vendredi 25 avril 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Dotation actuelle


 Actuellement, comme force principale, les Forces aériennes suisses disposent de 26 chasseurs-bombardiers biréacteurs McDonnell Douglas F/A-18 Hornet C monoplaces et 6 F/A-18 Hornet D biplaces. Ces appareils américains construits en Suisse sous licence sont basés à Meiringen, Payerne et Sion. Malgré leur radar APG-76, deux de ces appareils biplaces ont été perdus lors de manœuvres dans les Alpes.

 Pour appuyer ces appareils, les Forces aériennes suisses disposent de 42 chasseurs légers Northrop F-5 Tiger II E monoplaces et de 12 Northrop F-5 Tiger II F biplaces. Ces appareils américains construits en Suisse sous licence sont basés à Payerne, Emmen et Sion. Cantonnés à des missions de défense aérienne de jour et par beau temps, du fait des faibles capacités de leur radar APG-69, ces vétérans de Korée doivent être impérativement être remplacés, car ils sont incapables de détecter et d'engager des cibles volants à basse altitude.

 En procédure de consultation devant le peuple, le SAAB JAS-39 Gripen E est le candidat idéal pour ce remplacement. Petit, agile, rapide, ce monoréacteur laisse une faible réponse radar et une faible trace thermique. Capable de Mach 2, cet appareil a la même taille que le Tiger et peut le remplacer sans modification de l'infrastructure. Disposant de l'équivalent radar de l'APG-81, de commandes de vol électrique HOTAS à triple redondance, d'une électronique ultra-rapide jugée dix fois plus rapide que ses concurrents, 22 chasseurs multi-rôles suédois peuvent reprendre toutes les missions des 54 F-5 et appuyer les 32 F/A-18. A terme, on pourrait même envisager que le JAS-39 Gripen E remplace les F/A-18, car son radar est supérieur, sa vitesse est supérieure, sa nacelle de reconnaissance LITENING livrée d'origine est la même que celle mise en option sur le Hornet. Ses capacités de dialogue avec les troupes au sol, avec les avions en vol et avec les satellites avec une concentration des informations sur un seul écran géant multicouleur en fait l'appareil idéal du XXIe siècle.

 A côté de ces jets, les Forces aériennes suisses disposent encore de 28 Pilatus PC-7 à Locarno, de 15 PC-6 à Emmen, de 11 PC-9 et de 1 PC-12 à Emmen et de 8 PC-21 à Sion. Mais ces avions à hélice ne sont pas capable de faire la police du ciel.
 Les Forces aériennes suisses disposent également de 1 BeechCraft, de 1 Citation et de 1 Falcon à Belp, de 1 TwinOtter et de 1 BeachKing à Dubendorf. Mais ces appareils de transport sont désarmés.
Pour appuyer ces avions, les Forces aériennes suisses disposent de 15 SuperPuma, de 12 Eurocopter Cougar, de 18 Eurocopter 635 et de 2 EC-135 à Payerne, Dubendorf et Alpnach. Mais ces hélicoptères n'ont pas un plafond suffisant, ni une vitesse suffisante pour faire la police du ciel.
 Pour appuyer ces appareils, les Forces aériennes suisses disposent de 24 drônes ADS-95 et de 30 drônes KDZ-85. Mais ces engins guidés ne sont pas capable d'intervenir dans le cadre de la police du ciel.

Cette énumération montre que la Suisse, entourée par l'Union Européenne ne peut compter que sur ces propres forces, à la différence de l'Autriche qui appartient aux alliances OTAN et UE. L'avantage est que la Suisse ne sera jamais appelée a intervenir au delà de ses frontières, mais doit défendre son espace aérien coûte que coûte.


OUI au fonds Gripen le 18 mai 2014.

