mercredi 22 janvier 2014

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Arguments fallacieux et trompeurs du GSSA

Les Français bien qu'étant hors-jeu avec leur Rafale inadapté se réjouissent du vote contre le financement de l'avion de combat suédois et des journaux en parlent jusqu'à Paris. Par leur désinformation constante, les Français espèrent faire annuler l'achat du Gripen par Berne.
Les Français ont même réussi à mobiliser plus de 60.000 Genevois fanatiques pour qu'ils signent un référendum contre l'appareil indispensable à notre pays. Cependant, les Français vont ainsi à l'encontre d'une décision souveraine décidé par le Conseil Fédéral en 2011 et validé en 2013 par le Conseil National et le Conseil des Etats.

Ces extrémistes genevois ont été recrutés parmi les Gauchistes, les Verts et les Antimilitaristes du GSSA. Ces référendaires, manipulés à leur insu par la France ont ainsi décidé de s'opposer à ce que notre armée prélève annuellement 300 millions de francs sur son propre budget pour remplacer ses vénérables Tiger F-5 E/F . Ce faisant, ils empêchent non seulement l'armée d'être crédible, mais les genevois se tirent également une balle dans le pied, car une grande partie des affaires compensatoires concerne la Suisse romande et le canton de Genève. Mais ces signataires, qui portent majoritairement des patronymes étrangers préfèrent sans doute rester à l'aide sociale et ne pas travailler.

Bien que ce soit leur droit constitutionnel, ces partis de gauche jouent avec la sécurité du peuple suisse en lançant un référendum populaire. Ils ont d'ailleurs induit le peuple suisse en erreur en affirmant lors de la récolte de signature que d'autres départements comme la formation, l'agriculture ou les crèches serait impactée par cet achat. Mais il n'ont pas révélé que la stabilité et la richesse de la Suisse dépend en partie de la crédibilité de notre armée. D'autres groupuscules opposés à notre pays ont également menti au peuple suisse en prétendant faussement que le Gripen actuellement en fabrication pour la Suisse, la Suède et le Brésil n'existait que sur le papier.

Alors que la firme Française Dassault à investi des sommes colossales dans l'agence Fahrner pour qu'elle discrédite les concurrents du Rafale, la firme SAAB s'est contentée de mettre en avant la modernité de son appareil et les places de travail qu'il allait générer dans notre pays.
Tout au contraire de la France, qui n'a pas hésité à envoyer son Président et ses Ministres pour influencer le Conseil Fédéral, la Suède s'est contentée de se porter garante du respect des termes du contrat.

JAS-39 Gripen

Il est curieux qu'un appareil aussi décrié que le JAS-39 Gripen C/D soit en service à 166 exemplaires dans le monde, dont 100 en Suède, 26 en Afrique du Sud, 14 en République Tchèque, 14 en Hongrie et 12 en Thaïlande.
Il est curieux qu'un appareil tant décrié que le JAS-39 Gripen E/F fasse déjà l'objet de plus de 100 commandes fermes de la part de la Suède, de la Suisse et du Brésil. D'ailleurs, la Suède ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et prévoit de vendre son appareil en Malaisie, en Thaïlande, en Bulgarie, en Hongrie, en Tchèquie et en Croatie.

Si la France est derrière toutes ces basses manœuvres pour empêcher la Suisse d'avoir une défense aérienne, cela mériterait que le Conseil Fédéral diligente une enquête administrative pour savoir qui se trouve réellement derrière ces groupuscules anarchistes et terroristes. Espérons que la prochaine votation réussira à renvoyer les profiteurs de la libre-circulation chez eux.
F-5 Tiger
Les arguments fallacieux et trompeurs du GSSA vont empêcher la Suisse d'obtenir plus de 2 milliards de contrats compensatoires. En cas d'acception de cette initiative, les Suisses continueront de payer 47 millions par an pour un appareil qui n'est même plus capable de les défendre. La seule utilité du Tiger trentenaire reste la Patrouille Suisse, mais le peuple suisse refusera de financer plus longtemps 2'500 heures par an à 19'000 francs par heure pour ce folklore inutile.

