dimanche 27 mars 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Rafale inadapté

Cette page recense de la manière la plus exhaustive possible les problèmes principaux de l'appareil de combat Dassault Rafale.

Son problème principal est son prix, le biréacteur français coûte le double d'un SAAB JAS 39 Gripen pour une efficacité comparable

Or le conseil fédéral doit faire face à d'autres priorités que l'achat d'appareil dont l'utilité est aujourd'hui remise en question. Avec la signature des Accords de Schengen, la Confédération doit faire face à un flux toujours croissant de travailleurs en provenance de l'union européenne qui engendre un chômage accru et une inflation considérable, dans le domaine des loyers particulièrement. Or tous nos blindés et tous nos avions de chasse ne servent à rien si les frontières ne sont pas mieux contrôlées, dans la région de Genève notamment.

Son second problème est l'insuffisance notoire de ses moteurs

La France, sous la pression des milieux judéo-capitalistes proches du gouvernement, a voulu développer son appareil de combat seule, sans collaboration internationale. Elle a du par conséquent se tourner vers ses motoristes nationaux et plutôt que d'acheter des moteurs performants, elle a du se contenter de M-88 produits localement. Les conséquences sont que le rafale ne peut décoller sur de courtes distances et ne peut pratiquer la super-cruise sans utiliser la post-combustion. Ceci provient que les Français utilisent des catapultes à vapeur sur leur porte-aéronefs et ont négligé le problème des moteurs, à la différence du Boeing FA-18, de l'Eurofighter Typhoon ou du MiG-35.

Son troisième problème est l'insuffisance de son radar

La France en voulant faire cavalier seul, a établi un cahier des charges correspondant aux menaces de l'époque, c'est à dire la guerre froide. Cet avion a été conçu pour se mesurer à des appareils tels le MiG-25 ou le F-15. Or les conditions d'engagement aérien ont changé, avec l'apparition de nouveaux concepts tel la furtivité et la guerre électronique. Le Rafale aujourd'hui nécessite l'appui d'un AWACS pour s'orienter et d'un Mirage-5 pour illuminer électroniquement ses cibles, car la puissance de son radar fait cruellement défaut. Il est avéré que 50% des cibles sont manquées par le viseur du Rafale. Le Boeing FA-18, de l'Eurofighter Typhoon, le MiG-35 et même le SAAB JAS-35 Grippen s'acquittent parfaitement de cette tâche.

Son quatrième problème est l'obsolescence de son avionique

Dans les ordinateurs, la loi de Moore prédit que la puissance de calcul double toutes les années et demie. Donc un avion bourré d'électronique de pointe se retrouve 20 ans après sa mise en service complètement obsolète. Or une vingtaine d'année, c'est ce qu'il a fallu pour développer le Rafale. Son électronique de bord est au moins 15'000 fois inférieure à ce qui se produit actuellement. La présentation de ses informations donne une impression de guerre froide.

Son cinquième problème est politique

La France, qui produit le Rafale, n'est pas ce qu'on pourrait appeler un pays ami. Elle ne possède pas de Constitution fédérale et n'est pas démocratique, car toutes les décisions se prennent à Paris. Ceci soulève un problème hautement stratégique pour notre pays et ne relève plus du simple problème commercial. En cas de guerre, nous avons besoin d'un partenaire fiable. Or, la France fait problème avec les frontaliers, avec le vignoble du village de Champagne, avec le fromage de la région de Gruyère, avec notre secret bancaire. Historiquement parlant cette nation, qui a déclaré trois guerres à l'Allemagne, huit guerres à l'Italie, qui s'est battue pendant cent ans avec l'Angleterre n'est pas rassurante. Ce pays qui s'est opposé à la Confédération en Alsace, en Franche-Comté, en Savoie et en Lombardie ne fait pas partie de nos alliés. Ce peuple belliqueux qui a mis l'Europe à feu et à sang sous Louis XI, sous Louis XIV,  sous Napoléon I et sous Napoléon III, qui a annexé la Corse, Nice et la Savoie, qui a annexé l'Alsace, la Lorraine et la Franche-Comté, qui a attaqué le Mexique, l'Indochine et l'Algérie, ne doit pas inspirer notre respect. L'histoire se continue car la France veut maintenant le pétrole de la Libye, l'uranium du Mali et les richesses de la Syrie.