Source : Internet (page actualisée le 25/04/2014)

jeudi 24 avril 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Votation du 18 mai 2014

La procédure d'acquisition du nouvel appareil de combat soumise au peuple le 18 mai rencontre une certaine opposition. Mais tous les projets similaires ont profondément divisé et ont été hautement contestés. Au cours des années 1990 déjà, pacifistes, gauchistes, antimilitaristes et altermondialistes de tous poils n’avaient pas réussi à empêcher l’achat des 34 F/A-18 C/D de l'armée de l’air fédérale. Vingt ans plus tard, ils remettent le couvert pour tenter d'empêcher le remplacement des 54 F-5 E/F Tiger par seulement 22 JAS-39 E Gripen.

La sécurité de la Suisse et la protection de sa population au cours des 30 prochaines années sont pourtant l'enjeu de la mise à jour des Forces Aériennes Suisses. Alors que les deux chambres ont validé le remplacement décidé par le Conseil Fédéral, le peuple suisse devra se prononcer le 18 mai sur le mode de financement des 3 milliards de francs nécessaire pour protéger l’espace aérien suisse jusqu’en 2050. Pas moins de dix ans d’évaluations techniques et de débats politiques ont marqué le renouvellement partiel des Forces aériennes suisses. Alors que notre chasseur suédois était en concurrence avec le Rafale du français Dassault et le Typhoon de l'européen Eurofighter, les nations étrangères se sont largement immiscées dans le débat pour favoriser leurs industries nationales. La firme française Dassault, s'est notamment ingéniée à polluer le débat avec des arguments fallacieux pour imposer son Rafale inadapté.

D'autre part, une alliance hétéroclite composée de féministes, de pacifistes, de gauchistes, d'antimilitaristes et d'altermondialistes irresponsables a pris le risque d'appuyer les anarchistes du Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA), qui ont collecté 60'000 signatures, pour que le mode de financement soit soumis au vote fédéral. Après s'être dressé contre l'achat des chars Leopard en 1987, ce groupuscule avait déjà exigé l’abolition de l’armée suisse dans les urnes en 1989, et en 1993, le GSsA avait déjà tenté de opposer à l’acquisition du Hornet. En 2009, les anti-militaristes avaientt demandé l’arrêt d’achat de nouveaux avions de combat et en 2014, ce mouvement pacifiste veut un nouveau vote national sur le sujet.

Comme dans les années trentes, les écologistes et les anti-nucléaires font preuve d'angélisme en prétendant que les risques réels, les dangers et les menaces sont de nature civile uniquement. Ces utopistes estiment que la sécurité devrait plutôt passer par une sortie du nucléaire et une politique climatique responsable, plutôt que par l'entretien de nos forces aériennes. Les féministes, les pacifistes et les altermondialistes prétendent que les 6 milliards de francs, que coûtera l'appareil jusqu'en 2050 s'éléveront à 10 milliards. Alors que 110 milliards seront dépensés dans l'aide au développement d'ici 2050, ces utopistes persistent à penser que ces milliards seraient mieux employés dans l’éducation, les transports publics ou le régime d’assurance vieillesse. Illogiquement, ces mêmes personnes e veulent pas voir que nos rentes AVS seront surtout mises à mal par le grand nombre d'étrangers qui pourront prétendre à une telle prestation grâce aux accords de Schengen.

Alors que de nouvelles tensions surviennent partout dans le monde, les socialistes pensent que les Forces Aériennes Suisses n'ont pas besoin de nouveaux avions de combat pour assurer la police du ciel, car ce groupement fait preuve d'angélisme en ignorant les pressions européennes dont la Confédération fait l'objet. Ce même groupement fait preuve de légèreté en encensant le F/A-18 C/D Hornet, dont il avait essayé d'empêcher l'achat dans les années nonante. Complétement ignare en matière d'aviation, mais appuyés par les Français de Dassault, les anti-militaristes, anarchistes et écologistes prétendent que le Gripen E que la Suisse, la Suède et le Brésil ont commandé n'existe pas, alors que la base éprouvé de cet appareil multirôle vole dans près de 6 pays différents à plus de 200 exemplaires.

