mercredi 25 juillet 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Gripen

L’histoire du SAAB Gripen commence en 1982 en Suède, au moment des derniers soubresauts de la guerre froide.

La Suède, ancienne puissance européenne devenue neutre, mais géographiquement trop proche de l’ogre soviétique, ressent le besoin de se doter d’un nouvel appareil de combat capable de prendre la succession de ses robustes Saab 35 Draken et Saab 37 Viggen. Pour ce faire, la Suède développe l’appareil avec ses alliés Anglais et Américains, qui fournissent les puissants moteurs et l’armement conventionnel. Comme 50% des pièces proviennent de pays appartenant à l’OTAN, l’appareil est hautement compatible avec l’alliance occidentale, tout en étant produit par un pays neutre.

L’appareil de combat multi rôle suédois devait être capable de rivaliser avec les appareils soviétiques et devait autoriser la Suède à conserver son avance technologique. Après une mise au point laborieuse, le premier avion est livré en 1989, alors que l’URSS implose face à la coûteuse course technologique imposée par les Américains dans le domaine des missiles, du bouclier spatial, ou des bombardiers hypersoniques.

Le gouvernement suédois s’est impliqué dans la conception, la fabrication et la commercialisation du JAS-39 Gripen, car la Suède veille jalousement à défendre sa neutralité, tout comme son autonomie technologique et militaire. C’est pour cette raison qu’elle fournit également l’appareil sous forme de leasing. Le Gripen est un mono réacteur extrêmement puissant, doté des techniques les plus récentes, capable d’emporter toutes les armes conventionnelles de l’OTAN. Atteignant Mach 2, il est capable de décoller de pistes sommaires, il est également facile d’entretien et bon marché à l’achat comme à l’usage.

La Suède et l’Afrique du Sud ont fait l’acquisition de cet excellent appareil, alors que la Tchéquie, la Hongrie et la Thaïlande l’utilisent grâce à un judicieux contrat de location. La Confédération Helvétique va également s’équiper de Gripen, car il a la même taille que le F-5 E/F Tiger II qu’il doit remplacer, donc peut le faire sans modification et sans délais. Durant la période transitoire de mise au point, la Suède offre à la Confédération Helvétique le prêt d’anciens Gripen C/D pour pallier aux manques du Tiger et pour familiariser les pilotes avec le fonctionnement de l’appareil suédois.

Concernant ses résultats opérationnels, le Gripen possède une base saine, car en service dans cinq armées nationales différentes depuis 20 ans. Alors que 2 appareils ont été perdus dans la phase de mise au point des années 80, le Gripen s'est comporté de manière exemplaire et a accompli sa tâche sans perte en Libye. Le Gripen a été le premier à lancer le missile à longue portée Meteor.

La Confédération Helvétique a également fait le choix du JAS-39 Gripen pour remplacer ses F-5 E/F Tiger II, dans le cadre d’une collaboration entre Etats neutres, nordiques, montagneux et non affiliés à l’Euro, car il offre la compatibilité en terme de taille, de coût, de motorisation et d’armement.  De plus, il dispose du radar le plus efficace, du casque de visée le plus efficace et de l'avionique la plus moderne. Accessoirement, le Gripen est mono réacteur et ne va pas enfreindre la législation fédérale très restrictive sur le bruit. En outre, il peut être mis en œuvre par une armée de milice et peut décoller d’autoroutes au besoin. Payé en couronnes suédoises stables et non en Euro, il fournira du travail aux entreprises helvétiques et laissera le pays libre et indépendant de toute main-mise étrangère.



Source : Internet (page actualisée le 28/07/2012)

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Histoire du Rafale

L’histoire du Dassault Rafale commence en 1977 en France, au moment des derniers soubresauts de la guerre froide.

La France, ancienne puissance coloniale, battue trois fois par son voisin germanique et sauvée trois fois par les Anglo-Saxons, ressent le besoin de se doter d’un nouvel appareil de combat capable de prendre la succession de ses fragiles Dassault Mirage. Pour ce faire, la France, se joint dans un premier temps aux études en vue de produire un véritable chasseur aérien européen. Mais la France après avoir bénéficié de l’aide technique de l’Allemagne, de l’Italie et de l’Angleterre pour la conception se désolidarise du projet pour favoriser son industrie nationale.

L’appareil de combat multi rôle français devait être capable non seulement de rivaliser avec les appareils soviétiques, mais devait remplacer pas moins de 7 types d'appareils de l'armée française. Plutôt que d'autoriser l’Europe à s’affranchir de la tutelle des États-Unis, l'objectif du chasseur polyvalent français était de s'affranchir de la collaboration européenne.  Le premier avion est livré en 1998, soit après 22 longues années d’errances, qui rendent cet appareil obsolète avant même sa sortie, car entre-temps la situation géostratégique a changé, la menace soviétique a disparu depuis près de 10 ans et de nouvelles technologie étaient apparues.

