lundi 29 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Genève contre Gripen

En cette période de crise, où l'avenir de la presse papier est fortement remise en question, le quotidien genevois Le Temps, a publié une série d'articles concernant le nouvel appareil de combat Gripen. Ces articles, écrits par des journalistes ignorants, étaient souvent diffamatoires, infamants ou tout simplement incorrects.

En 2011 les premiers articles se contentent de mettre en exergue le prix inférieur du Gripen pour le discréditer.

 Le 25 nov. 2011, le Temps titre "Le Gripen à un prix de superdiscounter".
 Le 30 nov. 2011, le Temps titre "Le Conseil fédéral choisit le Gripen, chasseur à prix cassé".
 Le 01 déc. 2011, le Temps titre "L'argument financier a tranché pour le Gripen".
 Le 04 déc. 2011, le Temps titre "Rafale de critiques sur le Gripen".

Dès 2012, après la révélation de rapports préalables secrets concernant le Gripen C/D, les articles critiquent la décision.

 Le 24 janv. 2012, le Temps titre "Accusations anonymes sur le choix du Gripen".
 Le 25 janv. 2012, le Temps titre "Examen approfondi du choix du Gripen".
 Le 03 févr. 2012, le Temps titre "Un nouvel obstacle pour l'achat des Gripen".
 Le 18 févr. 2012, le Temps titre "Les dépités du Gripen". 
 Le 23 févr. 2012, le Temps titre "Ce Gripen qui fâche".
 Le 11 Avr. 2012, le Temps titre "Horizon incertain pour les 22 Gripen".
 Le 26 avr. 2012, le Temps titre "Un référendum attend déjà le Gripen".

Dès la mi-mai, la firme suédoise entreprend de ce défendre et les attaques se concentre alors sur l'UDC et sur Ueli Maurer.

 Le 18 mai 2012, le Temps titre "Saab passe à la contre-offensive pour défendre son Gripen".
 Le 03 juin 2012, le Temps titre "Gripen : Maurer continue sur sa lancée".
 Le 04 juin 2012, le Temps titre "Du vélo au Gripen, le saut vertigineux d'Ueli Maurer".
 Le 30 juin 2012, le Temps titre "Opération de charme des Suédois pour vendre le Gripen ".
 Le 16 août 2012, le Temps titre "En Suède, les coûts du Gripen allument la controverse".
 Le 21 août 2012, le Temps titre "Doutes en Suède sur le développement du Super JAS".
 Le 22 août 2012, le Temps titre "Le Gripen, cet avion qui multiplie les risques".
 Le 22 août 2012, le Temps titre "Comment Berne a avantagé le Gripen".
 Le 25 août 2012, le Temps titre "Gripen, un accord-cadre a été signé".
 Le 23 août 2012, le Temps titre "Comment Berne a pipé les dés en faveur du Gripen".
 Le 26 août 2012, le Temps titre "Le Gripen et Rubik, ces grands malades qu'il faut sauver".
 Le 29 août 2012, le Temps titre "Doute sur la parole d'Etat".
 Le 01 sept. 2012, le Temps titre "Le Gripen provoque une rafale d'amabilités à droite".
 Le 02 sept. 2012, le Temps titre "Ueli Maurer et les Gripen: Attention à la Suède".
 Le 04 sept. 2012, le Temps titre "Gripen: les sénateurs jouent la montre".
 Le 21 sept. 2012, le Temps titre "Décision suédoise en décembre pour le Gripen".
 Le 01 oct. 2012, le Temps titre "Les concurrents du Gripen font de nouvelles offres".
 Le 10 oct. 2012, le Temps titre "Le Gripen fait des étincelles".
 Le 10 oct. 2012, le Temps titre "Avion de combat: ce Gripen qui fâche".
 Le 11 oct. 2012, le Temps titre "Premier vol du Gripen au-dessus de la Suisse".
 Le 12 oct. 2012, le Temps titre "La visite du Gripen s'est achevée sur un plaidoyer".
 Le 13 oct. 2012, le Temps titre "Opération de communication pour le Gripen".
 Le 01 nov. 2012, le Temps titre "Bataille juridique autour du Gripen".
 Le 15 nov. 2012, le Temps titre "Le Gripen masque l’absence de débat sur le rôle de l’armée".
 Le 15 nov. 2012, le Temps titre "Ueli Maurer obtient le soutien du Conseil fédéral pour l’achat du Gripen".