Depuis la chute de l'URSS, les Forces aériennes suisses ont drastiquement diminué leur dotation. Sur les 34 chasseurs-bombardiers Hornet biréacteurs acquis dans les années 90, l'armée de l’air suisse ne dispose actuellement plus que de 32 F/A 18 E/F, car 2 biréacteurs biplaces se sont écrasés dans les Alpes, entrainant la mort de 4 personnes de valeur. Ces crashes ont démonté à la Suisse qu'un appareil biréacteur n'était pas adapté au relief alpin.
Sur les 110 chasseurs Tiger II, vétérants de la guerre de Corée acquis en 70 - 80, l'armée de l’air suisse ne dispose actuellement plus que de 54 F-5 E/F. Cette flotte de Tiger, qui ne peut intervenir ni de nuit, ni par mauvais temps doit impérativement être remplacée par 22 JAS-39 E/F Gripen.
Comme la Suisse pourrait à l'avenir être affectée par un conflit pour le contrôle des ressources naturelles, un conflit pour le contrôle des données ou pire, être impliquée dans un conflit majeur ayant pour enjeu l’énergie, l’alimentation ou le travail, elle a un besoin impératif des jets suédois pour une défense aérienne crédible et bordable. A ce propos, la Suède, nordique et neutre comme la Suisse, est le partenaire d’affaires idéal, car elle possède sa propre monnaie. De plus, le Gripen est l'appareil moderne et fiable, qui offre le meilleur rapport qualité-prix et la firme Saab offre des «compensations intéressantes» à hauteur de 2,5 milliards de francs. Les entreprises helvétiques actives dans les industries de l’ingénierie, des machines et de l’horlogerie ainsi que des chercheurs universitaires de tout le pays bénéficieraient de ces mesures compensatoires.
Près de 1000 postes de travail pourraient ainsi être créés ces dix prochaines années en Suisse !


Oui aux places de travail le 18 mai 2014


Source : Internet (page actualisée le 24/04/2014)

lundi 14 avril 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Opposition financée par l'étranger

Les opposants au remplacement du Tiger ont investi plus de 250'000 francs dans la campagne de dénigrement du Gripen. Cette somme colossale provient sans doute de l'étranger, car qui aurait intérêt à nuire pareillement à la Suisse. Le Conseil Fédéral, la Chambre du peuple et la Chambre des cantons ont pris la décision formelle de remplacer les Tiger plus que trentenaires, qui ne sont plus aptes à protéger le pays.

Une alliance rose-verte a déjà réussi à faire aboutir un référendum contre le financement du remplacement des Tiger en prétendant que le remplacement de ces avions de combat va coûter 10 milliards d'ici 2050. Mais les Verts ne se ventent pas que l'aide au développement va engloutir 120 milliards dans la même période, sans rien rapporter à la sécurité à la Suisse. Face aux caisses vides de la Confédération, des cantons et des communes, la Suisse ne peut plus investir de telles sommes à fonds perdus, alors que la situation du peuple suisse se péjore sans cesse. Par contre, le JAS-39 Gripen procurrera du travail à nos entreprises

Les opposants au renouvellement du Tiger lancent des arguments tout azimut et prétendent que le montant pourrait compenser la dette de l'assurance invalidité (AI). Mais ces mêmes personnes oublient de dire qu'au nom de la sacro-sainte rentabilité, les entreprises suisses elles-même préfèrent engager des étrangers à bon compte, quitte à mettre des citoyens suisses au chômage, puis à l'AI. Recourir à du personnel local serait une bien meilleure solution pour assainir les assurances sociales. De plus, l'emploi de ressortissants européens menace nos propres rentes, car les accords de libre-échange signés avec l'Union Européenne autorisent les ressortissants de cette Union, qui ont travaillé en Suisse à prétendre à une rente AVS. en même temps que nous. Augmenter les rentes AVS mettrait en péril la sécurité des bénéficiares, car c'est encore plus d'argent que partirait à l'étranger.