Le gouvernement français est contraint de soutenir seul le programme Rafale, car des collusions entre les dirigeants et la famille Dassault l’y contraignent. Devant l’insuccès à l’export, la population française subventionne son milliardaire Dassault par des commandes supplémentaires alors que la France n’est pas en situation de guerre.

Le Rafale est un bi réacteur bruyant et gros consommateur de kérosène. Doté de techniques françaises, il est incapable d’emporter les armes de l’OTAN et utilise ses propres systèmes. Extrêmement fragile et sophistiqué, il est incapable de décoller de pistes sommaires et nécessite des spécialistes pour son entretien. Très onéreux à l’achat, il l’est également à l’usage.

Aucun pays au monde hormis la France n’a voulu de l’appareil franco-français, qui est incompatible avec tout ce qui vole actuellement (avionique, armement, moteurs)  : refus en Corée du sud en 2002 pour des F-15, refus au Pays-Bas en 2002  pour des F-35, refus à Singapour en 2005 pour des F-15, refus au Maroc en 2008 pour des F-16, en 2009, l’Inde refuse le Rafale, en 2011, refus de la Confédération Helvétique en 2011 pour des JAS-39, refus des Emirats Arabes Unis en 2011, refus du Brésil en 2011. Le Rafale avait même été refusé en son temps par la Marine Nationale Française, qui lui préférait le FA-18.

Concernant ses résultats opérationnels, le Rafale a été incapable de faire une désignation laser de ses cibles en Afghanistan et a du être accompagné de Mirage V. Le Rafale opérant seul a manqué plus de 50% de ses cibles en Libye. Deux Rafales en patrouille se sont percutés en Provence en 2010 et un autre a sombré en Méditerranée en 2011.

La Confédération Helvétique au terme d’une campagne d’évaluation n’a pas retenu le Rafale, car aucune collaboration entre États n’a pu être trouvée. Le Rafale rencontre de plus des incompatibilités au niveau de la taille, des ordonnances sur le bruit, de l’enveloppe budgétaire accordée, de l’avionique et du radar. Malgré le lobbying intense opéré par la France auprès des haut gradés de l’armée, le coût exorbitant des modifications et des frais annexes engendrés par ces d’incompatibilités ont rendu l’appareil français insupportable financièrement.


Source : Internet ( page actualisée le 25/07/2012)







lundi 16 juillet 2012

Nouvel Appareil de Combat (NAC): GSSA contre Gripen

 Les antimilitaristes du GSSA claironnent qu'ils ont remporté une grande victoire, alors que le processus d'acquisition des Gripen se déroule selon le plan prévu. Ils prétendent avoir réussi à reporter l'achat des appareils en 2018, alors que la mise au point des appareils ne peut se faire du jour au lendemain.

 La Suisse n'a nul besoin dans l'immédiat d'un appareil ultra offensif, capable d'aller déposer une bombe atomique dans une capitale lointaine. Elle a besoin d'un appareil petit, maniable, rapide dans le but de défendre notre espace aérien. Cet appareil doit remplacer nos 54 F-5 E/F Tiger II et seconder nos 32 F/A-18 C/D Hornet.

 Actuellement, l'ensemble de l’État-major, la société des officiers et le gouvernement sont convaincus que le JAS-39 E Gripen est l'appareil optimal pour la Confédération Helvétique. En effet, à la suite de la campagne de tests, il apparait qu'il rentre dans l'enveloppe budgétaire allouée à l'armée, qu'il possède des dimensions similaires à l'appareil qu'il doit remplacer, qu'il est compatible avec l'armement du Hornet, qu'il est opérable par une armée de milice et qu'il est capable de décoller à partir d'une autoroute. En outre son radar est supérieur à ceux de ses concurrents, son avionique est plus  moderne que celle de ses concurrents et il est moins bruyant que ses concurrents.

 Or, le GSSA lui-même a contraint le parlement a fixer un budget contraignant pour brider les envies délirantes de notre nomenklatura militaire. Mais, comme on ne peut laisser un ventre mou au cœur même de l'Europe, doit-on laisser d'autre assurer la défense de notre territoire et se plier aux diktats de l'Union Européenne. Il est étonnant qu'après avoir obtenu gain de cause, cette association ne se réjouisse pas de sa victoire et continue une lutte vaine et stérile. Peut-être que ce ramassis d'illuminés, sous couvert de suppression de l'armée veut en fait l'adhésion à l'Union Européenne, l'abrogation du Secret bancaire et à terme la disparition de la Confédération.

Pour une défense crédible face à l'europe ultracapitaliste et antidémocratique : 
OUI au Gripen le 18 mai 2014


Source : Internet (page actualisée le 16/07/2012)