition et ses coûts d’exploitation sont divisé par deux, comparés au Rafale et à l'Eurofighter, pour une efficacité comparable. La Confédération étant neutre, elle ne sera pas appellée à maintenir l'ordre à l'autre bout du monde et le Conseil Fédéral estime le coût total de cet appareil à 6 milliards à répartir sur 35 ans.
De plus, le Conseil Fédéral doit surtout faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen n'est pas si risqué, car
le Gripen possède une base saine en fonction dans 7 pays différents, à la différence du Rafale, qui a subi pas moins de 5 crashes en 5 ans sans intervention extérieure.
Bien que le le remplacement des Tiger par des Gripen, nécessite le versement d'un acompte de 1 milliard ou 40% du prix d’achat, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que l
es excellentes clauses contractuelles du contrat permettrait à la Suisse de se départir de celui-ci.
Mais, le Conseil Fédéral doit surtout faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen
rapportera à la Suisse 2,5 milliards de francs en affaires compensatoires, dont 30% promis à la Suisse romande. Ces contrat procurreront non seulement sécurité, stabilité, mais aussi places de travail qualifiées pour 1000 employés durant 10 ans..
En outre, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen équipés du même module de communication américain que le F/A-18 C/D Hornet empêchera les Français ou les Allemands d'espionner le territoire helvétique.
D'ailleurs, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que l'implication de la firme SAAB et du Gouvernement suédois dans le remplacement des Tiger par des Gripen est bien inférieure à l'énergie dépensée par Dassault ou le gouvernement français pour discréditer cet appareil. Car la France aimerait bien que la Suisse achète ses anciens appareils datant de la guerre froide pour financer leur mise à niveau, ce qu'elle prouvé en espionnant SAAB et le Gripen. Mais, il faut absolument éviter de commettre la même erreur qu'avec le Mirage français, qui nous avait coùté très cher, car, la France n'avait pas été capable de nous livrer un appareil concurrenciel. Avec un achat français, non seulement, les Français pourraient cartographier la Suisse en détail et écouter nos conversations grâce aux logiciels cachés dans leur appareil, mais la provenance française exclusive nous livrerait au bon vouloir de ce pays hostile. La campagne de dénigrement opérée par l'étranger dans plusieurs journaux dominicaux mérite à ce propos toute notre attention.
En conséquence, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen pourrait également convenir au remplacement à terme des F/A-18 E/F Hornet, qui ne peuvent plus être modernisés. D'ailleurs, les récents crashes de Hornet dans les Alpes démontrent clairement qu'un biréacteur est beaucoup trop lourd pour évoluer dans nos vallées alpines et que la place d'un biréacteur n'est pas dans les Alpes. Un petit pays se doit d'avoir un petit avion rapide et maniable, comme le Gripen E, capable d'intervenir sur la totalité du territoire et non d'un camion à bombe destiné à détruire des capitales lointaines avec des bombes atomiques.
Ne nous laissons plus instrumentaliser par les Français et votons OUI au Gripen le 18 mai 2014
Source : Internet (page actualisée le 02/04/2014)