Alors disons OUI au remplacements des Tiger le 18 mai 2014

Source : Internet (page actualisée le 22/01/2014)

lundi 20 janvier 2014

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Gripen au Canada ?

Le Dassault Rafale ressemble de plus en plus au vilain petit canard. il est le moins aimé des trumeaux de la famille européenne des chasseurs de combat à voilure canard. Le Typhoon est le champion de l'équipe, attirant l'attention par ses victoires, ses performances et sa popularité. Le Saab Gripen est le plus jeune, qui impressionne chacun par ses performances, son intelligence de conception et de sa facilité d'usage. A côté le Rafale est un tâcheron besogneux et indépendant, qui cherche à faire sa place.

A l'origine membre du même groupe de conception européen, la France a préféré claquer la porte au programme commun. Car il était clair que les désirs de la France n'étaient pas semblable à ceux des Allemands, ni des Anglais. Le couple Anglo-germanique, qui disposait déjà du Panavia Tornado voulait un intercepteur des supériorité aérienne pour lutter contre les MiG-29 et les Su-27 soviétiques. La France caressait le projet de l'avion à tout faire pour remplacer pas moins de sept types d'appareils de son armée de l'air et de la marine. Vexés de ne pas avoir la main-mise sur ce projet européen et voulant préserver son industrie militaire, la France décida de faire cavalier seul et développa le Rafale, alors même que le Mirage 2000 venait d'entrer en service.

Beaucoup plus que l'Eurofighter Typhoon, le développement du Rafale subit de plein fouet les diminutions de budget militaire découlant de la fin de la guerre froide. Le Rafale entra en production néanmoins pour remplacer les Mirages 2000, Mirage F1, Jaguars et Super Etendard. Pour le certifier au combat et pour valider ses différents systèmes, le Rafale, protégé par des Mirage 2000 fut précautionneusement envoyé en Afghanistan, en Lybie et au Mali.

Comme le Typhoon et le Gripen le Rafale est un chasseur à aile Delta avec des plans canards situés à l'avant. comme le Typhoon ou le SuperHornet, le Rafale est un biréacteur. De loin les trois appareil européens sont faciles à confondre. De plus tous trois disposent d'un canon de 30 mm

A la différence du Typhoon, le Rafale a été dès le début développé pour la pénétration à basse altitude et l'attaque au sol. C'est pourqoi il est capable d'emporter 9 tonnes d'armement et de kerozène sur 14 point d'attaches. Comme le FA-18 E/F SuperHornet, le Rafale est une sorte de camion à bombes, qui peut également emporter l'arme nucléaire. Alors que le Typhoon et le Gripen se contentent de transporter 6.5 tonnes, mais dépassent mach 2.

Le Rafale n'est pas mauvais en supériorité aérienne et il est passablement manœuvrable, mais il n'est pas capable de supercruise sans post-combustion et sa vitesse de pointe est celle des FA-18 C/D. Alors que le Typhoon doté de moteur Rolls-Royce est surpuissant et écrasant en supériorité aérienne. Le Gripen est monoréacteur, mais il possède un moteur du FA-18 SuperHornet et il n'a rien à envier à ses concurrents. Surtout que le Gripen posséde le meilleur radar du moment et la meilleure nacelle de reconnaissance. Le Rafale a finalement obtenu lui aussi un radar AESA, mais il n'est pas aussi bon que celui des Typhoon et Gripen. Le Rafale s'est finalement hissé au niveau de ses concurrents et dispose également de l'IRST. Mais les Français de Dassault prétende que leur système Spectra est excellent voir meilleur que la concurrence, alors que le Gripen est capable de dialoguer en permanence avec les satellites, les autres appareils en vol et avec les troupes au sol.

