vendredi 27 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Français présomptueux

Il est loin, le temps où un Nicolas Sarkozy revenait tout auréolé de l'étranger avec des promesses de négociations exclusives pour le Rafale. Le temps où Charles Edelstenne, alors patron de Dassault Aviation, affirmait au Monde que « le Rafale était supérieur Typhoon II ». Le temps où tous les chroniqueurs français bornés écrivaient des âneries au sujet du Rafale, comme du Gripen. Le signe indien semble aujourd'hui vaincu pour le Gripen, car les esprits quelque peu éclairés se sont rendu compte que payer le double pour un appareil comparable, sans avoir la compatibilité OTAN, n'était plus une option défendable.

Trente années après la conception du Rafale, le constat est clair. L'appareil français a perdu tous les appels d'offre, que ce soit face au F-16, au F-18, au Typhoon ou au Gripen. Le renouvellement des escadrilles montrent un retour inexorable du constructeur SAAB sur le devant de la scène. Il est révolu le temps où les services secrets, les missiles du plateau d'Albion et les pots de vins suffisaient pour imposer un Mirage III face au J-35 Drakken.

Le Rafale biréacteur est inadapté aux critères de défense, car c'est un avion magnifique fait pour la conquête de nouveaux territoires. Cet appareil d'assaut, conçu pour mater des rébellions à l'autre bout du monde, excelle dans le bombardement nucléaire à grande distance. Mais Berne voulait un avion bon marché capable de faire de la reconnaissance, du combat nocturne et de l'appui au sol. Le monoréacteur Gripen, moitié prix du Rafale, correspondait exactement à ce profil-type. Bien moins cher à l’achat, bien moins cher à l’heure de vol et opérable par une armée de milice, tout en affichant des équipements de dernière génération, c'était l'appareil de combat qu'il fallait à la Suisse. Le Gripen, qui possède en outre un bien meilleur radar à antenne active AESA que le Rafale, a déjà tiré le missile de croisière air-air Meteor.  De plus le Gripen a une meilleur vitesse de pointe, une meilleure maniabilité et est comptible avec tout l'équipement suisse.

Low-cost, sans être cheap, rustique et fiable le Gripen apparaît désormais comme l'appareil du moment. La Suisse a intelligemment porté son choix sur l'avion que les Français prétendaient alors moribond. Berne a subtilement privilégié un appareil moins cher pour ne pas froisser l'opinion publique, pas vraiment enchantée que le pays mettre 5 milliards de francs dans des avions de chasse inadaptés quand tant de choses sont à faire dans les transports publics, les infrastructures, la formation. Acheter la solution la plus économique, c’est envoyer un signe de sérieux budgétaire, là où prendre un avion plus cher aurait été vu comme un gaspillage de deniers publics : OK, on prend des avions de chasse, mais les moins chers du marché.

Pour l'appareil de Dasssault, ce fut une affaire de conjectures : le refus du transfert total de technologies, le refus de la fabrication en Suisse, la problématique des lociels espions dont est rempli l'appareil, le refus de restituer les données volées par la France, le refus de renvoyer les criminels étrangers devant la justice suisse, le refus de taxer plus lourdemnent les expat français qui détruisent le marché du travail suisse, etc. Tout ces facteurs ont évidement joué un rôle dans la transaction.

La firme SAAB proposait par contre un contrat entre gouvernements de pays neutres et amis ? A-t'il en plus promis des débouchés pour l’avionneur Suisse Pilatus ou le fabricant Stalder Rail ? Quoi qu'il en soit, le camp français comme toujours a fait preuve de suffisance et n'a pas été à l'écoute du client.
Le Gripen autorisera la Suisse à poursuivre son projet avorté P16. Mais la Suisse se rappellera toujours le fiasco du Mirage IIIS français qui ne correspondait pas du tout à ses besoins et qui lui avait coûté trois fois plus cher que prévu.

Au vu des échecs successifs du Rafale, il y a peu de chance que la piste indienne aboutisse, si les Français ne se mettent pas à travailler.

Source : Internet (page actualisée le 27/12/13)

jeudi 26 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): La France est encore en guerre !