Son sixième problème est économique

Cet avion de combat, n'est produit que par des industries Françaises telles Dassault, Safran ou Thalès. Ceci soulève un problème hautement stratégique pour notre pays et ne relève plus du simple problème commercial. Car la France en nous vendant ses appareils obsolètes aimerait que l'on finance les améliorations et les mises à niveau qui s'imposent, comme on avait du le faire pour le Mirage. Cependant, notre nation soutient déjà la France en accueillant plus de 200'000 réfugiés économiques français en plus des binationaux et de ceux qui ont réussi à se faire naturaliser. Ces travailleurs monolingues provoquent du chômage, du dumping salarial et de l'inflation dans notre pays. Ces étrangers ne s'adaptent pas à notre pays, veulent imposer leurs goûts culinaires, leur manière de parler et leur manière de penser.

Conclusion

La France en voulant privilégier son industrie nationale pour produire un appareil omnirôle, capable de remplacer plusieurs appareils de l'armée française, a réussi à créer un bijou technologique, qui n'excelle dans aucun domaine, qui coûte extraordinairement cher aux contribuables et qui n'est pas exportable.

Source : Internet (page actualisée le 26/05/2012)

mercredi 23 mars 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC): Problèmes avec la France

La réalité des faits : la politique

Premièrement : Problème de la notoriété

Malgré les campagnes de désinformation opérée par l’entourage de Messieurs Sarkozy, Lagardère, Dassault et consort, la firme Dassault, en 30 ans, n’a pas réussi à exporter un seul Rafale.
A ce sujet, Monsieur S. Dassault, confronté à la mévente de ses produits, accuse le système social Français d'en être responsable et ce sénateur dit à qui veut l'entendre que les acquis sociaux de la masse laborieuse, durement acquis par les générations précédentes doivent être reconsidérés à la baisse. Pour cette raison, Monsieur S. Dassault ne cache pas son soutien à Monsieur N. Sarkozy, car il le pense capable d'opérer des réformes néo-libérales, qui le favoriserait. En outre, ce sénateur néolibéral est client d'un cabinet d'avocats proche du président, qui lui a facilité l'héritage des Entreprises Dassault.
Cette connivence entre l'industrie et le politique a bien permis à la firme Dassault d'obtenir des contrats de la part de l'armée française, mais à l'exportation il y a eu :
  • l'échec en Corée du sud en 2002,
  • l'échec aux Pays-Bas en 2002,
  • l'échec à Singapour en 2005,
  • l'échec au Maroc en 2008,
  • l'échec en Inde en 2009,
  • l'échec en Suisse en 2011,
  • l'échec aux Emirats en 2011,
  • l'échec au Brésil en 2011,
  • l'échec en Algérie en 2012,
  • l'échec au Brésil en 2013,
Ces échecs répétés tendraient à prouver que cet appareil ne correspond pas aux attentes du marché (trop cher, trop sophistiqué, compatible qu'avec du matériel français uniquement et dépassé sur certains aspects).

Deuxièmement : Problème de l'Europe
La France, bien qu’elle ait rejoint l’Europe, ne s'intègre pas et parle d'exception culturelle :

  • Ce défaut est visible en linguistique, où la France privilégie son idiome artificiel national.
  • Ce défaut est visible en gastronomie, où la France privilégie sa cuisine traditionnelle.
  • Ce défaut est visible en industrie, où la France privilégie ses marques nationales.
  • Ce défaut est visible en économie, où la France privilégie ses plutocrates.
Dernièrement, la France s'oppose à la reprise d'Alsthom par Siemens, comme elle s'était opposée à la reprise de Citroen par FIAT. Ce comportement favorise l'implantation des Chinois et le chômage, suivant l'exemple de Usinor-Sacilor. La France dans l’armement suit la même logique et favorise son industrie militaire. Elle n’avait pas participé ni au programme européen Fiat G91, ni programme européen Panavia Tornado, ni au programme de char européen Leopard II. Elle n'a donc pas collaboré au programme Eurofighter Typhoon II.
En conséquence, le biréacteur rafale a été conçu spécifiquement pour des besoins Français, privilégiant un constructeur et des sous-traitants Français au détriment de la compatibilité et de l'efficacité.