Après analyse, ces articles dirigés contre l'avion suédois étaient vraisemblablement destinés à favoriser le Rafale français ou à conspuer l'UDC. Or, cette campagne de dénigrement contre Ueli Maurer et contre le Gripen a porté atteinte non seulement à la crédibilité du CF et de l'armée, mais encore à la Suisse et dans une certaine mesure à la Suède. Ces articles démontrent également que le canton de Genève, qui possède le plus fort taux de chômage,  le plus fort taux de Français et le plus fort taux de frontaliers hésite encore entre la France centralisatrice et la Confédération helvétique. Finalement, la crédibilité et l'impartialité du journal Le Temps, piloté depuis l'étranger est détruite, car ce quotidien n'est pas représentatif du peuple suisse.
La solution logique, le JAS-39 Gripen E

Source : Internet (page actualisée le 10/12/2012)

samedi 27 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Gripen optimal

Le Gripen E est la solution optimale pour l’Armée suisse, car le Gripen E répond aux exigences formulées et aux besoins de la troupe. Il représente une solution supportable à long terme sur le plan financier. Une évaluation détaillée conduite sur plusieurs années a démontré que l’avion de combat suédois est le meilleur choix pour l’Armée suisse.

Le 30 novembre 2011, le Conseil Fédéral (CF) a décidé d'acquérir 22 avions de combat de type JAS-39 E Gripen pour remplacer les F-5 E/F Tiger II devenus obsolètes. Un document de travail ainsi qu'un récapitulatif des notes et coûts des candidats a servi de base pour la décision prise par l'ensemble du CF. Ces documents de base sont le résultat d'une évaluation détaillée de trois types d'avions (le Rafale de l'entreprise française Dassault, l'Eurofighter du consortium européen EADS/Cassidian et le Gripen de l'entreprise suédoise SAAB) qui a été effectuée durant plusieurs années. Cette évaluation a révélé que les trois modèles répondent aux exigences formulées et qu'ils étaient par conséquent tous éligibles pour devenir le nouvel appareil de combat des forces aériennes helvétiques.

L'évaluation visait une analyse approfondie portant sur la valeur d'utilisation et le coût des trois candidats EF Typhoon II, JAS-39 E Gripen et Dassault Rafale 3. Une équipe de projet intégrée placée sous la direction d'Armasuisse a planifié, organisé et analysé l'évaluation. L'efficacité opérationnelle des avions a entre autres été évaluée en 2008 et 2009. Elle s'est déroulée sur la base des résultats de l'évaluation en vol et au sol ainsi que de l'analyse des différences entre les modèles testés et ceux présents dans l'offre qui correspondent au degré de développement au moment de la livraison. Le même barème et la même notation ont été utilisés durant tout le processus d'évaluation et de prise de décision. Les offres mises à jour pour le programme d'armement 2012 ont été faites au mois d'octobre 2011. Elles intégraient des prix fixes définitifs qui ont servi de base pour la détermination des frais d'acquisition.

L'acquisition ne prévoit pas uniquement 22 avions et leur équipement pour les missions, mais un paquet global comprenant notamment l'armement, le paquet logistique, les systèmes d'instruction pour les pilotes, l'intégration du TTE dans les systèmes de commandement et d'autres éléments. L'estimation des frais d'exploitation durant 30 ans est également présentée à côté des frais d'acquisition. Comme les trois candidats répondent aux exigences posées et aux besoins de la troupe et entrent en principe en ligne de compte pour le remplacement partiel du F-5 E/F Tiger II, ce sont les aspects financiers du paquet global qui sont déterminants. En effet, le DDPS doit tout mettre en œuvre pour que l'acquisition d'un nouvel avion de combat soit financièrement supportable pour l'armée, à moyen et à long terme, afin de pouvoir utiliser un maximum de ressources pour d'autres besoins urgents de l'armée.

