L'achat d'appareils suédois ne se limite pas au simple achat d'un nouveau vecteur militaire aérien, mais d'une véritable coopération militaire entre deux États neutres, indépendants, non affiliés à l'Euro et jouissant du même type de climat.
Tout d'abord, la Suède propose de mettre à disposition de l'armée fédérale une zone d’entraînement dans le grand nord suédois. Ce domaine inhabité permettrait aux forces aériennes de contourner la législation suisse en matière de nuisances sonores et de vols de nuit. Ensuite, le Royaume de Suède offre à la Confédération Helvétique l'entraînement conjoint de pilotes, la maintenance conjointe des avions de combat, l'utilisation partagée de simulateurs, l'achat groupé d’armements et la gestion commune des pièces de rechange du Gripen.
Cette coopération autorisera l'Armée Fédérale à disposer enfin des moyens que le Parlement rechigne à lui fournir. Comme l'État suédois s'engage à développer conjointement pour la Suisse et la Suède le même appareil, l'armée est ainsi assurée de disposer d'une solution up-to-date et pérenne. Devant l'absence de menace d'invasion crédible dans un proche avenir, l'armée de l'air disposera ainsi d'un outil capable dans un premier temps de seconder efficacement nos Frelons pour éventuellement les remplacer à l'horizon 2040.
Grâce à l'action du GSSA, des écologistes et des milieux du tourisme, les chambres fédérales ont assigné à l'armée une enveloppe budgétaire stricte, qui empêche l'achat d'un avion trop cher, trop bruyant et trop polluant. A côté des économies en termes de stockage et de maintenance, cette coopération avec la Suède offre à Pilatus un débouché pour ses appareils d'entraînement avancés PC-21 et offre à Stalder Rail une éventuelle collaboration dans le domaine ferroviaire.
La France, comme à son habitude, nous trompe et tente de réitérer l'affaire des Mirages. Dans les années septante, la firme Dassault à coup de malversations et de mensonges avait réussi à imposer le Mirage face au Drakken. Alors que l'appareil suédois convenait idéalement, la France sous la menace de ses missiles nucléaires avait infléchi la décision du gouvernement fédéral. Mais les temps ont changés, l'URSS a disparu et le pouvoir des gradés n'est plus aussi grand. Dans le contexte actuel, le Conseil Fédéral a choisi la meilleure solution en terme de coût, d'emploi, de technologie et d'indépendance.
Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)
mercredi 29 février 2012
mardi 21 février 2012
Nouvel Appareil de Combat (NAC): Rapport confidentiel
De source autorisée, voici en primeur des extraits du rapport confidentiel non-communiqué aux journaux, à la RSR et à la TSR qui ont empêché le Rafale d'être compétitif pour l'armée suisse.
Rapport confidentiel
extrait no 1
... les dimensions du Rafale français l'empêchent d'entrer dans les cavernes alpines ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car cette incompatibilité va générer des frais de reconstruction et de modification qui vont coûter des millions de Francs aux contribuables.
extrait no 2
... le Rafale français dépasse le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil. En effet, devant la recrudescence d'incivilités, de voie de fait, de cambriolages, de braquages provoquée par des ressortissants français, l'armée suisse a d'autres priorités que les appareils de combat. La probabilité d'une grande bataille de chars ou d'une attaque aérienne est à relativiser face au risque d'un attentat piloté de l'étranger, de l'entrée de gangs organisés depuis l'extérieur ou de mafias lourdement armées qui en veulent aux biens du peuple suisse.
extrait no 3
... le Rafale français ne possède pas le moteur GE F-414G, produit sous licence par Volvo, de la même famille que le GE 404 du FA-18, et qui offre 10,5 tonnes de poussées en Supercruise, ce qui entraîne que le Rafale n'est pas capable de décoller ni de Supercruise sans post-combustion ...
Le Rafale doit se contenter d'une paire de moteurs français largement inférieurs aux moteurs américains du Frelon. Ces moteurs ont besoin de la réchauffe pour décoller et pratiquer la supercruise. Notre personnel au sol ne saura donc pas les entretenir et nulle synergie ne sera possible entre les appareils, comme l'échange entre les deux appareils et l'utilisation des pièces de réserve. Cette caractéristique est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil.
extrait no 4
... le Rafale français est incapable de lancer des missiles à courte portée IRIS-T allemands qui équipent déjà nos Frelons, comme le Rafale est incapable de lancer des missiles à courte portée ASSRAAM anglais qui équipent déjà nos Frelons et comme le Rafale est incapable de lancer des missiles à courte portée Sidewinder AIM-9X américains qui équipent déjà nos Frelons ...
Cette incompatibilité est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car cette acquisition nécessiterait le rachat de tout l'armement et la facture doublerait.
extrait no 5
... le Rafale français ne peut décoller de pistes non préparées, car ses prises d'air ventrales risquent d'absorber des objets qui détruiraient les moteurs ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car nous avons besoin d'un jet utilisable sur nos pistes de dégagement.
extrait no 6
... le Rafale français ne dispose pas de l'écran géant du F-35 ou celui du Pilatus 21, personnalisable et configurable en fonction du type de mission ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car ce retard technologique empêche le Rafale d'être compétitif face aux appareils d'aujourd'hui et de demain.
extrait no 7
... le Rafale français ne dispose pas du radar AESA ES-05 RAVEN produit par SELEX Galileo, qui permet un balayage de ± 100 °, vision en arrière et engagement direct ...