Or, il faut savoir que 3.3 milliards de francs sont engloutis annuellement dans l'aide au développement. Ces milliards perdus manqueront nécessairement ailleurs, dans des domaines comme la formation, les transports publics ou l'AVS. Il est par conséquent impératif de diminuer le budget de l'aide au développement, qui ne rapporte rien au peuple suisse, à la différence des 3.1 milliards de francs du remplacement du Tiger. Les coûts d'exploitation et d'entretien des 22 Gripen procureront du travail aux entreprises suisses pour une longue période, permettront à la Suisse de maintenir son industrie, sa technologie et son savoir-faire.

Les opposants à l'armée, qui jouissent de la sécurité et de la stabilité de la Suisse pensent que les 32 F/A-18 seront suffisants pour les prochaines décennies. Ils comparent la situation de la Suisse avec celle de l'Autriche, en oubliant de préciser que l'Autriche fait partie de l'Union Européenne. Quoi qu'en dise l'espagnole Amanda Gavilanes, le remplacement des Tiger par des Gripen est la solution la moins risquée, car 200 exemplaires de la version C/D de l'appareil volent déjà dans pas moins de 6 pays. L'avion commandé par la Suisse n'existe qu'au stade de prototype, mais son industrialisation est certifiée. La Suède et le Brésil risquent de poursuivre la construction de cet appareil sans que l'industrie suisse en profite. L'acompte de 40% du prix d'achat, est garanti par les termes du contrat en cas de non-livraision ou de livraison tardive. La Suisse pourrait donc se départir du contrat et exiger un remboursement.

Alors que 2.5 milliards de francs reviendrait à l'économie suisse, les opposants objectent que seul 0.8 milliards reviendra à la Suisse Romande. Alors que le futur appareil possède le même système de cryptage que le FA-18, les opposants craignent une dépendance vis à vis de la Suède ou des Etats-Unis. Alors que notre aviation n'est opérationnelle que pendant les heures de bureau, les opposants estiment que, la collaboration avec les pays voisins est suffisante pour assurer la sécurité aérienne de la Suisse.
UE = Ultralibérale Europe antidémocratique

Ne nous laissons plus instrumentaliser par l'étranger et votons OUI au Gripen le 18 mai 2014

Source : Internet (page actualisée le 14/04/1014

jeudi 3 avril 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Les référendaires n'arrêtent pas le combat

Les déçus du choix du Gripen ont lancés dans la presse du 31 mars 2014 une ultime offensive : Le remplacement du Tiger par des Gripen coûterait soi-disant bien plus cher que les 3.3 milliards envisagés. Or cet achat est prévu pour les 30 prochaines années et ne grévera que le budget de l'armée. Mais les référendaires ont par contre caché à la population, c'est que la DDC/SECO engloutissent 3.3 milliards par année, à l'heure où les caisses des cantons et de la Confédération sont vides.