C'est pour cette raison que le Conseil fédéral s'est prononcé, sur proposition du DDPS, en faveur du Gripen E/F de l'entreprise suédoise SAAB. Cet avion qui répond aux exigences formulées constitue également un choix en adéquation avec les finances. Le Gripen est par conséquent la solution optimale pour l'armée dans son ensemble.

Précisions complémentaires et commentaires de la décision :


- Aucun des appareils présentés n'est en service et demeurent des prototypes.
- Aucun des appareils présentés ne sera fabriqué en Suisse.

- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse étaient largement supérieures au budget alloué à l'armée.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse concernaient des appareil biréacteurs entrant en infraction avec notre législation sur le bruit.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse étaient établies en une unité de compte à l'avenir incertain.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse n'offraient pas des compensations compétitives.
- Les offres de Dassault et de EADS pour la Suisse dépassaient la limite financière imposée par le peuple.

- L'offre de Dassault n'offre pas des dimensions compatibles avec le matériel déjà utilisé par notre armée.

- L'offre de Dassault n'offre pas une motorisation unitaire suffisante, qui n'autorise pas la supercruise.
- L'offre de Dassault n'offre pas une motorisation unitaire suffisante, qui n'autorise pas le décollage sans PC.
- L'offre de Dassault n'offre pas un viseur de casque efficace, démontré en Afghanistan et en Lybie.
- L'offre de Dassault n'offre pas d'une avionique suffisamment moderne.

Par contre, pour remplacer le F-5 Tiger II E/F et collaborer avec le FA-18 Hornet C/D le Gripen répond idéalement, car :
- Il coûte moitié prix de l'appareil français,
- Il a a la même taille que le F-5 E/F Tiger II qu'il doit remplacer,
- Il a le même type de réacteur que le FA-18 C/D qu'il doit seconder,
- Il est aussi rapide que l'appareil français, tout en étant moins bruyant,
- Il a la même puissance relative que l'appareil français,
- Il est capable de s'adapter à l'infrastructure existante, sans modification, à la différence du Rafale français,
- Il possède un viseur de casque, à la différence du Rafale français,
- Il pourra utiliser les mêmes missiles que le FA-18, à la différence du Rafale français,
- Il sera capable de décoller de nos autoroutes, à la différence du Rafale français,
- Il possède un radar plus performant que l'appareil français.

Source : Internet (page actualisée le 27/10/2012)

jeudi 25 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Articles de presse

En Suisse, l'avion de combat français Rafale provoque des tirs croisés au parlement.
La corruption, les malversations, les financements occultes et les dessous de tables opérés par des agents infiltrés français, dont la publication d'anciens rapports secrets du CF provoquent des tirs croisés sur l'avion de combat Rafale au sein de l'Assemblée Fédérale. En effet, tout en s'efforçant de vendre ses anciens appareils à la Suisse, la France signe dans le même temps des contrats de délocalisation en Inde à qui elle veut vendre sa technologie. Ensuite, tout en assurant la Suisse que le Rafale est le meilleur choix, la France développe des avions sans pilotes avec l'Angleterre pour remplacer ce même appareil polyvalent. Finalement, à court de missions pour l'appareil qu'elle veut imposer en Suisse, la France cherche des débouchés dans le spatial pour le Rafale.

En Suisse, le Conseil Fédéral exige 98 améliorations à apporter à l'appareil de combat français Rafale.
Parmi ces améliorations, la Suisse aimerait disposer d'un avion de taille compatible avec les alvéoles du Tiger, d'un prix compatible avec l'enveloppe budgétaire allouée à l'armée par le peuple, de la Supercruise, du décollage sans PC, du décollage de pistes peu aménagées, du décollage STOL, d'une compatibilité avec les armements OTAN, d'une compatibilité avec les armements du FA-18, de la compatibilité avec le système FLORAKO, de la capacité à lancer les missiles à courte portée IRIS-T allemands, de la capacité à lancer les missiles à courte portée ASSRAAM anglais, de la capacité à lancer les missiles à courte portée AIM-9X Sidewinder américains, de la capacité à lancer les missiles à moyenne portée AIM-120 AMRAAM américains, de la capacité à lancer les missiles  à longue portée Meteor européen, du radar AESA ES-05 'RAVEN' de SELEX Galileo, du moteur GE F-414G du FA-18, de l'écran géant du F-35, de l'écran géant Pilatus XXI,  des commandes vocales, des classiques commandes HOTAS, d’un HUD large de nouvelle génération, du viseur de casque HMD Cobra, d'une l'architecture électronique de dernière génération 5x plus rapide, du système de guerre électronique EWS39, du générateur d'oxygène embarqué OBOGS, etc.