Le Rafale s'est dernièrement doté de la Link-16 OTAN, mais rencontre des difficulté d'adaptation. Alors que le Gripen a du abaissé ses capacités de communication pour s'adapter à cette norme. Le Rafale est capable de changer de type de mission au cours d'un même vol, alors qu'un Gripen doit se poser et changer sa configuration en dix minutes.
Bien que les trois appareils disposent de bidons d'essence supplémentaires et de perche de ravitaillement en vol, le Gripen semble un peu léger pour les immensités du Canada. Le Typhoon est clairement trop cher et trop spécialisé alors que le Rafale est incompatible avec ce dont le Canada dispose déjà,

Malgré ce que prétend le marketing de Dassault, la réalité crue des ventes démontre que le Gripen et le Typhoon sont bien plus apprécié que le Rafale à l'export. A part une éventuelle vente en Inde, le Rafale n'a jamais su convaincre, à la différence du Gripen et du Typhoon qui sont exportés dans de nombreux pays. Le fait que le Rafale soit français, emporte des armes françaises, soit propulsé par un radar français, aie une avionique et un radar français rebute sûrement plus d'un acquéreur.

Le fabricant Français Dassault prétend sur son site que son chasseur Rafale pourrait éventuelleemnt lancer d'autres armements que les armements français. Mais cette adaptation ne peut être faite que moyennant une forte augmentation du prix de vente et de nouveau en ayant recourt à un adaptateur fabriqué en France. Le Rafale sera compatible avec le missile européen Meteor, mais en utilisant une seule voie de sa liaison de donnée, alors que le Gripen et le Typhoon en utilisent deux.

L'incompatibililité du Rafale avec des armes standards ne semble pas être un problème pour le contrat avec l'Inde. En effet l'Inde a eu dans le passé des Mirages français dans son armée de l'air et il lui reste des stocks de vieux missiles français. Le problème est autrement important pour le Canada ou la Suisse qui utilisent déjà des missiles américains AMRAAM, Sidewinder, Maverick et Harpoon. Choisir le Rafale implique de se débarrasser de ce matériel pour racheter des Mica, des Hammer ou des Exocets. Ces missiles sont excellents, mais les surcoûts engendrés éliminent d'office tout avantage en terme de prix par rapport au Typhoon.

Pour le futur appareil du Canada, le Rafale est furieusement trop Franco-Français. Le choisir snoberait nombre d'alliés militaires et client commerciaux. Cet achat renforcerait les liens avec la France, mais c'est tout. Le F-35 de Lockeed est par contre multinational, le SuperHornet est américain, comme l'est le sont les Hornet actuels. Acheter des Typhoon créerait des rapports amicaux avec l'Angleterre, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. Même le suédois Gripen est propulsé par un réacteur General Electric américain, emporte des armes tant européennes qu'américaines et ce chasseur est doté d'un canon Mauser allemand.

Les termes exacts du Contrat de Dassault avec l'Inde comportent encore des zones d'ombre. Combien d'appareil seront construits en Inde ? Quels transfert de technologie les Français ont-il capable d'accorder ? Les Rafales Français seront-ils à l'avenir fabriqués en Inde pour des raisons de coût ? Est-ce que le Canada pourrait éventuellement bénéficier du même traitement de faveur, que n'a pas eu la Suisse ?
Pour le Canada, l'achat du FA-18 E/F SuperHornet semble évident pour pallier au tant attendu F-35, car le Canada, comme la Suisse, possède déjà des FA-18 et a utilisé des F-5. Dans ces conditions, le JAS-39 E/F SuperGripen serait également une excellente solution transitoire.

Source : Internet (page actualisée le 21/01/2014)

samedi 18 janvier 2014

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Ce que veut le peuple

Le peuple suisse ne veut pas mettre tout le budget de l'armée dans la maintenance d'appareils biréacteurs inadaptés à notre relief alpin. Ce que le peuple suisse veut, c'est un appareil petit, maniable, doté d'un radar hyperpuissant et de capacité de communication hors du commun. Bref le peuple suisse veut le Gripen E , n'en déplaise aux Genevois.