Cette lacune est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil.
extrait no 8
... le Rafale français ne dispose pas de commandes vocales, d’un HUD large de nouvelle génération et du viseur de casque HMD Cobra, le Rafale ne dispose pas non plus d'une architecture électronique de la dernière génération autorisant une puissance de calcul 5x plus rapide et le Rafale français ne dispose pas du système de guerre électronique EWS39 ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil. L'absence de ces caractéristiques techniques rend le Rafale obsolète et inapte à défendre la Confédération.
extrait no 9
... le Rafale français n'est pas assez manoeuvrable pour le combat en vallée alpine, car trop lourd et inapte au dog-fight en relief accidenté, de plus le Rafale français n'est pas adapté à un pays froid et montagneux comme le notre, le Rafale français n'est pas produit par un pays neutre et nordique comme le notre et le Rafale français n'est pas opérable par une armée de milice comme la notre, car il est trop complexe ...
Ces quatre inconvénients sont des raisons nécessaires et suffisantes pour rejeter l'appareil, car comme avec le Mirage, l'appareil français nécessite de telles modifications que la facture finale exploserait.
extrait no 10
... le Rafale français a été refusé par la Marine Française, qui lui préférait le Boeing FA-18 Hornet plus puissant et plus manoeuvrable ...
Or nous possédons déjà cet appareil de supériorité aérienne, celui-là même, qui avait été refusé à la Marine Française, pour d'obscures raisons de collusion entre Dassault et le Gouvernement..
extrait no 11
... le Rafale français doit se faire accompagner de Mirage 2000-5, car il est incapable de désigner les cibles par lui-même en situation de combat ...
On peut se demander pourquoi la presse française n'a pas plus largement fait écho de son incapacité à tirer par lui-même en Afghanistan et du ratage de 50% des cibles en Libye.
extrait no 12
... le Rafale français s'est fait écraser par le FA-18 C/D lors de l’Ocean Tiger Meet 08, comme le Rafale s'est fait écraser par le JAS-39 C/D lors de l’Ocean Tiger Meet 10 ...
On peut se demander pourquoi l'armée aérienne suisse remplacerait ses excellents Hornet par un appareil inférieur, plus cher et plus ancien, qui nécessite encore des développements après 32 ans ! Alors que le Gripen que nous allons acheter a lui aussi écrasé le Rafale.
extrait no 13
... le Rafale français n'est pas opérable en patrouille, car naturellement instable, il risque de percuter son ailier ...
On peut se demander pourquoi la presse française n'a pas largement fait écho des appareils Rafale détruits au cours de vols d'entraînement au dessus de la Provence.
Conclusion du département fédéral des forces armées aériennes :
... l'appareil Français est beaucoup trop onéreux, beaucoup trop polyvalent et beaucoup trop lié à des firmes françaises tant au niveau de l'armement, de l'avionique que de la motorisation. Son avionique dépassée, son comportement en vol aléatoire et sa faible compatibilité avec notre matériel et avec notre armée risque de rendre notre pays gravement dépendant de l'étranger. C'est pour cette raison que le SAAB JAS-39 GRIPEN est la solution idéale pour la Confédération, car il possède de larges possibilités de développement, de synergie et d'emploi. Cet appareil préservera également au mieux notre indépendance vis-à-vis de l'étranger ...
Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)
Rapport confidentiel
extrait no 1
... les dimensions du Rafale français l'empêchent d'entrer dans les cavernes alpines ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car cette incompatibilité va générer des frais de reconstruction et de modification qui vont coûter des millions de Francs aux contribuables.
extrait no 2
... le Rafale français dépasse le cadre budgétaire alloué à notre armée par le Parlement ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil. En effet, devant la recrudescence d'incivilités, de voie de fait, de cambriolages, de braquages provoquée par des ressortissants français, l'armée suisse a d'autres priorités que les appareils de combat. La probabilité d'une grande bataille de chars ou d'une attaque aérienne est à relativiser face au risque d'un attentat piloté de l'étranger, de l'entrée de gangs organisés depuis l'extérieur ou de mafias lourdement armées qui en veulent aux biens du peuple suisse.
extrait no 3
... le Rafale français ne possède pas le moteur GE F-414G, produit sous licence par Volvo, de la même famille que le GE 404 du FA-18, et qui offre 10,5 tonnes de poussées en Supercruise, ce qui entraîne que le Rafale n'est pas capable de décoller ni de Supercruise sans post-combustion ...
Le Rafale doit se contenter d'une paire de moteurs français largement inférieurs aux moteurs américains du Frelon. Ces moteurs ont besoin de la réchauffe pour décoller et pratiquer la supercruise. Notre personnel au sol ne saura donc pas les entretenir et nulle synergie ne sera possible entre les appareils, comme l'échange entre les deux appareils et l'utilisation des pièces de réserve. Cette caractéristique est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil.
extrait no 4
... le Rafale français est incapable de lancer des missiles à courte portée IRIS-T allemands qui équipent déjà nos Frelons, comme le Rafale est incapable de lancer des missiles à courte portée ASSRAAM anglais qui équipent déjà nos Frelons et comme le Rafale est incapable de lancer des missiles à courte portée Sidewinder AIM-9X américains qui équipent déjà nos Frelons ...