Une intervention au Mali était l'unique solution pour maintenir l'ordre néo-colonial et assurer l'approvisionnement en Uranium de la France.
En avril 2013, la photo d'un soldat de la légion étrangère française montrait d'ailleurs le réel visage de l'intervention au Mali. Cette guerre d'invasion n'est pas destinée à lutter contre la pauvreté ou le terrorisme arabo-musulman, comme en Libye et en Syrie prétendument. Elle n'est pas en faveur des droits de la femme, des droits humains ou de la laïcité. Sous le couvert de la sauvegarde des bibliothèques antiques, cette intervention supporte en fait la dictature militaire dans ce pays et elle apporte la mort, essentiellement parmi les civil maliens, car cette guerre est essentiellement une guerre néo-coloniale.

En Libye aussi, un gouvernement fantoche était l'unique solution pour maintenir l'ordre néo colonial.
En septembre 2011, des informations rétablissent la vérité et contredisent la presse française. Alors que le colonialisme pur et dur des puissances occidentales s'est estompé après la seconde guerre mondiale, il s'est vu graduellement remplacé par des structures néo-colonialiste plus souples. Cet ordre néo-colonial imposé au Tiers-Monde a permis de poursuivre le même type de relation économique avec les anciennes colonies, mais en se libérant des contraintes d'un mandat ou d'un protectorat. Les gouvernements néo-coloniaux ont ainsi poursuivi depuis la domination occidentale, qui compte bien perdurer dans le futur.

Les Français selon leur habitude opèrent en Afrique avec des soldats de la légion étrangère pour ne pas émouvoir la population parisienne avec des pertes françaises. Les Français engagent également dans ce type de conflit d'anciens Mirage 2000 pour éviter la perte d'un appareil à 100 millions pièce. Car la France n'a plus les moyens de ses ambitions hégémoniques depuis de Sarkosy a doublé la dette publique à 2'000 milliards d'Euros.

Source : Internet (page actualisée le 26/12/13)

mercredi 25 décembre 2013

Nouvel appareil de combat (NAC): Les Français opèrent sous couvert

Au Brésil comme en Suisse, l'appel d’offres on été soumis à des influences françaises.
En 2009, les Français forçaient la main du président Luiz Inácio Lula da Silva pour que le Rafale soit choisi par le Brésil. Mais les autres fournisseurs révélaient l'affaire dans la presse et des rumeurs de pots de vin se mirent à circuler. Le Français Jean-Marc Merialdo, essaie alors de remettre les pendules à l’heure et de dissimuler les défauts rédibitoires de l'appareil de Dassault, comme son prix ou son obsolescence technologique. Mais c'est parole contre parole et la France n'a pu convaincre.
Après cet épisode, le président Lula n'a plus été soutenu par la hiérarchie militaire et il octroya alors un délai supplémentaire à SAAB, car la candidature du Gripen semblait également convaincante. D'ailleurs, les militaires, en première ligne pour juger l'appareil pensent déjà en effet qu'il était le plus adapté aux besoins des forces aériennes du pays.
En 2010, un compte-rendu d’évaluation mettait le Gripen en première place, Mais, deux ans plus tard, un autre rapport d’analyse invitait Brasilia à choisir le FA-18 de Boeing, car le coût unitaire du Rafale à 175 millions d’euros détonnait avec un prix de 142,3 millions d’euros pour les forces françaises, Le coût de l’avion de Dassault avait été ignominieusement majoré à l’export,

Les Français se rendent compte que le coût d’acquisition et de maintenance est déterminant
Au sein du Mercosur, le Brésil fait figure de bon élève. Mais les indicateurs économiques n’incitent cependant guère à l’optimisme : les taux d’intérêts sont élevés, le prix des matières premières indigènes stagnent, l’inflation guette, le déficit courant se creuse, la dette publique représente 58,8% du PIB et les finances publiques sont sous tension. Sur le plan monétaire, le Real est malmené sur les marchés depuis l’annonce de l’ex-président de la FED d’un probable durcissement de sa politique.
Dans ces conditions, le choix d’un avion de combat peu onéreux, tant à l’achat qu’en exploitation, se comprend. De plus, la logique financière prend en compte le ratio coût-efficacité plus favorable du Gripen. Car le Gripen, beaucoup plus rustique, privilégie l'efficacité avec des équipement à la pointe du progrès. Sur papier. l'heure de vol du Gripen monoréacteur n'est que de 4'500 Unités de Compte Européenne contre 39'000 pour le Rafale franco-français. Il va sans dire que tant l’État français que la firme Dassault promettent depuis des lustres une hypothétique mise à niveau des moteurs et de l'avionnique. Mais, il faut bien dire que le situation de la France n'est guère plus enviable que celle du Brésil.