Les préparatifs à l’achat d’un nouvel avion de combat pour remplacer les F5-Tiger acquis il y a plus de 30 ans remontent à 2003 déjà et au-delà de l’avion proprement dit, le débat est d’ordre idéologique et tourne autour du rôle de l’armée. Comme la Suisse est une armée, c'est contre la Suisse que se tournent ces attaques !
  • Le 30 novembre 2011, le Conseil fédéral s’était prononcé en faveur du Gripen E du fabricant suédois Saab et le 14 novembre 2012, il soumettait au Parlement une demande pour un crédit d’engagement de 3,1 milliards.
  • Or le 12 septembre 2013, la Chambre des cantons avait approuvé la loi Gripen et le 27 septembre 2013, la Chambre du peuple avait approuvé la loi Gripen.
  • Mais le 14 janvier 2014, le PS, Les Verts, les Verts libéraux et le GSsA déposaient un référendum contre la loi de financement et le 18 mai 2014, le peuple devra voter contre le financement du remplacement du Tiger une ponction de 300 millions chaque année pendant 10 ans sur le budget de l’armée.
Les attaques de l'étranger sont multiples...
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Alors que la Suisse va acheter des Gripen E des plus modernes, les référendaires déçus de ce choix et manipulés depuis l'étranger n'avaient rien trouvé de mieux que révéler dans la presse d'anciennes évaluations concernant le Gripen C/D
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Alors que 210 exemplaires du Gripen volent dans pas moins de 5 pays, les référendaires déçus du choix du Gripen manipulés depuis l'étranger, avaient prétendu que l'appareil n'existait que sur le papier. Cependant, le modèle choisi par la Suisse vole déjà à l'état de prototype et est commandé par la Suède et le Brésil. On ne peut pas en dire autant du Rafale qui n'a jamais été exporté et qui a été imposé à l'armée française.
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Sans doute manipulés depuis l'étranger, les référendaires déçus du choix du Gripen avaient commencé par tourner le Gripen en dérision et à faire des comparaison avec la marque IKEA à cause de sa provenance suédoise. Cependant les Suédois, qui ont inventé la dynamite et l'acier suédois, disposent de leur propre système de défense autonome. Les Suédois sont neutre comme les Suisses, disposent de leur propre monnaie comme les Suisses et jouissent d'un système social stable et évolué. Les Suédois sont déjà présents en Suisse grâce à IKEA, grâce à ABB et grâce à SAAB Aerospace, qui appartient à la Confédération.
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Déçus du choix du Gripen et assurément manipulés depuis l'étranger, les référendaires n'avaient rien trouvé de mieux que de critiquer la provenance américaine de certains systèmes de l'appareil, alors que nous disposons déjà du F/A-18 Hornet américain. Or cette origine américaine des composants assure la compatibilité avec notre matériel, la compatibilité avec l'OTAN et la sécurité de l'approvisionnement, ce qu'un fournisseur exotique comme la France n'est pas capable de nous fournir.
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Complètement manipulés depuis l'étranger, les référendaires ont été amèrement déçus par le choix du Conseil Fédéral et avaient alors critiqué le fait que le Gripen ne possédait qu'un seul réacteur. Cependant les progrès effectués dans les moteurs ont rendu le Gripen E plus rapide et plus maniable que le F/A-18 ou le Rafale, sans toutefois être moins sûr. Monomoteur comme le comme le F-22, le Gripen est semi furtif, grâce à ses communications satellitaires, à sa faible signature thermique et à sa petite taille.
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Déçus du choix du Gripen E, les référendaires avaient critiqué le prix discount du Gripen par rapport au Rafale et au Typhoon, car ils étaient manipulés depuis l'étranger. Leur message prétendait alors que le bon marché était toujours trop cher vis à vis des performances. Mais le Gripen E sait non seulement faire tout ce que font ses concurrents plus cher, mais il possède en outre le meilleur radar du moment, de la meilleure concentration de données dans le casque HMD et qu'il est déjà capable de lancer le missile Meteor.
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Stupidement manipulés depuis l'étranger, les référendaires et les déçus du choix judicieux du Conseil Fédéral prétendent que le JAS-39 Gripen est trop cher, trop risqué et inutile. Le Conseil Fédéral a intelligemment choisi l'appareil le moins cher du marché, pour ne pas dépasser le budget limité du Département de la Défense. Cependant, comparé aux camions à bombe de la guerre froide, le Gripen E possède une vitesse, des capacités de détection, de communication satellitaire et de pilotage de missile supérieures.
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Manipulés depuis l'étranger, les référendaires déçus par le choix du Gripen estiment maintenant que la situation n'est plus propice au remplacement des Tiger et qu'il est préférable d'attendre le remplacement du F/A-18. Mais les personnes inconséquentes qui s'opposent à une armée crédible, oublient qu'ils s'étaient déjà violemment opposés à l'achat de ces mêmes F/A-18.


Le Conseil Fédéral doit réagir...