En France, le projet Rafale est un scandale et une controverse s'élève sur les coûts du Rafale.
En France des collusions entre le gouvernement, Lagardère et Dassault oblige le peuple français a soutenir à coup de millions la firme aéronautique Dassault. Plutôt que d'améliorer le Mirage 2000-9 pour le rendre plus polyvalent ou d'intégrer le projet EF2000, l'Etat français a préféré subventionner le projet Rafale. Or cet appareil n'apporte aucun avantage par rapport à ses successeurs et il constitue un gouffre financier. Cet appareil conçu pour la guerre froide ne répond plus aux dangers d'aujourd'hui et son évolution est fortement compromise, car il n'a pu être exporté dans aucun pays. Même l'Aéronavale française n'en voulait pas.

En Suisse et en France, les opposants ne s'unissent pas.
En Suisse comme en France, les partis écologique et socialiste font preuve d'angélisme et s'opposent aux avions de combat, quels qu'ils soient. Ces illuminés ne veulent pas d'armée du tout, veulent l'adhésion à une grande Europe ultracapitaliste et antidémocratique. L'achat ou le choix du nouvel appareil de combat est l'occasion pour les gauchistes d'attaquer le Conseiller Fédéral UDC Maurer et de l'empêcher d'accéder à la présidence.

En Suisse, l'avion de combat français Rafale est un appareil où tout reste à faire.
Conçu dans les années septante pour faire face aux appareils soviétiques, les systèmes du Rafale ne répondent plus aux dangers actuels. Non seulement, ses moteurs, son avionique et son armement sont dépassés, mais ils n'évoluent plus, car ils sont produits par un pays en faillite virtuelle. De plus, la version F3-04T présentée n'existe qu'à un seul exemplaire, si bien que le Rafale n'est en l'état qu'un avion de papier. Pour répondre au cahier des charges helvétique, de telles modifications devraient être apportée que ce serait un nouvel appareil. Car pour répondre à l'islamisation et à la catholisation de la société, les vecteurs nucléaires sont inutiles. Pour faire face à l'immigration, à l'inflation, à la surpopulation et au bétonnage du pays, le supersonique Rafale n'est pas une arme efficace.

En Suisse, le Rafale français devrait recevoir le coup de grâce.

La révélation d'anciens document secret par des agents infiltrés français a obligé le CF a diligenter une commission d'enquête parlementaire. Cette commission devrait révéler les tentatives de corruption et enlever toute crédibilité à la candidature française. Rappelons que cet appareil contreversé a déjà été refusé en Corée, aux Pays-Bas, à Singapour, au Maroc, en Inde, en Suisse, aux Emirats, au Brésil.

En Suisse, Berne a cependant avantagé le Rafale français.
Les services secrets français ont grassement rémunéré certains parlementaires et certains gradés de l'armée dans l'espoir d'infléchir la décision helvétique en faveur du Rafale. Mais pour éviter un scénario identique à celui du Mirage III S face au Saab-35 Draken, les parlementaires ont intelligemment attendu le départ à la retraite de l'homme de paille de Dassault. Comme nous ne sommes pas en guerre et pour éviter de dépasser le budget déjà voté, ils ont différé cet achat jusqu'en 2020. Très pragmatiquement, le CF a alors jugé les trois appareil en lice et a favorisé le Gripen E pour ses performances supérieures en terme de coût, de compatibilité, de modernité, de simplicité, de robustesse et d'utilité. Il faut dire que le GSSA a bien aidé le CF en plafonnant les frais annuels de l'armée à 3 milliards.