Les Français mettent en doute les nouvelles ambitions aéronavales du Brésil
Le Brésil dispose déjà de capacités aéronavales, avec le Sao Paulo, un ancien porte-avion français acheté d'occasion. Mais les excellents A-4 Skyhawk, dont il est doté ne dureront pas éternellement. Le choix du F/A-18 Hornet ou éventuellement du Rafale, deux avions embarqués, aurait pu sembler logique pour les ambitions brésiliennes. Mais Saab avait également développé une version navale de son Gripen E/F, qu'il avait déjà proposé à l'Inde.

Les Français dénigrent le Gripen E/F en développement
Pour dénigrer la base saine du Gripen, Français ont mis le paquet. Lors de son évaluation par les forces militaires suisses, Dassault a mandaté plusieurs agences en 2008 pour faire du tort à l'appareil suédois et promouvoir l'invendable Rafale. Ces agences ne se sont jamais appesanties sur les 5 mystérieux crashes de Rafale en temps de paix, mais ont mis en exergue les capacités insuffisantes du réservoir de l'ancien Gripen C/D. A ce sujet, d'anciens rapports d'évaluation préalables ultra secrets ont été rendus public et ont débouchés sur une enquête pénale. De plus, des cadres supérieurs du département de la Défense ont été grassement retribués pour exprimer leurs réserves sur l'appareil suédois.Ces cadres durent être remplacés. Après ces incidents, la France n'est plus du tout convaincante avec son jeu à la Tanguy & Laverdure. L’Eurofighter était visé par la Suisse, mais il était beaucoup trop cher et il ne disposait pas de Radar AESA, Comme le Brésil, la Suisse préfère attendre 2018 pour toucher les appareils ultramodernes, au développement desquels elle aura participé.

Les Français rechignent à transférer leur technologie.
Au Brésil, les transferts de technologie consentis par les 3 concurrents en lice devaient être déterminants. Mais l'américain Boeing avait de plus offert son réseau commercial à Embraer, pour l’aider à démarcher des clients. Alors que le français Dassault ne pouvait offrir que sa technologie dépassée. Par contre, les suédois de Saab avaient directement signé des accords avec l'industrie locale, avant même la conclusion de l’appel d’offres, ce qui a fait toute la différence.

Les Français essaient d'empêcher la signature du contrat de vente.
Le JAS-39 Gripen E/F a remporté la première manche au Brésil, comme le Rafale a remporté la première manche en Inde face au surpuissant Typhoon. Les Français espèrent maintenant pouvoir empêcher la concrétisation du contrat de vente au Brésil et a finaliser celui en Inde. Et là encore, ce n’est pas une mince affaire pour la diplomatie et les services secrets français, qui espèrent toujours pouvoir provoquer un nouveau coup de théâtre, avant le versement du premier acompte. La finalisation du contrat brésilien devrait en effet prendre 10 à 12 mois, pour une livraison vers 2018, alors que l'EuroFighter Typhoon en embuscade attend son heure en Inde.

Les Français dénigrent le Gripen superperformant bourré de technologies américaines de pointe.
La candidature du F/A-18 E/F Super Hornet a été écartée au Brésil à cause des relations diplomatiques tendues entre Brasilia et Washington, suite aux révélations faites par l’ex-consultant de la NSA, Edward Snowden, au sujet de l’étendue de l’espionnage américain au Brésil. Les Français argumentent que les Etats-Unis pourront tirer quand même quelques bénéfices du choix  Gripen, car certains composants américains entre dans sa composition, dont son moteur fabriqué sous licence par Volvo. Heureusement qu’il ne faudra pas d'autorisation de Washington pour que le Gripen puisse être exporté au Brésil, car le moteur ne fait pas partie de la réglementation américaine en la matière (International trafic in Arms Regulations, ITAR).