Le peuple suisse ne veut pas mettre tout le budget de l'armée dans l'acquisition d'appareils biréacteurs incompatible avec notre armée. Ce que le peuple suisse veut, c'est un appareil utilisable immédiatement, sans racheter toutes les armes, sans reconstruire toute l'infrastructure. Bref le peuple suisse veut le Gripen E, n'en déplaise aux pro-français.

Le peuple suisse ne veut pas mettre tout le budget de l'armée dans l'acquisition d'appareils biréacteurs surdimentionnés. Ce que le peuple suisse veut, c'est un appareil bon marché qui ne va pas investir tout le budget de la défense dans l'arme aérienne. Bref, le peuple suisse veut le Gripen E, n'en déplaise aux militaristes.

Le peuple suisse ne veut pas mettre tout le budget de l'armée dans l'acquisition d'appareils biréacteurs conçus pour la guerre froide. Ce que le peuple suisse veut, c'est un appareil bon marché doté des technologies du futur. Bref, le peuple suisse veut le Gripen E , n'en déplaise aux nostalgiques de la guerre froide.

Le peuple suisse ne veut pas mettre tout le budget de l'armée dans l'acquisition d'appareils biréacteurs capable de transporter une bombe atomique à l'autre bout du monde. Ce que le peuple suisse veut, c'est un appareil bon marché et polyvalent capable de défendre le territoire helvétique. Bref, le peuple suisse veut le Gripen E, n'en déplaise aux anti-communistes.

Le peuple suisse ne veut pas mettre tout le budget de l'armée dans l'acquisition d'appareils biréacteurs incapable de poursuivre les tâches du F-5 Tiger. Ce que le peuple suisse veut, c'est un appareil de la même taille que le taille que le Tiger, capable d'emporter les mêmes armes et d'entrer dans les mêmes hangars. Bref, le peuple suisse veut le Gripen E , n'en déplaise aux utopistes.

Le peuple suisse ne veut pas mettre tout le budget de l'armée dans l'acquisition d'appareils biréacteurs incapable de seconder nos FA-18 Hornet. Ce que le peuple suisse veut, c'est un appareil compatible avec l'OTAN, capable d'aider nos FA-18 dans la reconnaissance et la détection. Bref, le peuple suisse veut le Gripen E , n'en déplaise aux anti-européens.

Le peuple suisse ne veut pas d'une armée hypertrophiée. Ce que le peuple suisse veut, c'est un  toit au dessus de sa tête, une couverture aérienne qui ne lui coûtera pas un sous, car pris sur le budget de l'armée. Bref, le peuple suisse veut le Gripen E , n'en déplaise aux démagogues.

Source : Internet (page actualisée le 18/01/2014)

mercredi 15 janvier 2014

Nouvel appareil de combat (NAC): Argumentaire logique en faveur du Gripen

 Les Français présentent un nouvel avion à la Suisse alors que la compétition est terminée et perdue par Dassault. Je ne comprends pas comment on peut remettre en cause la compétition en Suisse juste parce que Dassault revient à la charge en disant: "Pouce, on a perdu la compétition, mais on revient avec une nouvelle offre d'un avion qui est encore en développement, faites nous confiance!"

 A mon humble avis, cette fois c'est pour le Gripen. Il ne faut pas oublier que le Rafale F3.04 n'existe pas encore et qu'il n'a pas encore la moindre commande (même pas de l'armée française). Il est donc impossible de connaitre ses coûts d'exploitation ni même d'évaluer les dates de livraison (il y a toujours des retards). Entre l'élaboration d'un prototype et la mise en production industrielle d'un avion de chasse, il y a un monde.