En Suisse se trouvait la dernière chance de survie du Rafale français.
Devant les coûts exorbitants du Rafale et son insuccès à l'exportation, la France, songe sérieusement arrêter le programme Rafale. La France se rend compte que la Suisse était la dernière chance de mettre à jour une ultime version de son Rafale. Pour cette raison la France s'est tournée vers l'Inde à qui elle vendra tout son savoir-faire et toute ses chaînes de production. L'Inde pourra ainsi se libérer de la tutelle technologique de la Russie et de la tutelle politique du Royaume-Uni.

En Suisse le Rafale français n'est qu'un rafistolage d'appareil existants.
Le Rafale français n'est qu'un rafistolage d'appareil existants, car le Rafale est un assemblage disparate entre le Mirage IV, le Mirage F1, le Mirage 2000, le Jaguar et l'Etendard. La France en voulant privilégier ses constructeurs nationaux Safran, Thales, Sagem, Snecma et Dassault, s'est séparée de ses alliés européens et a été contrainte de développer son appareil en solitaire. Le résultat est un appareil qui suffit à la France, mais qui est inexportable, car incompatible à tous niveaux. Mais la France, adepte de la méthode Coué, ne peut envisager que des appareils concurrents utilisés dans plusieurs armées aient des équipements plus modernes, équivalents voire supérieurs à ceux du Rafale.

En Suisse, le torchon continue de brûler entre Ueli Maurer et les parlementaires.
Effectivement les partis de gauche soutenus par la France s'opposent aux avions de combat ne veulent pas d'armée du tout. Alors que les partis de droite soutenus par l'Allemagne prônent l'Eurofighter Typhoon II, déjà utilisé par nos voisins européens allemands, autrichiens et italiens. Le choix du nouvel appareil de combat est l'occasion pour les partis de droite comme de gauche d'attaquer le Conseiller Fédéral UDC Maurer et l'empêcher d'accéder à la présidence.

En Suisse, le Conseil Fédéral considère que le Rafale français est un choix risqué et très critiqué.
La France a toujours eu une guerre de retard, à la Blitzkrieg elle opposait la ligne Maginot, aux Messerchmitt elle opposait des Morane et à Internet, elle opposait le Minitel. La France veut maintenant refiler à la Suisse un appareil conçu pour la guerre froide, alors que l'époque est aux radars performants, aux missiles intelligents et aux communications satellitaires. Cet appareil est facturé en Euro, une unité de compte qui vit ses derniers jours et cet appareil est produit par un pays qui est virtuellement en faillite depuis des années. La poursuite de la production de cet appareil ne semble pas assurée et la Suisse aimerait plutôt engager des pourparlers avec un Etat, qui garantirait sa viabilité.

OUI au Gripen le 18 mai 2014

JAS-39 Gripen E

Source : Internet (page actualisée le 25/10/2012)

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Continuité & Sécurité

Il semblerait que les Forces Aérienne de la Confédération Helvétique aient opté pour la meilleure solution en portant leur choix sur la dernière évolution du Gripen suédois. Il y avait en effet de grands risques que l'acquisition de matériel français débouche sur une nouvelle affaire des Mirages. En effet, l'appareil de combat proposé par la France, soit le Rafale F3-04T est un modèle de papier qui n'existe qu'en un seul exemplaire et qui ne sera sans doute jamais construit en série. Il est en outre à prévoir que la crise économique actuelle va forcer la France a transférer son savoir-faire et ses chaînes de production en Inde. De plus, ce modèle a rencontré des inconvénients rédhibitoires qui l'ont automatiquement éliminé de la compétition, dont voici l'énumération :

Premièrement, de par sa hauteur disproportionnée, le Rafale s'est montré incapable de rentrer dans les alvéoles, les hangars ou les cavernes du Tiger, ce qui aurait impliqué des modifications coûteuses de l'infrastructure, semblables à celles opérées en son temps sur le Mirage III S.


Deuxièmement, par son prix surfait, le Rafale français s'est montré incapable d'entrer dans l'enveloppe budgétaire allouée à l'armée par le peuple, ce qui enfreint la législation sur le frein aux dépenses militaires.


Troisièmement, de par sa sophistication, le Rafale s'est montré incapable de décoller de pistes courtes peu aménagées, ce qui le rend incompatible avec notre armée de milice.


Quatrièmement, le Rafale s'est montré incapable de décollage et de supercruise sans postcombustion, ce qui enfreint les normes fédérales sur le bruit.

Cinquièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de lancer les missiles à courte portée IRIS-T allemands qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué leur achat.

Sixièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de  lancer les missiles à courte portée ASSRAAM anglais qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué leur achat.

Septièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de  lancer les missiles à courte portée AIM-9X Sidewinder américains qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué leur achat.

Huitièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale s'est montré incapable de lancer les missiles à moyenne portée AIM-120 AMRAAM américains qui équipent déjà les Frelons américains de l'armée fédérale, ce qui aurait impliqué des achats.

Neuvièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale ne dispose pas du radar AESA ES-05 'RAVEN' produit par SELEX Galileo qui permet d'engager 10 cibles à 150 km.

Dixièmement, de par sa production uniquement française, le Rafale ne possède pas le moteur GE F-414G, successeur du GE 404 du FA-18, offrant 98kN de poussée et capable de Supercruise sans réchauffe.

Onzièmement, de par sa  production uniquement française, le Rafale ne dispose pas de l'écran géant du F-35 semblable à celui du Pilatus XXI, personnalisable et configurable en fonction du type de mission.

Douzièmement. de par sa production uniquement française, le Rafale ne dispose pas de commandes vocales.

 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas des classiques commandes HOTAS, mais d'un système français.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas d’un HUD large de nouvelle génération.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas du viseur de casque HMD Cobra, rate ses cibles et a du se faire accompagner de Mirages 2000-5 en Afghanistan et en Lybie.
 De par saproduction uniquement française, le Rafale français ne dispose pas de l'architecture électronique de dernière génération à puissance de calcul 5x plus rapide.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas du système de guerre électronique EWS39.
 De par sa production uniquement française, le Rafale français ne dispose pas du système du générateur d'oxygène embarqué OBOGS.

Le Rafale français n'est qu'un rafistolage d'appareil existants, car le Rafale est un assemblage disparate entre le Mirage IV, le Mirage F1, le Mirage 2000, le Jaguar, le Crusader, l'Etendard IVP et le Super-Etendard. La France en voulant privilégier ses constructeurs nationaux Safran, Thales, Sagem, Snecma et Dassault, s'est coupé de ses alliés européens et a du développer son appareil seule. Le résultat est un appareil qui suffit à la France, mais qui est inexportable, car incompatible à tous niveaux.

Le Gripen est par contre l’un des avions de combat les plus agiles qui soient. Son aérodynamique hautement développée, associée à un système de commande numérique à triple chaîne et aux systèmes d’armement les plus modernes et les plus avancés du monde, lui confère des avantages énormes en combat aérien. Le Gripen se pose en rival du très connu F-16 américain et en successeur du défunt Mirage III S. Par son choix intelligent, la Suisse privilégie la continuité et la sécurité plutôt que la rupture.

Source : Internet (page actualisée le 25/10/2012)

lundi 22 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Gripen idéal

 Le constructeur aéronautique suédois SAAB s'est fixé comme objectif de vendre son nouveau Gripen E/F dans une dizaine de pays au cours des dix prochaines années, car l'excellence de cet appareil, combiné avec aux très graves déboires technologiques et financiers du F-35 américain a donné de nouvelles ambitions au constructeur aéronautique suédois.

 L'appareil JAS-39 E est tellement bon que la campagne déloyale de dénigrement systématique opérée dans la presse helvétique par les constructeurs français Dassault et allemand Eurofighter n'ont pas empêché son acquisition par l'armée fédérale suisse. La firme aéronautique suédoise peut maintenant compter sur un sixième client pour son appareil polyvalent, après la Suède, la Hongrie, la Tchéquie, l'Afrique du Sud et la Thailande, à la différence de la firme Dassault, qui n'a toujours pas réussi à placer son franco-français Rafale après trente années de carrière.

 Pour atteindre l'objectif de vendre 300 Gripen ces prochaines années, une version marine du Gripen et une version à tuyère vectorielle seraient déjà à l'étude par SAAB aviation. Car après l'échec de l'avion de combat suédois en Norvège (2008), aux Pays-Bas (2008) et en Inde (2011), la firme suédoise veut chatouiller l'ogre américain Lockheed Martin en Europe.