L'option du Rafale a complétement chamboulé la Loi de programmation militaire française
La Loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019, repose sur le pari fou de vendre des Rafale à l’exportation, afin de permettre à Dassault de maintenir une ligne d’assemblage, Mais, l'Etat français est obligé d'assister la famille Dassault, alors que la dette de la France dépasse allégrement les 2'000 milliards d'Unités de Compte Européennes. La décision de développer le Rafale onmirôle et d'abandonner le développement du Mirage 2000-9 fait peser un risque majeur non seulement sur l'industrie française de défense, mais aussi sur la défense militaire française elle-même. Dans les 5 ans à venir, il est prévu pour les forces françaises seulement 26 appareils, qui seront payés avec un argent dont la France ne dispose pas, Les familles Peugeot, Sarkosy, Bouygues, Dassault, Lagardère et consort ont vu ces derniers temps leur patromoine décupler, alors que l'Etat français a cumulé les déficits, si bien que le projet Rafale risque bien de ne plus évoluer à l'avenir.

Source : Internet (page actualisée le 25/12/13)

mardi 24 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Français autistiques

Les Français s'enfoncent dans leur autisme et ne veulent pas voir leurs problèmes.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion deux fois plus cher qu'il ne le vaut, il prétendent généralement qu'il est quatre fois trop bon pour le client. Car les Français ont une curieuse approche économique de la vente. Les Français ont cette idée préconçue que tout ce qu'il réussissent à produire, doit être immédiatement acheté. Car les élites maintiennent les divers peuples de France dans un monolinguisme handicapant, qui autorise ces élites à faire croire n'importe quoi aux consommateurs français. Par exemple, les Français ne collaborent pas dans les projets de l'Union Européenne, dont il font néanmoins partie. Il ont ainsi par leur égoïsme empêché l'Eurofighter Typhoon II de connaître succès qu'il mérite, comme ils l'avait déjà fait avec le Panavia Tornado et avec le char Leopard II.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion dont l'heure d'utilisation coûte deux fois trop cher, c'est selon la presse française parce que les client ne veulent pas mettre le prix pour exploiter l'appareil. En effet, les Français trouvent normal que leurs produits coûtent deux plus cher qu'ils ne valent réellement. Il en va de même pour les automobiles, les journaux et la nourriture. La France ne réalise pas vraiment qu'elle devient lentement un pays du Tiers-Monde, que l'Italien qu'elle parle s'est déformé pour devenir du Français, que les automobiles produites en France n'attirent plus personne et que la nourriture française est devenu un sujet de raillerie internationale.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion dépassé technologiquement, c'est parce que les gens n'ont rien compris au génie français. Il est tellement plus facile de fabriquer un avion médiocre et de clamer dans la presse que c'est le meilleur appareil du monde. Comme les journaux français appartiennent aux grands groupes militaires, ils arrivent par ce biais à convaincre le peuple français de cette absurdité. Mais le SAAB JAS-39 Gripen possède un radar plus performant que le Rafale, est plus rapide que le Rafale et possède un système de défense électronique plus performants que le Rafale. Tout cela pour un coût d'achat et d'exploitation de 50% inférieur à celui du Rafale.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un avion totalement incompatible avec le matériel européen, le matériel américain ou le matériel russe, mais c'est parce que les Américains en empêchent la vente. Là encore les Français n'essaient pas de s'adapter au client et au marché en offrant un appareil compatible avec les standards de l'OTAN et de l'Europe, mais prennent le problème à l'envers. Les Français commencent par créer un appareil qui procurera le plus de gloire et de travail aux entreprises françaises. Tout comme avec le TGV, avec le Concorde, avec le Minitel ou avec le clavier AZERTY, les Français établissent un cahier des charges, qui correspond à leur situation propre et n'essaient pas de produire un produit commercialisable. Dans leurs esprits conditionnés, les Français pensent que c'est au client de s'adapter, pas au produit à correspondre au besoin.