Cette incompatibilité est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car cette acquisition nécessiterait le rachat de tout l'armement et la facture doublerait.
extrait no 5
... le Rafale français ne peut décoller de pistes non préparées, car ses prises d'air ventrales risquent d'absorber des objets qui détruiraient les moteurs ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car nous avons besoin d'un jet utilisable sur nos pistes de dégagement.
extrait no 6
... le Rafale français ne dispose pas de l'écran géant du F-35 ou celui du Pilatus 21, personnalisable et configurable en fonction du type de mission ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil, car ce retard technologique empêche le Rafale d'être compétitif face aux appareils d'aujourd'hui et de demain.
extrait no 7
... le Rafale français ne dispose pas du radar AESA ES-05 RAVEN produit par SELEX Galileo, qui permet un balayage de ± 100 °, vision en arrière et engagement direct ...
Cette lacune est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil.
extrait no 8
... le Rafale français ne dispose pas de commandes vocales, d’un HUD large de nouvelle génération et du viseur de casque HMD Cobra, le Rafale ne dispose pas non plus d'une architecture électronique de la dernière génération autorisant une puissance de calcul 5x plus rapide et le Rafale français ne dispose pas du système de guerre électronique EWS39 ...
Cette contrainte est une raison nécessaire et suffisante pour rejeter l'appareil. L'absence de ces caractéristiques techniques rend le Rafale obsolète et inapte à défendre la Confédération.
extrait no 9
... le Rafale français n'est pas assez manoeuvrable pour le combat en vallée alpine, car trop lourd et inapte au dog-fight en relief accidenté, de plus le Rafale français n'est pas adapté à un pays froid et montagneux comme le notre, le Rafale français n'est pas produit par un pays neutre et nordique comme le notre et le Rafale français n'est pas opérable par une armée de milice comme la notre, car il est trop complexe ...
Ces quatre inconvénients sont des raisons nécessaires et suffisantes pour rejeter l'appareil, car comme avec le Mirage, l'appareil français nécessite de telles modifications que la facture finale exploserait.
extrait no 10
... le Rafale français a été refusé par la Marine Française, qui lui préférait le Boeing FA-18 Hornet plus puissant et plus manoeuvrable ...
Or nous possédons déjà cet appareil de supériorité aérienne, celui-là même, qui avait été refusé à la Marine Française, pour d'obscures raisons de collusion entre Dassault et le Gouvernement..
extrait no 11
... le Rafale français doit se faire accompagner de Mirage 2000-5, car il est incapable de désigner les cibles par lui-même en situation de combat ...
On peut se demander pourquoi la presse française n'a pas plus largement fait écho de son incapacité à tirer par lui-même en Afghanistan et du ratage de 50% des cibles en Libye.
extrait no 12
... le Rafale français s'est fait écraser par le FA-18 C/D lors de l’Ocean Tiger Meet 08, comme le Rafale s'est fait écraser par le JAS-39 C/D lors de l’Ocean Tiger Meet 10 ...
On peut se demander pourquoi l'armée aérienne suisse remplacerait ses excellents Hornet par un appareil inférieur, plus cher et plus ancien, qui nécessite encore des développements après 32 ans ! Alors que le Gripen que nous allons acheter a lui aussi écrasé le Rafale.
extrait no 13
... le Rafale français n'est pas opérable en patrouille, car naturellement instable, il risque de percuter son ailier ...
On peut se demander pourquoi la presse française n'a pas largement fait écho des appareils Rafale détruits au cours de vols d'entraînement au dessus de la Provence.
Conclusion du département fédéral des forces armées aériennes :
... l'appareil Français est beaucoup trop onéreux, beaucoup trop polyvalent et beaucoup trop lié à des firmes françaises tant au niveau de l'armement, de l'avionique que de la motorisation. Son avionique dépassée, son comportement en vol aléatoire et sa faible compatibilité avec notre matériel et avec notre armée risque de rendre notre pays gravement dépendant de l'étranger. C'est pour cette raison que le SAAB JAS-39 GRIPEN est la solution idéale pour la Confédération, car il possède de larges possibilités de développement, de synergie et d'emploi. Cet appareil préservera également au mieux notre indépendance vis-à-vis de l'étranger ...
Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)
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lundi 20 février 2012
Nouvel Appareil de Combat (NAC): Problème français
Comme petit pays, la Suisse a de bonnes raisons de ne pas vouloir acheter du matériel Français, car elle ne supporte plus les critiques de l'ennemi public no 1 contre sa neutralité, les reproches de l'ennemi public no 1 contre sa démocratie et les attaques récurrentes de l'ennemi public no 1 contre son secret bancaire. C'est pour cette raison que la Suisse parle d'accord d’État à État pour la fabrication de son nouvel appareil de combat.
Concernant les appellations, la Suisse n'a pas encore digéré le contentieux entre la France et le canton de Fribourg au sujet du fromage de Gruyère fabriqué dans le district de Gruyère, ancien Comté de Gruyère, au bord du lac de Gruyère. (Pour rappel : l'ennemi public no 1 n'arrive pas à mettre au pas des producteurs d'Emmental de Franche-Compté, qui usurpent du titre Gruyère). Semblablement, la Suisse n'a pas encore digéré le contentieux entre la France et le canton de Vaud au sujet du village de Champagne, du vin de Champagne et des flûtes de Champagne. (Pour rappel : dans ce cas d'homonymie entre un village et une province, l'ennemi public no 1 n'arrive pas à assouplir son appellation protégée). Comme le peuple suisse ne supporte plus que des nations étrangères s'approprient ses biens culturels, " l'affaire du Gruyère " et " l'affaire de Champagne " font partie des nombreux liges qui empoisonnent les relations avec notre voisin d'outre-Jura.