Troisièmement : Problème de l'histoire
Historiquement, la France qui s’est toujours opposée au reste de l'Europe, n'a jamais voulu collaborer et à toujours voulu être indépendante.

  • Dans l'Antiquité, les barbares Gaulois et Francs s'opposaient déjà à l’Empire Romain, et ont annexé les trois provinces d'Aquitanie, les deux provinces de Provincie, les quatre provinces de Lyonnaise.
  • Au Moyen-Age, les Francs occidentaux ont continué à s'opposer tout à la fois au Saint Empire et à la Grande-Bretagne, essentiellement pour des raisons territoriales, avec l'annexion de l'Aquitaine, de la Bretagne, de la Normandie, de la Provence, de la Champagne et de la Flandre.
  • Dans des temps récents, la France a rencontré des problèmes d'annexion avec l'Alsace, la Lorraine, le Mexique, l'Indochine et l'Algérie. Il est normal qu'avec un tel passé, la France républicaine qui se veut une et indivisible soit contre l'Union Européenne.
Ceci a comme corollaire que la pression démographique exercée par la France monolingue, raciste et monoculturelle fait imploser les petits pays plurilingues et pluriculturels qui l’entourent. La Belgique est sur le point d’imploser, le canton du Jura a déjà fait sécession du canton de Berne et le canton de Genève avec son taux de Français élevé voit la criminalité et de chômage exploser. Sur le territoire dit "français", l'Alsace a été vidée de sa population indigène germanophone, la Bretagne a été vidée de sa population indigène anglophone et la Savoie, Nice, la Corse et le Dauphiné ont été interdite aux italophones. Les Alsaciens du peupler les colonies d'Amérique du Sud, les Bretons ont du peupler la nouvelle France en Amérique du Nord, l'Occitanie a été détruite et dépeuplée par le feu. Toutes ces régions européennes ont été repeuplées avec des immigrés et acculturée par une éducation francophone.
En définitive, l'histoire explique pourquoi plus aucun pays européen ne veut de matériel français.

Quatrièmement : Les guerres
Il faut rappeler que la Confédération Helvétique n’a jamais été en guerre qu’avec la France :

  • En 1940, la France a déclaré imprudemment la guerre au Reich #3, comme elle l'avait fait au Saint Empire et à l’Empire Romain. Elle veut pénétrer sur le territoire national, mais la résistance des patriotes de la Confédération helvétique s’oppose victorieusement au passage de l’occupant en pays de Vaud et capture une brigade entière.
  • En 1870, la France a déclaré imprudemment la guerre au Reich #2, comme elle l'avait fait au Saint Empire et à l’Empire Romain. Elle veut pénétrer sur le territoire national, mais la résistance des patriotes de la Confédération helvétique s’oppose victorieusement au passage de l’occupant en pays de Vaud et capture une armée entière.
  • En 1860, la France a annexé les pays libres et indépendants de Savoie en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes n’a toujours pas réussi a libérer cette région de l’occupant, la Confédération helvétique ne possède pas de canton de Savoie.
  • En 1798, la France a annexé la Romandie pour y installer un gouvernement fantoche, la résistance des patriotes l’a heureusement libérée en 1803. Cependant, le trésor volé à Bern/Berne par les envahisseurs n’a jamais été rendu.
  • En 1698, la France a annexé les pays de Franche-Comté en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes n’a toujours pas réussi a libérer cette région de l’occupant, la Confédération helvétique ne possède pas de canton de Franche-Comté.
  • En 1515, la France a annexé la Lombardie en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes a réussi a libérer cette région de l’occupant en 1860. la Confédération helvétique ne possède pas de canton de Lombardie.
  • En 1476, la France fait attaquer la ville de Grandson et la ville de Murten/Morat en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes a réussi a nettoyer cette région des envahisseurs, la Confédération helvétique possède un canton de Vaud.
  • En 1444, la France a attaqué la ville de Basel/Bâle en dépit des accords signés avec la Confédération Helvétique. Comme la résistance des patriotes a réussi a nettoyer cette région des envahisseurs, la Confédération helvétique possède un canton de Bâle.