 Avant l'intervention des Politiques, le Rafale avait tout d'abord a été éliminé en Inde, notamment sur les incertitudes concernant le radar : il n'a pas encore d'AESA et il existe un doute sur l'intégration possible d'un tel radar sur le Rafale. La totalité de ses composants (moteur par exemple) sont français, et il faut demander la permission à la France pour avoir accès à la technologie ou modifier ces composants.

 D'un autre coté le Gripen a montré qu'il était un des meilleurs avions sur le marché et un des plus complets. En tenant compte que l'heure de vol du Rafale est le double de celle du Gripen, comme, un Gripen fait le boulot d'un Rafale, le choix du Gripen s'impose. D'autant que des synergies avec l'armée française déjà proposées n'apportent aucun avantage.

 Enfin il est clair que le Gouvernement Suisse a préféré le Gripen. Des négociations pour faire baisser le prix du Rafale de moitié pour qu'il rentre dans le budget n'auraient pas suffi pour le choisir. Premièrement sa hauteur, qui l'empêche d'entrer dans nos cavernes alpines. On ne va pas dégonfler le pneus de l'appareil chaque fois que l'on veut le mettre à l'abri ! Secondement son incompatibilité avec l'armement du FA-18 Hornet et du F-5 Tiger. On ne va tout de même pas racheter tout l'armement dont on dispose déjà.

 Objectivement, Pour la Suisse, le Gripen est LE meilleur choix :
  • Proximité des bases suédoises.
  • Entrainement en Suède.
  • Soutien technique en Suisse.
  • Soutien économique en Suède.
  • Soutien politique en Suède.
  • Retour sur investissement pour RUAG, Armasuisse, Pilatus et Stalder Rail.
 De plus, le Gripen peut emporter toute la panoplie d'armement de l'OTAN et sera opérationnel en 2008, exactement en même temps que le F3.04T recalé.

 Les Français, qui n'ont jamais été en phase avec l'économie, estiment néanmoins qu'il est grand temps que le joujou porteur de mort de Dassault soit exporté. Les Français envisagent l'année courante pour le décollage du Rafale, car ils estiment qu'une usine qui ne produit que quatre avions par an frôle la productivité du « service publique. Les Français ne desespèrent pas de trouver une solution pour les autres marchés, qu'elle soit militaire ou diplomatique.

 Comme les Indiens sont durs en affaire, les Français craignent que le contrat en Inde ne se retourne. mais les Français souhaitent néanmoins bonne chance à Dassault, car si ce contrat échoue, il n’y aura plus tant d'autres possibilité. En effet, si même le Brésil anti-américain achète des Gripen bourrés de technologie américaine, à qui la famille Dassault pourrait-elle fourguer sa daube. D'autant plus que le gouvernement français n'est pas prêt à faire un geste, car la famille Dassault demeure un capitaliste qui profite de la France avec ses programmes militaires subventionnés.
JAS-39 Gripen
 Il est curieux qu'un appareil aussi décrié que le JAS-39 Gripen C/D soit en service à 166 exemplaires dans le monde, dont 100 en Suède, 26 en Afrique du Sud, 14 en République Tchèque, 14 en Hongrie et 12 en Thaïlande.
 Il est curieux qu'un appareil tant décrié que le JAS-39 Gripen E/F fasse déjà l'objet de plus de 200 commandes fermes de la part de la Suède, de la Suisse et du Brésil. D'ailleurs, la Suède ne compte pas s'arrêter en si bon chemin et prévoit de vendre son appareil en Malaisie, en Thaïlande, en Bulgarie, en Hongrie, en Tchéquie et en Croatie.

 Si la France est derrière toutes ces basses manœuvres pour empêcher la Suisse d'avoir une défense aérienne, cela mériterait que le Conseil Fédéral diligente une enquête administrative pour savoir qui se trouve réellement derrière ces groupuscules anarchistes et terroristes. Espérons que la prochaine votation réussira à renvoyer les profiteurs de la libre-circulation chez eux.