Remontant dans la temps, la Suisse n'a pas encore digéré d'avoir été menacées par les missiles atomiques français durant toute la durée de la guerre froide et concernant l'acquisition d'appareils militaires, la Suisse n'a pas encore digéré " l'affaire des Mirages " . Pour cette dernière cuisante expérience, la Suisse et n'est pas prête à retenter une quelconque affaire commerciale avec la firme Dassault. (Pour rappel : face à l'idéal Saab Drakken suédois et et au surpuissant Starfighter américain, la France avait réussi à imposer l'appareil de la firme Dassault alors que cet appareil ne répondait pas au cahier des charges de la Confédération).
Concernant les réparations de guerre, la Suisse n'a pas encore digéré le massacre de ses ressortissants désarmés aux Tuileries lors du soulèvement des Parisiens contre la Monarchie absolue des Francs. Semblablement, la Suisse n'a pas encore digéré l'invasion française de son territoire, l'imposition d'un gouvernement fantoche et le vol du trésor de Berne par le dictateur Napoleon I.
Concernant les faits militaires historiques, la petite Suisse confédérale, indépendante et neutre peut légitimement avoir une longue liste de griefs face aux seigneurs de guerre "françois" qui se sont emparé de diverses régions européennes :
Pour les diverses raisons mentionnées plus haut, un petit pays comme la Suisse a intérêt de traiter d'Etat à Etat, pour avoir s'assurer la pérennité financière et technique de ses acquisitions. L'accord conclu avec le gouvernement suédois autorise des débouchés pour la firme Pilatus dans les avions d'entraînement avancés, des débouchés pour la firme Stalder rail dans les trains et assure la survie du groupe technologique RUAG. La Suisse n'a pas d'antécédent militaire cuisant à reprocher à la Suède et la Suisse n'aura surtout pas à traiter en Euro surévalué.
Concernant les appellations, la Suisse n'a pas encore digéré le contentieux entre la France et le canton de Fribourg au sujet du fromage de Gruyère fabriqué dans le district de Gruyère, ancien Comté de Gruyère, au bord du lac de Gruyère. (Pour rappel : l'ennemi public no 1 n'arrive pas à mettre au pas des producteurs d'Emmental de Franche-Compté, qui usurpent du titre Gruyère). Semblablement, la Suisse n'a pas encore digéré le contentieux entre la France et le canton de Vaud au sujet du village de Champagne, du vin de Champagne et des flûtes de Champagne. (Pour rappel : dans ce cas d'homonymie entre un village et une province, l'ennemi public no 1 n'arrive pas à assouplir son appellation protégée). Comme le peuple suisse ne supporte plus que des nations étrangères s'approprient ses biens culturels, " l'affaire du Gruyère " et " l'affaire de Champagne " font partie des nombreux liges qui empoisonnent les relations avec notre voisin d'outre-Jura.
Remontant dans la temps, la Suisse n'a pas encore digéré d'avoir été menacées par les missiles atomiques français durant toute la durée de la guerre froide et concernant l'acquisition d'appareils militaires, la Suisse n'a pas encore digéré " l'affaire des Mirages " . Pour cette dernière cuisante expérience, la Suisse et n'est pas prête à retenter une quelconque affaire commerciale avec la firme Dassault. (Pour rappel : face à l'idéal Saab Drakken suédois et et au surpuissant Starfighter américain, la France avait réussi à imposer l'appareil de la firme Dassault alors que cet appareil ne répondait pas au cahier des charges de la Confédération).
Concernant les réparations de guerre, la Suisse n'a pas encore digéré le massacre de ses ressortissants désarmés aux Tuileries lors du soulèvement des Parisiens contre la Monarchie absolue des Francs. Semblablement, la Suisse n'a pas encore digéré l'invasion française de son territoire, l'imposition d'un gouvernement fantoche et le vol du trésor de Berne par le dictateur Napoleon I.
Concernant les faits militaires historiques, la petite Suisse confédérale, indépendante et neutre peut légitimement avoir une longue liste de griefs face aux seigneurs de guerre "françois" qui se sont emparé de diverses régions européennes :
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de son protectorat sur la Savoie face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon III en 1860,
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié son annexion face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon I en 1798,
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Valteline face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon I en 1797,
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié le massacre de Marignano et la perte du Milanais face aux hordes de soudards de l'autocrate François I en 1515,
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Franche-Comté face aux hordes de soudards de l'autocrate Louis XIV en 1678.
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Décapole et de la région d'Alsace en 1648.
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié l'attaque armée de la ville de Bâle et le attaque économique de la ville de Genève par le dictateur Louis XI.
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Décapole et de l'Alsace en 1444.
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié son annexion face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon I en 1798,
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Valteline face aux hordes de soudards de l'autocrate Napoleon I en 1797,
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié le massacre de Marignano et la perte du Milanais face aux hordes de soudards de l'autocrate François I en 1515,
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Franche-Comté face aux hordes de soudards de l'autocrate Louis XIV en 1678.
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Décapole et de la région d'Alsace en 1648.
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié l'attaque armée de la ville de Bâle et le attaque économique de la ville de Genève par le dictateur Louis XI.
- la Confédération helvétique n'a pas apprécié la perte de la Décapole et de l'Alsace en 1444.