Source : Internet (page du 26/05/2012 actualisée le 28/04/2014)

mardi 22 mars 2011

Nouvel Appareil de Combat (NAC)

 Avant de se précipiter dans des dépenses onéreuses et somme toute inutiles, il convient d’analyser la situation et de définir les besoins. Rappelons simplement à ce sujet que l'acquisition des chars Léopards II était jugée indispensable par nos stratèges et que ces bijoux technologiques sont actuellement en réserve dans les cavernes alpines de l’armée.

 De par sa situation géopolitique, la Confédération helvétique est entourée par des pays de l’Union Européenne :

  • Dans un premier cas, elle considère ceux-ci comme des amis, elle n’aurait dans ce cas de figure plus besoin de forces armées et elle laisserait la défense du continent aux autres. Mais la Suisse risquerait alors de disparaître, car les minuscules États cantonaux qui la composent courraient le risque de se fondre dans les pays qui leurs sont proches culturellement et linguistiquement. A terme, la Suisse pourrait même adhérer à l’Union Européenne et se retrouver dans une situation conflictuelle comparable à celle de la Belgique.
  • Dans un deuxième cas, la Confédération considère ses voisins comme des ennemis potentiels et elle se retrouverait alors dans une situation comparable à celle des Juifs en Palestine, avec un territoire très exigu à défendre entouré de forces adverses. Dans cette situation, la Suisse se devrait d’avoir des appareils nombreux, capables d’opérer depuis n’importe quelle base et avec un fort taux de montée. Dans cette optique de Take Off, Hit and Destroy, l’appareil de combat idéal n’existe pas encore, mais le SAAB JAS-39 Gripen E s'en rapproche et nous pouvons compter sur les excellentes capacités antiaériennes de Oerlikon-Contraves.
 Mais notre nation se trouve dans une position médiane entre les deux situations envisagées plus haut. Elle doit donc collaborer avec les pays de l'Union Européenne et acheter du matériel compatible OTAN pour faire la loi dans son espace aérien. Outre son rôle de police du ciel, notre armée a besoin d’une couverture aérienne efficace pour prévenir les intrusions ennemies et éventuellement protéger les troupes combattantes.

 Cependant, concernant l’appui au sol et pour ces 15 années à venir, nulle personne sérieuse ne juge plausible l’éventualité d’un soutien aérien à l’infanterie dans un grand combat de chars. Si une telle éventualité devait néanmoins se produire, la Suisse dispose tout de même de 380 Léopards II, qui sont la quintessence de ce que l’on peut construire en matière de blindé.

 Pour le support aérien, la Suisse dispose également de Pilatus XXI d’entraînement dotés d’une avionique de dernier cri et de points d’emport sous les ailes. Ces appareils extrêmement maniables et agiles volent tout de même à 700 km/h et sont facilement convertibles en destructeurs de chars ou en lanceurs de missiles. Ils sont également efficaces sur les positions ennemies, car ces appareils disposent de manière native de la capacité de répandre du napalm, de bombes à fragmentation ou de gaz sur les troupes des envahisseurs. Il est évident que la malheureuse expérience vécue avec les hordes napoléoniennes ne pourrait plus de nos jours se reproduire.

 Une attaque de chasseurs étrangers est également à écarter, car il faudrait pour que ce cas de figure se présente que l’UE éclate, et que l’OTAN disparaisse et que les Etats-Unis se désintéressent de l’Europe. Cependant créer un ventre mou au sein de l’Europe représente un risque, pour l’Union Européenne elle-même et la Suisse souveraine n’autoriserait jamais la couverture du territoire national par des avions étrangers, fussent-ils européens.