Lorsque les Français n'arrivent pas à vendre un appareil inadapté au contexte géopolitique du XXIe siècle, ils envoient leurs présidents et autres ministres pour convaincre qu'un avion biréacteur porteur de missiles nucléaires peut apporter la paix.
Europe Antisociale Antidémocratique

Source : Internet (page actualisée le 24/12/13)

dimanche 22 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): SAAB remplace BOEING au Brésil

Après un appel d'offre vieux de 10 ans, l'avion pressenti F/A-18 Super Hornet a été évincé suite aux révélations d'espionnage de la part des Américains sur les Brésiliens. Sur le marché aéronautique, le titre du groupe Dassault Aviation a encore plongé à la Bourse après que le Brésil a choisi le SAAB Gripen pour équiper son armée de l'air. L'avion polyvalent suédois, qui coûte moitié prix de l'avion omnirôle français, remporte ce marché de 4,5 milliards de dollars pour 36 appareils.

Tous ces appareils sont ultra-performants, mais l'appareil français remporte comme toujours des difficultés à l'exportation. Beaucoup plus cher à l'achat, beaucoup plus cher à l'emploi, l'appareil biréacteur développé par Dassault n'a pu être imposé qu'en France, grâce aux relations privilégiées qu'entretient cet avionneur avec le gouvernement français. Capable de tout faire sans rien faire de vraiment bien, le Rafale rencontre cependant des problèmes rédhibitoires tant au niveau de la puissance des moteurs, de la rapidité de l'avionnique, de la taille de la dérive, des capacités du radar, de l'absence de casque de visée, sans parler des problèmes des logiciels espions installés dans l'appareil.

Très diplomatiquement, le gouvernement brésilien a mis en avant des critères techniques et financiers pour justifier son arbitrage, en évitant de mentionner l'incompatibilité du Rafale avec à peu près tout ce qui vole actuellement. Le ministre de la Défense brésilien a précisé que le choix de l'avion de quatrième génération était fondé sur l'équilibre entre trois points : le transfert de technologie, le prix de l'avion et le coût de son entretien. Mais, comme souvent dans ces marchés gigantesques qui engagent l'indépendance militaire des Etats, la dimension géopolitique entre en jeu. Le Rafale français a été développé par la France en utilisant des sous-traitants français et en utilisant une technologie française. Evidement que les moteurs, l'électronique, les munitions, les armes, le carburant et les modes d'emploi sont également exclusivement français. Dans un tel cas de figure, quel est le pays qui prendrait le risque de se livrer pieds et poings liés à un seul pays ?

Après l'éviction du surpuissant F/A-18 E/F Hornet, le gouvernement brésilien s'est donc logiquement tourné vers le SAAB JAS-39 E/F Gripen, qui possède tout de même le moteur du F/A-18, le cockpit du F-35, la défense passive du Typhoon II, le casque du F/A-18 et du Typhoon II. Doté d'une triple redondance des commandes électriques et d'une électronique ultrarapide, l'appareil suédois a d'ailleurs été le premier à lancer le Meteor européen, à disposer d'un radar AESA et d'un système de communication avec les autres appareils, les satellites et le sol. Emportant des réservoirs supplémentaires et capable de ravitaillement en vol, la dernière version du Gripen est maintenant capable de protéger une étendue aussi vaste que le Brésil.

A la différence du Boeing F/A-18 E/F, du Dassault Rafale III ou de l'Eurofighter Typhoon II, le SAAB JAS-39 E/F n'est pas un avion d'assault, mais un solide défenseur du territoire grâce à sa vitesse élevée, ses capacité de reconnaissance, d'appui au sol et de tir à distance. Il est envisageable qu'avec ce pays sud-américain, SAAB continue de développer la version embarquée de l'appareil nommée Sea Gripen et la version télécommandée utilisable comme un drone. Suite à cette commande, SAAB peut même envisager de placer son appareil au Canada ou en Inde.

Source : Internet (page actualisée le 22/12/13)

samedi 21 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Le Brésil opte pour le Gripen

Après plus de dix ans de négociations, de discussions et de reports suite à des coupes budgétaires, le Brésil a finalement choisit l'avion de chasse SAAB JAS-39 R/F Gripen plutôt que le Boeing F/A-18 E/F Super Hornet.