Pour les diverses raisons mentionnées plus haut, un petit pays comme la Suisse a intérêt de traiter d'Etat à Etat, pour avoir s'assurer la pérennité financière et technique de ses acquisitions. L'accord conclu avec le gouvernement suédois autorise des débouchés pour la firme Pilatus dans les avions d'entraînement avancés, des débouchés pour la firme Stalder rail dans les trains et assure la survie du groupe technologique RUAG. La Suisse n'a pas d'antécédent militaire cuisant à reprocher à la Suède et la Suisse n'aura surtout pas à traiter en Euro surévalué.
Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)
mardi 14 février 2012
Nouvel Appareil de Combat (NAC): Propagande diffamatoire
Les Français tentent de déstabiliser notre gouvernement en publiant les résultats de l'analyse préalable du Gripen C/D, alors que nous allons acheter des Gripen E/F supérieurs au Rafale. Ceci relève de la pure désinformation et de l'intoxication politique.
Il faut alors bien préciser les points suivants :
Tout d'abord, le Rafale avait été refusé par la Marine Nationale Française, car il n'était pas capable d'apponter sur un porte-avion. La MNF lui préférait le Boeing FA-18 Hornet qui lui était supérieur en terme de puissance, d'efficacité, de maniabilité et du point de vue de ses capacité électroniques. C'est pour cette raison que notre armée s'est dotée il y a une vingtaine d'année de ce dernier type d'appareil.
Par la suite, le Rafale, lors de son premier engagement en Afghanistan s'est révélé incapable de faire une désignation laser de ses cibles. C'est la raison pour laquelle il doit toujours être accompagné de Mirage 2000-5 pour le seconder. Ce qui est particulièrement dommageable pour un appareil qui se veut polyvalent.
Finalement, le Rafale, lors de son engagement en Lybie a manqué plus de 50% de ses cibles du à son système de visée inadapté et à l'absence de viseur de casque. Ce qui est particulièrement fâcheux pour un appareil à 100 millions de francs pièce.
De surcroit, le Rafale est le seul appareil a ne pas nécessiter d'ennemi, ni de missile pour se faire descendre. Du fait de son avionique dépassée et de sa charge alaire trop importante, le Rafale est capable de s'envoyer au tapis en temps de paix seul ou en patrouille. En cinq ans, ce sont ainsi cinq appareils qui ont ainsi disparus des écrans radar. Ce qui est plutôt regrettable pour un appareil sensé défendre le pays.
Évidement que tous ces points ont été totalement occultés dans la presse. Il faut dire que la plupart des journaux romands sont détenus par des groupes militaristes Français, qui essaient d'influencer négativement la population romande. La Radio romande et la Télévision Romande sont pareillement noyautées par des ressortissants d'outre Jura. Le groupe Dassault a également mandaté l'agence Fahrner pour qu'il discrédite le Gripen dans les journaux romands.
Sans doute que le Rafale n'est pas un si mauvais appareil, mais son gros problème est qu'il n'est compatible ni avec les standards européens, ni avec les standard OTAN, ni avec les standards helvétiques. Son achat nécessitera donc le rachat de tout le matériel au sol et de tout l'armement. En plus de ne pas correspondre à nos standards, cet appareil ne sera pas fabriqué sur place par nos entreprises, provoquera une dangereuse perte de souveraineté en plus des places de travail qu'il ne procurera pas. Le problème des back doors, à savoir des systèmes espions qui permettent à la France d'espionner notre pays, n'est même pas entré en ligne de compte.
Les Français veulent nous faire annuler trois années d'évaluation coûteuses pour que l'on choisisse leur appareil. Mais dans un tel cas, les autres partenaires serait également en droit de présenter de nouvelles offres. Certainement qu'à ce moment, le vieux Rafale ne ferait pas le poids dans une nouvelle évaluation face au Super Gripen E/F, au Sukhoi 34 et au MiG 35. Les éventuels contrats envisagés avec l'Inde et avec le Brésil sont par contre plus plausibles, car ces pays sont grands, possèdent une marine et sont partagés entre un achat américains et un achat russe. Sans doute qu'avec des pots de vin, un peu de diplomatie et un grand transfert de technologie, la France risque de se réaliser une de ces affaires, car ces grands pays aimeraient se doter d'une aviation militaire en sautant l'étape de la recherche.
Mais à notre pays n'a été proposé aucune de ces contreparties et le comportement de la France dans ces tractations ne mérite que notre mépris.
Source : Internet (page actualisée le 14/07/2012)
Il faut alors bien préciser les points suivants :
Tout d'abord, le Rafale avait été refusé par la Marine Nationale Française, car il n'était pas capable d'apponter sur un porte-avion. La MNF lui préférait le Boeing FA-18 Hornet qui lui était supérieur en terme de puissance, d'efficacité, de maniabilité et du point de vue de ses capacité électroniques. C'est pour cette raison que notre armée s'est dotée il y a une vingtaine d'année de ce dernier type d'appareil.
Par la suite, le Rafale, lors de son premier engagement en Afghanistan s'est révélé incapable de faire une désignation laser de ses cibles. C'est la raison pour laquelle il doit toujours être accompagné de Mirage 2000-5 pour le seconder. Ce qui est particulièrement dommageable pour un appareil qui se veut polyvalent.
Finalement, le Rafale, lors de son engagement en Lybie a manqué plus de 50% de ses cibles du à son système de visée inadapté et à l'absence de viseur de casque. Ce qui est particulièrement fâcheux pour un appareil à 100 millions de francs pièce.