 Concernant cette couverture aérienne, il est toutefois à remarquer que notre voisin autrichien couvre un territoire trois fois plus étendu avec 15 Eurofighter Typhoon (batch 5) livrés par l'Allemagne. Il faut préciser à ce propos que l’Autriche fait partie de l'OTAN et de l'UE et peut compter sur ces alliances. De plus, ce petit pays alpin dispose du meilleur appareil du moment pour les tâches de police aérienne : Vitesse de Mach 2.4, commandes électriques HOTAS, viseur de casque HMD, afficheur tête haute HUD, radar CAPTOR avec AIS et IFF, système d'identification AIS couplé au système de senseurs MIDS et au système de furtivité EMCOM, système de veille infrarouge PIRATE avec FLIR et IRST, système de défense DASS incluant DAL et DDS. Mais, que dire de la Finlande, qui avec un territoire huit fois plus grand et une position moins favorable, n’a que cinquante F/A-18. En comparaison, notre Suisse fait figure d'enfant gâté avec ses 32 F/A-18 C/D, achetés en 1994-1995. Ces chasseurs font jeu largement égal sinon plus avec les Rafales actuels et seraient parfaitement capable d’effectuer des raids dévastateurs sur Dijon-Longvic ou Saint-Dizier, même s'ils n’autoriseraient pas l’envahissement de la France.

 Certaines des caractéristiques offertes par les appareils en lice dépassent largement le cadre défini pour un chasseur aérien. Car un petit pays comme la Suisse n’a nul besoin d’un appareil biréacteur capable de transporter une arme nucléaire à des milliers de kilomètres en territoire ennemi. La Suisse n’a non plus besoin d’un appareil capable d’opérer depuis un porte-aéronef, quoique le territoire suisse de par son exiguïté ressemble assez à un porte-avion géant. La Suisse n’a nul besoin de la supercruise, car la mission de l’armée est de défendre et non pas d’agresser.

 Cependant, au sein des forces aériennes, les cadres de l’armée ont pris l’habitude de disposer du meilleur matériel du moment et les hauts gradés ont été sensibles à la campagne de désinformation opérée par l’entourage de Messieurs Sarkozy, Lagardère, Bouygues, Dassault et consort. Malheureusement, le chômage et l’inflation importée de l’union européenne n’autorise plus notre nation a se payer une triple ou quadruple marge de sécurité. Dans le contexte actuel, la Confédération a mieux à faire que de dépenser des milliards de francs pour des appareils obsolètes, surtout qu’elle ne dispose de toute façon pas de ces crédits.

 Comme la technologie évolue constamment et de manière de plus en plus rapide, il est préférable d’attendre le plus tard possible avant de remplacer nos excellents appareils actuels. Ceux-ci ne seront obsolètes que vers 2030 et d’ici là, tout peut changer. Les drones auront sûrement remplacés les chasseurs traditionnels, car on voit d’ailleurs la France elle-même s’allier avec l’Angleterre pour produire des avions sans pilote.

 Cependant la Suisse, tout comme Israël se doit de disposer d’un appareil puissant capable de décoller rapidement et pour défendre le ciel helvétique efficacement. La meilleure solution pour remplacer les F-5 E/F Tiger II, qui coûtent de plus en plus, est le JAS-39 Gripen E de Saab, car c’est le seul chasseur qui sort du lot. Non seulement, il coûte deux fois moins cher que ses concurrents, mais il est en plus parfaitement adapté à notre topogra­phie, à notre espace aérien. Sa faible envergure et sa rapi­dité d’envol permettent de l'abriter facilement dans nos petits hangars et de le faire décoller d’autoroutes ou de courtes pistes.

 Outre le fait d'être compatible avec nos budget, il apparaît clairement que du point de vue de l’utilité, le Griffon est l’appareil qu’il nous faut, car :
  • il est compatible au niveau de la taille avec nos 54 F-5, qu’il doit remplacer et entre dans les hangars,
  • il est compatible avec nos 32 FA-18 au niveau du type de moteurs,
  • il est compatible avec nos 32 FA-18 au niveau de l’armement,
  • il dispose d’un radar efficace,
  • il dispose d’un casque de visée,
  • il est capable de décoller de pistes sommaires,
  • il est adapté à un pays froid et montagneux comme le notre,
  • il peut être mis en œuvre par une armée de milice comme la notre.

Ne nous laissons plus instrumentaliser par la gauche et votons OUI au Gripen le 18 mai 2014

Source : Internet (page éditée le 26/05/2012, actualisée le 27/04/2014)