Par conséquent, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen se révèle impératif car la pauvreté en dotation des forces aériennes suisses rend les avions opérationnels uniquement pendant les heures de bureau. Sans cet avion, il ne sera plus possible de faire face à des situations extraordinaires et participer solidairement à la sécurité du continent.

Ensuite, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen reste le meilleur choix possible, car l'appareil suédois coûte moitié prix de ces concurrents, s'intègre sans problème dans notre armée et possède un radar, une avionnique et une vitesse de pointe supérieure. De plus la Suède n'a plus besoin du contrat suisse pour développer ce nouvel appareil, car le Brésil a aussi opté pour cet avion d'exception.

Mais encore, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen reste le meilleur choix possible, car l'appareil suédois coûtera le dixième de ce coûte annuellement  la DDC. Ses coûts d'acquisition et ses coûts d’exploitation sont divisé par deux, comparés au Rafale et à l'Eurofighter, pour une efficacité comparable. La Confédération étant neutre, elle ne sera pas appellée à maintenir l'ordre à l'autre bout du monde et le Conseil Fédéral estime le coût total de cet appareil à 6 milliards à répartir sur 35 ans.

De plus, le Conseil Fédéral doit surtout faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen n'est pas si risqué, car le Gripen possède une base saine en fonction dans 7 pays différents, à la différence du Rafale, qui a subi pas moins de 5 crashes en 5 ans sans intervention extérieure.

Bien que le le remplacement des Tiger par des Gripen, nécessite le versement d'un acompte de 1 milliard ou 40% du prix d’achat, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que les excellentes clauses contractuelles du contrat permettrait à la Suisse de se départir de celui-ci.

Mais, le Conseil Fédéral doit surtout faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen rapportera à la Suisse 2,5 milliards de francs en affaires compensatoires, dont 30% promis à la Suisse romande. Ces contrat procurreront non seulement sécurité, stabilité, mais aussi places de travail qualifiées pour 1000 employés durant 10 ans..

En outre, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen équipés du même module de communication américain que le F/A-18 C/D Hornet empêchera les Français ou les Allemands d'espionner le territoire helvétique.

D'ailleurs, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que l'implication de la firme SAAB et du Gouvernement suédois dans le remplacement des Tiger par des Gripen est bien inférieure à l'énergie dépensée par Dassault ou le gouvernement français pour discréditer cet appareil. Car la France aimerait bien que la Suisse achète ses anciens appareils datant de la guerre froide pour financer leur mise à niveau, ce qu'elle prouvé en espionnant SAAB et le Gripen. Mais, il faut absolument éviter de commettre la même erreur qu'avec le Mirage français, qui nous avait coùté très cher, car, la France n'avait pas été capable de nous livrer un appareil concurrenciel. Avec un achat français, non seulement, les Français pourraient cartographier la Suisse en détail et écouter nos conversations grâce aux logiciels cachés dans leur appareil, mais la provenance française exclusive nous livrerait au bon vouloir de ce pays hostile. La campagne de dénigrement opérée par l'étranger dans plusieurs journaux dominicaux mérite à ce propos toute notre attention.
En conséquence, le Conseil Fédéral doit faire comprendre aux référendaires que le remplacement des Tiger par des Gripen pourrait également convenir au remplacement à terme des F/A-18 E/F Hornet, qui ne peuvent plus être modernisés. D'ailleurs, les récents crashes de Hornet dans les Alpes démontrent clairement qu'un biréacteur est beaucoup trop lourd pour évoluer dans nos vallées alpines et que la place d'un biréacteur n'est pas dans les Alpes. Un petit pays se doit d'avoir un petit avion rapide et maniable, comme le Gripen E, capable d'intervenir sur la totalité du territoire et non d'un camion à bombe destiné à détruire des capitales lointaines avec des bombes atomiques.

Ne nous laissons plus instrumentaliser par les Français et votons OUI au Gripen le 18 mai 2014

Source : Internet (page actualisée le 02/04/2014)