De surcroit, le Rafale est le seul appareil a ne pas nécessiter d'ennemi, ni de missile pour se faire descendre. Du fait de son avionique dépassée et de sa charge alaire trop importante, le Rafale est capable de s'envoyer au tapis en temps de paix seul ou en patrouille. En cinq ans, ce sont ainsi cinq appareils qui ont ainsi disparus des écrans radar. Ce qui est plutôt regrettable pour un appareil sensé défendre le pays.
Évidement que tous ces points ont été totalement occultés dans la presse. Il faut dire que la plupart des journaux romands sont détenus par des groupes militaristes Français, qui essaient d'influencer négativement la population romande. La Radio romande et la Télévision Romande sont pareillement noyautées par des ressortissants d'outre Jura. Le groupe Dassault a également mandaté l'agence Fahrner pour qu'il discrédite le Gripen dans les journaux romands.
Sans doute que le Rafale n'est pas un si mauvais appareil, mais son gros problème est qu'il n'est compatible ni avec les standards européens, ni avec les standard OTAN, ni avec les standards helvétiques. Son achat nécessitera donc le rachat de tout le matériel au sol et de tout l'armement. En plus de ne pas correspondre à nos standards, cet appareil ne sera pas fabriqué sur place par nos entreprises, provoquera une dangereuse perte de souveraineté en plus des places de travail qu'il ne procurera pas. Le problème des back doors, à savoir des systèmes espions qui permettent à la France d'espionner notre pays, n'est même pas entré en ligne de compte.
Les Français veulent nous faire annuler trois années d'évaluation coûteuses pour que l'on choisisse leur appareil. Mais dans un tel cas, les autres partenaires serait également en droit de présenter de nouvelles offres. Certainement qu'à ce moment, le vieux Rafale ne ferait pas le poids dans une nouvelle évaluation face au Super Gripen E/F, au Sukhoi 34 et au MiG 35. Les éventuels contrats envisagés avec l'Inde et avec le Brésil sont par contre plus plausibles, car ces pays sont grands, possèdent une marine et sont partagés entre un achat américains et un achat russe. Sans doute qu'avec des pots de vin, un peu de diplomatie et un grand transfert de technologie, la France risque de se réaliser une de ces affaires, car ces grands pays aimeraient se doter d'une aviation militaire en sautant l'étape de la recherche.
Mais à notre pays n'a été proposé aucune de ces contreparties et le comportement de la France dans ces tractations ne mérite que notre mépris.
Arguments en faveur du Saab JAS Gripen :
- il est est compatible avec nos 50 F-5 au niveau taille, donc ne nécessite pas de nouveaux hangars,
- il est compatible avec notre budget, car il coûte la moitié du prix de ses concurrents,
- il est est compatible avec nos 33 FA-18 au niveau du type de moteur,
- il est est compatible avec nos 33 FA-18 au niveau de l’armement,
- il dispose d’un meilleur radar,
- il dispose d’un meilleur casque de visée,
- il dispose d’une meilleure avionique,
- il utilise un armement aux standards européen et OTAN,
- il est capable de décoller de pistes sommaires,
- il est adapté à un pays froid et montagneux comme le notre,
- il peut être mis en œuvre par une armée de milice comme la notre,
- il est produit par un pays neutre comme le notre.
Source : Internet (page actualisée le 14/07/2012)
lundi 13 février 2012
Nouvel Appareil de Combat (NAC): Affaire des Rafales invendables
Considérant les développements de l'Affaire des Rafales, il apparait de plus en plus que des infiltrés français au sein de la Confédération ont vraisemblablement versés des pots-de vins non seulement aux industriels de la République pro-Française de Genève, mais aussi aux militaires et aux parlementaires. Le témoignage en est fourni par un ancien conseiller fédéral valaisan qui avait largement bénéficié des largesses de Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault, Bouygues et consort. Seule la longueur de la campagne d'évaluation des nouveaux chasseurs avait permis à la Confédération de mettre cet homme de paille à la retraite sans causer trop de dégâts.
Il faut se veiller à ce que la situation qui prévaut en France n'arrive pas en Suisse. Par une désinformation continue, le consortium militaro-industriel Dassault oblige le peuple français à payer seul le développement onéreux d'un avion certes d'exception, mais conçu pour la guerre froide. Comme la conception de cet appareil remonte aux années septante, son avionique nécessite des mises à niveaux perpétuelles, qui ne l'autorisent toutefois pas à acquérir l'efficacité d'appareils de conception plus récente. Cependant, comme la démocratie directe et le fédéralisme n'existe pas en France, le peuple français est contraint malgré lui de participer au financement de cet appareil et à l'enrichissement de ses élites, dont la famille Dassault.
Comme avec l'affaire des Mirages, les milieux politico-financiers français tentent de nous vendre des appareils qui ne nous conviennent pas. Pour ce faire, ils ont grassement rémunéré quelques officiers de l'armée fédérale pour que ces derniers élaborent un rapport diffamatoire contre l'appareil qui convient le mieux à notre armée et à notre pays. Ensuite, par des fuites savamment orchestrées, les Français tentent de semer le doute et la désunion au sein du collège gouvernemental, alors que la décision d'acheter l'appareil suédois a été prise de manière définitive après une longue campagne d'évaluation. Mais l'histoire se répète et comme avec l'affaire des Mirages, les milieux politico-financiers français tentent d'influencer le peuple suisse en envoyant de nouvelles propositions aux élus du peuple. Les Français ont même envoyé le dénommé Charles Edelstenne pour convaincre le Conseil Fédéral avec de nouvelles propositions.