  • Face aux retards inquiétants du F-35, la firme SAAB concourt pour 36 JAS-39 Gripen E/F aux Pays-Bas et pour 48 JAS-39 Gripen E/F au Danemark.
  • Pour remplacer 14 Gripen C/D, la firme SAAB concourt pour 10 JAS-39 Gripen E/F en Hongrie et pour 10 JAS-39 Gripen E/F en Tchèquie, pour remplacer 14 Gripen C/D également.
  • En Roumanie, Saab concourt pour 48 appareils Gripen C/D, face au Lockheed Martin F-16 A/B et au EF Typhoon II A d'Eurofighter.
  • En Bulgarie, Saab concourt pour 16 appareils Gripen C/D d'occasion, face au Lockheed Martin F-16 C/D et au EF Typhoon II A d'Eurofighter.
  • En Croatie, Saab concourt pour 12 appareils Gripen C/D d'occasion, face au Lockheed Martin F-16 C/D et au EF Typhoon II A d'Eurofighter.
  • Au Brésil, Saab a gagné pour 36 appareils Gripen E/F, face au FA-18 E/F SuperHornet de Boeing.
  • En Malaisie, Saab concourt pour 24 appareils Gripen E/F, face au FA-18 E/F SuperHornet de Boeing, au EF Typhoon II d'Eurofighter et au Sukhoï Su-30 MKM.


SAAB a de bonnes chance d'emporter certains de ces marchés car :

- le SAAB JAS-39 E SuperGripen peut faire l'impasse de la version biplace grâce au simulateur,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen possède le radar AESA Selenium Galileo supérieur à la concurrence et le radar fait tout dans la guerre aérienne moderne,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen possède le système IRIS-T de l'Eurofighter,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen possède le casque à affichage tête haute COBRA supérieur à la concurrence,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen peut déjà lancer le missile à longue portée METEOR,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est polyvalent : Chasse, Attaque, Reconnaissance,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est meilleur marché que ces concurrents,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est plus petit que ces concurrents, pénétre plus facilement dans les hangars, les cavernes militaires et les porte-avions,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est capable de décoller à partir d'une portion de route droite de 800 mètres de long,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est moins bruyant qu ces concurrents,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est opérable par une armée de milice,
- le SAAB JAS-39 E SuperGripen est capable de lancer tout les armements de l'OTAN, du F-5 et du FA-18.

Source : Internet ( page du 22/10/2012 actualisée le 09/09/2014)

vendredi 19 octobre 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Farner contre Gripen

La France en décidant de développer seule dans les années septante son appareil de combat a commis une erreur monumentale. En effet, dans le but de rationaliser la production et l'exploitation, la France voulait remplacer cinq types d'aéronefs différents par un unique appareil polyvalent. Mais, cet avion multirôle à force de vouloir tout faire, ne fait rien de vraiment bien, car il n'apparaît dans l'armée de l'air française trop tardivement.  Mis en service 30 années après sa conception, il répond à son cahier des charges initial, mais ne correspond plus à la situation géostratégique actuelle. Non seulement ses moteurs, son avionique et son radar sont déjà dépassés là sa sortie, mais ses systèmes intégralement produits en France ne sont compatibles qu'avec des armements français. Dès lors, quel est le pays qui prendrait le risque de ne dépendre que d'un seul pays constructeur en matière d’armes, d’électronique, d’avionique et de motorisation ?

D'autre part, le prix de l'appareil franco-français est prohibitif et Dassault n’a toujours pas de client à l’exportation, car le Rafale est difficilement intégrable dans d'autres armées. Mais devant les sommes déjà investies, la France est elle, obligée d'en faire l'acquisition et d'en équiper son armée, à laquelle il est suffit. Cependant, la France, qui exploite et finance seule le développement et la production et de cet appareil d'exception aurait du impérativement l'exporter pour l'adapter et continuer de le produire. Mais comme il est trop cher, il ne se vend pas à l'étranger. C'est pour cette raison que la firme Dassault a mandaté l'agence Farner pour éliminer le Gripen et imposer le Rafale en Suisse. Cette agence a fait paraître moult articles critiques peu élogieux dans la Basler Zeitung, la Tribune de Genève et le Temps.