 Insurgeons-nous contre les accords bilatéraux, qui ne profitent qu'aux Français !

Source : Internet (page du 22/01/2014 actualisée le 01/09/2015)

lundi 13 janvier 2014

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Millions pour Dassault, Safran et Thales

La France va mettre à niveau ses Rafale et aider 500 entreprises françaises, qui sont associées à la production du Rafale. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles l'appareil omnirôle français rencontre tant de difficultés à la vente. Ses systèmes sont propriétaires, c'est à dire qu'il ne peuvent être produits, utilisés et contrôlés que par une instance française. Mais c'est également la raison pour laquelle le peuple français est obligé de financer à coup de millions M. Dassault, le plus gros assisté de France.

Comme pour le Gripen, les Rafale au standard F4 sont curieusement prévus pour 2018. existerait-il donc encore une nouvelle offensive de Dassault en Suisse ?

Il faut bien rappeler qu'en 1987, la Marine Nationale Française elle-même avait refusé d'essuyer les plâtres de cet appareil omnirôle expérimental, mais elle avait été contrainte et forcée de s'équiper de cet appareil en 2004. Elle a depuis subit bien des avanies, mais le Rafale des années nonante est en progression constante et bien que ces moteurs et son avionique laissent encore à désirer, il est déjà passé par les standards F1, F2 et F3.

Le Dassault Rafale français, protégé par des Mirage 2000-5 a même précautionneusement été engagé au combat en Afghanistan, en Libye et au Mali.
En Afghanistan, l'appareil omnirôle français ne disposant d'aucun système de visée s'est contenté de larguer ses bombe sur les objectifs éclairés par des bons vieux Mirage 2000-5, mais aucune perte de Rafale n'a été à déplorer.
En Libye, l'appareil omnirôle français ne disposant d'aucun casque de visée a été capable d'éclairer ses cibles, mais avec un taux de 50% d'échecs au largage. là encore, aucune perte de Rafale n'a été à déplorer.
Au Mali, l'appareil omnirôle français a uniquement fait de la figuration pour de futurs clients potentiels, car les Mirage 2000 ont là aussi fait l’essentiel du travail. Il faut dire que la France n'avait aucun intérêt à risquer ses précieux appareil à 100 millions pièces dans un pays du Tiers-Monde.

Par contre, l'appareil omnirôle français a déjà fait l'objet de cinq crashes en seulement cinq années. Ces crashes n'ont pas eu beaucoup d'échos dans la presse, car il ne sont pas survenus au cours d'opération de combat, mais au cours d'exercices de routine. l'inquiétant est que ces crashes se sont produits avec des appareils en usage dans l'armée française et prétendument certifiés "COMBAT PROVEN AND CONFLICT CREDENTIAL".

Les accidents en série d'appareils mal conçus se sont déjà produits, comme par exemple avec le F-104 Starfighter, lorsque l'Allemagne avait voulu transformer cet intercepteur en bombardier. En est-il de même avec le dernier-né de chez Dassault ?

Par contre, les accidents du Gripen se sont produits au cours de la phase de développement du système "FLY BY WIRE" à triple redondance et n'ont occasionnés la perte d'aucun être humain. L'appareil suédois était alors en phase de mise au point.
Les accidents du Hornet sont survenus lors d'exercices de combat dans les vallées alpines encaissées. Trois de nos meilleurs pilotes ont à ces occasions perdus la vie, mais la meilleure force aérienne s'entretient à forces d'exercices risqués.

Alors que la France n'a perdu que deux pilotes dans cinq appareils détruits, la Suisse a perdu 3 pilotes dans deux appareils détruits. La seule conclusion que l'ont peur tirer de ces accidents militaires est que la place d'un appareil biréacteur n'est pas dans les Alpes. Ce qu'a bien compris le Conseil Fédéral en achetant des JAS-39 Gripen E.

Source : Internet (page actualisée le 13/01/14)