Son problème principal est son prix, le biréacteur français coûte le double d'un SAAB JAS 39 Gripen pour une efficacité comparable
Or le conseil fédéral doit faire face à d'autres priorités que l'achat d'appareil dont l'utilité est aujourd'hui remise en question. Avec la signature des Accords de Schengen, la Confédération doit faire face à un flux toujours croissant de travailleurs en provenance de l'union européenne qui engendre un chômage accru et une inflation considérable, dans le domaine des loyers particulièrement. Or tous nos blindés et tous nos avions de chasse ne servent à rien si les frontières ne sont pas mieux contrôlées, dans la région de Genève notamment.
Son second problème est l'insuffisance notoire de ses moteurs
La France, sous la pression des milieux judéo-capitalistes proches du gouvernement, a voulu développer son appareil de combat seule, sans collaboration internationale. Elle a du par conséquent se tourner vers ses motoristes nationaux et plutôt que d'acheter des moteurs performants, elle a du se contenter de M-88 produits localement. Les conséquences sont que le rafale ne peut décoller sur de courtes distances et ne peut pratiquer la super-cruise sans utiliser la post-combustion. Ceci provient que les Français utilisent des catapultes à vapeur sur leur porte-aéronefs et ont négligé le problème des moteurs, à la différence du Boeing FA-18, de l'Eurofighter Typhoon ou du MiG-35.
Son troisième problème est l'insuffisance de son radar
La France en voulant faire cavalier seul, a établi un cahier des charges correspondant aux menaces de l'époque, c'est à dire la guerre froide. Cet avion a été conçu pour se mesurer à des appareils tels le MiG-25 ou le F-15. Or les conditions d'engagement aérien ont changé, avec l'apparition de nouveaux concepts tel la furtivité et la guerre électronique. Le Rafale aujourd'hui nécessite l'appui d'un AWACS pour s'orienter et d'un Mirage-5 pour illuminer électroniquement ses cibles, car la puissance de son radar fait cruellement défaut. Il est avéré que 50% des cibles sont manquées par le viseur du Rafale. Le Boeing FA-18, de l'Eurofighter Typhoon, le MiG-35 et même le SAAB JAS-35 Grippen s'acquittent parfaitement de cette tâche.
Son quatrième problème est l'obsolescence de son avionique
Dans les ordinateurs, la loi de Moore prédit que la puissance de calcul double toutes les années et demie. Donc un avion bourré d'électronique de pointe se retrouve 20 ans après sa mise en service complètement obsolète. Or une vingtaine d'année, c'est ce qu'il a fallu pour développer le Rafale. Son électronique de bord est au moins 15'000 fois inférieure à ce qui se produit actuellement. La présentation de ses informations donne une impression de guerre froide.
Son cinquième problème est politique
La France, qui produit le Rafale, n'est pas ce qu'on pourrait appeler un pays ami. Elle ne possède pas de Constitution fédérale et n'est pas démocratique, car toutes les décisions se prennent à Paris. Ceci soulève un problème hautement stratégique pour notre pays et ne relève plus du simple problème commercial. En cas de guerre, nous avons besoin d'un partenaire fiable. Or, la France fait problème avec les frontaliers, avec le vignoble du village de Champagne, avec le fromage de la région de Gruyère, avec notre secret bancaire. Historiquement parlant cette nation, qui a déclaré trois guerres à l'Allemagne, huit guerres à l'Italie, qui s'est battue pendant cent ans avec l'Angleterre n'est pas rassurante. Ce pays qui s'est opposé à la Confédération en Alsace, en Franche-Comté, en Savoie et en Lombardie ne fait pas partie de nos alliés. Ce peuple belliqueux qui a mis l'Europe à feu et à sang sous Louis XI, sous Louis XIV, sous Napoléon I et sous Napoléon III, qui a annexé la Corse, Nice et la Savoie, qui a annexé l'Alsace, la Lorraine et la Franche-Comté, qui a attaqué le Mexique, l'Indochine et l'Algérie, ne doit pas inspirer notre respect. L'histoire se continue car la France veut maintenant le pétrole de la Libye, l'uranium du Mali et les richesses de la Syrie.
Son sixième problème est économique
Cet avion de combat, n'est produit que par des industries Françaises telles Dassault, Safran ou Thalès. Ceci soulève un problème hautement stratégique pour notre pays et ne relève plus du simple problème commercial. Car la France en nous vendant ses appareils obsolètes aimerait que l'on finance les améliorations et les mises à niveau qui s'imposent, comme on avait du le faire pour le Mirage. Cependant, notre nation soutient déjà la France en accueillant plus de 200'000 réfugiés économiques français en plus des binationaux et de ceux qui ont réussi à se faire naturaliser. Ces travailleurs monolingues provoquent du chômage, du dumping salarial et de l'inflation dans notre pays. Ces étrangers ne s'adaptent pas à notre pays, veulent imposer leurs goûts culinaires, leur manière de parler et leur manière de penser.
Conclusion
La France en voulant privilégier son industrie nationale pour produire un appareil omnirôle, capable de remplacer plusieurs appareils de l'armée française, a réussi à créer un bijou technologique, qui n'excelle dans aucun domaine, qui coûte extraordinairement cher aux contribuables et qui n'est pas exportable.
Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)