Finalement le Rafale ne sera pas fabriqué en Suisse, ne fournira pas de places de travail, diminuera donc notre indépendance et notre savoir-faire. Cette seule raison devrait suffire à écarter la candidature de l'appareil français. Le Rafale ne sauvera ni RUAG, ni Armasuisse, ni Pilatus, ni Stalder Rail.
Rappelons que l'armée suisse cherche un appareil pour remplacer le Tiger II E/F, qui soit compatible avec l'OTAN, avec l'Europe, avec le FA-18 C/D pour défendre l'espace aérien helvétique. Or le Gripen répond idéalement à ce cahier des charges.
Source : Internet (page mise à jour 26/05/2012)
Il faut se veiller à ce que la situation qui prévaut en France n'arrive pas en Suisse. Par une désinformation continue, le consortium militaro-industriel Dassault oblige le peuple français à payer seul le développement onéreux d'un avion certes d'exception, mais conçu pour la guerre froide. Comme la conception de cet appareil remonte aux années septante, son avionique nécessite des mises à niveaux perpétuelles, qui ne l'autorisent toutefois pas à acquérir l'efficacité d'appareils de conception plus récente. Cependant, comme la démocratie directe et le fédéralisme n'existe pas en France, le peuple français est contraint malgré lui de participer au financement de cet appareil et à l'enrichissement de ses élites, dont la famille Dassault.
Comme avec l'affaire des Mirages, les milieux politico-financiers français tentent de nous vendre des appareils qui ne nous conviennent pas. Pour ce faire, ils ont grassement rémunéré quelques officiers de l'armée fédérale pour que ces derniers élaborent un rapport diffamatoire contre l'appareil qui convient le mieux à notre armée et à notre pays. Ensuite, par des fuites savamment orchestrées, les Français tentent de semer le doute et la désunion au sein du collège gouvernemental, alors que la décision d'acheter l'appareil suédois a été prise de manière définitive après une longue campagne d'évaluation. Mais l'histoire se répète et comme avec l'affaire des Mirages, les milieux politico-financiers français tentent d'influencer le peuple suisse en envoyant de nouvelles propositions aux élus du peuple. Les Français ont même envoyé le dénommé Charles Edelstenne pour convaincre le Conseil Fédéral avec de nouvelles propositions.
- Accès aux bases d'entrainement du territoire français
- Vente d'une version très diminuée de l'appareil polyvalent français.
- Prix inférieur au prix du JAS-39 Gripen E et du Typhoon pour 18 appareils au lieu de 22.
- Le Rafale en version diminuée n'apporte rien à la défense aérienne et c'est plutôt à une version améliorée que nos forces aériennes aspirent.
- Le Rafale ne dispose toujours pas d'une motorisation suffisante, qui viendra avec les version 4 ou 5 de l'appareil.
- Le Rafale ne dispose toujours pas d'une avionique suffisante, qui viendra avec les version 4 ou 5 de l'appareil.
- Le Rafale reste un appareil biréacteur qui a deux fois plus de chance de rencontrer un problème au niveau des moteurs.
- Le Rafale est toujours incapable de décoller de pistes courte peu aménagées.
- Le Rafale ne dispose de viseur de casque valable, démontré par les récents engagements en Lybie avec 50% d'objectifs manqués.
- Le Rafale est toujours incompatible avec le Frelon tant au niveau des moteurs que des armes embarquées.
- Disposer de zones d'entraînement en France n'apporte rien à notre armée, qui doit combattre dans les territoires froids et montagneux.
- Disposer de moins d'appareils qui sont immobilisés plus longtemps au sol risque d'être dangereux pour la Suisse.
Rappelons que l'armée suisse cherche un appareil pour remplacer le Tiger II E/F, qui soit compatible avec l'OTAN, avec l'Europe, avec le FA-18 C/D pour défendre l'espace aérien helvétique. Or le Gripen répond idéalement à ce cahier des charges.
- Il a a la même taille que le Tiger qu'il doit remplacer, à la différence du Rafale français.
- Il a le même type de réacteur que le FA-18 qu'il doit seconder.
- Il est aussi rapide que l'appareil français, tout en étant moins bruyant.
- Il a la même puissance relative que l'appareil français.
- Il est capable de s'adapter à l'infrastructure existante, sans modification.
- Il autorisera l'armée à maîtriser sa technologie car produit sur place.
- Il possède un viseur de casque, à la différence du Rafale français.
- Il pourra utiliser les mêmes missiles que le FA-18, à la différence du Rafale français.
- Il sera capable de décoller de nos autoroutes, à la différence du Rafale français.
- Il ne sera pas truffé de back-doors (logiciels espions), à la différence du Rafale français.
Source : Internet (page mise à jour 26/05/2012)
mardi 7 février 2012
Nouvel Appareil de Combat (NAC): Affaire des Rafales
Les milieux français infiltrés au sein de la Confédération continuent leur travail de sape, lancent de fausses rumeurs et critiquent le choix de notre Conseil Fédéral, dans le but de le discréditer. Ils poursuivent ainsi les attaques de MM. Woerth, Hollande et Sarkosy contre la démocratie Helvétique.