- L'agence Farner met en avant dans 24 heures du 26/01/2012 que des tirs croisés sur l'avion de combat Gripen ont lieu au parlement.
 ( Effectivement la France essaye par tous les moyens de discréditer le Gripen dans la presse et dans les Chambres, car la France doit vendre son ancien Rafale pour que celui-ci continue d'être produit. )
- L'agence Farner prévient dans 24 heures du 13/05/2012 que Berne exige 98 améliorations à apporter sur le prototype du futur avion de combat que veut acheter la Confédération.
 ( Car la France révèle dans la presse un rapport d'évaluation secret de 2008 concernant l'ancien Gripen C/D. Rappelons à ce titre que l'aéronavale française avait également refusé le Rafale A  )
- L'agence Farner prétend dans l'Hebdo du 23/05/1012 que le projet Gripen est un scandale en Suède également.
 ( Il est établi que les partis écologique et socialiste ne veulent pas d'armée du tout, veulent l'adhésion à l'Europe et la disparition de la Suisse. )
- L'agence Farner insinue dans Le Matin du 12/05/2012 que le Gripen est un appareil où tout reste à faire.
 ( Effectivement la France n'admet pas que le Gripen NG vole déjà, alors que son Rafale n'évolue plus faute de moyens financiers suffisants. )
- L'agence Farner raconte dans Le Matin du 07/08/2012 que le Gripen devrait recevoir le coup de grâce.
 ( Car la France espère que la révélation d'anciens document secret autorisera ses agents infiltrés d'infléchir la décision du CF )
- L'agence Farner prévient dans Le Matin, dans l'Hebdo, dans 20MN, dans Le Temps du 16/08/2012 de la controverse en Suède sur les coûts du futur Gripen.
 ( Car la France espère toujours que ses agents infiltrés pourront d'infléchir la décision du CF )
- L'agence Fahrner explique dans Le Temps du 22/08/2012 comment Berne a avantagé le Gripen.
 ( Car la France réalise que son Rafale trentenaire est égalé par des appareils plus petits et plus modernes )
- L'agence Farner claironne dans Le Temps du 29/08/2012 que la Suisse est la dernière chance de survie du Gripen.
 ( Car la France, qui pense arrêter la production du Rafale, se rend compte que la Suisse était la dernière chance de placer son Rafale  ! )
- L'agence Farner insinue dans la Tribune de Genève, dans 24 heures et dans Le Matin du 26/09/2012 que le Gripen E n'est qu'un rafistolage d'appareil existants.
 ( Car la France n'admet pas que des appareils concurrents utilisés dans plusieurs armées aient des équipement supérieurs à ceux du Rafale. )
- L'agence Farner persiste dans RTS, le Matin et la Tribune de Genève du 09/10/2012 par le torchon continue de brûler entre Ueli Maurer et les parlementaires.
 ( Effectivement les partis de gauche ne veulent pas d'avion du tout et les partis de droite veulent l'Eurofighter Typhoon II. )
- L'agence Farner avertit dans swissinfo du 19/10/2012 que le Gripen est un choix risqué et très critiqué.
 ( Comme la France a toujours eu une guerre de retard, elle veut nous vendre son appareil conçu pour la guerre froide, alors que l'époque est aux radars performants, aux missiles intelligents et aux communications satellitaires. )  

Tout en coûtant la moitié d'un Rafale ou d'un Typhoon, le Gripen E est un appareil plus moderne, plus maniable, équipé du radar AESA ES-05 RAVEN produit par SELEX Galileo, disposant de la meilleure avionique. Petit et agile, il bénéficie d'un excellent rapport poids puissance et il est capable de coopération avec nos FA-18 C/D Hornet. D'autre part, il consomme moins et produit moins de nuisance sonore que ce dernier. Disposant de l'exceptionnel système IRIS-T également emporté par le Typhoon, le Hornet et le Tornado, il dispose d'une solide défense air-to-air. Il a d'autre part déjà lancé le missile à longue portée Meteor en 2010.
JAS-39 E Gripen des Forces Aériennes Suisses


Source : Internet (page actualisée le 20/10/2012)