Plus moderne, mieux conçu et surtout plus réaliste en terme de coût, l'appareil polyvalent suédois a été choisi pour équiper les forces aériennes de la nation brésilienne. Développé par le groupe Saab dès les années 1980, mis en service dans les années nonantes dans l'armée de l'air suédoise et exporté dans les années 2000 dans cinq nations différentes pour 280 appareils, cet appareil est également utilisé par la RAF pour former ses pilotes de chasse, Actuellement, la dernière évolution de l'appareil de SAAB possède le système de défense passif le plus évolué, le radar le plus performant et l’avionique du F-35. C'est pour cette raison, que le gouvernement de l'immense pays sud-américain a annoncé mercredi avoir conclu un contrat portant sur l'achat de 36 appareils pour un montant estimé à plus de cinq milliards de dollars.

Rappelons qu'en septembre dernier, la Suisse s'était déjà tournée vers l'avion de combat omnirôles suédois pour une commande de 22 appareils et un contrat de 3 milliards de dollars. Malgré les attaques médiatiques opérées par Dassault et les pressions politiques exercées par la France, la Confédération Helvétique avait opté pour l'appareil qui avait le meilleur rapport qualité prix. Elle a ainsi rejoint la Suède, la Hongrie, la République Tchèque, l'Afrique du Sud, la Thaïlande et maintenant le Brésil. Malgré deux anciens rapports confidentiels destructeurs, fabriqués de toutes pièces pour favoriser d'autres appareils, l'armée de l'air fédérale avait estimé que l'avion de chasse suédois était le seul appareil à pouvoir répondre aux exigences élevées de police du ciel, de reconnaissance, d'attaque au sol, tout en respectant la compatibilité avec le matériel existant et l'enveloppe budgétaire prévue.

Au Brésil, sans les fuites sur le programme de surveillance mis en place par les américains, le FA-18 E/F de Boeing aurait très certainement raflé la mise, tant sa supériorité semblait éclatante. Mais, comme les relations se sont rafraichies entre les deux pays, la présidente du Brésil a finalement opté pour l'option la moins chère et promettant le plus de transferts de technologies, afin de pouvoir à terme fabriquer ces avions au Brésil et y développer l'industrie de la défense avec Embraer.

En Suisse, c'est Pilatus, RUAG, ArmaSuisse, StalderRail et bien d'autres qui vont bénéfier des avancées technologiques générées par le programme GRIPEN !

Source : Internet (page actualisée le 21/12/13)

mardi 17 décembre 2013

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Catholiques contre Gripen

Les Catholiques du PDC trouvent le chasseur Gripen trop cher et inutile, car pour ces Catholiques, seuls sont dangereux les Protestants et les Non-Croyants. Les Catholiques du PDC s'opposent au remplacement du Tiger, comme ils s'opposent au progrès, à l'égalité des sexes, à l'avortement et aux homosexuels, mais par contre, ils verraient d'un bon œil les Arabes s'implanter en Suisse. Pour toutes ces raisons, les Catholiques déjà écrasés au SonderBund, considèrent que l'achat du Gripen est inutile à la sécurité de la Suisse et représente un mauvais investissement.

Mais ces opposants n'ont pas compris que le Gripen va remplacer le Tiger, pour que la Suisse continue d'avoir une armée crédible. Les soldats en cours d'opération pourront compter sur une protection aérienne efficace, car cet appareil polyvalent possède d'excellentes capacités d'appui au sol. De plus les retombées économiques pour l'industrie de l'armement ne sont pas à négliger, ainsi que l'a reconnu le conseiller national Jacques Neirynck (PDC/VD). En effet, cet appareil à la pointe du progrès permettra à l'industrie helvétique de rester dans la course. Car le Gripen n'est pas le chasseur le plus offensif sur le marché, mais il est le plus à la pointe de la technique et va par conséquent nous ouvrir des portes des technologies modernes. Le Gripen est l'avion de combat dont la Confédération Suisse a besoin, car le prix modéré de ce jet performant et concurrentiel, nous permet de ne pas négliger d'autres domaines sensibles.