Dans l'impossibilité d'écouler leur appareil à l'étranger, Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault et consort mènent une campagne de désinformation et de discrédit. Ils prétendent avoir obtenus un gros contrat en Inde pour valider l'efficacité de leur appareil dépassé. Comme les cadres de l’armée suisse ont pris l’habitude de disposer d'un excellent matériel, ils sont sensibles à ces arguments et conspuent la décision intelligente du gouvernement fédéral.
De plus, Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault et consort, vexés de ne pas avoir remporté le marché suisse, prétendent qu'une nouvelle offre plus avantageuse a été faite. Or personne dans les milieux concernés n'a encore vus cette proposition et on peut légitimement se demander pour quelle raison une telle offre n'avait pas été faite lors de l'évaluation.
Rappelons que l'armée suisse cherche un appareil pour remplacer le Tiger II E/F, qui soit compatible avec l'OTAN, avec l'Europe, avec le FA-18 E/F pour défendre l'espace aérien helvétique. Or le Gripen répond idéalement à ce cahier des charges :
Finalement, le JAS-39 Gripen E fournira du travail à notre industrie à la différence de son concurrent français, car l'appareil sera produit en Suisse par nos firmes. Il devrait contenter les cadres de l'armée, car il autorisera notre pays à développer son propre appareil et à reprendre la glorieuse lignée du P16 abandonnée dans les années cinquante. L'industrie helvétique pourra ainsi maintenir son niveau technologique en ce domaine.
Par contre, les avions français ne fourniront du travail qu'aux entreprises françaises. Ils permettront peut-être à Dassault d'éviter la faillite, car pour l'instant seul la France soutient ce programme insensé. L'appui financier de notre pays permettrait aux Français de développer une nouvelle version plus concurrentielle de leur appareil avec des moteurs plus puissants et une avionique moderne. Mais ces améliorations seraient malheureusement réservées à la France et il n'est pas dans les attribution de la Confédération de financer l'armement de ses voisins.
Rappelons-nous simplement l'affaire des Mirages de Dassault. Par des malversations politiques, diplomatiques et économiques, le gouvernement français avait convaincu le conseiller fédéral Paul Chaudet d'acheter des Mirages. Or cet appareil ne convenait pas et il fallu renforcer le train d'atterrissage, monter de nouveaux canons, adjoindre des fusées de décollage et ajouter des ailerons mobiles pour qu'il réponde aux besoins de l'armée suisse. La facture doubla alors. Ne commettons pas deux fois la même erreur.
Source : Internet (page mise à jour le 26/05/2012)
Dans l'impossibilité d'écouler leur appareil à l'étranger, Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault et consort mènent une campagne de désinformation et de discrédit. Ils prétendent avoir obtenus un gros contrat en Inde pour valider l'efficacité de leur appareil dépassé. Comme les cadres de l’armée suisse ont pris l’habitude de disposer d'un excellent matériel, ils sont sensibles à ces arguments et conspuent la décision intelligente du gouvernement fédéral.
De plus, Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault et consort, vexés de ne pas avoir remporté le marché suisse, prétendent qu'une nouvelle offre plus avantageuse a été faite. Or personne dans les milieux concernés n'a encore vus cette proposition et on peut légitimement se demander pour quelle raison une telle offre n'avait pas été faite lors de l'évaluation.
Rappelons que l'armée suisse cherche un appareil pour remplacer le Tiger II E/F, qui soit compatible avec l'OTAN, avec l'Europe, avec le FA-18 E/F pour défendre l'espace aérien helvétique. Or le Gripen répond idéalement à ce cahier des charges :
- Il a a la même taille que le F-5 Tiger qu'il doit remplacer.
- Il coûte moitié prix du Rafale français à l'achat.
- Il coûte moitié prix su Rafale français à l'entretien.
- Il a le même type de réacteur que le FA-18 Hornet qu'il doit seconder.
- Il a le même type de codage radio que le FA-18 Hornet qu'il doit seconder.
- Il est plus rapide que le Rafale français, tout en étant moins bruyant.
- Il a la même puissance relative que le Rafale français.
- Il est capable de s'adapter à l'infrastructure existante, à la différence du Rafale français.
- Il autorisera l'armée à maîtriser sa technologie car produit en collaboration.
- Il possède un viseur de casque dont ne dispose pas le Rafale français.
- Il utilise les mêmes missiles que nos FA-18 C/D et nos F-5 E/F.
- Il sera capable de décoller de nos autoroutes en cas de guerre.
- Il est moins complexe et son entretien moins onéreux que le Rafale français.
Par contre, les avions français ne fourniront du travail qu'aux entreprises françaises. Ils permettront peut-être à Dassault d'éviter la faillite, car pour l'instant seul la France soutient ce programme insensé. L'appui financier de notre pays permettrait aux Français de développer une nouvelle version plus concurrentielle de leur appareil avec des moteurs plus puissants et une avionique moderne. Mais ces améliorations seraient malheureusement réservées à la France et il n'est pas dans les attribution de la Confédération de financer l'armement de ses voisins.
Rappelons-nous simplement l'affaire des Mirages de Dassault. Par des malversations politiques, diplomatiques et économiques, le gouvernement français avait convaincu le conseiller fédéral Paul Chaudet d'acheter des Mirages. Or cet appareil ne convenait pas et il fallu renforcer le train d'atterrissage, monter de nouveaux canons, adjoindre des fusées de décollage et ajouter des ailerons mobiles pour qu'il réponde aux besoins de l'armée suisse. La facture doubla alors. Ne commettons pas deux fois la même erreur.
Source : Internet (page mise à jour le 26/05/2012)
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