De son côté, le comité bourgeois "Non au Gripen" a rapidement manqué d'arguments contre l'avion suédois et a fini par jetter l'éponge, car ils se rendent compte que sur bien des points, le Gripen est supérieur au Rafale et au Typhoon. Le comité libéral "Non au Gripen" a vainement tenté d'apporter ses arguments au référendum lancé contre l'achat des avions de combat suédois. Mais il a peiné à récolter 10'000 signatures sur les 50'000 paraphes nécessaires. Alors qu'à Genève, les antimilitariste n'en n'ont récoltés que 60'000,  c'est à dire le huitième de ce qu'ils avaient récolté contre le FA-18. Ces récoltes de signatures révèlent que le noyau dur de l'opposition se trouve dans le canton de Genève, où le taux de chômage, le taux de Français et le taux de frontaliers est le plus élevé de la Confédération. Le vote contestataire se manifeste dans cette région, car contre le dumping salarial et l'inflation dans le domaine locatif, les chasseurs à réaction ne peuvent rien

Cependant, la droite entraînée par les Vert'libéraux craint de passer pour anti-suisse et anti-armée, c'est pourquoi elle arrête la récolte de signature a souligné Roland Fischer, conseiller national (PVL/LU). Les responsables prétendent être "Ni contre l'armée, Ni contre l'industrie". car ils craignent d'être assimilés au Groupe pour une Suisse sans armée (GSsA). Soi-disant opposés au gaspillage, ils font preuve d'incohérence et estiment que payer 10 milliards pour un avion dépassé comme le Rafale serait préférable, aux 3 milliards du Gripen. En effet le Rafale français n'a aucune compatibilité ni avec l'Europe, ni avec l'OTAN, ni avec notre armée. Il faudrait tout racheter et tout reconstruire dans l'armée, ce qui porterait la facture à 10 milliards. Choisir le Rafale entraînerait non seulement une catastrophe semblable à celle des Mirage, mais amènerait la fin des exercices conjoints avec l'Europe et avec l'OTAN.

Évidemment que les Suisses fraîchement naturalisés veulent affaiblir la Suisse et que les Suisses sur seuls papiers ne veulent pas payer ce qu'ils doivent au pays qui les abrite. Débourser seulement trois milliards au lieu de dix pour avoir une protection aérienne efficace n'est pas cher en regard des 200 milliards déjà investis pour protéger le Franc suisse, aux 6 milliards investis dans l'UBS, aux 4 milliards dans Swissair/Swiss ou au 3.3 milliards dépensés chaque année pour le Tiers-Monde. Or Nick Beglinger, président de swisscleantech continue de prétendre stupidement que ce serait un mauvais investissement, car il ne voit pas les avancées technologiques et les retombées pour la recherche qui sont des domaines porteurs pour la Suisse.

Grâce au frein à l'endettement, l'achat d'un avion de combat inutile comme le Rafale sera évité. Car la sécurité aérienne sera idéalement exécutée par le Gripen pour moitié prix et sans racheter tout le matériel et tout l'armement. Au contraire de ce que dit le Belge Jacques Neirynck, il ne faudra pas réaliser des économies dans d'autres domaines, car le paiement de l'avion se fera sur les comptes ordinaires de l'armée, sauf à moins que l'initiative genevoise contre la Suisse soit acceptée.

Il faut acheter de nouveaux avions de combat car ceux que nous avons ne volent que les jours ouvrables et pendant les heures de bureaux, reconnait le politicien catholique belge. Bien sûr les rapports de l'armée montrent que les actuels F/A-18 suffisent pour la police de l'air, mais seulement durant les heures de bureau ET en tant de paix, d'après Heiner Studer, ancien conseiller national du Parti évangéliste.
le JAS-39 Gripen E = la solution idéale
Rappelons-nous que pendant l'entre deux guerres, certains utopistes avaient le même état d'esprit défaitiste. Désarmons et remettons nous au Seigneur. Mais la situation économique actuelle ne laisse augurer des lendemains qui chantent. Des guerres éclatent dans toutes les parties du globe et nous devons être prêts à toute éventualité.


Source : Internet (page actualisée le 17/12/13)